De Romy Schneider... à Sarah Biasini

"Journées nationales du livre et du vin" de Saumur - 14 avril 2024

Source : Jean-Pierre Lavoignat - Getty Images - Kevin Elarbi - Teknikart

29e Gala de l’espoir du comité de Paris de la Ligue contre le cancer - 27 novembre 2023

C'était au Théâtre des Champs Elysées, ce lundi, en présence de Sarah Biasini.

Sarah Biasini pour Nice Matin - 03 novembre 2023

Par Camille Dodet

02 novembre 2023 : ouverture du festival "La renaissance fait son cinéma"

Sarah Biasini de sortie ce 19 octobre 2023

Sarah Biasini a assisté à l'avant-première du film "Liggle girl Blue" hier soir à Paris.

Lecture par Sarah Biasini - 11 octobre 2023

Source : Instagram Jean-Pierre Lavoignat

Lecture par Sarah Biasini, Nicolas Maury, Hugues Quester et Laurent Charpentier, de textes écrits spécialement pour eux par Philippe Minyana. 
Librairie "La Friche" (Paris), ce mercredi 11 octobre 2023

Cérémonie de remise des insignes de commandeure de l'ordre national du mérite à Jacqueline Franjou - 04 juillet 2023

Source : PurePeople - 04 juillet 2023

Sarah Biasini : "Ma mère [Romy Schneider] a joué des femmes qui ont fait la différence"

Source : FilmTalk - 05 avril 2023

Sarah Biasini (née en 1977) est une actrice française de théâtre et de cinéma, fille de la légendaire Romy Schneider (1938-1982) et de son second mari, le journaliste Daniel Biasini (né en 1949). Elle est également la petite-fille de l'actrice allemande Magda Schneider (1909-1996) ; cela fait d'elle une actrice de troisième génération dans sa famille.

Elle a d'abord étudié l'art et l'histoire à la Sorbonne à Paris, puis a étudié le théâtre au Lee Strasberg Theatre and Film Institute à Los Angeles, et à l'Actor's Studio à New York.

En tant qu'auteur, elle a écrit "La beauté du ciel" (2021), réfléchissant sur sa mère et déclarant que "ma mère est la beauté du ciel". Elle a écrit le livre à 43 ans, l'âge que sa mère avait lorsqu'elle est décédée après un arrêt cardiaque dans son appartement parisien. A cette époque, Romy Schneider y travaillait et y vivait depuis de nombreuses années et prouvait qu'elle était depuis longtemps sortie de l'univers de barbe à papa des films "Sissi" qui l'ont rendue célèbre dans les années 1950 alors qu'elle n'était encore qu'une adolescente.

Sarah Biasini, désormais actrice à part entière, est invitée à Bruxelles pour présenter l'un des classiques du cinéma français de sa mère, "César et Rosalie" de Claude Sautet (1972), lors d'une rétrospective au Palais du Cinéma où se déroule l'exposition Romy Schneider, qui jusqu'au 25 juin 2023, présente de nombreux objets et souvenirs de sa vie professionnelle et privée.

Mme Biasini et Eric Franssen, directeur général du théâtre, sont apparus sur scène pour présenter le film ; leur conversation, en français, que vous pouvez retrouver ici, a été légèrement modifiée et condensée.

FilmTalk : Pourquoi "César et Rosalie" est-il votre film préféré dans toute l'œuvre de votre mère ?
Sarah Biasini : C'est le film que j'ai le plus vu, et c'est le premier de ses films que j'ai vu en tant qu'adulte. Dans le film, il n'y a ni violence ni sexe ; après avoir vu le film peut-être dix ou quinze fois maintenant, je le connais par cœur. La musique est excellente, les dialogues sont merveilleux et tous les seconds rôles sont impeccables. Après l'Exposition de son travail à Paris et les nombreuses projections de ses films à la télévision française, sur Arte par exemple, son travail et ce film, en particulier, étaient facilement accessibles. Et quand j'ai revu "César et Rosalie", et j'ai été émerveillé par le personnage de César, interprété par Yves Montand. Je l'ai redécouvert, et il est incroyable dans le film. Quand je regardais le travail de ma mère, je me concentrais toujours sur les personnages qu'elle jouait et ne prêtais pas trop d'attention aux autres performances. Mais le rôle de César est captivant et très drôle, et à cause de la façon dont Yves Montand joue son personnage, je recommande vivement ce film à tout le monde. Le film donne une excellente idée de ce qu'était la vie en France dans les années 1970 et de ce que c'était d'être une femme à cette époque.

FilmTalk : Après "Les choses de la vie" [1970] et "Max et les ferrailleurs" [1971], c'est le troisième film que ta mère tourne avec Claude Sautet. Elle est devenue un symbole pour les femmes françaises.
Sarah Biasini : C'est exact. Sa collaboration avec Claude Sautet était unique car ils avaient trouvé un terrain d'entente. Les rôles qu'il lui proposait étaient très conséquents ; elle a pu jouer des femmes qui ont fait la différence, et c'est quelque chose auquel le public pouvait s'identifier rapidement.

