L'histoire...
1971 - Réalisé par Joseph Losey
Titre anglais : The assassination of Trotsky
Générique: Scénario: Nicolas Mosley, Masolino d'Amico. Dialogues français : Eric Kahane. Directeur photo : Pasquale de Santis (Technicolor). Musique: Egisto Macchi. Décors : Richard MacDonald, Arrigo Equini. Fresques murales : José Clemente Orozco, Diego Rivera. Son: Peter T. Davies. Montage: Réginald Beck. Directeur artistique: Arrigo Equini. Costumes : Pierluigi Basile, Annalisa Nasalli-Rocca. Assistants réalisateurs : Carlo Lastricati, Carlo Cotti. Caméra: Mario Cimini, Henry Tiquet, Marcello Mastrogirolamo. Directeur production: Riccardo Coccia. Producteur exécutif : Josef Shaftel. Producteurs associés : Norman Priggen, Joseph Losey. Distribution: Valoria. Durée : 103 mn. Sortie à Paris : 30 mars 1972.
Distribution: Alain Delon (Frank Jackson), Richard Burton (Léon Trotsky), Romy Schneider (Gita Samuels), Valentina Cortese (Natalia Sedova Trotsky), Jean Desailly (Alfred Rosmer), Simone Val ère (Marguerite Rosmer), Giorgio Albertazzi (commissaire Salazar), Peter Chatel (Otto), Luigi Vanucchi (Ruiz), Duilio del Prete (Felipe), Hunt Powers (Ed), Gianni Lofredo (Sam), Oaudio Brook (Roberto), Pierangelo Civera (Pedro), Carlos Miranda (Sheldon Harte), Mike Forest (Jim), Marco Jucantoni (Seva).
Résumé : Mexico, mai 1940. L'atmosphère dans la capitale du Mexique est tendue, violente à cause de la présence d'un réfugié politique: Léon Trotsky. Cet exilé, ancien leader de la Révolution d'octobre, vit dans une propriété gardée par la police et par quelques volontaires. Un groupe d'hommes, malgré cette surveillance, tente de le tuer mais l'attentat échoue. Un jeune homme au comportement étrange et qui se prétend canadien veut entrer en contact avec Trotsky. Il se nomme Frank Jackson et vient de séduire une amie et secrétaire du champion politique, une certaine Gita Samuels. La jeune femme, éperdument amoureuse de Jackson, remarque cependant des détails inquiétants dans la conduite de son amant et le mystère dont il aime s'entourer la tourmente. Jackson, nerveux, préoccupé, se rend souvent à des rendez-vous secrets. Gita ne parvient pas à percer sa véritable personnalité. Un jour, il finit par la convaincre de lui faire rencontrer Trotsky afin de lui montrer un article qu'il vient de rédiger. Grâce à elle, Jackson peut enfin s'introduire dans la forteresse où se cache le vieux révolutionnaire. Au cours de l'entretien, Jackson se jette soudain sur Trotsky et lui plante un piolet dans le crâne. La victime agonise dans d'atroces souffrances. Jackson est aussitôt immobilisé par les gardiens et arrêté.