De Romy Schneider... à Sarah Biasini

Hommage aux actrices

Si vous avez regardé la dernière émission de Laurent Delahousse : "Un jour, un destin : Jacqueline Maillan", vous aurez peut-être remarqué, en arrière plan, un second hommage...

Merci à Claudine pour ces images !

Les étoiles du cinéma SFR

Romy Schneider est à l'honneur sur SFR.fr et vous pouvez visionner de nombreux films en VOD (2,99 euros le film).

Voir la bande-annonce

• Max et les ferrailleurs
• Plein soleil
• L'important, c'est d'aimer
• Les choses de la vie
• La banquière
• César et Rosalie
• Christine
• Une histoire simple
• Katia
• La piscine
• Une femme à sa fenêtre
• Le train
• Garde à vue
• L'assassinat de Trotsky
• L'enfer d'Henri-Georges Clouzot

À la télé ce vendredi soir : "Romy Schneider, à fleur de peau"

Source : Focus.LeVif.be - 20 septembre 2013

"Tout le monde aimait Romy Schneider", assène Jean-Loup Dabadie, en écho à l'une des plus célèbres répliques de César et Rosalie. Pourtant, pour la génération Y et ses suivantes, Romy Schneider n'évoque souvent qu'une image floue.

Difficile, en tout cas, pour les moins de 35 ans de se figurer l'impact que l'actrice allemande, tragiquement décédée en 1982, put avoir sur son époque. Le film de Bertrand Tessier, rythmé par la voix de la trop rare Alexandra Vandernoot, nous éclaire sur le parcours d'une comédienne hors du commun, révélée au grand public à 16 ans par une bluette en costumes.

"Sissi" sort en 1955. Et accouche de deux suites, coup sur coup. Prisonnière d'une image lisse, nunuche, quasi ennuyeuse, Romy Schneider fait la rencontre d'Alain Delon sur le tournage de "Christine". Moment décisif. Elle quitte l'Allemagne et sa mère Magda, comédienne et sympathisante nazie, objet d'une révolte idéologique qui poussera notamment Romy à prénommer ses futurs enfants David et Sarah... Rapidement expédié en fin de documentaire, cet aspect aurait pu justifier à lui seul un film entier, tant les rapports entre sa mère et Hitler semblaient torturer Romy Schneider.

Une Romy qui, très jeune, s'engouffre donc dans le sillage d'Alain Delon, alors en pleine ascension. Leur idylle affole la presse people et drague une charge symbolique importante, celle d'une réconciliation franco-allemande plutôt bienvenue dans une période où les rancoeurs de guerre ont la dent dure. Viennent ensuite Hollywood, la rupture avec Delon, le mariage avec l'intellectuel allemand Harry Meyen ou le retour sous les feux de la rampe grâce à La Piscine. Et ces images assez effarantes d'un Delon venu attendre son ex-compagne sur le tarmac de l'aéroport, les retrouvailles n'échappant pas aux multiples caméras convoquées pour immortaliser l'événement. "Vous êtes heureuse de revoir Alain Delon ?" Surréaliste.

"La Piscine", mise en abyme d'une relation passionnelle qui unissait encore quelques années auparavant les deux acteurs, va donner un second souffle à la carrière de Romy Schneider. Laquelle, dans la foulée, trouve son pygmalion en la personne de Claude Sautet. "Les choses de la vie" et "César et Rosalie" placent définitivement la comédienne au centre du paysage cinématographique français. Romy Schneider est une star. Dans toute l'Europe. Mais l'ascension, comme dans toutes les tragédies, atteint une limite au-delà de laquelle va s'épanouir le drame. De plus en plus dépressive, insécurisée, ultra-sensible, la comédienne fait face, en l'espace de quelques années, à la mort de son fils, au suicide de son ex-mari et à son divorce, autant d'événements qui la laissent exsangue, en perdition, au point d'ingérer, sans que l'on sache exactement dans quelles circonstances, un cocktail fatal de médicaments et d'alcool... Elle avait 44 ans.

Classique dans son approche chronologique et dans son enchaînement d'images d'époque et de témoignages (Bertrand Tavernier, Jean-Claude Carrière, etc.), le film de Bertrand Tessier compense ce manque d'audace par un sujet fort. Dans l'ascension comme dans la chute.

"Romy Schneider, à fleur de peau", documentaire de Bertrand Tessier.
Ce vendredi 20 septembre à 22h35 sur "La Une" (chaîne belge).

Guy Verstraeten

Romy Schneider à fleur de peau – Inédit

Source : Rtbf.be - 21 septembre 2013

Le 23 septembre prochain, Romy Schneider aurait eu 75 ans. Plus de 30 ans après sa disparition, cette actrice française d’origine allemande reste une icône du cinéma français du 20ème siècle. Une star qui a fait rêver mais aussi une femme au parcours fait de lumière et de douleurs. "Romy Schneider à fleur de peau" retrace la fabuleuse carrière d'une actrice d'exception. Un documentaire de Bertrand Tessier raconté par l’actrice belge Alexandra Vandernoot à découvrir sur "La Une" (chaîne belge) le vendredi 20 septembre à 22h25.

Au travers d’archives et de témoignages de ceux qui l’ont côtoyé - habilleuse, biographes, producteurs ou réalisateurs - ce documentaire retrace l’histoire de Romy Schneider, jeune comédienne allemande devenue une star à Paris. On revivra ses débuts dans la capitale française sous l’aile protectrice d’Alain Delon, son grand amour, et sa rencontre avec des grands metteurs en scène comme Visconti ou plus tard Claude Sautet. Après ses débuts dans le romantisme sucré de la série des "Sissi", Romy Schneider a su devenir l'incarnation de la femme française des années 1970, moderne, indépendante, farouchement libre, comme dans les films de Sautet. En parallèle, on suit aussi le film de sa vie intime, tellement liée à sa carrière d’actrice.

Sa rencontre avec Alain Delon avec qui elle a formé un couple mythique ; leur difficile rupture ; son retour à Berlin, sa rencontre avec son premier mari et la naissance de son fils ; son retour en France et ses retrouvailles à l’écran avec Alain Delon dans le film "La piscine" ; son nouveau mariage et la naissance de son deuxième enfant Sarah. Romy Schneider était une femme radieuse et lumineuse mais qui cachait sa part d’obscurité. Ce film nous éclaire d’un jour nouveau ses blessures les plus intimes : sa difficile rupture avec Alain Delon, le suicide de son premier mari et surtout la mort de son fils David en 1981.

Mais elle portait aussi en elle une blessure énorme liée à la découverte du passé de sa mère, Magda, une proche d'Hitler, et qui la poussera à tourner de nombreux films antinazis, comme "La passante du sans souci", son dernier film aux accents testamentaires. La lutte contre le nazisme était devenu un combat personnel, y compris jusque dans le choix des prénoms de ses enfants : David et Sarah.

Dans la nuit du 28 au 29 mai 1982, Romy Schneider meurt d’un excès de médicaments et d’alcool sans que l’on n'ait jamais su si c’était accidentel ou volontaire. Cette actrice lumineuse était alors une femme à bout de souffle ; une femme vulnérable propulsée par sa mort tragique dans la galaxie des étoiles au destin fracassé. Elle avait à peine 44 ans.

Rediffusion sur La Trois le 21/09 à 23h20

Paris Première consacre une soirée à Romy Schneider le 24 septembre 2013

Source : Première.fr - 05 septembre 2013

NDLR : Le documentaire de Bertrand Teissier évoqué dans cet article semble être celui qui a été diffusé pour la première fois en 2008. Rien d'inédit, donc, à priori. Cela reste toutefois à confirmer puisque nous attendons toujours  celui dont on avait parlé (bien avant les vacances) et qui devait être diffusé sur Chérie 25...

Paris Première va rendre homme à Romy Schneider le 24 septembre 2013. A cette occasion, les téléspectateurs découvriront le film "La passante du sans-souci", ainsi qu’un documentaire sur ses derniers jours.

Chaque mois, la chaîne du groupe M6, Paris première, rendra hommage à une icône du cinéma en lui consacrant une soirée spéciale. A l’occasion de la grande première, Paris Première consacrera une soirée spéciale à Romy Schneider.

Le mercredi 24 septembre à 20h40, Paris Première diffusera le dernier film de l’actrice, "La passante du sans-souci". De l'assassinat de son père par les SA berlinois, jusqu'à son emprisonnement pour avoir tué un vieil SS, quarante ans de la vie de Max Baumstein, interprété par Michel Piccoli, président du mouvement de Solidarité Internationale, qui lutta contre le terrorisme antisémite de l'Allemagne nazie.

