Source : DeviantArt.com
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02h31 dans La publicité | Lien permanent | Commentaires (5)
Source : Comme au cinéma.com - 10 octobre 2009
Pour sa 5ème édition le Festival va encore plus loin dans son envie de faire apprécier aux Réunionnais un cinéma de toutes les cultures. Les films seront présentés par leurs réalisateurs au public du Ciné Cambaie.
Jury :
Succédant à Patrice Leconte, Etienne Chatiliez sera le Président du Jury de cette nouvelle édition. Avec son jury composé de Rossy De Palma, Marina Foïs, Emma De Caunes, Alice Taglioni ; Etienne Chatiliez remettra le "Mascarin" du meilleur film primé par la Fondation France Télévisions (dotation de 10 000 euros pour le réalisateur), le "Mascarin" de la meilleure interprétation féminine et le "Mascarin" de la meilleure interprétation masculine, deux prix primés par le magazine Marie Claire.
Films en compétition :
17h12 dans Film-1964-Enfer | Lien permanent | Commentaires (0)
Le jury 2009
Françoise Fabian et Hugh Hudson, parrains de ce 20ème anniversaire du Festival du Film Britannique de Dinard viennent de donner le coup d'envoi de l'édition 2009.
Photo : Stéphan Freiss, Sarah Biasini (qui, avec Julie Ferrier, a rejoint le jury à la dernière minute) et Jean-Paul Rappeneau
20 ans : l'âge de tous les possibles. De toutes les audaces. Parce que Dinard, aussi, est le festival de tous les possibles et de toutes les audaces. Un festival dont les organisateurs ne se prennent pas au sérieux (et Hussam Hindi, le directeur du festival nous l'a encore démontré ce soir lors de l'ouverture) mais qui considère sérieusement le cinéma qu'il célèbre et honore depuis 20 ans déjà.
10 ans que je connais ce festival avec lequel j'ai un lien si particulier (que je vous explique dans l'article suivant celui-ci) et le plaisir de revenir ici, de retrouver cette ambiance si particulière, cinéphile et conviviale, après un an d'absence en est encore accru. Pour l'occasion Dinard met en avant les réalisateurs de demain et a retrouvé la statue d'Hitchcock qui veillait de son œil malicieux sur Dinard.
Un Hitchcock qui a ravi les spectateurs de l'ouverture avec un document rare de 1963 restauré par le British Film Institute dans lequel Hitchcock se met lui-même en scène et nous parle de ses origines et de sa passion avec une intelligence espiègle. A ce court-métrage a succédé la projection de « An Englishman in New York » de Richard Laxton avec John Hurt, époustouflant, auquel le film doit tout, présent à Dinard pour l'occasion et alors qu'il était déjà présent lors de la première édition.
08h23 dans News Sarah | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : DeviantARt.com
02h56 dans Ca tourne autour... | Lien permanent | Commentaires (2)
Tapis rouge et clap de lancement, ce soir pour la 20e édition du festival du film britannique de Dinard (35). Jusqu’à dimanche, six films sont en compétition pour le Hitchcock d’or.
Des avant-premières sont également organisées pour le public, ainsi que des hommages à des grands noms du cinéma britannique et des rétrospectives. Souvent, une séance spéciale intervient aussi, dans laquelle est présenté en avant-première un film français qui a été co-produit par les Britanniques ou a été tourné au Royaume-Uni.
Sarah Biasini, la fille de Romy Schneider est l'univitée surprise et membre du jury de la 20e édition du festival du film britannique.
Les films en compétition cette année :
CRYING WITH LAUGHTER de Justin Molotnikov.
21h57 dans News Sarah | Lien permanent | Commentaires (0)
Comme je vous l'annonçais le 25 septembre dernier, Sarah Biasini sera dans la nouvelle pièce de Salomé Lelouch "Qu'est-ce qu'on attend ?" au théâtre Ciné 13 à compter du 13 novembre 2009 pour un minimum de 2 mois (la date de fin reste à confirmer).
