De Romy Schneider... à Sarah Biasini

Luchino Visconti, Ein Leben in Bildern

Textes de Marianne Schneider et Luchino Visconti
Editions Schirmer Mosel
Langue : allemand
Sortie : Mars 2008
240 pages - 160 photos
Prix : 68 euros

ISBN-10: 3829602367
ISBN-13: 978-3829602365

Disponible à la commande sur Amazon.de

Cette biographie retrace la vie et le travail d'un des plus grands du théâtre et du cinéma d’Italie.

Kitty

Les cartes postales - Part 2
 

Les derniers jours de... Romy Schneider

Première diffusion TV : samedi 12 janvier 2008 à 14 h
Durée : 52'
Réalisation : Bertrand Tessier
Production : France 5 / Sunset Presse
Année : 2007

Pour visionner la vidéo : cliquez ici

Un documentaire lève le voile sur les derniers mois de Romy Schneider
Source : Cyberpress.ca - 11 janvier 2008

Plus de 25 ans après la mort de Romy Schneider, un documentaire du journaliste Bertrand Tessier diffusé ce week-end en France lève le voile sur les derniers mois, tragiques, de la vie de l'actrice.

«Chacun sait que depuis juillet 1981, où elle perdit son fils David dans des circonstances dramatiques, Romy semblait vivre une descente aux enfers, mais la réalité a souvent dépassé la fiction», a expliqué à l'Associated Press Bertrand Tessier.

Le réalisateur donne la parole dans son documentaire à des proches et collaborateurs de l'actrice décédée le 29 mai 1982, à l'âge de 44 ans.

Les derniers mois de la vie de l'inoubliable interprète du Vieux fusil, des Choses de la vie ou de César et Rosalie furent marqués par de graves revers de santé. Alors qu'elle se préparait au rôle de La passante du sans-souci, qu'elle avait elle-même choisi après avoir lu le roman éponyme de Joseph Kessel, elle se brisa une cheville au cours d'une séance photo pour la presse allemande.

Cela retarda le projet, déjà difficile à monter. Réalisé par Jacques Rouffio, le film, le dernier de Romy Schneider, fut tourné à Berlin. Une ville que l'actrice détestait, furieuse et honteuse qu'on l'ait souvent surnommée «La Boche», elle qui était autrichienne.

Quelques semaines plus tard, Romy Schneider subit d'urgence l'ablation d'un rein, suite à une tumeur. Mais elle refusa d'être remplacée au pied levé par Hanna Schygulla, qu'avaient fini par lui préférer les producteurs. Elle persévèra et tourna le film, sorti en avril 1982, quelque semaines avant sa mort.

Les proches et membres de l'entourage professionnel de l'actrice interrogés dans le documentaire expliquent comment l'actrice toucha le fond, entre alcool, dépression et médicaments comme le Captagon, un puissant psychostimulant autorisé à l'époque.

La mort de Romy Schneider empêcha son retour prévu sur les écrans au côté d'Alain Delon, «l'homme de sa vie».

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Emission sur Romy Schneider
Source : Oldi blog - 11 janvier 2008

Romy Schneider n'avait pas 44 ans quand elle s'est éteinte, en 1982, à Paris. Suicide, surdose de médicaments, crise cardiaque ? Sa mort a fait couler beaucoup d'encre. Les Derniers Jours de… reviennent sur l'année la plus sombre de Romy Schneider et sur ses ultimes instants.

Romy Schneider a disparu le 28 mai 1982. Mais pour son biographe, Michael Jürgs, elle est véritablement morte un an plus tôt, le jour du décès accidentel de son fils, David.

Pour le journaliste, la date fatidique du 5 juillet 1981 a marqué le début de la lente et inexorable descente aux enfers de l’actrice, totalement anéantie par la perte de son enfant, le véritable "amour de sa vie". Elle a cru que l'alcool et les substances illicites l'aideraient à surmonter son chagrin. Mais sa peine s'est transformée en un immense désespoir que rien ni personne - pas même sa fille Sarah ou son nouveau compagnon, Laurent Pétin - n'ont pu chasser.

Lorsque Romy Schneider apprend que son fils n'a pas survécu à ses blessures, "il n'y a pas eu d’éclats de voix, il n'y a pas eu d'hystérie, il n'y a pas eu d'effondrement physique, se souvient Thierry Montariol, le chirurgien qui a opéré le jeune garçon. Il y a simplement eu l'impression que ce n'était pas elle qui s’écroulait. C’est le monde qui s'écroulait autour d'elle."