Dès 22h45, les téléspectateurs découvriront ensuite le documentaire "Les derniers jours de Romy Schneider" réalisé par Bertrand Tessier. Bertrand Tessier revient sur les derniers jours de l’actrice de "La Piscine" grâce à des témoignages de ses proches et des dernières personnes qui l’ont fréquentées jusqu’à cette nuit du 28 au 29 mai 1982 où elle les a définitivement quittés. Plus de trente ans après, sa mort interroge toujours : suicide à base d’un mélange fatal d’antidépresseurs et d’alcool ou arrêt cardiaque ? Selon ses proches, la véritable date de sa mort correspondrait en réalité au décès tragique de son fils David un an auparavant, le 5 juillet 1981. "Lorsque j’ai annoncé le décès à Madame Schneider, elle ne s’est pas écroulée. Bien pire : c’est le monde qui s’est écroulé autour d’elle", confie le chirurgien qui a tenté de sauver l’enfant. Elle a été traquée par des paparazzis, des photos de son fils mort ont même été publiées. Romy Schneider va ensuite s’investir dans un dernier film : La passante du sans-souci, dans lequel elle donne la réplique à un jeune acteur de 14 ans qui lui rappelait à chaque scène son fils David.

Bientôt à la TV sur TF1...

Source : Newetprogrammes.over-blog.com - 26 juin 2013

Dès le 13 juillet 2013, TF1 proposera chaque samedi à 18h50 la version estivale de son magazine people, "50 minutes inside", présenté par Nikos Aliagas et Sandrine Quétier.

Selon TF1 : «Pour la troisième année consécutive, "50mn Inside" prend ses quartiers d'été dans le sud de la France pour sept émissions inédites. Nikos Aliagas et Sandrine Quétier quittent le plateau pour présenter l'émission depuis une villa les pieds dans l'eau à Ramatuelle.

Au programme de "50mn Inside en vacances" : des reportages et enquêtes inédites sur les personnalités qui feront l'actualité estivale, mais aussi les destinations les plus extraordinaires de la planète et les portraits de stars que vous avez préférés cette année. Retrouvez également la nouvelle rubrique de l'été : Un été, un amour. Vous plongerez au cœur des plus grandes passions de l'histoire. Sept couples mythiques et tous les secrets de leur amour : de Victoria et David Beckham à Romy Schneider et Alain Delon à Jane Birkin et Serge Gainsbourg… Et enfin, chaque semaine, Christophe Beaugrand partira en vacances avec Natasha St-Pier, Jean-Marie Bigard, Helena Noguerra, Baptiste Giabiconi… Dans sa voiture décapotable, il recueillera leurs meilleurs souvenirs et leurs petits plaisirs d'été !»

Romy Schneider à fleur de peau

Très prochainement, la chaîne Chérie 25 diffusera un documentaire de 52 minutes intitulé "Romy Schneider à fleur de peau".

Produit par Adamis Production, la société de Norbert Balit, le film retrace le parcours fulgurant de la star de cinéma qui disparut à 44 ans en mai 1982. De ses débuts dans Sissi à son dernier film ("La Passante du Sans-Souci"), Romy apparaît dans toute sa splendeur et sa complexité dans une évocation émouvante où se succèdent de nombreux témoignages. Les téléspectateurs pourront aussi la revoir le jeudi 28 mars dans "César et Rosalie".

Bertrand Tessier, le réalisateur, a retrouvé des images d'archives où l'on surprend notamment Magda Schneider, la mère de Romy, en présence d'Adolphe Hitler. Fût-elle sa maîtresse ? Le documentaire laisse la question sans réponse, mais laisse également entendre que le drame existentiel de Romy Schneider réside peut-être ici, dans cette impossibilité de comprendre ou d'accepter l'idée que sa propre mère ait pu, d'une manière ou d'une autre, soutenir le nazisme. Le film rappelle d'ailleurs à quel point cette blessure secrète de la comédienne nourrit son combat personnel contre l'horreur nazie, elle qui n'avait pas hésité à prénommer ses enfants David et Sarah et qui ajoutait parfois une étoile juive sur le «i» du prénom de son fils mort prématurément au cours de l'été 1981.

Ich war Romy Schneider !

Source : Heute.at - 24 mai 2012

Brillant, berühmt, zerbrochen. Das war Romy Schneider. Im Laufe von zwei Jahrzehnten von der lieblichen "Sisi" zur Grande Dame des französischen Films avanciert, kämpfte der schöne Charakterkopf ein Leben lang mit beruflicher Emanzipation, den Tücken der Selbstinszenierung, privaten Tragödien und der Angst vor der Einsamkeit.

Die Schauspielerei war Gift und Lebenselixier zugleich. Genau so verhielt es sich mit den Männern, oft auch mit Drogen und Alkohol. Am Ende konnte oder wollte Schneider nicht mehr, man fand sie am 29. Mai 1982 tot in ihrer Pariser Wohnung in der Rue Barbet-de-Jouy. Ein TV-Reigen bringt Romys größte Filme, eine Ausstellung in der Bundekunsthalle Bonn zeigt noch bis 24. Juni ihre größten Momente.

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L'hommage de la télévision allemande :

Trop tard !

• Lundi 16 mai 2012 : 22.30 - ORF2 : Romy
• Mardi 17 mai 2012 : 00h15 - ORF2 : Romy Schneider - Eine Frau in drei Noten
• Mercredi 19 mai 2012 : 11h20 - ORF2 : Christine
• Jeudio 20 mai 2012 : 23h00 - ORF2 : Die letzten Tage einer Legende : Romy Schneider - 23h45 - ORF2 : Die Spaziergängerin von Sans-Souci
• Vendredi 24 mai 2012 : 00h15 - ORF2 : Leih mir deinen Mann

Samedi 26 mai 2012

• 23h45 - RBB : Das wilde Schaf

Dimanche 27 mai 2012

• 01h25 - RBB : Die Hölle von Henri-Georges Clouzot
• 03h00 - BRR : Die Bankiersfrau
• 14h15 - ORF2 : Mädchenjahre einer Königin
• 17h20 - 3sat : Monpti
• 20h15 - 3sat : Romy
• 22h00 - 3sat : Romy Schneider - Porträt eines (documenaire)
• 23h00 - 3sat : Das Mädchen und der Kommissar
• 23h45 - NDR : Spion zwischen zwei Fronten

Lundi 28 mai 2012

• 00:35 - BR - Eine einfache Geschichte
• 06h25 - BR - Monpti
• 15h25 - MDR : Wenn der weiße Flieder blüht
• 16h05 - ORF2 : Scampolo
• 17h20 - 3sat : Christine
• 20h15 - 3sat : Ludwig II

Mardi 29 mai 2012

• 01h00 - ServusTV : Das alte Gewehr
• 02h25 - 3sat : Ludwig II
• 09h40 - ServusTV : Scampolo
• 20h15 - 3sat : Die Dinge des Lebens
• 22h25 - 3sat : Romy Schneider - Eine Frau in drei Noten

Mercredi 30 mai 2012

• 22h25 - 3sat : Das wilde Schaf
• 22h45 - RBB : Christine

Jeudi 31 mai 2012

• 22h25 - 3sat : Die Liebe einer Frau

Vendredi  1er juin 2012

• 10h30 - ARD : Mäddchen in Uniform
• 16h15 - 3sat : Die Halbzarte
• 22h00 - 3sat : Die Spaziergängerin von Sans-Souci

Samedi 02 juin 2012

• 00h05 - SF1 : Das Mädchen und der Kommissar
• 00h45 - 3sat : Die Liebe einer Frau
• 23h45 - RBB : Der Swimmingpool

 

Reportage sur TV7 Colmar : "Les gens d'ici"

Source : TV7 Colmar

Depuis son plus jeune âge, Dorette Roess est passionnée de cinéma et plus particulièrement de Romy Schneider. Cette habitante de Turckheim possède une impressionnante collection d'objets consacré à l'actrice et organise régulièrement différentes manifestations afin de lui rendre hommage. Plus récemment, Dorette Roess a également écrit un ouvrage sous forme d'abécédaire intitulé «Romy Schneider, les choses de ma vie».

Cliquez sur le lien pour découvrir ce reportage :

http://www.tv7.fr/video_detail.php?id=418

Soirée hommage à Romy Schneider

Le 31 octobre 2011
Sur Paris Première

Lundi 31 octobre à partir de 23:15, la chaine Paris Première vous proposera une soirée hommage consacée à une actrice de légende : Romy Schneider.

Perçue comme l’archétype de la française moderne et émancipée, Romy Schneider a obtenu deux fois le César de la Meilleure Actrice. Dotée d’un talent et d’une beauté rares, sa vie est rythmée par les tournages et des événements qui bouleverseront à jamais son existence. Retour sur la vie de cette icône du cinéma français à travers 2 documentaires et le film culte “La piscine” dans lequel elle partage l’affiche avec Alain Delon.