FilmTalk : L'Exposition montre que votre mère était responsable; elle avait le contrôle et c'était une femme indépendante. Tout comme son personnage dans "César et Rosalie".
Sarah Biasini : Oui. Son personnage a une façon de gérer les choses qui lui arrivent; c'est un personnage très humain avec ses forces et ses défauts.

FilmTalk : Êtes-vous actuellement impliqué dans de nouveaux projets ?
Sarah Biasini : Je viens de terminer une tournée avec une pièce en France ; J'écris, et pour l'année prochaine, j'ai une autre pièce à venir.

Palais du Cinéma, Bruxelles
4 avril 2023

Sarah Biasini à Bruxelles pour l'exposition Romy Schneider & la présentation de "César et Rosalie", le 04 avril 2023

Sources : HNL - Nieuwsblad - Facebook & Facebook

Rencontre avec Sarah Biasini

Source : Elle Suisse - 03 avril 2023

Elle incarne sur scène Mademoiselle Julie: double défi pour Sarah Biasini, de retour sur les planches suisses. C’est à un classique du répertoire théâtral que Sarah Biasini s’attaque sous la direction de Christophe Lidon. L’adaptation du texte de Strindberg par Michael Stampe et sa lecture contemporaine font de "Mademoiselle Julie" une pièce tout à fait séduisante.

ELLE : Comment avez-vous fait connaissance avec cette œuvre ?
Sarah Biasini : Le metteur en scène m’en avait parlé il y a plusieurs années déjà. Nous l’avons d’abord présentée à Orléans en 2020 puis à Avignon et nous débutons la troisième étape de cette tournée. Le spectacle a évolué : laisser passer autant de temps est toujours très bénéfique. La pièce va bien au-delà de la joute verbale : c’est une guerre des sexes, une lutte des classes, et tout cela se joue essentiellement entre un homme et une femme.

ELLE : Pour quelles raisons avez-vous eu envie de l’interpréter ?
Sarah Biasini : Ce personnage fait partie des grands rôles de théâtre : c’est ce qui m’a attirée au départ, une sorte de premier défi. Comme il a beaucoup été joué, il convenait d’en proposer encore une autre lecture, de faire entendre la pièce différemment. Un autre défi de taille ! Le personnage de Julie pourrait avoir 20 ans, ce qui est loin d’être mon cas! L’intérêt est de la rendre forcément plus mature et moins candide…

ELLE : Qu’apporte de nouveau cette version selon vous ?
Sarah Biasini : Michael Stampe propose quelque chose de novateur en mettant l’accent sur les parents de Julie, sur son éducation et sur l’histoire de sa famille qui l’a traumatisée. Elle est en effet complètement marquée par le comportement de son père et de sa mère. Je l’interprète comme une fille de 30-35 ans, proche d’être une vieille fille qui a déjà décidé pour elle-même ce qui allait se passer. C’est intéressant d’aborder cette pièce comme une fatalité, pas si tragique que ça.

ELLE : Votre partenaire de scène, Deborah Grall, est la petite-fille de Philippe Noiret, qui partageait l’affiche avec votre mère, Romy Schneider, dans "Le vieux fusil". Vos héritages familiaux se sont-ils fait ressentir ?
Sarah Biasini : Bien sûr. Nous nous connaissions déjà avec Deborah. Cela m’émeut beaucoup. Et puis nous avons les vraies bottes de Philippe Noiret sur scène ! Christophe Lidon souhaitait un accessoire pour représenter le père de Julie et c’est Deborah qui a pensé à ces bottes de cavalier faites sur mesure, qui sont vraiment magnifiques. Je les prends à un moment dans mes bras.

ELLE : Quelles sont vos attaches en Suisse ?
Sarah Biasini : J’y ai de magnifiques souvenirs. Ma grand-tante tenait une pension de famille, rue du Vallon, à Lausanne et nourrissait les ouvriers du quartier dont elle était une figure. J’adorais cette femme et me rappelle très bien de mes séjours annuels à Lausanne, une ville que j’apprécie beaucoup.

ELLE : Quels sont vos projets à venir ?
Sarah Biasini : L’écriture d’un nouveau livre, un roman cette fois-ci. Et j’ai commandé un texte à Philippe Minyana ; je vais demander à une femme que j’adore de me mettre en scène. Ce sera mon premier seul en scène.

Julie Vasa

Dominique Lagrou Sempere - "Mes rencontres..."

Source : Youtube - 11 janvier 2023

Sarah Biasini en dédicaces le mardi 06 décembre 2022

Florence Berthout, Maire du 5e est heureuse de vous convier à la présentation par Sarah Biasini de son œuvre "La beauté du ciel".

