De Romy Schneider... à Sarah Biasini

Blanco y Negro - N° 2763 - 17 avril 1965

Article intérieur : * La nueva Romy Schneider 5 pages 5 photos

Blind Test : Un film au scénario raz les pâquerettes

Source : L'express - 26 octobre 2010

Un couple est sur le point de se faire la belle avec un pactole récolté via un délit d'initié. Sauf que monsieur couche avec un autre monsieur et qu'il compte se carapater sans madame, dès qu'il lui aura fait une procuration pour accéder au compte. Interprétation ras le bitume, pans de dialogues à oublier, scénario bateau et mise en scène de sitcom sur laquelle plane une insupportable scie musicale... Blind Test est un défi pour les nerfs. Une scène de séquestration aussi interminable que dénuée de souffle vient parachever l'ensemble. L'angoisse.

Par Christophe Chadefaud (Studio Ciné Live)

"Blind Test" : sous le seuil de pauvreté cinématographique

Source : Le Monde.fr - 26 octobre 2010

Les murs orange de la chambre, l'absence de fenêtre, la platitude de l'image, le ton faux des acteurs, les dialogues à ras de terre, tout depuis la première jusqu'à la dernière scène fait penser à un épisode de "Voisin, Voisine", cette série qui passait sur LaCinq à la fin des années 1980.

"Je veux qu'on se marie", lance Joyce, depuis le lit, à Bertrand qui se regarde dans la glace de la salle de bains. Joyce est enceinte, Bertrand a commis un délit d'initié qui lui a rapporté 8 millions d'euros. Ils ont prévu de partir se faire oublier en Amérique du Sud.

Mais Bertrand, cela se voit à sa grimace, n'a pas envie de se marier. Il n'a pas non plus envie d'enfant. Ce qu'il souhaite, en réalité, c'est quitter sa compagne. Il est amoureux de Vinko, serveur de restaurant d'origine bosniaque (joué par un Français, Johan Libéreau, qui improvise pour son personnage un accent mi-russe, mi-espagnol).

Le hic, c'est que les 8 millions d'euros sont bloqués sur un compte à Jersey, au nom de Joyce, et qu'elle n'a pas l'air prête à les laisser partir. Flairant le mauvais coup, elle exige que Bertrand reconnaisse l'enfant et qu'il l'épouse comme condition pour lui donner procuration sur le compte.

Celui-ci met en oeuvre un plan impliquant Vinko, une prise d'otage bidon destinée à la déposséder de toute la somme, qui ne va pas se dérouler comme prévu.

Cette intrigue classique est prétexte à la révélation de personnalités vaguement plus nuancées qu'il n'y paraissait au premier abord. Pour le reste, c'est le néant, et l'on se demande, vraiment, quelle est la raison d'être d'un tel film.

Isabelle Regnier

Critique de "Blind test" : un bon petit nanar

Source : Toute la culture.com - 25 octobre 2010

Comédie absurde bardée de répliques parfois amusantes, Blind Test ne dépasse malheureusement jamais le stade de théâtre (mal) filmé. Quelques bons moments grâce à des acteurs qui semblent prendre un plaisir évident à sur jouer en permanence (mention spéciale à Libéreau jamais crédible): un vrai nanar (comme on les aime?)

Rappelons que dans toute bonne comédie se cache un thème noir. Il est ici question d’un trio : la femme, le mari, et l’amant croate (du mari, suivez!). Le mari est trader (moins classe que Michael Douglas) dont la situation sent le roussi. Il a confié l’argent issu d’un délit d’initié à sa femme et lui promet qu’ils vont tout quitter pour partir au soleil. Il va en fait tenter par tous les moyens de la récupérer pour s’enfuir avec son amant (croate donc). Il organise donc un faux kidnapping où cet amant devra les menacer pour obtenir une procuration de la femme.

Le résumé indique la structure très vaudevillesque du scénario qui imprime une certaine modernité en y parlant de finances et d’obsession de l’argent. Parmi les trois protagonistes, aucun n’est moins rapace, et le script distille petit à petit quelques indices sur les intentions réelles de chacun. L’humour est assez basique mais quelques fois efficace, rappelant la fraicheur de certaines comédies des années 80 à la Passe moi 100 briques y a plus rien où les pris en otage s’alliaient à leurs preneurs d’otages.