23:15 - Film “La piscine"
Redécouvrez ce polar psychologique d’une sensualité à fleur de peau, où le couple Schneider/Delon illumine l’écran de son amour incandescent. Jean-Paul et Marianne forment un couple idéal et coulent des jours heureux dans leur villa de Saint-Tropez. Mais tout bascule le jour où Harry, ancien amant de Marianne, arrive au bras de l’incendiaire Pénelope…

01:30 - Documentaire “Les derniers jours de Romy Schneider”
Romy Schneider n’avait pas 44 ans quand elle s’est éteinte, en 1982, à Paris. Suicide, surdose de médicaments, crise cardiaque ? Sa mort reste un mystère. “Les derniers jours de Romy Schneider” est un documentaire composé de nombreux témoignages de ses proches, journalistes et producteurs qui témoignent du destin tragique de cette femme d’exception.

02:25 - Documentaire “L'enfer”
“L’enfer” d’Henri-Georges Clouzot est un film maudit et inachevé sur lequel Serge Bromberg et Ruxanda Medrea reviennent, grâce à des rushes et bobines retrouvés quasiment par hasard. Entamé en 1964, ce film, consacré à une passion dévorante et obsessionnelle, avait causé la mort du cinéaste. L’histoire du tournage, pour le moins cauchemardesque, nous offre une vraie leçon de cinéma…

Source : Coulisse-tv.fr - 10 octobre 2011

Un jour, un destin : Romy Schneider dans un numéro inédit sur France 2 le 7 septembre

Source : Télé Première.fr - 18 août 2010

Le mardi 7 septembre 2010, une soirée spéciale dédiée à Romy Schneider, aura lieu sur France 2 dès 20h35 avec un inédit d' Un jour, un destin. L'émission sera suivie par la diffusion du film "La Piscine" de Jacques Deray.

Romy Schneider, l'inoubliable actrice aux cheveux d'or, sera à l'honneur sur France 2, le mardi 7 septembre 2010. Laurent Delahousse reviendra dès 20h35 dans "Un jour, un destin", sur les derniers secrets de cet emblème du cinéma.

La vie de Romy Schneider aurait pu être un conte de fées, celui d’une princesse insouciante qui aurait vécu paisiblement son statut d’enfant star. Mais, l’actrice allemande et autrichienne a toute sa vie choisi de rompre avec les évidences, avec un succès trop vite obtenu, avec son pays. Au fond, elle nourrissait un sentiment obsédant : exorciser le passé encombrant de sa mère, artiste proche du régime nazi. A travers de nombreux documents d’archives et les témoignages de ceux qui l’ont connue et côtoyée, ce documentaire vous révèle comment elle a vécu avec ce poids durant toute sa vie.

Vous découvrirez également sa passion mouvementée avec Alain Delon, ses conversations mystérieuses avec Marlène Dietrich, ses succès et ses échecs et tous les épisodes qui ont fait de cette incroyable trajectoire, celle d’un destin tragique qui prend racine à Berchtesgaden, un village de Bavière où elle passa son enfance et où s’écrivit l’un des pires scénarios de l’histoire.

Les témoignages de sa fille Sarah Biasini et d’ Alain Delon étaient attendus. Le journaliste explique : "Sa fille ne parle jamais aux médias. Elle est au courant à propos de l’émission mais ça ne va pas plus loin. Mon seul regret c’est Alain Delon. Il est évident qu’il manque dans ce sujet. J’aurai beaucoup aimé l’interviewer mais il n’a pas accepté."

Le film franco-italien, "La Piscine", réalisé par Jacques Deray clôturera en beauté cette soirée. La star y joue Marianne, en couple avec Jean-Paul (Alain Delon). Tout se passe très bien jusqu'à ce que l'ex-amant de cette dernière et sa fille Pénélope s'installent chez eux, à Saint-Tropez.

Un bel hommage de la part de France 2.

Soirée Romy Schneider mardi 7 septembre sur France 2

Source : Blog de Jean-Marc Morandini - 17 août 2010

France 2 proposera une soirée consacrée à la comédienne Romy Schneider mardi 7 septembre à partir de 20h35.

En première partie de soirée, un numéro inédit de "Un jour, un destin" présenté par Laurent Delahousse reviendra sur le destin tragique de la star.

A 22h25, France 2 rediffusera le film "La piscine" de Jacques Deray avec Romy Schneider et Alain Delon.

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Source : TV Mag.com - 17 août 2010

Romy Schneider fascine. Et presque trente ans après sa disparition, l'actrice continue de susciter l'admiration des hommes et des femmes. Dans son émission Un jour, un destin programmée le mardi 7 septembre à 20h35, Laurent Delahousse reconstitue le puzzle de la vie de l'ancienne compagne d'Alain Delon. Tout le monde connaît Romy Schneider. Son destin tragique. Mais rare sont ceux qui connaissent l'origine de son mal-être.

Le journaliste de France 2 a donc choisi de mettre en exergue la relation qu'elle entretenait avec sa mère. Cause de son éternelle culpabilité. L'émission mettra en avant les témoignages d'une vingtaine de proches de l'actrice. Mais sa fille, Sarah, et Alain Delon n'ont pas souhaité s'exprimer. A l'issue de l'émission, "La Piscine", film qui a tant marqué sa carrière, sera diffusé.

TF1 : "50 minutes inside" - 07 août 2010

Alain Delon et Romy Schneider, l'un des couples les plus glamours du cinéma français... Pourquoi leur histoire s'est elle achevée après 4 ans de romance ? Quels sont les secrets de ce couple Mythique ? Comment Alain Delon 40 ans après vit-il avec ses souvenirs ? Alain Delon et Romy Schneider : un couple très glamour.

       

Les vies rêvées de Laurent Delahousse

Source : TVMag.com - 31 août 2009

NDLR : Cette fois, l'émission "Un jour, un destin" (diffusée le lundi soir sur France 2 et que l'on attend depuis plusieurs mois) consacrée Romy Schneider semble confirmée... A suivre très prochainement !!

Le week-end, c'est le temps des JT pour Laurent Delahousse, qui les présentera dès vendredi soir dans un nouveau décor, «avec plus de chroniqueurs, plus d'identité, plus de convivialité, et un 20 h 15 à l'image du 13 h 15», précise-t-il... Mais le reste du temps, le journaliste ne se repose pas sur ses lauriers, il travaille avec passion les documentaires de la série «Un jour, un destin», qu'il a inaugurée il y a trois ans. «Sans ce travail d'investigation, je ne présenterais pas les JT», assure-t-il.

Les prochains portraits qui passeront à l'antenne? Romy Schneider, qu'il rêvait de «faire» depuis longtemps, et aussi Ségolène Royal. «J'aime la liberté qu'offre le portrait, mais, à force de fabriquer ce type de document, on a envie de glisser vers la fiction. J'aimerais écrire des scénarios, des séries, passer peut-être à la réalisation de films. Ce métier de journaliste, on peut le vivre en plusieurs chapitres. Ainsi, le parcours de Bernard Rapp me plaît. Il a vécu plusieurs vies.»

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Source : Le JDD.fr - 26 février 2010
NDLR : remise en avant de cette note pour compléter l'article du 31/08/09...

Delahousse : "La grand-messe du 20 heures a vécu"

[...]
Le JDD : Vous pourriez vous contenter de présenter le JT ?
L. Delahousse : Honnêtement non. J'ai besoin du magazine, du documentaire pour mon équilibre. J'ai notamment beaucoup appris sur ce sujet à M6 et je pense avoir apporté un peu de mon savoir-faire sur le service public, notamment pour 13h15, qui fonctionne de mieux en mieux. Dans un JT, on est sans cesse en réaction sur l'actualité, sur le qui-vive. Dans un documentaire, on a plusieurs mois de travail, le temps de réfléchir, de partager avec ses équipes. J'ai par exemple pris beaucoup de plaisir à tourner mon prochain documentaire sur Romy Schneider, qui devrait être diffusé en avril ou mai.

TF1 : "50 minutes inside" du 30 janvier 2010

L'émission "50 minutes inside" du samedi 30 janvier 2010 contiendrait un reportage sur Delon et Romy...

A suivre !!

Arte Journal - 14 janvier 2009

Source : Arte.tv.fr

Berlin : le mythe Romy à la Cinémathèque

Romy Schneider a laissé une superbe empreinte dans l'histoire du cinéma européen. Mais vingt-sept ans après sa disparition, tout n'a pas encore été dit sur l'actrice notamment en Allemagne où elle était surtout connue pour son interprétation de Sissi à ses débuts. Berlin part aujourd'hui à sa redécouverte : jusqu'en mai, la Cinémathèque lui consacre une vaste exposition qui retrace les cinq grandes périodes de la carrière de Romy Schneider à Vienne, Berlin et Paris. Trois capitales européennes marquées par l'éclosion cinématographique de la magnifique icône franco-allemande. Visite guidée de l'exposition berlinoise par Marco Stahlhut.