• Mairie du 5e - salle des mariages : 21 place du Panthéon - 75005 PARIS
• Mardi 6 décembre 2022 - 15h

• inscription par mail à [email protected]

Jean-Pierre Lavoignat : promotion du livre au Buddha-Bar le 08 novembre 2022

Source : Facebook

 

Angoulême Se Livre 2022 (16)

Samedi 22 et dimanche 23 octobre 2022 à 10h00
Librairie Cosmopolite

Angouleme Se Livre 2022, se déroulera à l'espace Franquin le samedi 22 octobre et le dimanche 23 octobre 2022.

Elle accueillera 3 plateaux, la littérature avec Sarah Biasini, la jeunesse et la BD.
Situé au niveau N-1 de l'espace Franquin, vous retrouverez dans la salle IRIBE ses différents auteurs sur deux jours.

Librairie Cosmopolite - Galerie du Champ de Mars - 16000 Angoulême

Sarah Biasini et Emmanuelle Galabru : quand la nouvelle génération dialogue sur scène au Festival de Ramatuelle

Source : Var Matin - 16 août 2022

De passage à Ramatuelle, les deux comédiennes sont liées cet été par une pièce d’Agatha Christie et des expositions tropéziennes qui rendent hommage à leur parent défunt.

Deux visiteuses inattendues, Sarah Biasini et Emmanuelle Galabru, au Festival de Ramatuelle ? Pas franchement, tant ces deux "filles de...", ont des liens ténus avec la presqu’île. La première y a vu le jour l’été 1977 à la clinique de Gassin, la seconde la fréquente depuis son plus jeune âge dans le sillage de la camionnette de gendarmerie de son adjudant Gerber de papa.

Les voici réunies dans un huis clos en plein air pour une pièce d’Agatha Christie, "Un visiteur inattendu". Elles évoluent dans les rôles de la femme fatale et de la gouvernante avec, comme dans toute intrigue de la romancière britannique qui se respecte, un cadavre sur les bras et un meurtrier à démasquer... Au naturel, les deux héroïnes n’ont rien à cacher et parlent, bercées par un chant des cigales entrecoupé de leurs rires contagieux, d’une relation qui se conforte au fil de leurs prestations.

Amitié ancienne ou nouvelle entre vous ?
Sarah : Cela remonte à début décembre 2021. Sur le premier jour des répétitions.
Emmanuelle : Tu ne t’en souviens pas, ce n’est pas grave (rire), mais nous nous étions croisés avant aux Molières. Brièvement. On s’était saluées deux minutes. En tout cas, tu m’avais fait très bonne impression. Je me suis dit : "Elle a l’air vachement sympa cette fille". Depuis, j’ai un peu déchanté ! (rire)

Peut-on parler d’une complicité qui a traversé les générations ?
Emmanuelle : Nos parents se sont connus sur un film [Ndlr : "Portrait de groupe avec dame", 1977] et je pense qu’il y avait...
Sarah : (elle coupe) Oui, un respect mutuel. Mais c’était un film, c’est tout...
Emmanuelle : Il y avait plus que ça. Ta mère avait de la tendresse pour mon père, puisqu’elle voulait absolument lui "offrir" un nouveau film pour tourner avec lui. Lui, de son côté, était absolument baba d’admiration pour elle!

Vous êtes toutes deux mamans d’une fille, cela rapproche également ?
Sarah : Oui, là c’est plutôt Emmanuelle qui m’aide ! [Elle est maman d’une petite Anna, 4 ans, et Emmanuelle de Jana, 15 ans, toutes deux les accompagnaient à Ramatuelle, ndlr].

Deux expositions tropéziennes sur vos parents vous lient aussi cet été (1). Comment les percevez-vous ?
Emmanuelle : Très belle exposition sur mon père ! Je l’ai visitée ce matin. Ils y ont mis tout leur cœur !
Sarah : J’ai participé à l’exposition de la Cinémathèque à Paris, qui s’est terminée le 30 juillet. Comme c’était les quarante ans de la disparition, il y a eu énormément d’événements autour de ma mère, donc à un moment donné, je fais une pause... Je n’ai pas vu cette exposition et je n’irai pas la voir, mais j’ai eu des échos favorables, c’est tout ce qui compte.

Comme Sarah, imagineriez-vous un livre sur votre père, dont ce sont les 100 ans de la naissance ?
Emmanuelle : (elle hésite) On m’en a parlé... C’est dans un coin... Mais je ne sais pas... Je vais déjà lire celui de Sarah acheté ce matin, et on verra si ça m’inspire.