Ici, l’un des deux otages (le mari donc) prend un malin plaisir à jouer la victime devant un preneur d’otage qui n’est autre que son amant (dont il aime les maltraitances…). C’est surtout du personnage de l’épouse que les salves les plus amusantes partent. Sarah Biasini (fille de Romy Schneider, mais surtout actrice comique au très fort tempérament) amène une vulgarité truculente à son personnage de radine finie qui préfère sacrifier une l’oreille de son mari plutôt que de donner son argent.

Au niveau de l’image et de la mise en scène, on repassera. La photo est assez laide et la caméra DV reste gentiment posée dans le salon sans bouger pendant la moitié du film. Mais une délicieuse expérience profondément nanardesque fait parfois du bien, dépendant de son humeur du moment. Visionner l’extrait en dessous qui résume assez bien le film…

Gilles Hérail

Das Neue Blatt - N° 38 - 15 septembre 2010

Article intérieur : * Romy Schneider : Sie wurde von ihren Eltern gnadenlos ausgenutzt 1 page 3 photos

Blind Test

Source : Le Figaro - 26 octobre 2010

Un mauvais trio de comédie court après un compte bancaire bien rempli, acquis après un délit d'initiés. Le vaudeville s'enlise, les comédiens surjouent, la mise en scène patine. Que vient faire la fille de Romy Schneider, Sarah Biasini, dans cette galère ?

Par Isabelle Fargette

Die Aktuelle - N° 38 - 18 septembre 2010

Article intérieur : * Hat Marlene Dietrich Romy Schneider vergiftet ?  2 pages 4 photos

Un petit coin de paradis

Captures d'écran - Part 9

Wiener Film Revue - N° 25 - Juin 1954

Pas d'article intérieur

Elle - N° 1220 - 07 mai 1969

Pas d'article : sommaire uniquement (même photo en noir et blanc) 1 photo

NDLR : j'attire votre attention sur ce numéro "spécial"...
Pourquoi "spécial" ?? Parce que la photo et la date diffère de celui que nous connaissons habituellement. Vous pouvez voir ici le numéro du 05 mai 1969 sorti en France. Alors... Erreur de presse ou autre motif... Si quelqu'un a plus d'infos, je suis preneuse !!

Scampolo

Captures d'écran - Part 18
       

CineClassic : "Le vieux fusil" deRobert Enrico.

Source : Le western culturel - 20 octobre 2010

35e anniversaire de la sortie cinéma du film
"Le vieux fusil" de Robert Enrico

Inspiré de la tragédie d'Ouradour sur glane, "Le Vieux fusil" est l'un des films parmi les plus connus du grand public français. Robert Enrico, solide directeur d'acteurs, puissant raconteur d'histoires, a profondément touché les spectateurs avec cette histoire d'amour massacrée par la barbarie nazie.

Lors de sa sortie, en 1975, le film attira 3,4 millions de spectateurs. Le tandem Romy Schneider-Philippe Noiret excelle en complicité, tendresse, amour, détresse. Sans oublier le magnifique Jean Bouise, témoin de cette love story.

Ca commence si simplement. Une brasserie, un soir, un homme et une femme. Noiret, en costume sombre et lunettes rondes, rencontre Romy Schneider, sublime en robe noire. Regards, timidité, puis Noiret qui lâche d'une voix étranglée un "je vous aime" à cette femme qu'il juge intouchable à ses yeux.

La scène a un passé particulier. Ce qui se passe à l'écran s'est passé dans la vie de Noiret. L'homme sage, le mari de Monique Chaumette, est tombé raide dingue de "l'autrichienne" comme il le disait. Avant le tournage, un diner fut organisé par le producteur Pierre Caro avec les époux Enrico, le couple Noiret, Jardin et Schneider. Elle arriva avec deux heures de retard. Fureur de Noiret qui hurle "elle nous emmerde l'autrichienne". Et s'en va, avec sa femme.

Sa colère dissimulait ses sentiments à l'égard de la comédienne.

Le drame que narre le scénario se situe durant la seconde guerre mondiale. Les soldats SS veulent venger leurs camarades tués par la résistance. Ils massacreront plus de 600 habitants de la ville d'Ouradour. Et le personnage de Romy Schneider en fait partie. Fou de douleur, Noiret le doux se mue en justicier.

Jean Bouise, immense acteur de second rôle, observe son ami partir dans une vendetta sans espoir.