Un visage fascinant, une séductrice, une grande actrice - tous les regards et les gestes de Romy Schneider sont gravés depuis longtemps dans la conscience collective de ceux qui aiment le cinéma. Mais en Allemagne, le culte de Romy vient de prendre un nouveau tournant. "Contrairement à de nombreuses stars pop, Romy Schneider a quelque chose de classique parce que les nouvelles générations continuent à l'admirer", explique Daniela Sannwald, commissaire de l'exposition. "Il y a des jeunes femmes qui la vénèrent, des jeunes actrices qui la vénèrent et qui transmettent leur passion à leurs fans... Et Sissi continue évidemment à faire rêver les petites filles."

Romy Schneider à nouveau sous les feux des projecteurs... Les organisateurs de l'exposition ont réussi à dénicher quelques photos encore inconnues, ainsi que des écrits privés. Ils font en outre la part belle à une période méconnue de la vie de Romy Schneider : ses tournages dans les années 1960 avec de grands noms comme Woody Allen ou Orson Welles. "C'est une période où Romy Schneider s'est essayée à d'autres genres, à d'autres types de rôle. Elle a joué dans des films chics et cools - surtout des films français et américains. Elle s'est frottée à des comédies comme à des thrillers et il en est sorti des choses extraordinaires", précise Daniela Sannwald.

Un côté sombre
Son travail dans les années 1960 étant méconnu outre-Rhin, il n'y avait jusqu'à présent que deux images de Romy Schneider en Allemagne, aux antipodes l'une de l'autre : d'une part, la jeune héroïne de "Sissi" dans les années 1950 (série qui a donné naissance à de nombreux produits dérivés) et d'autre part, la femme adulte incarnant des personnages complexes dans des films français des années 1970. Daniela Sannwald évoque l'image de l'actrice en Allemagne : "On a l'impression qu'elle est passée sans transition des années 1950 aux années 1970, de la jeune fille naïve et effrontée à la Française libérée sexuellement, voire un peu agressive. Entre les deux, il y a eu évidemment une foule de choses, mais c'est passé inaperçu."

Mais Romy Schneider a aussi un côté sombre, ce qui l'a incitée vers la fin de sa carrière à se tourner vers des rôles de victimes. Dans sa vie privée aussi, tout n'est que tragédie et autodestruction. C'est ce qui fait également partie de son charme, le plus troublant. Un charme qui continue à agir aujourd'hui. Et Daniela Sannwald de conclure : "Sites Web, forums de fans, bourses d'échange, ventes aux enchères - tout cela nous montre que le mythe Romy Schneider est toujours vivant et qu'il ne s'éteindra jamais."

L'exposition "Romy Schneider. Wien – Berlin – Paris" jusqu'au 30 mai, à la Cinémathèque de Berlin.
Le site de la Cinémathèque de Berlin

France 2 : "Télématin" du 06 janvier 2010

Exposition Romy Schneider à Berlin

Parcours d’une icône du cinéma
Cette exposition dédiée à Romy Schneider dépeint le parcours artistique de cette icône du cinéma, jusqu’à sa mort en 1982 à Paris. Ce parcours de photographies, extraits de films et installations organisé par la cinémathèque de Berlin, s’étend sur plus de 450m² dans l’enceinte du musée, livrant un vibrant hommage à l’actrice.

Jusqu’au 30 Mai 2010
Deutsche Kinemathek – Museum für Film und Fernsehen
Potsdamer Straße 2 - 10785 Berlin (Allemagne)
Tel. : +49-30-300 903-0
[email protected]
www.deutsche-kinemathek.de

NDLR : William Leymergie dit une phrase que j'ai trouvé très jolie à la fin du reportage : "Romy Schneider était belle en 3D : vous pouvez faire tout le tour, ça marche à tous les coups..."

Info intéressante du reportage : Il est possible que l'exposition vienne à Paris !

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Source : Midi Libre - 08 janvier 2010

Les retrouvailles de Berlin et Romy Schneider

Une exposition réhabilite Romy Schneider dans une Allemagne jamais remise du départ de sa Sissi chérie... Romy a quinze ans lorsque sa mère, en 1953, lui fait effectuer sa première apparition au cinéma. Magda Schneider est alors une grande vedette, très populaire, du cinéma allemand qui a été découverte par le cinéaste Ernst Marischka, futur réalisateur de la série des Sissi.

Pour le film "Lilas blancs", il faut une fille à l'héroïne. Maman Magda propose la sienne, Rosemaria Magdalena née en 1938 à Vienne en Autriche. D'emblée, l'adolescente, fraîche comme un rhume de coeur, fait excellente impression sur les spectateurs d'outre-Rhin qui l'adorent et l'installent dans leurs admirations. Au générique, la demoiselle porte le nom de sa mère, accolé à celui de son père, Albach, qu'elle abandonnera par la suite.

Grâce à cette bluette et à celles qui vont suivre, la petite Romy devient vite l'idole chérie du public germanique. Et les tribulations de Sissi la couronnent à travers toute l'Europe. A la Cinémathèque de Berlin, une exposition, ouverte jusqu'au 31 mai prochain, raconte les années Romy Schneider. Elle évoque les émotions, rires et larmes mêlés, que suscita chez chacun d'entre nous cette actrice qui, hors des normes, donnait des palpitations à la pellicule. Sur 400 mètres carrés, l'événement consacre les retrouvailles de la comédienne avec son pays.

Chacun ne sait pas qu'à la suite de "Sissi face à son destin", troisième film de la série, Romy refusa avec obstination d'en tourner un quatrième. Non qu'elle n'aima point les épisodes, mais elle souhaitait passer à autre chose, montrer d'autres aspects de son talent. Trois, c'était bien, mais quatre, cela aurait été trop.

Au grand désappointement de ses admirateurs qui finirent par s'en montrer furieux, Romy partit travailler en France, rencontra Delon et ne revint jamais tourner en Allemagne. Une sorte de longue bouderie s'était donc installée. Et voir, aujourd'hui, à Berlin, le musée du cinéma qui consacre trois salles à la carrière de Romy ravit et émeut.

La vie personnelle de la comédienne est volontairement ignorée mais, d'une pièce l'autre, sont montrés et racontés les débuts de carrière dans le cinéma allemand, puis la continuation en France et enfin la fascination exercée par l'aura de "Sissi". Vienne, Berlin, Paris sont les villes concernées par l'exposition alors que Rome, Londres et Hollywood sont passées sous silence.

Sarah Biasini, d'abord réticente à l'idée d'une manifestation étalant la vie de sa mère, a envoyé les deux César gagnés en France, des collectionneurs privés ont prêté des tenues, essentiellement des tailleurs, confectionnés par Coco Chanel. Il y a des lettres, des portraits, des affiches. Refusant l'émotion facile, s'attachant à retracer un parcours dramatique, dans le meilleur sens du terme, l'expo se révèle, pour un spectateur français, instructive à l'extrême. On y découvre le visage poupin d'une enfant de la balle qui évolue au fil des années, s'affine, perd ses bonnes joues rondes et un peu de sa blondeur naturelle. On voit clairement la papillonne sortir de sa chrysalide.

D'une grande richesse, la partie allemande de cette célébration est palpitante car elle demeure la plus mal connue. Les images de ses premiers films, de ses soirées et de ses sorties familiales sont, maintenant, de véritables documents. Les romances sentimentales de Romy, notamment avec le jeune et félin Horst Buchholz, l'un des Sept mercenaires qui campa également Marco Polo et Cervantès, font partie de l'Histoire.

Jamais encore les plans de travail du tournage de ses films, les lettres avec ses producteurs, les clichés-souvenirs, une robe immaculée de Sissi collée à une robe noire de l'impératrice Elizabeth d'Autriche n'avaient été présentées en public. La France, où l'exposition viendra faire un tour l'an prochain, découvrira l'accent d'outre-Rhin d'une créature de rêve qui leur fit croire, après des années de guerre et d'horreur, à la réconciliation profonde et touchante de deux nations découvrant, grâce à Romy, pardon et rédemption.

Henry-Jean SERVAT

Dominique Warluzel perce la carapace d’Alain Delon

Source : 20 minutes.ch - 15 décemnbre 2009

L’avocat cinéphile se fait accoucheur de confidences et lance, mercredi, sa série d’entretiens avec l’acteur de «La piscine».

«Dans mon cinéma», à 22h55 sur TSR1, suivi de «La piscine» à 23h50.

On a tous une opinion faussée sur Delon. Pour les uns, il est à l’image de son Guignol de l’Info, celle d’ un homme imbu de lui-même, parlant de lui à la troisième personne. Pour les autres, il est quasi un facho, coupable d’avoir des idées trop à droite et d’avoir donné l’accolade à Jean-Marie Le Pen. Pour certains enfin, il est un riche homme d’affaires qui a perdu tout contact avec le commun des mortels.

Le premier mérite de la nouvelle émission de Dominique Warluzel – intitulée «Dans mon cinéma» – est d’effacer toutes les étiquettes définitives qu’on a collées sur Delon. Mercredi, dans ce premier rendez-vous d’une série de six – suivront Claudia Cardinale, Christophe Lambert, Mireille Darc, Nathalie Baye et Robert Hossein –, on redécouvre tout simplement l’acteur et l’homme.