En 1979, elle enterrait son ex-mari, Harry Meyen, le père de David. En 1981, elle suit le cercueil de leur enfant… Romy s'éloigne ; Romy s'absente. La Passante du Sans-Souci la pousse néanmoins à se dépasser. Après avoir dû reporter le tournage du long-métrage à la suite d'une fracture de la cheville au mois de mars et d'une ablation du rein en avril, elle est contrainte de jouer malgré tout.

"Je suis convaincu que si elle n'avait pas fait ce film, elle serait partie avant. Non seulement ça l'a aidée, mais ça lui a permis de survivre", analyse Raymond Danon, le producteur de cette adaptation du livre de Joseph Kessel. Sur le plateau, sa fragilité impressionne. Alors qu'elle tourne une scène avec Wendelin Werner, le jeune héros du film, la réalité se mêle à la fiction. Face à cet adolescent qui a l'âge de David, elle ne peut s'empêcher de pleurer son fils regretté.

L'arrivée de Laurent Pétin dans son existence semble pourtant lui redonner peu à peu le goût de vivre. Ils achètent une maison à Boissy-sans-Avoir, dans les Yvelines. Ils semblent heureux.

La veille de sa mort, Romy parle de ses projets à son agent, à un photographe. Elle sort dîner chez des amis avec Laurent. En rentrant, elle s'installe à son bureau pour écrire une lettre à une journaliste. Elle ne la finira pas. Au petit matin, Laurent Pétin la découvre inanimée.

Isabelle Ducrocq

La deuxième rentrée des théâtres privés

Le 10 janvier 2008
Ce matin c'était la grand-messe des théâtres privés pour l'année nouvelle. En fait de grand messe, un discours rapido de Georges Therrey, président du Syndicat des théâtres privés et un pot avec tout ce que le secteur compte d'attachés de presse, acteurs, metteurs en scène. Où l'on croisait ici Patrice Leconte, là Rufus, Sarah Biasini ou encore l'humoriste Armelle. Parmi les thèmes évoqués, l'"avignonnisation de Paris" ou le constat de l'émergence d'un "off du off", avec tout ce que cela comporte de points négatifs: au rayon dérèglementation sauvage, on apprenait notamment que quelque 6% des salles parisiennes ne détiennent aucune licence. Et monsieur le président de lâcher, dans un lapsus qui laisse songeur: "quand on voit la programmation de certaines selles, pardon salles, il y a effectivement de quoi réfléchir". Côté annonces, on retiendra que les Molière compteront cette année deux jurys: l'un pour le théâtre subventionné, l'autre pour le théâtre privé et que 20 spectateurs seront choisis pour être intégrés à ce dernier. Enfin, au rayon programmation, outre les têtes d'affiche déjà évoquées ici, sachez notamment que Patrice Leconte, qui ne quitte décidément plus les planches mettra en scène "Héloise" de Patrick Cauvin avec Rufus et Agathe Natanson (à l'Atelier à partir du 24 janvier); Danièle Lebrun et Roger Dumas partageront l'affiche de "L'antichambre" de Jean-Claude Brisville à Hébertot (à partir du 1er février); Fabrice Luchini prolonge son "Point sur Robert", à la Renaissance et Michel Fagadau adapte "Le Plan B" d'Andrew Playne avec Natacha Régnier et Thomas Chabrol, au Studio des Champs Elysées, à partir du 15 février.

Source : theatre-danse.fluctuat.net

Le 11 janvier 2008

Le théâtre en fête aux folies Bergère !

Hier soir se tenait, aux Folies Bergère, à Paris, la conférence de presse des théâtres privés et subventionnés parisiens. Tout le gratin du monde du théâtre était présent. L'occasion pour Georges Terrey, le président du syndicat organisateur de la soirée, de présenter les résultats pour l'année 2007 et d'annoncer les pièces importantes de cette rentrée 2008. Parmi ces pièces, on notera que :

• Depuis hier soir, à l'Odéon, aux Atheliers Bertier, Anna Mouglalis et Julie-Marie Parmentier jouent la Petite Catherine de HeilbronnMathilda May et Pascal Légitimus seront au Splendid Saint-Martin à partir du 18 janvier, pour Plus si affinité

• Carole Bouquet et Lambert Wilson seront aux Bouffes du Nord du 18 janvier au 22 mars, dans Bérénice de Racine, dont la mise en scène est assurée par le comédien.