Le retentissement populaire de cette production sera récompensé du César du Meilleur film, meilleur acteur, meilleur musique pour François de Roubaix.

Robert Enrico enchaînera sur un lourd projet historique, "Coup de foudre" avec Noiret et Deneuve. Le film sera stoppé après huit jours de tournage, le producteur ayant été laché par ses partenaires allemands. Noiret ne parlera plus jamais de ce film.

LE VIEUX FUSIL ressort en DVD, dans une très belle édition, chez Fox Pathé Europa.

Romy lebt ~ Romy Schneider Archiv

Auteur : Dieter Schleifenbaum
Nouveau livre édité par Romy Schneider Archiv (RSA) que vous trouverez (quasi) exclusivement sur leur site internet et sur Amazon.de

Le livre-album "Romy lebt" contient plus de 50 photos inédites édité sous forme de livre et plus que 30 pages des lettres inconnues, et à disponible à la commande. L'expédition est prévue pour la fin du mois de novembre.

Voir mon avis en vidéo sur cette note !

Edition simple :
Format : 24 x 31cm
200 pages
Prix : 70 euros

Edition de luxe avec 1 photo
Livré avec une photo 24x30 cm (à choisir parmi 3 photos) signée par Helga Kneidl
Prix : 150 euros

Edition de luxe avec 3 photos
Livré avec trois photos 24x30 cm signées par Helga Kneidl
Prix : 250 euros

Photos à choisir :
 

Frimousse Magazine - N° 1 - 07 mars 1961

Article intérieur : * Roman photo "Katia" avec Romy Schneider 15 pages 49 photos

Mireille - N° 309 - 06 janvier 1960

Article intérieur : * Roman photos "Sissi" (5e partie) 3 pages 8 photos Voir : N° 305 (1ère partie) - N° 306 (2e partie) - N° 307 (3e partie) - N° 308 (4e partie) - N° 310 (6e partie - Fin)

Blind test, l'affiche

 
Sortie au cinéma le 27 octobre 2010

"Blind test" : Une comédie à l’aveugle

Source : L'Alsace.fr - 17 octobre 2010

Georges Ruquet, réalisateur et scénariste, Manuel Blanc, comédien, et Franck Llopis, producteur, sont venus présenter leur film "Blind test" hier au festival de Colmar.

Votre film est un mélange des genres…
Georges Ruquet : On a joué sur les genres en effet, ce qui fait qu’on a du mal à le classer. C’est presque du soap au début… Je voulais un cliché : un couple qui a des doutes sur sa vie. Une situation qui permet que la situation puisse dégénérer. Je voulais aussi que les sentiments entre Bertrand (Manuel Blanc) et Vinko (Johan Libereau) soient crédibles. Le ton comique est apporté par Joyce (Sarah Biasini). J’ai parodié plusieurs genres. Manuel Blanc : le personnage de Bertrand n’envisage pas que ça tourne comme ça. Tous sont dépassés par la situation. J’aimais bien ce personnage submergé par les événements. La comédie je ne l’avais jamais abordée au cinéma. Et la comédie décalée me séduit. C’est sans doute quelque chose que j’aimerais aborder davantage.

Est-ce une volonté d’être inclassable ?
Georges Ruquet : Non, ce serait malhonnête de dire ça. C’est plus pour des préoccupations d’écriture. J’avais envie de rentrer dans un univers sans limitation de genres. Franck Llopis : Le genre inclassable complique sa distribution. L’exploitation n’est pas évidente de par la durée du film (77 mn) et l’objet cinématographique.

Le film s’est tourné dans une forme d’urgence…
Manuel Blanc : on a tourné en deux semaines. C’est un vrai défi. On est presque comme au théâtre : il faut arriver en ayant préparé chaque scène. Mais c’était très rock’n roll. C’est agréable d’avoir des tournages qui court-circuitent les habitudes acteurs. C’est ce qui m’excite de plus en plus dans mes projets.
Georges Ruquet : les restrictions étaient budgétaires. Nous n’avons aucun des financeurs habituels d’un film (Région, télévision, etc.). J’en ai marre de mendier. Là, on avait un pécule, il fallait faire avec. Mais je ne regrette rien de tout ça. Les risques sont calculés.