Grâce à la réalisation épurée de Raymond Vouillamoz, on entre dans l’intimité d’Alain Delon, on effleure sa sensibilité à fleur de peau, on est touché par son chagrin toujours aussi présent, vingt-sept ans après la mort de Romy Schneider. On est enfin ému par l’homme, plus précisément par le père, qui reconnaît par exemple son fils aîné, ­Anthony, quand il se revoit dans un extrait de «Deux hommes dans la ville», ou qui dit l’amour qu’il a pour sa progéniture. Tel est le principe de «Dans mon cinéma»: chaque artiste choisit de revoir et de commenter six films dans lesquels il a tourné, et six autres, dont il est absent, mais qui, à un titre ou un autre, l’ont marqué.

Chacune des émissions sera suivie d’un film dans lequel joue l’acteur interrogé par Dominique Warluzel. Mercredi, on prendra donc un bain de minuit avec «La piscine», film où la passion flamboyante de Delon et Romy Schneider enflammait l’écran.

par Pascal Pellegrino

TF1 - 04 décembre 2009 - Emission "Le grand duel des générations"

Nikos Aliagas présente "Le grand duel des générations" sur TF1 le vendredi 04 décembre 2009 à 20h40 avec "les années 60 contre les années 80" pour ce premier prime inédit.

Pour ce premier prime et premier round, Nikos Aliagas arbitrera le duel entre les années 60 et les années 80 !

Dans le camps des années 60 : Les Yéyés, Marilyn Monroe, Brigitte Bardot, Johnny Hallyday & Sylvie Vartan, Les Jackson 5, Le Petit Conservatoire de Mireille, la Dolce Vita, Alain Delon & Romy Schneider, Louis de Funès, la mini jupe...

Dans le camp des années 80 : Sophie Marceau et "La boum", Sacrée Soirée, Champs Elysées, le CD, le vidéo-clip, Madonna, whitney Houston, Georges Michaël, Dallas, Dorothée, le rubik's cube...

Vous êtes plutôt yéyé ou 80 ? Les artistes phares de ces années viendront se produire sur le plateau du Grand Duel des Générations : Hugues Zufray, Sabrina et son célèbre "Boys Boys Boys", Julie Pietri interprètera "Eve, lève toi", tube mythique des années 80, les Rabbeats viendront interpréter les plus grands succès des Beatles et biens d'autres surprises !

Quelle décennie remportera le Grand Duel des Génération ? Chaque semaine, les différentes générations s'affronteront sur le plateau. Les deux meilleurs décennies s'affronteront lors d'une finale exceptionnelle !

Un jour, un destin...

Source : Le Parisien & Télé 7 jours.fr - 25 mars 2009

Selon Le Parisien, Laurent Delahousse reviendra présenter cet été sur France 2 son magazine de portraits de personnalités.

Lancé à l'été 2007 sur France 2, le magazine "Un jour, un destin" reviendra cet été pour une 3e saison inédite.

Toujours présentée par le journaliste du 13h Laurent Delahousse, l'émission dressera cette année les portraits de l'actrice austro-allemande Romy Schneider, de l'ex-candidate à la présidence de la république et du PS Ségolène Royal et du chanteur français Serge Gainsbourg.

8 nouveaux numéros seront diffusés comme chaque année en seconde partie de soirée. Un seul prime exceptionnel verra le jour.

Sauvages Seventies (série documentaire)

Source : Arte.tv - 31 juillet 2008

Sexualité, luttes politiques, modes de vie : en cinq icônes (Sylvia Kristel, Bob Marley, Romy Schneider, Docteur Spock de Star trek, Freddy Mercury) et cinq épisodes, Sauvages seventies raconte l'extraordinaire épopée d'une génération au rythme des tubes de l'époque (de Led Zep aux Sex Pistols). La BO d'une folle décennie, à suivre du lundi 04 au vendredi 08 août à 20h15.

Sylvia Kristel (Emmanuelle) en héroïne de la libération sexuelle, Bob Marley en prince de la contestation, Romy Schneider en modèle de femme indépendante, Docteur Spock (Star trek) en symbole futuriste, Freddy Mercury (Queen) en précurseur du mouvement queer : à partir de ces cinq figures, devenues en leur temps planétaires, Emmanuelle Nobécourt et Didier Varrod racontent la révolution culturelle des seventies à coups d'images pop flamboyantes et militantes, d'extraits de films cultes et de concerts hot. Au fil des archives, Daniel Cohn-Bendit, Amanda Lear, Bernardo Bertolucci, Hanna Schygulla, Romain Goupil, Patrick Eudeline, Philippe Stark et quelques autres témoins commentent les transformations irréversibles qui ont marqué ces années furieusement créatives et agitées, années de l'avant-sida où l'"on voulait dire 'nous' au lieu de 'moi'" (Hanna Schygulla). De peace and love à no future, un voyage dans le temps qui procure un délicieux frisson.

3e partie : Enfin femmes !
Diffusions le 06/08/08 à 20h15 - le 23/08/08 à 15h30 - le 27/08/08 à 16h50.
De Sissi l'impératrice à Rosalie (dans César et Rosalie de Claude Sautet), l'évolution des rôles de Romy Schneider est emblématique du parcours des femmes vers l'émancipation. Remise en cause du couple, droit à l'avortement, activisme : retour sur les luttes féministes avec Alice Schwarzer, Elisabeth Lebovici, Nina Hagen...

Hommage à Romy sur Arte

ARTE rendra hommage à Romy Schneider en septembre prochain. Elle aurait fêté ses 70 ans le 23 septembre 2008. Une Soirée Thema exceptionnelle lui sera consacrée, le dimanche 21 septembre avec un film (co-produit par Studio Canal et ARTE) de Frederic Backer (réalisateur austro-anglais de nombreuses fois récompensé) "Romy Schneider, une femme en trois notes".

C’est un portrait inédit et singulier de l’une des plus grandes stars du cinéma – charismatique, élégante et populaire – avec des extraits d’archives et des témoignages inédits de ses proches, célèbres ou moins connus ainsi que ceux de la jeune génération de comédiennes – dont plusieurs ont été récompensées par le Prix Romy-Schneider

Les derniers jours de... Romy Schneider

Première diffusion TV : samedi 12 janvier 2008 à 14 h
Durée : 52'
Réalisation : Bertrand Tessier
Production : France 5 / Sunset Presse
Année : 2007

Pour visionner la vidéo : cliquez ici

Un documentaire lève le voile sur les derniers mois de Romy Schneider
Source : Cyberpress.ca - 11 janvier 2008

Plus de 25 ans après la mort de Romy Schneider, un documentaire du journaliste Bertrand Tessier diffusé ce week-end en France lève le voile sur les derniers mois, tragiques, de la vie de l'actrice.

«Chacun sait que depuis juillet 1981, où elle perdit son fils David dans des circonstances dramatiques, Romy semblait vivre une descente aux enfers, mais la réalité a souvent dépassé la fiction», a expliqué à l'Associated Press Bertrand Tessier.

Le réalisateur donne la parole dans son documentaire à des proches et collaborateurs de l'actrice décédée le 29 mai 1982, à l'âge de 44 ans.

Les derniers mois de la vie de l'inoubliable interprète du Vieux fusil, des Choses de la vie ou de César et Rosalie furent marqués par de graves revers de santé. Alors qu'elle se préparait au rôle de La passante du sans-souci, qu'elle avait elle-même choisi après avoir lu le roman éponyme de Joseph Kessel, elle se brisa une cheville au cours d'une séance photo pour la presse allemande.

Cela retarda le projet, déjà difficile à monter. Réalisé par Jacques Rouffio, le film, le dernier de Romy Schneider, fut tourné à Berlin. Une ville que l'actrice détestait, furieuse et honteuse qu'on l'ait souvent surnommée «La Boche», elle qui était autrichienne.

Quelques semaines plus tard, Romy Schneider subit d'urgence l'ablation d'un rein, suite à une tumeur. Mais elle refusa d'être remplacée au pied levé par Hanna Schygulla, qu'avaient fini par lui préférer les producteurs. Elle persévèra et tourna le film, sorti en avril 1982, quelque semaines avant sa mort.

Les proches et membres de l'entourage professionnel de l'actrice interrogés dans le documentaire expliquent comment l'actrice toucha le fond, entre alcool, dépression et médicaments comme le Captagon, un puissant psychostimulant autorisé à l'époque.

La mort de Romy Schneider empêcha son retour prévu sur les écrans au côté d'Alain Delon, «l'homme de sa vie».