En 2021, vous disiez dans un livre (2) n’avoir pas montré de photo de votre mère à votre fille, mais qu’elle avait regardé "Sissi"...
Sarah : Elle en a vu depuis. Pour "Sissi", elle avait à peine trois ans, c’était durant les fêtes de Noël chez mes grands-parents. La télé était allumée, on a zappé et on lui a dit : "Tiens, regarde c’est mamie", mais elle en a vu 30 secondes, c’est tout. Le regarder dans sa totalité viendra, bien entendu.

Des devoirs de vacances cet été ?
Sarah : Oui, il faut que je travaille pour apprendre le texte de ma prochaine pièce, "Nuit", de et mise en scène par Philippe Minyana. Elle sera créée au Théâtre des Quartiers d’Ivry, dans l’ancienne Manufacture des Œillets.
Emmanuelle : Moi je pars à Malaucène, dans le Vaucluse, chez mon parrain, Pierre Vinon, qui était le meilleur ami de mon père. Il organisait un festival sur place, où j’ai joué pour la première fois avec lui dans "Le Malade imaginaire". J’avais 12 ans. Je reviendrai ici en octobre pour des projections de films en hommage à mon père, qui aurait eu 100 ans le 27 octobre.

1. Expositions Michel Galabru au Musée de la Gendarmerie et du Cinéma, Romy & B.B. à la salle Despas.
2. Grandir avec l’absence (Robert Laffont), recueil de témoignages sur des célébrités orphelines très jeunes.

Lîle aux livres - Inauguration du 06 août 2022

Source : Facebook Ré à la Hune & Facebook Jacqueline Laforgue & Facebook Bernard Mouricout & Facebook Olivier Farloni

Joyeux anniversaire Mademoiselle Sarah !

Salon de l'île aux livres du 05 au 07 août 2022

Sarah Biasini sera l'invitée d'honneur du salon du livre de l'île de Ré.

Coordonnées de l'événement : Rue des Barjottes - 17580 Le Bois-Plage-en-Ré

Sarah Biasini lit Albert Cohen - 02 juin 2022

Sarah Biasini a lu des extraits des livres suivants :

• Les valeureux (1969)
• Solal (1930)
• Ô vous frères humains (1972)
• Le livre de ma mère (1954)

Extrait de la lecture "Le livre de ma mère" :

(c) De Romy Schneider... à Sarah Biasini

Une photo de Jean-Pierre Lavoignat :

Et aussi :

Grand Prix des Lectrices ELLE 2022 - 30 mai 2022

Festival "Quartier du livre" - Vendredi 03 juin 2022

Source : Facebook Mirélè Rozen - 03 juin 2022

Grand Prix des Lectrices ELLE 2022

Source : Elle - 1er juin 2022

Comme chaque année, le Grand Prix des lectrices de ELLE
a célébré la littérature dans une soirée forte en émotions

Plusieurs centaines de personnes étaient réunies lundi 30 mai au Théâtre du Rond-Point à Paris, pour récompenser les lauréats du prix, sélectionnés par un jury de lectrices de ELLE. Anne Berest est montée sur scène, accompagnée de sa mère, pour recevoir le prix du roman pour "La Carte Postale" (Grasset), enquête historique sur le destin de sa famille maternelle, déportée à Auschwitz en 1942. La lauréate a aussi invité sa sœur, Claire Berest, qui avait reçu le même prix en 2020 pour son roman "Rien n’est noir" (Stock), à la rejoindre sur scène pour partager ce moment émouvant avec elle.

Mathieu Palain a ensuite reçu le prix du document pour son livre "Ne t'arrête pas de courir" (L'Iconoclaste), œuvre de non-fiction littéraire qui s’intéresse à Toumany Coulibaly, athlète de haut niveau qui a passé plusieurs années en prison pour des petits larcins. Enfin, Tana French, lauréate du prix du polar pour "La colline aux disparus" (Calmann-Lévy), a adressé, depuis Dublin, un message vidéo de remerciements au jury.

La remise des prix s’est conclue sur une surprise de taille : un concert de Juliette Armanet, qui a réussi à faire danser toute la salle avec un "Dernier jour du disco" endiablé. Éditeurs, écrivains et jurées ont ensuite pu profiter d’un cocktail au sein du Théâtre du Rond-Point pour finir cette soirée en beauté.

"Essentiel" sur RCJ - Mardi 31 mai 2022

Spécial Festival Quartier du Livre

Animatrice : Laurence Goldmann
Avec Sarah Biasini qui lira des textes de Albert Cohen dans « Les Soliloques de Rachi », une création du Centre d’Art et de Culture et du FSJU le jeudi 2 juin, Patricia Hostein, directrice artistique du spectacle et Philippe Zard, maître de conférences à l'Université de Paris X-Nanterre, Spécialiste de l’œuvre d’Albert Cohen et Fabienne Cohen-Salmon, Directrice Adjointe à la Culture du FSJU.

Les soliloques de Rachi > Préparation !