Vous avez un titre à tiroirs ?
Manuel Blanc : oui, visiblement…
Georges Ruquet. : L’idée c’est aussi d’emmener le spectateur vers quelque chose d’inattendu : faux cambriolage, fausse prise d’otage…

Propos recueillis par I.G.

Le Soir Illustré - N° 1433 - 10 décembre 1959

Article intérieur : * "Katia et le tsar" : Romy Schneider et Curd Jurgens font revivre à l'écran un beau roman d'amour 4 pages 7 photos

Sarah Biasini

Mireille - N° 308 - 30 décembre 1959

Article intérieur : * Roman photos "Sissi" (4e partie) 3 pages 8 photos Voir : N° 305 (1ère partie) - N° 306 (2e partie) - N° 307 (3e partie) - N° 309 (5e partie) - N° 310 (6e partie - Fin)

La belle et l'empereur

Captures d'écran - Part 19
     

"Blind test" clôture le festival de Colmar

Le film "Blind test" de Georges Ruquet dont la sortie est prévue pour le 27 octobre prochain sera diffusé en avant-première au festival de Colmar (Alsace - 68) qui se déroule du 10 au 16 octobre 2010.

 

Jeunesse Cinéma - N° 71 - Octobre 1963

Article intérieur : * La tristesse de Romy Schneider 1 page 0 photo

Le Magazine - N° 36 - Octobre 2010

Le nouveau numéro du "Magazine" est disponible et déjà dans votre boîte mail si vous y êtes abonné. Vous n'êtes pas encore destinataire ? Pour le recevoir, c'est très simple et gratuit : une adresse mail suffit. Pour toute info complémentaire, consultez le QCM du Mag ou laissez un commentaire.

La maquette (total : 20 pages) :
 

Mireille - N° 307 - 23 décembre 1959

Article intérieur : * Roman photos "Sissi (3e partie) 3 pages 8 photos Voir : N° 305 (1ère partie) - N° 306 (2e partie) - N° 308 (4e partie) - N° 309 (5e partie) - N° 310 (6e partie - Fin)

Jeunesse Cinéma - N° 54 - Mai 1962

Pas d'article intérieur

Romy Schneider, passionnément

Source : Cinéma du Parc

Rétrospective Romy Schneider au cinéma
du 08 au 21 octobre 2010
Cinéma du Parc - 3575 avenue du Parc - Montréal (Québec)

Romy Schneider, passante inoubliable, a traversé le cinéma comme un météore en y laissant une empreinte indélébile. Il y a maintenant vingt-cinq ans que s'est éteint ce regard où la gaieté finissait toujours par s'embuer de mélancolie. Comme Audrey Hepburn, avant même d'être belle, Romy était le charme, la féminité et la grâce. C'est pourquoi elle nous a tant touchés, tant émus. Elle réunissait ce que la femme symbolise de mieux : la ferveur et la fragilité, l'opiniâtreté et la douceur, la simplicité et la coquetterie, le courage et l'abandon. Elle était la femme parce qu'elle savait être toutes les femmes.

Rosemarie Magdalena Albach est née le 23 septembre 1938 à Vienne d'un père et d'une mère acteurs. C’est à l’âge de quatorze ans qu’elle fait de courtes apparitions dans certains films, chaperonnée par sa mère Magda. Son minois ravissant, qui sait accrocher la lumière, plait tant au public, si bien qu'elle sera choisie quelques années plus tard pour interpréter le rôle de l'impératrice d'Autriche Elisabeth, dite "Sissi", dans une trilogie qui connaîtra un incroyable succès international. Projetée dans un tourbillon frénétique de bals, d'interviews, de séances de photos, elle se laisse porter un moment par cette vie dorée qui lui apparaît bientôt futile et risque de l'enfermer dans un carcan dont elle subodore les conséquences désastreuses. Il lui faut, sans tarder, prendre son destin en main et faire en sorte de s'évader d'un cinéma qui ne la satisfait plus. Le salut viendra avec "Christine", une romance à crinoline qui lui donne pour partenaire Alain Delon. C'est grâce à Delon qu'elle rencontre l'homme qui sera son Pygmalion : le cinéaste Luchino Visconti.

Derrière la jeune fille de bonne famille, le maestro devine un vrai tempérament. Il décide alors de la mettre en scène au théâtre dans "Dommage qu'elle soit une putain". Terrifiée, elle relève le défi, prend des cours de diction et de français et finit par triompher et s'imposer comme une véritable comédienne. Romy Schneider est née.