Infos pratiques :
Théâtre Ciné 13 - 1 Avenue Junot – 75018 Paris
Réservations : 01.42.54.15.12 - mail : [email protected]
Dates :
Mercredi, jeudi et vendredi à 21 h 15
Samedi à 17 h 30 et 21 h 15
Tarifs :
Or = 30 euros
Tarif plein = 27 euros
Réduit et -26 ans = voir avec le théâtre
17h01 dans Thea-2009- Qu'est-ce qu'on Attend | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Yahoo.de - 07 octobre 2009
Cliquez ici pour lire la traduction en ligne de cet article.
Vitte (ddp-nrd). An die Probeszene mit Yvonne Catterfeld für den Kinofilm über Romy Schneider kann sich Renate Seydel noch genau erinnern. Produzent Douglas Welbat hatte sie nach Berlin eingeladen. Dann sah Seydel, die insgesamt drei Biografien über Romy Schneider geschrieben hat, Catterfeld als Besetzung für die Hauptrolle von «Eine Frau wie Romy». «Mit einem Mal hab ich gedacht, das kann nicht wahr sein!«, erinnert sich die 72-Jährige. Mit ihrem Charme und der verblüffenden Ähnlichkeit mit Romy Schneider überzeugte Catterfeld alle, selbst Schneiders Exmann Daniel Biasini.
Renate Seydel kannte Romy Schneider (1938-1982) nicht persönlich, dennoch ist sie mit dem Leben der früh verstorbenen Schauspielerin vertraut wie wenige andere Menschen. 1987, fünf Jahre nach Romys Tod am 29. Mai 1982 in Paris, war ihr Bildband einer der ersten über Romy Schneiders Leben. Quasi ihr ganzes Berufsleben befasst sich Seydel, die in Berlin Germanistik studiert hatte und später als Lektorin und Autorin arbeitete, mit Romy Schneider. Bis heute lässt sie die Geschichte der jungen Frau nicht los.
Romy Schneider selbst habe keine Autobiografie geschrieben. «Die Arbeit an den 58 Filmen ließen ihr keine Ruhe, keine Zeit, keine Pause, Endgültiges oder nur Vorübergehendes über sich zu formulieren», sagt die Autorin. «Ich war deshalb angewiesen auf das Überlieferte und Vorhandene: ihre kurzen Notizen, flüchtig hingeworfene Zettel während der Dreharbeiten, ihre Briefe, Tagebücher und Notate, ihre Äußerungen den Journalisten gegenüber, die Interviews mit ihren Ansichten und Meinungen.»
Sie sprach absichtlich nicht mit Romys Familie, ihren Freunden und Kollegen. «Ich wollte mich nicht durch Interviews beeinflussen lassen. Es war mir wichtig, das Bild von Romy durch Zeitzeugnisse entstehen zu lassen», erklärt die Autorin. In zwei Jahren gründlicher Recherchearbeit sammelte sie 680 Seiten Manuskript, aus denen die Bildbiografie entstand.
Der im Ostberliner Henschelverlag erschienenen Bildbiografie «Bilder ihres Lebens» folgten ein Jahr später zum 50. Geburtstag der Schauspielerin zwei weitere Publikationen. «Ich, Romy - Tagebuch eines Lebens» und ein Band über Romys Mutter Magda Schneider «Wenn ich zurückschau» wurden große Erfolge. Erst nach Erscheinen des Bandes hatte Magda Schneider Seydel über die Telefonauskunft suchen lassen und sie nach Paris eingeladen. «Für das Buch hat man damals im Tausch alles Mögliche, was in der DDR knapp war, bekommen», erinnert sich Seydel.
Aber die Arbeit in der DDR brachte auch Schwierigkeiten mit sich. Es sei nicht leicht gewesen, für die Nacktaufnahmen von Romy eine Druckgenehmigung zu bekommen. Auf der anderen Seite sei es auch immer eine schmale Gratwanderung gewesen, zu entscheiden, welche Bilder und Texte veröffentlicht werden sollen.