• Clémentine Célarié et Tcheky Karyo, investiront le théâtre Marigny à partir du 24 janvier pour la Tectonique des sentiments

• Daniel Auteuil, après 13 ans d'absence sur les planches, sera à l'Odéon du 24 janvier au 29 Mars dans l'Ecole de Femmes, de Molière

• Isabelle Mergault reprendra le rôle tenu par Jacqueline Mailhan dans Croque-Monsieur, au théâtre des Variétés, dès le 24 janvier

• Isabelle Huppert et Valérie Bonneton joueront Le Dieu du carnage, de Yasmina Reza, dès le 25 janvier au Théâtre Antoine

• Eddy Mitchell fera ses débuts sur les planches le 29 janvier, à la Madeleine, dans Le Temps des Cerises, avec Cécile de France.

• Et enfin L'antichambre, de Jean-claude Brisville, se jouera à partir du 1er février, à l'Hébertot, avec Roger Dumas, Danièle Lebrun et Sarah Biasini.

De nombreuses personnalités, comme Claire Chazal et Bruno Solo, qui monteront aussi sur les planches, avaient fait le déplacement.

Source : Pure People - 11 janvier 2008

Le Magazine - N° 3 - Janvier 2008

Le 11 janvier 2008

Le numéro 3 du "Magazine" est disponible à partir d'aujourd'hui. Pour le recevoir, c'est très simple et gratuit. Pour toute info complémentaire, consultez le QCM du Mag.

La maquette :

Les jeunes années d'une reine

Les affiches
 

Mademoiselle Ange

Romy, the dock of the bay

By Myself

Vie ouvrière - 19 avril 1982

La passante du Sans-Souci (Jacques Rouffio)

Joseph Kessel, Jacques Rouffio, Romy Schneider, Michel Piccoli. Le consortium de la qualité, de « la belle ouvrage ». Kessel n’est plus là pour juger de l’adaptation cinématographique, par Jacques Ruffio, de « La passante du Sans-souci », un livre écrit en 1937. Mais je crois qu’il n’aurait pas renié cette adaptation libre, prolongeant une histoire commencée il y a près de 50 ans, dans les rues de Berlin, quand résonnaient les bottes des assassins. L’idée de porter à l’écran ce roman un peu oublié appartient à Romy Schneider qui, à cette occasion, a retrouvé son complice Piccoli. C’est leur sixième film ensemble.

Romy Schneider incarne ici un double personnage. Celui d’Elsa, épouse de l’éditeur allemand Michel Wiener, un esprit libre qui ne peut s’accommoder du nazisme et figurera parmi ses premières victimes. Celui de Lina, l’épouse de Max Baumstein, dirigeant d’une importante compagnie d’assurance et, en même temps, président de « Solidarité internationale ». La réussite sociale n’a pas effacé, dans la mémoire de Max Baumstein, le souvenir des années d’horreur quand, jeune juif berlinois, il fut sauvé des griffes hitlériennes par Elsa et Michel Wiener.

Aujourd’hui, Max Baumstein se voue à la cause des persécutés, où qu’ils se trouvent et quels que soient leurs oppresseurs. Un jour, au nom de son organisation, il demande audience à l’ambassadeur du Paraguay Paris afin d’obtenir des informations sur le sort d’une jeune fille portée disparue dans ce pays. L’ambassadeur se nome Federico Lego. Mais Baumstein débusque en lui Ruppert von Leggart, ancien conseiller à l’ambassade d’Allemagne à Paris sous le régime hitlérien. Froidement, Max l’abat d’une balle de revolver.

Les raisons de ce geste vont se révéler tout au long d’un chassé-croisé entre le présent et le passé. Max Baumstein plaide coupable. Il ne cherche pas d’excuse. Il explique. Ce fantôme qu’il a tué était chargé de crime et d’horreur. Adversaire déclaré du terrorisme, de l’action individuelle, Max Baumstein n’a pu se soustraire à cette mission salvatrice et de caractère personnel.

Michel Piccoli assume son rôle de « justicier » avec la retenue, la classe qu’on lui connaît. Mais c’est à Romy Schneider que revient toute la charge émotionnelle du film. Elle est littéralement habitée par le double personnage qu’elle incarne et, surtout, par l’époque lugubre qui revit au travers d’Elsa Wiener. Il faut saluer aussi la première prestation cinématographique de Gérard Klein qui se cachait jusqu’à maintenant derrière un micro. Le jeune Wendelin Werner, dans son rôle de Max Baumstein enfant, ne ternit nullement l’image de Max Baumstein adulte. Quand à l’émouvante Dominique Labourier, je dirai simplement qu’il faudrait la voir beaucoup plus souvent à l’écran.