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Emission sur Romy Schneider
Source : Oldi blog - 11 janvier 2008

Romy Schneider n'avait pas 44 ans quand elle s'est éteinte, en 1982, à Paris. Suicide, surdose de médicaments, crise cardiaque ? Sa mort a fait couler beaucoup d'encre. Les Derniers Jours de… reviennent sur l'année la plus sombre de Romy Schneider et sur ses ultimes instants.

Romy Schneider a disparu le 28 mai 1982. Mais pour son biographe, Michael Jürgs, elle est véritablement morte un an plus tôt, le jour du décès accidentel de son fils, David.

Pour le journaliste, la date fatidique du 5 juillet 1981 a marqué le début de la lente et inexorable descente aux enfers de l’actrice, totalement anéantie par la perte de son enfant, le véritable "amour de sa vie". Elle a cru que l'alcool et les substances illicites l'aideraient à surmonter son chagrin. Mais sa peine s'est transformée en un immense désespoir que rien ni personne - pas même sa fille Sarah ou son nouveau compagnon, Laurent Pétin - n'ont pu chasser.

Lorsque Romy Schneider apprend que son fils n'a pas survécu à ses blessures, "il n'y a pas eu d’éclats de voix, il n'y a pas eu d'hystérie, il n'y a pas eu d'effondrement physique, se souvient Thierry Montariol, le chirurgien qui a opéré le jeune garçon. Il y a simplement eu l'impression que ce n'était pas elle qui s’écroulait. C’est le monde qui s'écroulait autour d'elle."

En 1979, elle enterrait son ex-mari, Harry Meyen, le père de David. En 1981, elle suit le cercueil de leur enfant… Romy s'éloigne ; Romy s'absente. La Passante du Sans-Souci la pousse néanmoins à se dépasser. Après avoir dû reporter le tournage du long-métrage à la suite d'une fracture de la cheville au mois de mars et d'une ablation du rein en avril, elle est contrainte de jouer malgré tout.

"Je suis convaincu que si elle n'avait pas fait ce film, elle serait partie avant. Non seulement ça l'a aidée, mais ça lui a permis de survivre", analyse Raymond Danon, le producteur de cette adaptation du livre de Joseph Kessel. Sur le plateau, sa fragilité impressionne. Alors qu'elle tourne une scène avec Wendelin Werner, le jeune héros du film, la réalité se mêle à la fiction. Face à cet adolescent qui a l'âge de David, elle ne peut s'empêcher de pleurer son fils regretté.

L'arrivée de Laurent Pétin dans son existence semble pourtant lui redonner peu à peu le goût de vivre. Ils achètent une maison à Boissy-sans-Avoir, dans les Yvelines. Ils semblent heureux.

La veille de sa mort, Romy parle de ses projets à son agent, à un photographe. Elle sort dîner chez des amis avec Laurent. En rentrant, elle s'installe à son bureau pour écrire une lettre à une journaliste. Elle ne la finira pas. Au petit matin, Laurent Pétin la découvre inanimée.

Isabelle Ducrocq

Les 20 destins brisés... - 09 janvier 2008

... que les français n'oublieront pas

Il est des stars dont le destin reste à jamais gravé dans la mémoire des Français. Fauchées en plein vol par la maladie, meurtries par une solitude trop difficile à assumer, poursuivies sans relâche par des paparazzi sans scrupules, certaines vedettes s'en sont en allées trop tôt, au grand désespoir de tous. Alessandra Sublet et Bernard de la Villardière évoquent avec émotion ces destinées brisées. Au sommaire de l'émission diffusée sur M6 :

• Rencontre avec Kathleen, la dernière compagne de Claude François
• Témoignage de Mark Chapman, l'assassin de John Lennon
• L'incroyable force de vie de Grégory Lemarchal
• La solitude de Marilyn Monroe
• Romy Schneider et les paparazzi
• Evocation de la mort d'Elvis Presley par sa fille, Lisa Marie Presley

Article Yahoo : "Brèves Télévision : Le zapping de la semaine" :

Romy Schneider "chassée à mort par les photographes". Après la mort atroce de son fils adulé, empalé sur la grille du jardin de ses grands-parents à seulement 14 ans, les paparazzi ont traqué l'actrice ivre de chagrin. Un documentaire inédit retrace la fuite en avant de l'exquise Romy pendant les dix mois qui se sont écoulés entre cet événement tragique et sa mort, fin mai 1982, à même pas 44 ans. Alcool, tabac, barbituriques, drogues, l'actrice au visage d'ange et aux yeux de biche, éperdue, a tout essayé pour supporter son désespoir, même le tournage impossible de "La passante du Sans-souci", son dernier film, adapté du roman de Joseph Kessel.

NDLR : Voici l'extrait consacré à Romy (8'38)

La dernière cigarette - 07 janvier 2007

Alors qu'entre en vigueur le 1er janvier 2008 l'interdiction totale de fumer dans les lieux publics, Christophe Hondelatte présente une émission spéciale intitulée «La dernière cigarette», sur France 3.

Plongeant une nouvelle fois dans les archives du petit écran, le présentateur poursuit son travail de mémoire en se penchant sur la place du tabac à la télévision. Des plus grands acteurs aux présidents, la sèche s’est accrochée aux lèvres les plus prestigieuses, s’affichant sans honte avant d’être radicalement bannie. Et de partir en fumée…

Entouré de Frédéric Mitterrand, du psychanaliste Philippe Grimbert, Sanseverino, Fellag et Guy Bedos, Christophe Hondelatte tente, avec humour, de comprendre à travers des images restées cultes, comment la planète entière s'est plue à devenir dépendante à la nicotine. Il revisite les scènes les plus enfumées de la télévision, du cinéma, de la publicité et se souvient des personnages les plus accros à la nicotine : de Romy Schneider à Yves Montand, de Jeanne Moreau à Georges Pompidou, de Jean-Luc Godard à Serge Gainsbourg... Il retrouve les chansons populaires liées à la cigarette et nous fait rire avec les plus grands humoristes qui ont été inspirés par le tabac. Puis, il nous décrit la prise de conscience progressive des méfaits de la cigarette tant sur le fumeur que sur son entourage et la véritable guerre contre le tabac qui s'est engagée. Des timides premières campagnes de prévention aux lois actuelles, la cigarette est peu à peu devenue indésirable et les fumeurs, de héros sont souvent devenus des parias.

NDLR : Voici les quelques images consacrées à Romy (0'42)...

Télématin - France 2 - 28 décembre 2007

NDLR : Romy évoquée dans cette émission à l'occasion de la sortie du livre de Johannes Thiele
Source : blog de Télématin

Dans la peau de... Romy Schneider

De son vrai nom, Rosemarie Magdalena Albach-Retty, Romy Schneider naît le 23 septembre 1938 à 22 h 05 à Vienne, en Autriche. Son père, l'acteur autrichien Wolfgang Albach est le fils d'un officier impérial, Karl Albach, et de la comédienne Rosa Retty. Sa mère, l'actrice allemande Magda Schneider, née à Augsbourg en Souabe est la fille de Maria Schneider. Le prénom de baptême de Romy, Rosemarie, est en fait l'association des prénoms de ses deux grands-mères, Rosa et Maria. En 1940 naît Wolfgang Dieter Albach, petit-frère de Romy qui exercera plus tard la profession de chirurgien.

En octobre 1938, la famille Albach déménage de la capitale autrichienne et s'installe à Schönau, près de Berchtesgaden, où la grand-mère Maria Schneider prend soin de Romy. En 1943, Wolf et Magda décident de se séparer, et ils divorceront en 1945, ce qui laissera Romy assez perturbée. Romy vit alors avec sa mère. Elle entre à l'école primaire de Berchtesgaden en 1944, alors que son père s'installe avec l'actrice Trude Marlen.

En 1945, elle entre au pensionnat Goldenstein près de Salzbourg, qu'elle fréquentera jusqu'en 1953, année où elle obtiendra son Mittlere Reife (équivalent du BEPC). Après le remariage de sa mère en 1953 avec le restaurateur Hans-Herbert Blatzheim (qui aurait porté un intérêt malsain à sa belle-fille), Romy s'inscrit à l'École des Beaux-Arts de Cologne.

À l'époque sur le tournage de Lilas blancs, Magda Schneider a besoin de quelqu'un pour interpréter sa fille, et pense tout naturellement à sa propre fille. Elle joue donc son premier rôle sous le nom de Romy Schneider Albach, et commence à être demandée par plusieurs réalisateurs. Dès 1953, Magda décide donc de prendre en charge la carrière naissante de sa fille, qui prend définitivement le pseudonyme de Romy Schneider. Magda imposera ainsi souvent aux réalisateurs de jouer avec sa fille, et interdira à Romy de signer le contrat que Kirk Douglas lui propose en 1957. La jeune femme se rebelle alors et décide de choisir dorénavant elle-même ses rôles.

En 1956, elle fréquente brièvement Toni Sailer, le triple champion du monde de ski alpin. Entre 1956 et 1957, elle entretient une relation avec l'acteur Horst Buchholz, mais tous deux finiront par s'éloigner.