Über die Jahre verfolgte Renate Seydel, die inzwischen in Vitte eine Buchhandlung führt, alle Veröffentlichungen über Romy Schneider. Auf den Kinofilm hatte sie sich gefreut. Douglas Welbat habe sie dafür auf Hiddensee besucht und sich lange mit ihr über Romy unterhalten. Vor allem nach der Bekanntschaft mit Catterfeld würde sie es «sehr bedauern», wenn der Film nicht verwirklicht werden sollte. Im Sommer hatte die Schauspielerin ihr Mitwirken am Streifen gar in Frage gestellt, die finanziellen Schwierigkeiten des Produzententeams seien offenbar größer als gedacht, hatte Catterfeld begründet.
Produzent Douglas Welbat hingegen versichert, die finanziellen Schwierigkeiten inzwischen beseitigt zu haben. «Ich bin zweifelsfrei davon überzeugt, dass der Film verwirklicht wird», sagt er. Renate Seydel freut sich erst einmal darauf, Romy auf dem Bildschirm zu sehen. Im November wird in der ARD der Fernsehfilm »Romy" mit Jessica Schwarz in der Titelrolle ausgestrahlt.
11h53 dans Films-Romy | Lien permanent | Commentaires (0)
DVD - 1 disque
Format : Dolby, PAL - 16:9
Langue : Allemand (Dolby Digital 2.0)
Sous-titres : ?
Bonus : Making of
Studio: Kinowelt Home Entertainment/DVD
Sortie : 12 novembre 2009
Durée : 100 minutes
Prix : de 15 à 16 euros
Disponible à la commande sur Amazon.de
03h41 dans En DVD !, Films-Romy | Lien permanent | Commentaires (10)
Source : La Plume et l'Image - 09 septembre 2006
Claude Sautet représente, dans le courant de la Nouvelle Vague, un cinéma sans prétention particulière, proche de ces choses de la vie qui concernent chacun de nous, tranches d'existence finement observées par un cinéaste qui parait aimer sincèrement les gens dont il rend si bien, par l'image et le dialogue, les joies et les peines quotidiennes. Né le 23 février 1924 à Montrouge, Claude Sautet se destinait d'abord à la peinture et à la sculpture avant d'entrer à l'IDHEC en 1946 et de faire ses premiers pas dans le monde cinématographique comme assistant de Carlo Rim, Yves Robert et Georges Franju. Scénariste et adaptateur prolixe, il participe à de nombreux films dont "Les yeux sans visage" de Franju, "Borsalino" de Deray, "Le voleur" de Louis Malle et "Le soleil des voyous" de Jean Delannoy. Après une oeuvrette oubliée, il débute en tant que réalisateur à part entière en 1960 avec un policier interprété par Lino Ventura et Jean-Claude Belmondo "Classe tous risques", où il ne se distingue par aucun trait original ou provocateur, sinon comme un bon artisan du film d'action, sobre et précis dans sa mise en scène. Le second film sera de la même veine, toujours interprété par Lino Ventura "L'arme à gauche", dont l'action se déroule presque entièrement sur un bateau et où Sautet confirme ses qualités de directeur d'acteurs et de metteur en scène habile et efficace.
Avec "Les choses de la vie" en 1970, il change subitement de registre. La critique se montrera enthousiaste de cette tragédie actuelle à la construction parfaitement maîtrisée, inspirée d'un roman de Paul Guimard , qui collaborera à l'adaptation avec Jean-Loup Dabadie, et nous convie aux errances du coeur. Dans ses films suivants, Sautet ne va plus s'éloigner de ce genre qui semble lui convenir et où il s'affirme comme un portraitiste avisé d'une société contemporaine en pleine mutation. "César et Rosalie", tourné en 1972, décrit les difficultés d'un couple, celui de César, vendeur en métaux de récupération, confronté à une situation délicate : la réapparition d'un ancien amant de Rosalie, David, qu'elle parait aimer encore. Plutôt que de la perdre, le mari préfèrera inviter l'indésirable à venir vivre auprès d'eux, ce qui sera l'occasion d'une comédie riche en rebondissements et révélations sur les sentiments véritables de ce ménage à trois.