« La passante du Sans-souci » est un film contre l’amnésie pernicieuse.

Serge Zeyons

Les 20 destins brisés... - 09 janvier 2008

... que les français n'oublieront pas

Il est des stars dont le destin reste à jamais gravé dans la mémoire des Français. Fauchées en plein vol par la maladie, meurtries par une solitude trop difficile à assumer, poursuivies sans relâche par des paparazzi sans scrupules, certaines vedettes s'en sont en allées trop tôt, au grand désespoir de tous. Alessandra Sublet et Bernard de la Villardière évoquent avec émotion ces destinées brisées. Au sommaire de l'émission diffusée sur M6 :

• Rencontre avec Kathleen, la dernière compagne de Claude François
• Témoignage de Mark Chapman, l'assassin de John Lennon
• L'incroyable force de vie de Grégory Lemarchal
• La solitude de Marilyn Monroe
• Romy Schneider et les paparazzi
• Evocation de la mort d'Elvis Presley par sa fille, Lisa Marie Presley

Article Yahoo : "Brèves Télévision : Le zapping de la semaine" :

Romy Schneider "chassée à mort par les photographes". Après la mort atroce de son fils adulé, empalé sur la grille du jardin de ses grands-parents à seulement 14 ans, les paparazzi ont traqué l'actrice ivre de chagrin. Un documentaire inédit retrace la fuite en avant de l'exquise Romy pendant les dix mois qui se sont écoulés entre cet événement tragique et sa mort, fin mai 1982, à même pas 44 ans. Alcool, tabac, barbituriques, drogues, l'actrice au visage d'ange et aux yeux de biche, éperdue, a tout essayé pour supporter son désespoir, même le tournage impossible de "La passante du Sans-souci", son dernier film, adapté du roman de Joseph Kessel.

NDLR : Voici l'extrait consacré à Romy (8'38)

Portrait de groupe avec dame

Les affiches

Loriot trifft Romy Schneider

Das Berliner Filmmuseum plant 2008 Austellungen über Romy Schneider und Vicco von Bülow alias Loriot. Zudem sollen alte Schätze aus der Marlene Dietrich-Sammlung ans Tageslicht geholt werden.

Die ganze Welt des Kinos unter einem Dach" - lautet die Selbstbeschreibung der "Deutschen Kinemathek - Museum für Film und Fernsehen". Das Filmmuseum am Potsdamer Platz hat sich in den vergangenen Jahren zum bedeutendsten seiner Art in Deutschland entwickelt. Nicht zuletzt deshalb, weil zahlreiche prominente Filmschaffende, berühmte Schauspieler, Regisseure oder Kameraleute dem Museum ihren persönlichen Nachlass vermachten: Drehbücher, Filmkostüme, Requisiten, selbst private Möbel oder Steuererklärungen gehören zum Fundus.

Im Jahr 2008 plant die Kinemathek zwei neue hochkarätige Ausstellungen - eine Hommage an die Schauspielerin Romy Schneider und eine an den Humoristen Vicco von Bülow alias Loriot. Zudem wird das Museum für Film und Fernsehen im kommenden Jahr teilweise neu gestaltet. Es soll Platz gemacht werden für einen Blick hinter die Kulissen deutscher Kinoerfolge wie "Lola rennt", "Good Bye, Lenin", "Nirgendwo in Afrika", "Halbe Treppe" oder "Gegen die Wand".

Original Darth-Vader-Kostüm

In diesem Jahr wäre Romy Schneider 70 Jahre alt geworden. Von Juni bis Dezember 2008 dokumentiert das Filmmuseum ihre wechselvolle Karriere. "Romy steht für Unschuld und Verführung", sagte die Kuratorin der Ausstellung, Daniela Sannwald. Wie dieses Image zustande kam, versucht die Ausstellung zu ergründen. "Romy wurde ganz oft in Weiß inszeniert. Weiß konterkariert die Verführung", erläutert Sannwald.

Ebenfalls mit einer Sonderausstellung würdigt das Filmmuseum vom November 2008 an das Lebenswerk von Vicco von Bülow. Der Humorist feiert in diesem Jahr seinen 85. Geburtstag. "Loriot ist eine der wichtigsten Persönlichkeiten des deutschen Films", sagt der Leiter der Ausstellung Film, Peter Mänz. Anhand von bekannten und unbekannten Exponaten von Loriot werde auch die zunehmende Vermischung von Kino und Fernsehen dargestellt, fügt Mänz hinzu.