Source : Facebook - 24 mai 2022

Les soliloques de Rachi - 02 juin 2022

Retrouvez toutes les infos sur cet événement ici

Prix de la Closerie des Lilas - 12 avril 2022

Présidentielle : près de 500 artistes appellent à voter Macron

Source : Le Parisien - 18 avril 2022

Comédiens, chanteurs, réalisateurs, écrivains, des représentants du monde de la culture déclarent dans une tribune qu’ils voteront pour le président sortant au second tour le 24 avril prochain pour faire barrage à Marine Le Pen.

Après les sportifs, les artistes se mobilisent. À huit jours du scrutin, plus de 400 représentants du monde de la culture publient ce vendredi 15 avril une tribune dans laquelle ils appellent "sans illusions, sans hésitations et sans trembler" à voter le 24 avril pour le président sortant Emmanuel Macron pour faire barrage à Marine Le Pen, la candidate du RN, "dont le programme reste celui de la xénophobie et du repli sur soi" et "qui a fait alliance avec des puissances totalitaires et bellicistes".

Beaucoup de personnalités du cinéma et du petit écran, mais aussi des écrivains, des musiciens, des chanteurs, des directeurs de théâtre ou encore des chorégraphes tirent le signal d’alarme. Dans cette liste qui ne cesse de s’allonger [...].

Le texte de la tribune : "Sans illusions, sans hésitations et sans trembler, votons le 24 avril" "Le 10 avril dernier, l’extrême droite, pour la troisième fois de l’histoire de la Ve République, est au second tour de l’élection présidentielle, aux portes du pouvoir. Jamais elle n’a été aussi près de l’emporter.

Aujourd’hui, ce que l’on appelait autrefois le front républicain se fissure. Nous en sommes consternés.

Actrices et acteurs du monde de la culture, du spectacle vivant, nous avons parfois eu des divergences, des oppositions, des désaccords profonds avec le pouvoir en place. Nous avons parfois eu des déceptions aussi, des colères, des rages même. Mais si, pour certains d’entre nous, l’issue de ce premier tour n’a pas été celle espérée, si, pour certains d’entre nous, la méfiance demeure ; il n’y a pour nous, aujourd’hui, aucune hésitation, aucun doute, aucun flottement. Nous ne mettons pas sur le même plan la démocratie et le populisme. Nous ne nous laisserons jamais aller à renvoyer dos à dos un gouvernement démocratique et le Rassemblement national.

• Rien ne relie Marine Le Pen à la France de Villon, de Beaumarchais, de Voltaire, de Hugo ou de Camus.
• Rien dans son projet et ses déclarations passées ou présentes n’indique qu’elle a conscience de l’urgence climatique et environnementale (quasi-suppression des énergies renouvelables).
• Rien, dans ses habitudes et ses choix de vie, ne la rapproche des plus modestes autrement que par le cynisme de paroles politiciennes.
• Rien ne nous rassure sur l’idéologie qui l’anime encore, derrière le discours policé.
• Rien ne nous dit comment elle se dégagera de ses obligations envers Poutine, lequel Poutine, elle donnait en exemple de chef d’État, vantant sa gouvernance idéale, il y a encore quelques semaines.

Demain, nous n’osons imaginer ce que deviendrait la culture au sein de notre pays si c’était elle que le suffrage désignait.

Nous ne pouvons imaginer, à la tête de la France, une candidate dont le programme reste celui de la xénophobie et du repli sur soi, une candidate qui a fait alliance avec des puissances totalitaires et bellicistes.

Nous ne pouvons imaginer ce que signifierait, pour l’Europe et pour le monde, ce signe terrible.

Nous ne pouvons imaginer le sentiment du peuple ukrainien envahi, bombardé et massacré, lorsqu’il découvrira que nous avons élu une complice du chef du Kremlin à la tête de notre pays. Rappelons à ce sujet, à ceux qui font le pari d’une cohabitation à suivre, que même si celle-ci advenait, Marine Le Pen resterait, en tout état de cause, chef des armées. À ce titre, il lui appartiendra directement de gérer la position de la France dans le conflit en Ukraine. Nous ne pouvons imaginer que la France, pays des lumières et de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, porte au pouvoir une présidente dont les amitiés revendiquées avec les pires dictateurs en exercice seraient notre honte et notre déshonneur.

POUR TOUTES CES RAISONS, ET CONSCIENTS DE NOTRE DEVOIR CITOYEN, NOUS VOTERONS SANS AUCUNE HÉSITATION POUR EMMANUEL MACRON LE 24 AVRIL PROCHAIN ; SANS ILLUSIONS, SANS HÉSITATIONS ET SANS TREMBLER.