Bien écrit et subtilement dirigé, ce film obtiendra un immense succès auprès du public qui se reconnaît dans les personnages, cheminant plus ou moins douloureusement entre leurs échecs affectifs et professionnels, leurs aventures sentimentales et leurs évasions dominicales dans la maison de famille. L'analyse de Sautet touche juste. Traitée avec grâce et limpidité, cette chronique sait dévoiler les faiblesses, les hésitations, les perplexités, les rodomontades, les déceptions de ses héros et nous offre un panel des problèmes de la vie quotidienne. Tout est dit d'un trait vif, d'un regard, d'une expression, d'un mot, d'une répartie, en se jouant habilement du ralenti et du flash -back. Il faut souligner également le souci de Sautet à choisir, comme interprètes, des acteurs de premier plan qui collent parfaitement à leur rôle. C'est le cas d'Yves Montand dans celui de César. Il est merveilleux en amoureux inquiet, violent, jaloux, excessif, vantard, désemparé et sincère. Il nous révèle la gamme des sentiments que peut éprouver un mari délaissé. Emouvant et drôle, hableur et désarmé, il se livre à un festival éblouissant qui friserait parfois le cabotinage si l'art du metteur en scène n'était là pour le contenir, tandis que Sami Frey, ironique, désinvolte, sûr de lui, goguenard, lui fait face en déclinant la gamme des sentiments opposés. Un régal. Je garde pour la fin, Romy Schneider dans le rôle de Rosalie, toute en charme dans la séduction de son éblouissante jeunesse. Elle nous enchante simplement et trouve là un rôle qui correspond à l'image que le public se faisait d'elle : femme moderne, indépendante mais vulnérable, délicieuse et néanmoins nimbée d'une indicible tristesse. Inoubliable Romy...
02h16 dans Film-1972-Rosalie | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Bild.de - 05 octobre 2009
Es ist die größte Herausforderung schauspielerische ihrer Karriere: Jessica Schwarz (32) spielt Romy Schneider († 43, "Sissi") - ihre Traumrolle !
Sehen Sie exklusiv auf BILD.de den Film-Trailer! Sehen Sie auf den exklusiv BILD.de Cinéma-Trailer! Markus Brunnemann hat den Film "Romy" produziert, Torsten C. Fischer führte Regie, Jessica Schwarz spielt die Hauptrolle. Markus Brunnemann hat den Film "Romy" produziert, Torsten C. Fischer Regie führte, Jessica Schwarz spielt die Hauptrolle. Bei der Vorstellung des Films verriet sie jetzt, wie sehr die Rolle sie emotional mitgenommen hat. Bei der Vorstellung des Films Verriet Sie jetzt, sehr wie die Rolle sie hat mitgenommen émotionnel.
"Der schwerste Drehtag war für mich die Szene vor dem Haus, wo Romys Sohn gestorben ist. "Der schwerste drehtag für mich war die vor dem Haus Szene, wo ist gestorben Romys Sohn. Wir haben am Originalschauplatz in Paris gedreht, und das war schon ein ganz schöner Schock." Romy Schneiders vierzehnjähriger Sohn David Christopher war 1981 tödlich verunglückt bei dem Versuch, einen scharfkantigen Zaun zu überklettern. Wir haben am Originalschauplatz dans gedreht Paris, und das war schon ein ganz schöner Schock. "Romy Schneider vierzehnjähriger Sohn David Christopher guerre 1981 tödlich verunglückt bei dem Versuch, einen scharfkantigen Zaun zu überklettern.