Museumsbesucher können am Potsdamer Platz schon jetzt 100 Jahre Kinohistorie und 50 Jahre Fernsehgeschichte erleben. Beispielsweise besteht die Möglichkeit, die Erschaffung von klassischen Schlüsselfilmen wie "Dr. Caligari" oder "Metropolis" ebenso nachzuvollziehen wie von modernen Block-Bustern wie "Jurassic Park" oder "Spiderman". Für ein kurzes Gruselgefühl sorgt unter anderem der originale Darth-Vader-Kostüm aus "Krieg der Sterne".

Auch Hildegart Knef und Heinz Rühmann haben ihren Platz

Die meisten Schätze des Filmmuseums sind der Öffentlichkeit allerdings weitestgehend unbekannt und verschlossen. So erwarb die Deutsche Kinemathek 1993 - ein Jahr nach dem Tod von Marlene Dietrich - deren gesamten persönlichen Nachlass, der bis dahin weltweit verstreut war. Heute beherbergt das Außenlager des Filmmuseums in der Reuchlinstraße in Berlin-Moabit über 3000 textile Objekte wie Film- und Showkostüme, Privatgarderobe, Taschen, Handschuhe, Hüte, Schuhe, Fotos aber auch Briefe, Quittungen, Eintrittskarten oder Steuererklärungen von Marlene Dietrich.

Am Potsdamer Platz sind drei Räume der Berliner Hollywood-Schauspielerin gewidmet. "Schon aus konservatorischen Gründen werden die gezeigten Exponate regelmäßig ausgewechselt", sagt die Chefin der "Marlene Dietrich Collection", Silke Ronneburg.

Auch Hinterlassenschaften von Hildegard Knef, Heinz Rühmann oder den Regisseuren Fritz Lang und Friedrich Wilhelm Murnau sind dem Filmmuseum zur Verfügung gestellt worden. In jüngster Zeit kamen auch private Sammlungen von Margarete von Trotta, Rosa von Praunheim oder Wolfgang Petersen dazu.

Aktuell zu sehen sind bis Ende Januar 2008 die Kinderausstellung "Auf Heißen Spuren ... Meisterdetektive im Museum" sowie bis April 2008 die Sonderausstellung über Tonfilmoperetten "Wenn ich sonntags in mein Kino geh'". (mit ddp)

Source : Rhur Nachrichten.de - 06 janvier 2008

Prix Romy Schneider 2008

Jocelyn Quivrin et Audrey Dana s'apprêtent à recevoir respectivement les Prix Patrick-Dewaere et Romy-Schneider. Espoirs ou confirmations ?

Il était temps. Cette année, les jurys de journalistes spécialisés des Prix Patrick-Dewaere et Romy-Schneider, qui distinguent chaque année deux promesses - généralement « jeunes » - du cinéma francophone, ont revu à la hausse la moyenne d'âge. Car 2008, pour Audrey Dana, qui succède au palmarès à Cécile de France et Mélanie Laurent, comme pour Jocelyn Quivrin, successeur de Clovis Cornillac et Jérémie Renier, flirtera avec la trentaine ! Cette récompense arrive donc à point nommé pour les deux comédiens aux CV artistiques déjà bien garnis, et dont les carrières ont pris un tournant décisif en 2007.

Honneur aux dames : le jury du Prix Romy-Schneider a eu, pour cette édition, un mal fou à départager deux révélations. A l'issue des votes, c'est finalement Clotilde Hesme qui l'emportait de peu : on se souvient que sa fraîcheur et sa fantaisie ont illuminé, au côté de Louis Garrel, Les Amants Réguliers (2005) de Philippe Garrel et Les Chansons d'Amour (2007) de Christophe Honoré - présenté au Festival de Cannes. Mais en raison de son indisponibilité lors de la cérémonie, le 17 mars prochain au Royal Monceau, et conformément au règlement, la distinction échoît à sa dauphine : Audrey Dana. La comédienne, plus rompue aux techniques du théâtre qu'à celles du cinéma, a été repérée par Claude Lelouch lors du tournage de Nos amis les Terriens, un film de Bernard Werber qu'il a lui-même produit. A partir de là, tout s'est rapidement enchaîné en 2007 : Lelouch la dirige dans son Roman de gare et son court-métrage Cinéma de Boulevard (dans le collectif Chacun son cinéma). Elle tourne également dans Ce Soir je dors chez toi, d'Olivier Baroux, et figure déjà au casting de trois productions pour 2008. Elle a marqué les esprits dans la peau de Huguette de Roman de gare, performance pour laquelle certains la voyaient déjà briguer un Cesar.