En 1958, sur le tournage de "Christine", Romy rencontre le jeune et séduisant Alain Delon. Ils tombent amoureux l'un de l'autre et célèbrent leurs fiançailles officielles le 22 mars 1959 devant la presse internationale. Romy part alors s'installer avec lui à Paris.

En 1963, elle reçoit l'Etoile de Cristal de l'Académie du Cinéma pour sa prestation dans Le Procès. La Columbia lui offre alors un contrat de sept ans, et Romy s'installe temporairement aux États-Unis. En 1963, après cinq ans de passion orageuse, Alain Delon la quitte pour Nathalie Canovas, enceinte de leur fils Anthony.

En juin 1964, Romy obtient la Victoire du Cinéma Français, récompensant la meilleure actrice étrangère de l'année.

Le 1er avril 1965, à l'occasion de l'inauguration du restaurant Blatzheim à l'Europa-Center de Berlin-Ouest, elle rencontre l'acteur et metteur en scène de théâtre berlinois Harry Meyen. Tous deux se marient le 15 juillet 1966 à Saint-Jean-Cap-Ferrat — Romy est déjà enceinte de cinq mois — et s'installent ensemble à Berlin-Grunewald. Le 3 décembre, elle donne naissance à son premier enfant, David Christopher Meyen (Meyen n'étant que le pseudonyme de son père, David s'appelle en réalité Haubenstock, comme le mentionne son état civil).

Le 21 février 1967, Wolfgang Albach — le père de Romy — décède à Vienne.

En 1972, elle se sépare de son époux Harry. Le divorce sera prononcé le 5 juillet 1975 à Berlin-Ouest en l'absence des deux intéressés. Le 18 décembre de la même année, elle épouse son secrétaire Daniel Biasini. Après avoir perdu un premier enfant en 1976, Romy accouche prématurément d'une fille, Sarah Magdalena Biasini le 21 juillet 1977 à Gassin, dans le Var.

Le 15 avril 1979, son ex-mari Harry Meyen met fin à ses jours à Hambourg ; très affectée, Romy rentre d'Acapulco pour assister à l'enterrement.

Après avoir demandé le divorce en février 1981, elle subit l'ablation d'un rein, puis rencontre Laurent Petin, producteur célibataire plus jeune qu'elle, avec lequel elle passera les derniers mois de sa vie.

Le 5 juillet 1981, son fils David meurt brutalement dans un accident tragique, à l’âge de quatorze ans : en escaladant la grille des parents de son beau-père Daniel Biasini (chez lesquels il passait ses vacances), il s'empale sur une pointe d'acier et succombe d'une perforation intestinale.

Anéantie et détruite, Romy (déjà grande fumeuse) tente de noyer son chagrin dans l'alcool. Le 29 mai 1982, Romy Schneider est retrouvée morte dans son appartement de Paris. Aucune autopsie n'ayant été pratiquée, on ne sait toujours pas si elle a succombé à une crise cardiaque ou si elle s'est donnée la mort en mélangeant alcool et barbituriques.

Elle sera inhumée le 2 juin 1982 au cimetière de Boissy-sans-Avoir, auprès de son fils chéri. À celle dont il dit qu'elle est le plus grand amour de sa vie, Alain Delon, présent, écrira sur un bout de papier : «Tu n'as jamais été aussi belle, tu vois j'ai appris quelques mots d'allemand pour toi : Ich liebe dich meine Liebe.» (Traduction : Je t'aime mon amour / ma chérie).

Durant sa carrière, Romy Schneider remporta deux Césars de la meilleure actrice : le premier en 1974 pour "L'Important c'est d'aimer d'Andrzej" Zulawski et le second en 1978 pour"Une histoire simple" de Claude Sautet.

Les 20 Destins brisés...

...que les Français n'oublieront pas.

(c) Photo Eric Fougère - M6
Diffusion TV : 09 janvier 2008 sur M6 à 20h50. Avec une présentation de Bernard de la Villardière et Alessandra Sublet :

20 stars, jeunes, talentueuses, qui nous ont tous fait rêver.

20 stars qui paraissaient intouchables mais dont le destin en a décidé autrement. Nous n’oublierons jamais l’annonce de leur disparition. Ce soir, vous allez revivre ces journées comme si vous y étiez, vous allez ressentir ces instants à jamais gravés dans nos mémoires…

Parce que ces journées-là, tous, nous nous sommes sentis unis et solidaires…

Grâce à des images fortes, vous allez découvrir heure par heure ce qui s’est passé avant, pendant et juste après le drame, avec l’annonce faite dans les médias. Vous verrez comment les Français ont réagi pour témoigner leur solidarité.

Vous découvrirez par exemple :

• Le témoignage très émouvant de Kathleen, la dernière compagne de Claude François qui raconte comment elle a tenté de sauver l’idole des Français.

• Le témoignage saisissant de Mark Chapman, l’assassin de John Lennon qui explique son geste fou.

• Les témoignages poignants des proches de Grégory Lemarchal qui parlent de l’incroyable force de vie de Grégory.

• L’incroyable solitude de Marylin Monroe jusqu’au-delà de sa mort puisque personne n’a réclamé son corps à la morgue pendant trois jours.

• Le témoignage bouleversant de Romy Schneider face aux paparazzi sans scrupules qui l’ont harcelé lors de la mort de son fils David.

• Le témoignage de Lisa Marie Presley, la fille d’Elvis Presley, qui raconte comment elle est restée trois jours au chevet de son père décédé.

Ce soir, préparez-vous à passer une soirée inoubliable.

Vous allez retrouver les 20 stars aux destins brisés que les Français n’oublieront jamais. Et grâce à eux, une nouvelle fois, nous allons nous sentir plus unis que jamais…

Source : Le blog TV News.com - 17 décembre 2007

NDLR : Ne vous y trompez pas, il s'agira (sans aucun doute possible) d'une énième rediffusion (tronquée) de l'émission Tv de Michel Drucker d'avril 1982...

Vivolta : les programmes de cette nouvelle chaîne

La chaîne Vivolta est à l'antenne ce matin dès 08 h 30 sur le canal 50 de Canalsat et sur le canal 36 ou 38 (selon les villes) de Numéricable. Philippe Gildas est le président de Vivolta.

Selon lui, cette chaîne "indépendante et innovante" -et déclinée sur internet- défendra une certaine idée de la vie, celle des "boomers". "La génération des grands combats et des bouleversements de la société, du militantisme politique, de la chute du mur de Berlin, en passant par le rock ou la révolution sexuelle..." Triptyque fondateur de Vivolta, selon Gildas : informer, distraire, partager.

"Avec un regard critique et un ton incisif". Le directeur général de la chaîne est Gaspard de Chavagnac. Il souligne que le site Vivolta.com a pour ambition de devenir une offre média à part entière. "Complément de l'antenne sur les thématiques Art de vivre, le site sera également, de manière évolutive, un site communautaire et tourné vers les services".

Les programmes :

Le magazine quotidien d'actualité :
Autour de Philippe Gildas, on retrouvera Jérôme Bonaldi (actu, vie pratique, objets), Laure Michel (Culture, loisirs), Vincent Ferniot (jardin, gastronomie), Anette Burgdorf (activités, engagement). Deux invités seront sur le plateau : le premier en "fil rouge", le second sera spécialiste du thème consacré au dossier du jour. Magazine de 80 minutes, diffusé du lundi au vendredi à 8h45. Rediffusions à 18h00 et 22h30. Production Télévista.

Les Dossiers Pradel :
Un rendez-vous quotidien pour celui qui a également une longue tranche matinale sur Europe 1 ! Seront traités : histoire, culture, faits de société, sciences, voyages, aventure...Un documentaire de 52 minutes ouvrira chaque jour Les Dossiers Pradel. Il sera suivi d'un talk d'environ une heure, animé par Jacques Pradel, accompagné de spécialistes. Parmi les premiers thèmes : Effet de serre, près de nous le déluge ; Faits divers à la une ; Capitaine Tabarly ; Picasso érotique ; Un abbé nommé Pierre ; La guerre du Nil aura-t-elle lieu ? Diffusion du lundi au vendredi à 15 h 00 (1 heure 45) et à 19 h 45 (50 minutes). Production Télévista.

Bien-être, le mag :
Un magazine de bien-être de 40 minutes et centré sur huit thèmes : santé, sport, psychologie, mode, beauté, relaxation, diététique, sexualité.Marie-Ange Nardi présentera cette émission chaque semaine, avec des invités sur le plateau (invités experts...).Première diffusion le mercredi à 12h30. Production 17 Juin Prod.

Argent et patrimoine, le mag :
Apprendre à bien et mieux gérer son patrimoine, avec Jean-Pierre Gaillard.Magazine hebdomadaire de 40 minutes. Première diffusion le lundi à 12 h 30. Production 13 Juin Prod.