Zur Vorbereitung habe Jessica Schwarz viel über das tragische Leben der Ikone gelesen, die 1982 im Alter von 43 Jahren starb (offizielle Todesursache : Herzversagen, aber noch heute gibt es Selbstmordgerüchte). Zur Vorbereitung Jessica Schwarz habe viel über das Leben der Ikone tragische gelesen, die 1982 im Alter von 43 Jahren starb (offizielle Todesursache : Herzversagen, gibt es aber noch heute Selbstmordgerüchte).
Alain Delon war Romy Schneiders größte Liebe : Der legendäre Filmkuss der beiden wurde von Jessica Schwarz und ihrem Filmpartner Guillaume Delorme nachgeküsst. Alain Delon Romy Schneider guerre Liebe größte : Der legendäre Filmkuss wurde der beiden von Jessica Schwarz und ihrem Filmpartner Guillaume nachgeküsst Delorme.
Trotzdem war es für Jessica Schwarz nicht die beste Szene des Films: "Die schönsten Szenen waren die, als Romy frisch nach Paris gekommen war und sich dort von allen Sissi-Zwängen befreite. Es war für Trotzdem Jessica Schwarz nicht die beste Szene des films: "Die schönsten Szenen waren die, als Romy frisch Paris gekommen guerre sich nach und dort von allen Sissi Zwängen Befreite. Das war, glaube ich, auch die glücklichste Zeit in ihrem Leben." Das war, ich glaube, auch die Zeit glücklichste in ihrem Leben."
Außerdem sind in dem Film Thomas Kretschmann, Maresa Hörbiger und Heinz Hoenig zu sehen. Die Dreharbeiten sind abgeschlossen, ausgestrahlt wird der Film am 11. Außerdem sind in dem Film Thomas Kretschmann, Maresa Hörbiger Heinz Hoenig und zu sehen. Die Dreharbeiten abgeschlossen sind, ausgestrahlt wird der Film am 11. November um 20.15 Uhr in der ARD. Novembre um 20.15 Uhr in der ARD. Anschließend zeigt der Sender die Dokumentation von Julia Benkert : "Romy Schneider – Eine Nahaufnahme“. Anschließend zeigt die Dokumentation der Sender von Julia Benkert : "Romy Schneider - Eine Nahaufnahme".
23h20 dans Films-Romy | Lien permanent | Commentaires (2)
02h22 dans Artistes | Lien permanent | Commentaires (1)
DVD - 1 disque
Format : Couleur, Dolby, Mono, Cinémascope, PAL
Langue : Français, Italien
Sous-titres : Français
Région : 2
Studio : Sony Pictures Home Entertainment
Date de sortie du DVD : 4 novembre 2009
Prix : ~ 10 euros
Disponible à la commande sur Amazon.fr ou Fnac.com
NDLR : Ré-édition d'un DVD paru en 2003 qui contenait 2 DVDs (toujours disponible sur Fnac.com).
21h01 dans En DVD !, Film-1961-Boccace 70 | Lien permanent | Commentaires (0)
02h49 dans Wallpapers | Lien permanent | Commentaires (0)
02h08 dans Thea-2008-Antichambre | Lien permanent | Commentaires (0)
02h24 dans La publicité | Lien permanent | Commentaires (0)
Comme l'année dernière, j'ai reçu l'autorisation de publier les photos de l'exposition, qui se déroulait le week-end dernier dans le ville de Tremblay-sur-Mauldre (78), organisée par l'association Amicale Romy Passion (ARP). En voici le principal et en espérant vous y voir l'année prochaine !!
Merci de ne pas copier ou publier ces photos dans l'autorisation de l'Amicale.