Chez les messieurs, Jocelyn Quivrin se voit attribuer le Prix Patrick-Dewaere, qui remplace feu le Prix Jean-Gabin (abrogé en raisons de différends entre l'organisation et la fille de Jean Gabin). Contrairement à Audrey Dana, la vocation du compagnon d'Alice Taglioni pour le cinéma est précoce et indéfectible. Après une première apparition à 13 ans dans Louis, Enfant Roi (de Roger Planchon), il multiplie les rôles en costume dans, notamment, Lautrec, Jacquou le croquant (de Laurent Boutonnat), ou encore Jean de la Fontaine, le défi (de Daniel Vigne) au côté de Lòrant Deutsch - un autre lauréat du Prix Jean-Gabin. Il a contribué à plus d'une vingtaine de longs-métrages aux côtés de personnalités phares du cinéma : George Clooney et Matt Damon pour Syriana, Cédric Klapisch pour Peut-Etre, Chris Nahon pour L'Empire des Loups, Jan Kounen et Jean Dujardin pour 99 F, ...

Deux parcours diamétralement opposés, mais diablement inspirés, sont donc couronnés cette année... Et qu'importe l'heure : en 2003, le Prix Jean-Gabin avait bien distingué "l'espoir" Johnny Hallyday à... 60 ans !

Sissi impératrice

Captures d'écran - Part 9

Le cardinal

Sarah Biasini - 7 janvier 2008

Sarah Biasini au 20e anniversaire du "Cado D'Orleans" le 07 janvier 2008
Pour info : CADO = Centre National de Création d’Orléans

Paris n’a pas le monopole du théâtre et de la culture… il se passe beaucoup de choses en province aussi…
Orléans et son théâtre le "Cado" en sont un sérieux exemple…
Lundi 07 janvier dernier, on y a organisé une représentation spéciale pour célébrer son 20ème anniversaire. De nombreux comédiens ont répondu présent et se sont succédés sur scène.

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Un anniversaire dédié à l'amour du théâtre
Source : La rep.com - 07 janvier 2008

Le CADO fêtera ce soir son vingtième anniversaire au Carré Saint-Vincent. Plus de vingt comédiens, têtes d'affiche du théâtre français, seront présents à cette cérémonie exceptionnelle.

Le temps n'a pas de prise sur Jean-Claude Houdinière (à gauche) et Loïc Volard (à droite), deux passionnés de théâtre. Au soir du 5 janvier 1988, le rideau de la salle Pierre-Aimé Touchard se levait sur l'oeuvre d'Arthur Miller «Mort d'un commis voyageur»...

Le CADO (Centre d'Art Dramatique d'Orléans) était né. L'acte de naissance était signé quelques jours plus tard, le 8 janvier très précisément, par François Léotard, alors ministre de la Culture, qui ne manquait pas de souligner «cet exemple de la décentralisation culturelle».

Le 4 janvier dernier, dans cette même salle, le rideau s'est levé sur «A la recherche de Joséphine», une comédie musicale déjantée de Jérôme Savary.

Entre ces deux dates, ces deux spectacles, si différents, mais qui illustrent si bien la politique éclectique « de l'accès à la culture pour tous » menée par les deux directeurs artistiques du CADO, vingt années se sont écoulées.

Et en deux décennies, le bébé de Jacques Douffiagues, à l'époque maire d'Orléans, a bien profité. Il a certes dû essuyer quelques tempêtes, plié parfois au gré des vents politiques, des modes ou des revirements financiers des uns et des autres, mais n'a jamais rompu... du moins avec son public et ses fidèles soutiens qui l'ont toujours porté, jusqu'à dernièrement, lorsque son existence même était remise en cause.

Des créations et des "Molière"
Et c'est forts d'un bilan plus que prestigieux que Loïc Volard et Jean-Claude Houdinière, les co-directeurs du CADO, fêteront ce soir, entourés d'une pléiade d'artistes, ce vingtième anniversaire aux 22 «Molière», 38 créations et 55.000 spectateurs par saison !

Mais au-delà des chiffres, des succès, des récompenses, de la reconnaissance, Loïc Volard et Jean-Claude Houdinière ne manqueront sans doute pas, en cette date anniversaire, de saluer les 70 bénévoles, délégués départementaux, qui oeuvrent dans l'ombre, depuis vingt ans, pour populariser le CADO, en faire un outil culturel accessible, pour qu'il s'adapte, dans ses choix artistiques, aux souhaits d'un public voulu le plus large possible : «Lors de notre première saison», se plaît à raconter Loïc Volard, «55 % des spectateurs, dont le CADO avait organisé le transport, ne connaissaient pas le théâtre !»