Delon l'appelle pour devenir sa partenaire dans le prochain film de Jacque Deray "La piscine". Ce film va révéler au public une actrice de trente ans au sommet de sa beauté et de son talent. La maternité a fait d'elle une femme épanouie, resplendissante et apparemment sûre d'elle. C'est grâce à ce long métrage que Claude Sautet découvre la vedette qu'il cherche et qu'il saura utiliser comme personne dans plusieurs de ses réalisations : "Les choses de la vie", "Max et les ferrailleurs", "César et Rosalie", installant Romy au panthéon des actrices françaises et l'imposant comme l'égérie radieuse des années 70.

C'est probablement avec "L'important, c'est d'aimer" qu'elle ira le plus loin dans un univers crépusculaire qu'elle portait en elle et où elle incarne, sous la direction de Zulawski, une actrice sans envergure et exprime remarquablement sa solitude face à un monde déboussolé et sinistre. Puis elle tournera Robert Enrico "Le Vieux Fusil" où, face à un Philippe Noiret remarquable, elle fait une composition d'une grâce bouleversante, avant d'être "La Banquière" de Francis Girod, un film à costumes qui retrace la montée puis la chute d'une femme d'affaires et où Romy se montre séduisante et déterminée.

Après des années difficiles, elle tourne encore "La passante du Sans-Souci" avant de tirer sa révérence à l'âge de 43 ans, moins d'un an après la mort de son fils David... Les épreuves et les barbituriques auront eu raison de sa santé.

Mais il nous reste ses films, le souvenir de sa silhouette, de son pas vif, de son sourire, de ses larmes, de la grâce de ses gestes, de son rire délicieux et de cette mélancolie toujours présente comme un adieu éternel à la vie.

PROGRAMMATION :

L'enfer d'Henri-Georges Clouzot     Vendredi 8 octobre 18h45     Samedi 9 octobre 21h30     Dimanche 10 octobre 18h45     Lundi 11 octobre 21h30 The cardinal (STF)     Vendredi 8 octobre 20h30     Samedi 9 octobre 18h15     Dimanche 10 octobre 20h30 Le procès     Samedi 9 octobre 14h15     Dimanche 10 octobre 16h30     Lundi 11 octobre 14h00     Mardi 12 octobre 19h00     Mercredi 13 octobre 21h00 10:30PM summer     Samedi 9 octobre 16h30     Dimanche 10 octobre 14h45     Lundi 11 octobre 16h15     Mardi 12 octobre 21h15 Le combat dans l'île     Mercredi 13 octobre 19h00     Jeudi 14 octobre 19h00 La piscine     Vendredi 15 octobre 19h00     Samedi 16 octobre 19h00

L'important, c'est d'aimer     Vendredi 15 octobre 21h15     Samedi 16 octobre 21h15     Dimanche 17 octobre 18h45 Les choses de la vie + Le travail (Boccaccio 70)     Jeudi 14 octobre 21h00     Samedi 16 octobre 14h30     Lundi 18 octobre 21h30 The assassination of Trotsky (STF)     Samedi 16 octobre 17h00     Dimanche 17 octobre 14h45 César et Rosalie     Dimanche 17 octobre 16h45     Mardi 19 octobre 19h00 Le vieux fusil     Dimanche 17 octobre 21h15     Mardi 19 octobre 21h15 La passante du Sans-Souci     Mercredi 20 octobre 19h00     Jeudi 21 octobre 21h15 La banquière     Mercredi 20 octobre 21h15     Jeudi 21 octobre 18h45

Mireille - N° 306 - 16 décembre 1959

Article intérieur : * Roman photo "Sissi" (2e partie) 3 pages 7 photos Voir :   N° 305 (1ère partie) - N° 307 (3e partie) - N° 308 (4e partie) - N° 309 (5e partie) - N° 310 (6e partie - Fin)

L'antichambre

Captures d'écran - Part 15
 

Le procès

DVD - 2 disques
Editions : Kinowelt
Format : HiFi Sound, PAL, Widescreen
Studio : Kinowelt GmbH

Sortie : 18 novembre 2010

Langues : Allemand, Anglais, Français
Sous-titres : Allemand
Bonus : "Kafka geht ins Kino" (doc) - "Orson Welles - The One Man Band" (doc)

Prix : ~ 20 euros

Disponible à la commande sur Amazon.de