20h38 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (6)
Source : La plume et l'image - 05 août 200
Inspiré d'une histoire vraie, "Le vieux fusil" de Robert Enrico peut se résumer en quelques lignes : en 1944, pour mettre à l'abri des bombardements possibles sa femme et sa fille, un médecin, Julien Dandieu, les fait conduire toutes deux dans une ancienne citadelle qu'il possède à la campagne, au-dessus d'un petit bourg. Lorsqu'il se rend sur les lieux peu de temps après, il découvre avec horreur qu'elles ont été sauvagement massacrées, ainsi que les habitants du village, par une troupe d'officiers et soldats allemande qui a réquisitionné son domaine. Cet homme, jusqu'alors tranquille et bienveillant, n'aura désormais plus de cesse que de frapper un ennemi qui ne respecte pas les lois élémentaires de la guerre - épargner les civils et principalement les femmes et les enfants. Le film est à tous égards bouleversant. On y voit comment un homme, foncièrement bon, meurtri par le malheur le plus incohérent, le plus violent et intolérable qui soit, va se faire le justicier de ces innocentes victimes, en sorte que de tels crimes ne restent pas impunis, posant à l'homme d'aujourd'hui les questions suivantes : une cause juste doit-elle rester sans défense, un crime sans châtiment, et le mal s'installer dans une civilisation comme un fait quotidien, quand on sait que la pusillanimité prépare le lit des tyrans et que les traités faibles ré-animent toujours les conflits forts ?
Ce film est donc remarquable à plus d'un titre ; tout d'abord par cette tension qui va crescendo et où la loi du talion est respectée à la lettre, le héros malgré lui parvenant, avec des procédés, certes peu catholiques, à exterminer la troupe d'allemands qui a investi son château et, ce, dans un décor qui ajoute encore à une ambiance lugubre et glauque. En effet, les dédales des souterrains, la pierre sombre composent un cadre idéalement dantesque, tandis que la musique lancinante ponctue de son phrasé douloureux un paysage rural subitement plongé au coeur d'un drame humain sans précédent. Il l'est aussi et surtout par la composition que chaque acteur fait de son personnage, à commencer par Philippe Noiret, immergé dans le sien jusqu'à ce souffle haletant qui fait contrepoint à la musique et exprime une souffrance à la limite du supportable, où tout devient permis, et où cette quête hallucinée de vengeance le plonge dans une névrose dont il est à la fois l'artisan et la victime. Sans aucun doute, l'un des plus grands rôles de Noiret.
Auprès de lui, Romy Schneider représente le bonheur perdu, la grâce sacrifiée et il est vrai qu'elle campe cette jeune femme pleinement épanouie entre son mari et sa petite fille avec une délicate féminité - rappelons-nous la scène où coiffée d'un chapeau à voilette, elle soulève gracieusement celle-ci pour poser ses lèvres sur les bords de sa coupe de champagne - il y a là l'image d'une jeunesse dans sa plénitude, son innocence, sa fraîcheur, à la fois effacée et inoubliable, chantée et détruite, qui élève le film à une hauteur mythique, exprimant en quelques prises de vues, d'une remarquable efficacité, la synthèse même de l'inacceptable. Un film à voir et à revoir et qui ne cesse, hélas ! de soulever des interrogations toujours d'actualité.
"Le vieux fusil" reçut le César du Meilleur film en 1976 des mains de Jean Gabin.
Abarguillet
02h01 dans Film-1975-Vieux Fusil, Les critiques | Lien permanent | Commentaires (1)
Source : Portraits de Stars
02h16 dans Artistes | Lien permanent | Commentaires (0)
Souce : PR-inside.com - 1er octobre 2009
Le musée du film et de la télévision de Berlin expose Romy Schneider du 05 décembre 2009 au 30 mai 2010 : «Romy Schneider. Wien - Berlin - Paris».