Les comédiens, eux ausi, seront à l'honneur ; ceux qui ont contribué au succès du CADO, à son rayonnement, et qui ont répondu, comme un seul homme, à l'invitation de Loïc Volard et Jean-Claude Houdinière : Anny Duperey, Francis Huster, Michel Leeb, Miou-Miou, Pierre Mondy, Francis Perrin, Claude Rich, Jérôme Savary, pour ne citer qu'eux.

Un plateau rare, exceptionnel, pour une soirée qui se veut entièrement dédiée à l'amour du théâtre ; de ce théâtre «créatif et généreux», comme le dit Francis Huster, qui «allie si bien répertoire classique et moderne».

Denis LEGER

Romy Schneider by Cristina Giuliani

La dernière cigarette - 07 janvier 2007

Alors qu'entre en vigueur le 1er janvier 2008 l'interdiction totale de fumer dans les lieux publics, Christophe Hondelatte présente une émission spéciale intitulée «La dernière cigarette», sur France 3.

Plongeant une nouvelle fois dans les archives du petit écran, le présentateur poursuit son travail de mémoire en se penchant sur la place du tabac à la télévision. Des plus grands acteurs aux présidents, la sèche s’est accrochée aux lèvres les plus prestigieuses, s’affichant sans honte avant d’être radicalement bannie. Et de partir en fumée…

Entouré de Frédéric Mitterrand, du psychanaliste Philippe Grimbert, Sanseverino, Fellag et Guy Bedos, Christophe Hondelatte tente, avec humour, de comprendre à travers des images restées cultes, comment la planète entière s'est plue à devenir dépendante à la nicotine. Il revisite les scènes les plus enfumées de la télévision, du cinéma, de la publicité et se souvient des personnages les plus accros à la nicotine : de Romy Schneider à Yves Montand, de Jeanne Moreau à Georges Pompidou, de Jean-Luc Godard à Serge Gainsbourg... Il retrouve les chansons populaires liées à la cigarette et nous fait rire avec les plus grands humoristes qui ont été inspirés par le tabac. Puis, il nous décrit la prise de conscience progressive des méfaits de la cigarette tant sur le fumeur que sur son entourage et la véritable guerre contre le tabac qui s'est engagée. Des timides premières campagnes de prévention aux lois actuelles, la cigarette est peu à peu devenue indésirable et les fumeurs, de héros sont souvent devenus des parias.

NDLR : Voici les quelques images consacrées à Romy (0'42)...

Cannes - 16 mai 1962

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La belle et l'empereur

 
 

Par Romy1611

Eva

Les cartes postales
  

Et...

Une merveilleuse année en compagnie et Romy et Sarah

Bonne année à Romy Schneider

By Philippe60 sur YouTube

NDLR : Merci Philippe60 de nous offrir ce rire... Quelqu'un connaît-il la date de cette émission ? Fin des années 70 ?

L'émission date de décembre 1978.

Triple cross

Les affiches

Festival de Cannes - 17 mai 1957

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Poupée "Sissi, visite à Venise"

NDRL : Pour toute question concernant cette collection unique de poupée ainsi que leur achat, merci de vous adresser auprès de la créatrice. Tous droits réservés.
Source : Cotho

La toilette de Sissi est librement inspirée de la tenue portée par Romy Schneider, dans le film de Ernst Marischka.

Cette poupée est une pièce unique.
Sissi porte une tenue entièrement en dentelle. La jupe est une succession de trois volants en dentelle, soutenue par une crinoline en tissu et baleines. Les deux volants supérieurs forment des pointes en avant et en arrière. Le bustier en dentelle ainsi que le volant supérieur, sont brodés à la main de perles de rocailles, de Bohème et cristal. Sissi porte des chaussures Kindstates repeintes et décorées de perles cristal. Une culotte longue bordée de dentelle est portée comme lingerie. Son visage a été entièrement effacé et repeint à la main avec des peintures de qualité professionnelle. Les cils sont appliqués. Sa chevelure brune est permanentée en de longues boucles relevées sur la tête et retombant dans le dos. Elle porte un diadème réalisé avec des apprêts en métal argenté, des perles de rocailles et en cristal. Un long voile dans la même dentelle que la robe est fixé à l’arrière de sa couronne et passe devant sa gorge pour cacher le décolleté. Des boucles d’oreilles discrètes en cristal complètent ses bijoux. Elle porte des gants longs ornés de bracelets de perles de rocaille. Elle tient un bouquet de fleurs.
La poupée ne se déshabille pas.