La liste des signataires : Simon Abkarian (comédien), Bruno Abraham (comédien), Béatrice Agenin (comédienne), Marie Agnès (danseuse), Jean Aittouares (agent), Florent Albrecht (musicien), Sophie Alour (musicienne), Éric Altmayer (producteur), Thibaud Ameline (producteur), Sarah Andelman (créatrice), Pascale Arbillot (comédienne), Pierre Arditi (comédien), Catherine Arditi (comédienne), Hélène Arié (comédienne), Laurence Arné (comédienne), Sophie Artur (comédienne), Ariane Ascaride (comédienne), Yvan Attal (comédien, réalisateur), Claude Aufaure (comédien), Pierre Aussedat (comédien), Anne Azoulay (comédienne), Hélène Babu (comédienne), Jeanne Balibar (comédienne, réalisatrice), Jean François Balmer (comédien), Bambou (chanteuse), Tristane Banon (écrivaine), Anne Baquet (artiste lyrique), Yannis Baraban (comédien), Jean-Christophe Barc (comédien), Fabien Baron (photographe), Marie-Christine Barraud (comédienne), Maurice Barthelemy (comédien, réalisateur), Stéphanie Bataille (directrice de théâtre), Laurent Bateau (comédien), Philippe Beautier (comédien), Hugo Becker (comédien), Arnaud Bedouet (comédien/auteur), Valérie Bègue (comédienne), Caroline Benjo (productrice), Daniel Benoin (metteur en scène), Jean-Louis Benoit (metteur en scène), Didier Bénureau (comédien), Emmanuelle Bercot (comédienne, réalisatrice), Sylvia Berger (comédienne), Richard Berkowitz (comédien), François Berléand (comédien), Charles Berling (comédien, directeur de théâtre), Philippe Berling (metteur en scène), Philippe Berodot (comédien), Michèle Bernier (comédienne), Mélanie Bernier (comédienne), Richard Berry (comédien), Marilou Berry (comédienne), Louis Bertignac (chanteur), Philippe Besson (auteur), Noémie Bianco (comédienne), Fred Bianconi (comédien), Sarah Biasini (comédienne), Jean-Éric Bielle (comédien), Nathalie Bigorre (comédienne), Thierry Binisti (réalisateur), Juliette Binoche (comédienne), Jane Birkin (chanteuse, auteure), Black M (musicien), Bruno Blairet (comédien), Annick Blancheteau (comédienne, metteuse en scène), Julien Boisselier (comédien), Michel Bompoil (comédien), Valérie Bonneton (comédienne), Sidonie Bonnec (animatrice), Anissa Bonnefont (réalisatrice), Jean-Paul Bordes (comédien), Claire Borotra (comédienne), Josselyn Bossennec (scénariste), Olivier Bouana (agent), Élodie Bouchez (comédienne), Nazim Boudjenah (comédien), Emmanuelle Bougerol (comédienne), Évelyne Bouix (comédienne), Michel Boujenah (comédien), Frédéric Bouraly (comédien), Leslie Bourdin (musicienne), Louise Bourgoin (comédienne), Anne Bouvier (comédienne, metteur en scène), Jean-Pierre Bouvier (comédien), Benjamin Boyer (comédien), David Brécourt (comédien), Zabou Breitmann (comédienne, metteur en scène), Nicolas Briançon (comédien, metteur en scène), François Briault (comédien), Didier Brice (comédien), François Bureloup (comédien), Ivan Calbérac (auteur, réalisateur), Nicole Calfan (comédienne), Sophie Calle (artiste), Philippe Calvario (metteur en scène), Guillaume Canet (comédien, réalisateur), Claudio Capéo (chanteur), Jill Caplan (comédienne), Isabelle Carré (comédienne), Cécile Cassel (comédienne), Lisa Cat-Berro (musicienne), Philippe Caubère (comédien), Pauline Chalamet (comédienne), Denise Chalem (comédienne), Anne Charrier (comédienne), Matthieu Chedid (chanteur), Judith Chemla (comédienne), Yann Chermat (comédien), Patrick Chesnay (comédien), Bruno Chiche (réalisateur), Ladislas Cholat (comédien), Jean Claude (producteur), Annelise Clément (musicienne), François Cluzet (comédien), Michaël Cohen (comédien), Gilles Cohen (comédien), Anne Consigny (comédienne), Cristina Cordula (animatrice), Lilou Cornillac (comédienne), Stéphane Cotin (metteur en scène), CharlElie Couture (musicien), Gérémy Crédeville (comédien, auteur), Michel Cymes (médecin, comédien), Jean-Philippe Daguerre (metteur en scène), Dominique Daguier (comédien), Béatrice Dalle (comédienne), Valérie Damidot (animatrice), Évelyne Dandry (comédienne), Étienne de Balasy (auteur, 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(comédienne), Gabriel Le Doze (comédien), Samuel Le Bihan (comédien), Sophie Le Cam (chanteuse), Catherine Le Chevalier (comédienne), Thomas Le Douarec (metteur en scène), Alexis Le Rossignol (comédien, auteur), Danielle Lebrun (comédienne), Virginie Ledoyen (comédienne), Pascal Legros (producteur), Anne Le Guernec (comédienne), Olivier Lejeune (comédien), Charles Lelaure (comédien), Pierre-Alain Leleu (comédien, directeur de théâtre), Philippe Lelièvre (comédien), Gilles Lellouche (comédien, réalisateur), Salomé Lelouch (metteur en scène), Romain Lemire (chanteur), Virginie Lemoine (comédienne, metteur en scène), Thomas Lempire (comédien), Jalil Lespert (comédien, réalisateur), Pauline Leveque (écrivaine), Manu