Das Museum für Film und Fernsehen in Berlin zeigt ab dem 5. Dezember eine Ausstellung über die 1982 verstorbene Romy Schneider. «Romy Schneider. Wien - Berlin - Paris» dokumentiere die wechselhafte Karriere des Filmstars, teilten die Organisatoren am Donnerstag mit. Auf einer Fläche von 450 Quadratmetern zeige sie anhand von Medieninstallationen sowie Film-, Presse- und Privatbildern Rollen- und Imagewechsel der Schauspielerin und ihre Darstellung in der Öffentlichkeit. Zudem werden Plakate, Kostüme, Korrespondenzen und Fanartikel präsentiert. Die Ausstellung geht den Angaben zufolge bis zum 30. Mai 2010. Die «Sissi»-Darstellerin Schneider war, nachdem sie zum Teil öffentlich mit ihren Rollen in Deutschland gehadert hatte, nach Paris gegangen, um Frauenrollen zu spielen, die ihrem schauspielerischen Können und ihren Ansprüchen gerecht wurden - und avancierte dort zu einem der größten Stars des französischen Kinos. Zugleich wurde sie auf Schritt und Tritt von der Boulevardpresse verfolgt. Im Mai 1982 starb sie in Paris.
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Source : Berlin.de - 07 octobre 2009
Die Ausstellung "Romy Schneider. Wien – Berlin – Paris", die das Museum für Film und Fernsehen in seinen Räumen präsentiert, dokumentiert die wechselhafte Karriere Romy Schneiders, die Ende der 1950er Jahre nicht mehr "Sissi" sein wollte und in den 1970er Jahren als Star des französischen Kinos gefeiert wurde.
Romy Schneider haderte öffentlich mit ihren Rollen in Deutschland und ging nach Paris, um Frauen zu spielen, die ihrem schauspielerischen Können und ihren Ansprüchen gerecht wurden. Anfang der 1970er Jahre ließ sie sich in Frankreich nieder und avancierte zu einem der größten Stars des französischen Kinos, wurde mehrfach ausgezeichnet und drehte mit fast allen großen Regisseuren und Schauspielern jener Zeit.
Opfer der Boulevardpresse
Paparazzi verfolgten die Schauspielerin auf Schritt und Tritt und dokumentierten ihre Schicksalsschläge für die internationale Boulevardpresse, als deren Opfer sich Romy Schneider zeitlebens fühlte. Im Mai 1982 starb Romy Schneider in Paris. Bis heute zählt sie zu den Weltstars des Kinos, sie wird von Millionen Fans in aller Welt verehrt.
Hommage an Romy Schneider
Die Hommage, die auf einer Ausstellungsfläche von 450 qm im Filmhaus zu sehen ist, thematisiert ebenso die Rollen- und Imagewechsel der Schauspielerin wie ihre Darstellung in den Medien. Bilder aus Film, Presse und Privatleben werden nach wiederkehrenden Motiven gruppiert und mit Filmausschnitten kombiniert. Medieninstallationen zeigen das Wechselspiel zwischen Projektion und aktiver Selbstinszenierung. Ergänzend werden Plakate, Kostüme, Korrespondenzen und Fanartikel präsentiert.
Filmpartner und Familie
Zahlreiche Fotos von Romy Schneider, ihren Filmpartnern und ihrer Familie aus den 1950er und 1960er Jahren, bisher weitgehend unbekannt, stammen aus den Sammlungen der Deutschen Kinemathek. Zusätzlich werden Leihgaben von anderen Institutionen und Privatpersonen zu sehen sein, etwa von den Fotografen F.C. Gundlach und Robert Lebeck sowie aus dem persönlichen Archiv des Filmregisseurs Claude Sautet.
Die Ausstellung auf einen Blick :
Was: Romy Schneider. Wien - Berlin - Paris
Wann: 5. Dezember 2009 bis 30. Mai 2010
Wo: Museum für Film und Fernsehen
Informations utiles :
Di - So 10–18 Uhr
Do 10–20 Uhr
Mo geschlossen
Entrée : 4,- Euro/erm. 3,- Euro (nur Sonderausstellung)
Adresse: Romy Schneider Wien – Berlin – Paris
Potsdamer Straße 2 - 10785 Berlin
21h57 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (0)
02h26 dans Film-1958-Christine | Lien permanent | Commentaires (0)