     

Sissi

Les cartes postales - Part 1
         

Point de vue - N° 3098 - 05 décembre 2007

Article intérieur : * Romy Schneider, un mythe fatal 4 pages 4 photos

Les vidéos de Romy

Le récapitulatif des vidéos en ligne.
Exceptées quelques émissions récentes, les vidéos sont réservées aux membres VIP.

......................................Les vidéos de Romy
	Les derniers jours de... Romy Schneider	12/01/2008
	Vivement dimanche prochain	19/05/2007
	50 minutes inside	12/05/2007
	Un jour, une photo à Cannes (1959)	05/2007
	Métropolis	05/2007
	Les 40 couples stars... (TF1)	14/10/2006
	Icones : Romy Schneider	2003
	Romy, les choses de sa vie	31/05/1983
	Les obsèques de Romy - TF1 et A2 (Ina)	02/06/1982
	Rétrospective - Journal Tv TF1-13 h (Ina)	29/05/1982
	Hommage au Journal Télévisé de TF1 (Ina)	29/05/1982
	Journal Télévisé de TF1 - Les faits (Ina)	29/05/1982
	JT TF1 et A2 - Annonce du décès (Ina)	29/05/1982
	Interview au JT Antenne 2 - 20 H (Ina)	15/04/1982
	Dernière interview chez Michel Drucker	10/04/1982
	Romy à l'aventure ou une force douce	21/09/1981
	Première "Pour la peau d'un flic"	13/09/1981
	Star	27/09/1980
	Ciné Regards - "La banquière"	23/08/1980
	Cérémonie des Césars (2 docs Ina)	02/02/1980
	Bonne année à Romy (by Philippe60)	30/12/1978
	Les RDV du dimanche	26/11/1978
	Le tournage d' "Une histoire simple"	12/07/1978
	Cannes - FR3 (Ina)	17/05/1978
	Publicité Woolite	28/01/1978
	Pour le cinéma - TF1 Interview "Portrait de groupe..."	09/05/1977
	Les RDV du dimanche	07/11/1976
	Publicité Lux	13/10/1975
	Journal télévisé 20 h - Antenne 2	12/02/1975
	Le dernier des cinq	05/04/1974
	Interview sur "L'important c'est d'aimer"       * Part 1 * Part 2 *	00/00/1974
	Tournage "Le mouton enragé"	06/02/1974
	Interview	?
	Interview pour "Le train"	02/11/1973
	Reportage au Journal Télévisé de la nuit	04/06/1972
	Interview au Journal Télévisé de la nuit	16/02/1971
	Monsieur Cinéma	20/09/1970
	Sacha Show	15/04/1970
	Extraits des années 70	00/0/1970's
	"La chanson d'Hélène" (clip)	00/00/1969
	La chanson d'Hélène	00/00/1969
	Tournage "Les choses de la vie"	22/08/1969
	Dim Dam Dom	21/02/1969
	Arrivée de Romy sur "La piscine" (Ina) - JT 13H	12/08/1968
	Romy, anatomie d'un visage	00/00/1965
	L'enfer (extrait des essais)	00/00/1964
	Edition speciale "Le cardinal"	19/12/1963
	Romy Schneider et "Le procès" d'Orson Welles	28/12/1962
	Festival de Cannes	16/05/1962
	Reflets de Cannes	11/05/1962
	Carrefour (lien)	19/02/1962
	Journal télévisé : "La mouette"	31/12/1961
	Interview sur "Le combat dans l'île	04/11/1961
	Discorama	10/09/1961
	Page théâtre	16/04/1961
	Dommage qu'elle soit une p... (extrait 1) Dommage qu'elle soit une p... (extrait 2)	00/00/1961
	Festival de Cannes (Ina)	17/05/1957
	Making off "Sissi impératrice"	00/00/1957
	Petits extraits des années 50	0/00/1950's
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	Interview + Césars 1976 + Tourn. "Clair de Femme"

L'antichambre

Bon alors, pas vraiment beaucoup de news sur la pièce en elle-même... L'affiche n'est pas encore disponible et la promo ne devrait pas commencer avant mi-février. Encore un peu de patience donc...

Mais voici une petite photo du théâtre où je me suis rendue aujourd'hui.