Lévy (animateur), Marc Lévy (écrivain), Thierry Lhermitte (comédien), Christophe Lidon (metteur en scène), Jérémie Lippmann (metteur en scène), Florence Loiret-Caille (comédienne), Francis Lombrail (directeur de théâtre), Thierry Lopez (comédien), Jérémy Lopez (comédien), Nicolas Lormeau (comédien), Nathalie Lucas (Théâtre des Gemeaux), Fabrice Luchini (comédien), Clara Luciani (chanteuse), Alex Lutz (comédien), Enrico Macias (chanteur), Bruno Madinier (comédien), Philippe Magnan (comédien), Caroline Maillard (comédienne), Valérie Mairesse (comédienne), Enora Malagré (comédienne), Jean-Pierre Malignon (comédien), Mathieu Malzieu (musicien), Anne Marcassus (productrice), Nathalie Marchac (réalisatrice), Julien Marchand (comédien), Florent Marchet (chanteur, auteur), Rebecca Marder (comédienne), Lisa Martino (comédienne), Charlotte Matzneff (comédienne), Mathilda May (comédienne, auteure), Hélène Médigue (comédienne), Malika Ménard (comédienne), Macha Méril (comédienne), Marie Anne Mestre (comédienne), Alexis Michalik (auteur, metteur en scène/comédien), Clément Michel (metteur en scène), Patrick Mille (comédien), Christiane Millet (comédienne), Claire Mirande (comédienne), Serge Moati (réalisateur), Louise Monot (comédienne), Jean-Luc Moreau (comédien, metteur en scène), Yolande Moreau (comédienne), François Morel (comédien), Anna Mouglalis (comédienne), Ariane Mourier (comédienne), Louis Moutin (musicien), Emma Munos (artiste de cabaret), Stéphanie Murat (comédienne, réalisatrice), Nach (chanteuse), Nagui (animateur), Géraldine Nakache (comédienne, réalisatrice), Sonia Nigoghossian (artiste lyrique), Ali Niroomand (producteur), Yannick Noah (chanteur), Emmanuel Noblet (comédien), Laurent Olmedo (comédien), Mélanie Page (comédienne), Dominique Paquet (autrice), Alysson Paradis (comédienne), Hervé Pauchon (comédien), José Paul (comédien, metteur en scène), Serge Paumier (Théâtre des Gemeaux), Manu Payet (comédien), Sarah Pébéreau (comédienne), Florence Pernel (comédienne), Ezra Petronio (agent), Lana Petrusevych (artiste), Julia Piaton (comédienne), Yves Pignot (comédien), Marianne Piketty (violoniste), Dominique Plaideau (comédien/Metteur en scène), Anne Plantey (comédienne), Nicolas Poiret (auteur), Alix Poisson (comédienne), Alice Pol (comédienne), Vicente Pradal (musicien), Éric Prat (comédien), Laura Presgurvic (comédienne), Sören Prévost (comédien), Cristiana Reali (comédienne), Philippe Rebbot (acteur), Christelle Reboul (comédienne), Natacha Régnier (comédienne), Sophie Renoir (comédienne), Jean-Michel Ribes (auteur, metteur en scène), Anne Richard (comédienne), Muriel Robin (comédienne), Sonia Rolland (comédienne, réalisatrice), François Rollin (comédien), Cyril Romoli (comédien), Anne Roumanoff (comédienne), Alain Sachs (metteur en scène), Valérie Sadoun (photographe), Antoine Sahler (musicien), Ismael Saïdi (réalisateur), Juliette Sales (scénariste, réalisatrice), Céline Salette (comédienne), Yannig Samot (comédien), Pierre Samuel (comédien), Bruno Sanches (comédien), Davy Sardou (comédien), Niels Schneider (comédien), Barbara Schulz (comédienne), Carole Scotta (productrice), Ariane Séguillon (comédienne), Marc Semiaticky, Elie Semoun (comédien), Anne Serra (comédienne), Léonie Simaga (comédienne), Xavier Simonin (comédien), Benjamin Sire (journaliste, compositeur), Patrick Sobelman (producteur), Benoit Soles (comédien), Vincent Solignac (scénariste), Thomas Solivérès (comédien), Bruno Solo (comédien), Laurent Spielvogel (comédien), Morgan Spillemaecker (directeur de théâtre), Clara Starkier (comédienne), Isabelle Starkier (metteur en scène), Laurent Stocker (comédien), Thierry Suc (producteur), Alice Taglioni (comédienne), Marie-Laurence Tartas (comédienne), Nathalie Tassera (comédienne), Elena Terenteva (comédienne), Nadia Tereszkiewicz (comédienne), Bertrand Thamin (directeur de théâtre), Mélanie Thierry (comédienne), Sébastien Thiery (auteur), Clémence Thioly (comédienne), Alexis Trégarot (producteur), Jean-Paul Tribout (comédien), Bastien Ughetto (acteur), Harold Valentin (producteur), Nicolas Vaude (comédien), Caroline Verdu (directrice de théâtre), Florence Viala (comédienne), Éric Viellard (comédien), Caroline Vigneaux (comédienne), Tom Villa (comédien, auteur), Salomé Villiers (comédienne), François Vincentelli (comédien), Isabelle Vitari (comédienne), Valérie Vogt (comédienne), Jemima West (comédienne), Vincent Winterhalter (comédien), Stéphan Wojtowicz (comédien), Aleksandra Woroniecka (rédactrice mode), Maud Wyler (comédienne), Jonathan Zaccaï (réalisateur), Coraly Zahonero (comédienne), Zazie (chanteuse), Keren-Ann Zeidel (chanteuse), Florian Zeller (écrivain), Valérie Zenatti (écrivaine), Cédric Zimmerlin (comédien), Elsa Zylberstein (comédienne)