Temps libre, le mag :
Vincent Ferniot animera ce magazine hebdomadaire, construit autour de ces thèmes : voyages, décoration, bricolage, engagement, formation, sports, loisirs, hobbies. Reportages en images et chroniques récurrentes. Deux invités reçus à chaque émission. Parmi les premiers sujets : ouvrir une chambre d'hôtes, mettez vous au slam, la passion de chiner, joggings culturels à Paris... Première diffusion le vendredi à 12 h 30. Production 13 Juin prod.

Cinéma et fiction :
Trois fois par semaine, en première partie de soirée."Mon cinéma" le lundi à 20h45. En décembre - janvier, les "grandes gueules du cinéma français" : Fernandel, Serrault, Poiret, Yanne, Francis Blanche, Luis Mariano, Jacques Dutronc, Jean-Pierre Marielle. En février, les "géants du western". En mars, les "divas du 7eme art" : Deneuve, Bardot, Mireille Darc, Romy Schneider. Spécial "assassins" en avril et humour en mai avec Darry Cowl, John Landis, Michel Galabru.

"Polar en série" le mardi à 20h45 :
En décembre, "Président Ferrare", avec Brialy (3 x 90 minutes). En janvier, Kavanagh saison 1. Puis Coroner Da Vinci saison 1. "Prestige en série" le vendredi à 20h45. En décembre, le comte de Monte Cristo, version Josée Dayan. Début 2008, Arsène Lupin avec Georges Descrières (26 épisodes). Puis les Steenfort, maîtres de l'orge (3 épisodes) et Un pique-nique chez Osiris (Nina Companez).

Histoire en doc :
Le dimanche à 20h45. Pour débuter, "L'ennemi intime", de Patrick Rotman. Puis la série Palais d'Europe. En janvier, spécial Alexandrie, avec trois documentaires. En février, Génération, puis en mars, histoire du féminisme.

Découvertes :
Le jeudi à 20h45. Pour débuter, une série de quatre docs sur les détroits (Malacca, Magelllan, Ormuz, Bering) ; puis Des trains pas comme les autres, Africa Trek, Terra Antartica, Sur les traces de la reine de Saba...

Source : Télésatellite.com

Schaufenster in die Welt der Stars und Sternchen

Source : Welt on line du 1er décembre 2007

Vor 50 Jahren wurde die „Aktuelle Schaubude" erstmals ausgestrahlt. Dank des legendären Moderators Werner Baecker wurde sie schnell zu einer der beliebtesten Sendungen des NDR.

Romy Schneider mit Moderator Werner Baecker in einer

Sendung der "Aktuellen Schaubude" von 1959. Damals

stellte die Schauspielerin ihren neuen Film "Die Halbzarte" vor.

Zwei NDR-Journalisten reisten, jeder für sich, Mitte der 50er-Jahre durch Amerika, um sich über das Zukunftsmedium Fernsehen zu informieren. Beide waren in New York gleichermaßen fasziniert von Dave Garroways Schaufenster-Sendung „Today's Show“. Der eine dieser beiden TV-Touristen war Rüdiger Proske, den NDR-Intendant Walter Hilpert mit dem Aufbau des Regionalfernsehens beauftragt hatte. Der andere war Werner Baecker, der aus dem Hörfunk kam. Proske beschloss: „So etwas machen wir auch in Hamburg.“ Und Werner Baecker wurde der brillante Partner, der diese Idee umsetzte. Der Titel war rasch gefunden: „Die aktuelle Schaubude“.

Baecker scheute keine Experimente
So kam es, dass in der Dammtorstraße, direkt gegenüber der Hamburger Staatsoper, ebenfalls eine Schaufenster-Sendung produziert wurde – zum ersten Mal am 7.Dezember 1957 um 18.45 Uhr, direkt aus dem dafür leer geräumten Autohaus Dello. Von dort meldete sich Werner Baecker live, während sich draußen vor den großen Glasscheiben die Zuschauer drängten, um hautnah mitzuerleben, wie so eine Sendung gemacht wurde.
Baecker legte großen Wert auf diese Unmittelbarkeit der „Schaubude“ und scheute auch keine Experimente, wenn sie durchdacht und kalkulierbar waren. Die Premierensendung war, wen konnte das wundern, noch etwas holperig. Sie begann mit einer Viertelstunde Verspätung, geriet dadurch unter großen Zeitdruck, und die Interviews hinterließen einen etwas hektischen Gesamteindruck: Befragt wurden ein alter Seemann, ein Hauptmann der Bundeswehr, Polizeipräsident Bruno Georges und eine gewisse Elisabeth Müller, von Beruf Filmschauspielerin. Für die Musik sorgte eine schmissige US-Band. Draußen stand der Reporter Werner Buttstädt und befragte die Zuschauer, wie sie das fanden, was sie sahen und hörten.

Das waren die Anfänge
Die Sendung, die stets am Sonnabend lief, kam schnell aus den Kinderschuhen heraus, wurde routinierter und immer beliebter. Nach dem ersten Jahr konnte Werner Baecker eine stolze Bilanz ziehen: „Natürlich haben wir uns vor einem Jahr gewünscht, möglichst bald zur Familie eines jeden Fernsehzuschauers zu gehören. Aber wir haben auch gewusst, dass wir diese Freundschaft nur gewinnen können, wenn jeder spürt, dass alles, was er zu Hause sieht, ohne Tricks in genau diesem Augenblick im Studio passiert. Unsere Zuschauer auf der Straße sollen deshalb nicht nur einen Blick hinter die Kulissen des Fernsehens tun, sondern sie können und sollen gleichzeitig unsere Arbeit kontrollieren und bei unserer Sendung mitwirken!“
Mehr Zuschauernähe war nicht möglich, und Werner Baecker nahm dafür das Pannenrisiko in Kauf. Wenn es also darum ging, die Dompteuse Herta Fosset zu interviewen, dann bestand er darauf, dass diese Dame nicht etwa solo kam, sondern ihren Elefanten mitbrachte.
Ein weiterer Grund für den Erfolg der „Schaubude“ war, dass es sich zwar um eine Regionalsendung handelte – doch ihr Inhalt wurde wesentlich durch die prominenten Hamburg-Besucher aus allen Lebensbereichen bestimmt, die sich gerade in der Stadt aufhielten. Und die kamen eben aus der ganzen Bundesrepublik und aus dem Ausland. Es war ganz wesentlich diese Mischung, die den Charme der Show ausmachte.
Dieser Erfolg war von der Person Werner Baecker nicht zu trennen. 1917 in Wuppertal geboren, hatte er in Rommels Afrika-Korps gekämpft und war 1943 in amerikanische Gefangenschaft geraten. Er hatte diese Zeit für ein journalistisches Fernstudium an der University of Oregon genutzt. 1946 nach Deutschland entlassen, hatte er diese Ausbildung in der Rundfunkschule in Hamburg fortgesetzt.
Anfang 1948 war er dann als politischer Redakteur in den damaligen NWDR eingetreten. Er betreute so populäre Hörfunksendereihen wie die „Umschau am Abend“ und „Zwischen Hamburg und Haiti“, später das Hörfunkmagazin „Echo des Tages“. Für ein Jahr schickte sein Sender ihn 1952 als Austauschredakteur zum Deutschen Dienst der BBC in London. Als Königin Elizabeth II. gekrönt wurde, war er der deutsche Kommentator.

Baecker moderierte bis 1960
Es war sicherlich dieses breite Erfahrungsspektrum, das Baecker zum idealen Moderator machte, als die nunmehr ein halbes Jahrhundert umfassende Geschichte der „Schaubude“ begann. Er prägte sie durch handwerkliche Präzision, Gelassenheit, thematischen Überblick und durch seine Vorliebe für die „weicheren“ Themen. Sich selbst sah er nie als „harten“ politischen Journalisten, obwohl er dieses Metier perfekt beherrschte.
Bis 1960 moderierte Baecker die „Schaubude“. Dann ging er nach New York, in die Stadt, die er liebte. Dort leitete er das ARD-Studio und produzierte über 70 Folgen des überaus populären Fernseh-Magazins „New York, New York“. Werner Baecker, einer der großen Rundfunk- und Fernsehjournalisten der Nachkriegszeit, erlag 1993 in Starnberg einem Krebsleiden.
Als Moderator der „Schaubude“ hatte er zahlreiche Nachfolger: Marie-Louise Steinbauer und Christian Müller, Jürgen Roland, Rüdiger Wolff und Sabine Sauer, Carlheinz Hollmann, Carlo von Tiedemann und Victoria Voncampe, um nur einige zu nennen. Derzeit führen Ludger Abeln und Madeleine Wehle durch die Sendung. Der NDR hat sich bemüht, der auf den Freitagabend verlegten Sendung mit diesem Moderatorenpaar und einem neuen Studio ein verjüngtes Image zu geben. Die „Schaubude“ lohnt es, und sie hat es verdient.

Tournage "Le cardinal" - 1963

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