Sandrine Bajos

Prix de la Closerie des Lilas - 12 avril 2022

Le jury, sous la présidence de Josiane Balasko a décerné le prix à Sandrine Collette pour son "Et toujours les Forêts" publié aux éditions JC Lattès.

"Les soliloques de Rachi" : Sarah Biasini lit Albert Cohen

Source : Culture juive - 1er avril 2022

Le mercredi 02 juin 2022 à 20h00
au FSJU de Paris (75)

Les plus grands écrivains lus par des artistes d'aujourd'hui :

Dans le cadre du festival Quartier du Livre
Direction artistique : Patricia Hostein

"L’amour du prochain réclame des poètes qui savent donner leur unique manteau"
Albert Cohen

A l’occasion des 40 ans de la disparition de Albert Cohen, le Centre d’Art et de Culture et le FSJU rendent hommage à cet écrivain, dramaturge et poète à la renommée mondiale. Homme sombre auteur d’une œuvre solaire, ses romans se sont vendus à plus de deux millions d’exemplaires.

Né en 1898 dans une famille juive de Corfou, en Grèce, Albert Cohen émigre à Marseille à l’âge de cinq ans où il deviendra élève du lycée Thiers et où il aura pour camarade Marcel Pagnol. Il poursuit ses études de Droit à Genève où il mène de front une carrière de diplomate et d’écrivain.

En 1921, il publie son premier recueil de poésies sous le titre "Paroles juives". Face à la montée de l’antisémitisme en France, il prend en 1925 la direction de la Revue juive aux côtés d’intellectuels de prestige tels que Sigmund Freud et Albert Einstein. Puis viendront les romans "Solal" en 1930, "Mangeclous" en 1938, ainsi que le récit autobiographique "Le livre de ma mère" en 1954.

Ce n’est qu’en 1968 qu’il connaît la consécration littéraire avec "Belle du Seigneur", couronné du Grand Prix du roman de l’Académie française. Il écrira ensuite Les Valeureux en 1969. Trois ans après, à l’âge de 77 ans, il publie "Ô vous, frères humains", dans lequel il relate l’un des événements les plus traumatisants de sa vie : en 1905, le jour de ses 10 ans, il subit en public des insultes antisémites d’un camelot à Marseille. La douleur, la colère et de désespoir vont fragiliser les certitudes de l’enfant qu’il était sur la fraternité des hommes. L’écrivain lancera alors un appel pour une humanité solidaire.

Il décède le 17 octobre 1981 à Genève.

TARIFS :
Catégorie 1 : 30,00 €
Catégorie 2 : 25,00 €
Catégorie 3 : 15,00 €
Diffusion en direct : 8,00 €
Réservation sur le site internet

LIEU :
Espace Rachi  Guy de Rothschild - 39 rue Broca - 75005 Paris
Tél : 01 42 17 10 36
Mail : [email protected]

Présentation du film « César et Rosalie » - Samedi 19 mars 2022

Source : Alaindmj sur Youtube

C’était à la Cinémathèque, ce samedi 19 mars 2022 : Clémentine Deroudille (commissaire de l’exposition), Sarah Biasini et Jean-Pierre Lavoignat présentaient la projection du film de Claude Sautet : « César et Rosalie ».