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Source : Acte2 - 17 janvier 2016
NDLR : Sarah Biasini retrouve son metteur en scène fétiche, Christophe Lidon, et son partenaire du film "Dors mon lapin", Frédéric Diefenthal dans cette pièce de Feydeau "Un fil à la patte" pour la saison théâtrale 2016-2017 du CADO d'Orléans.
Les dates restent à préciser !
La pièce
Comment se débarrasser d’une maîtresse lorsqu’on prévoit de se marier le jour même avec une riche héritière ? Voici ce à quoi s’emploie Bois d’Enghien, amant de Lucette Gautier, chanteuse à la mode, artiste réclamée par la baronne Duverger pour la signature du contrat de mariage de sa fille avec... Bois d’Enghien lui-même. L’amant ménage Lucette et déjoue la cascade d’événements et de quiproquos qui pourraient dévoiler son projet.
Pour compléter le tableau : Bouzin, minable compositeur raté, le furieux général Irrigua, amoureux de Lucette prêt à tout pour conquérir la belle, et Viviane, la future mariée qui trouve son fiancé bien trop sage et rêverait d’un séducteur très expérimenté...
Le glamour et la sensualité
Pendant les années jazz, zazou, twist, bref depuis toujours, des Lucette Gautier ont enflammé les scènes parisiennes de leur folie et de leur charme, entraînant derrière elles tout un aréopage de créatures de la nuit ou du jour, de Paris ou d'ailleurs. Mais lorsqu'entre Lucette et son fiancé Fernand de Bois d'Enghein vient le temps d'officialiser les choses, l'ambiance vire à l'orage, les portes claquent et les gifles volent. De crise de nerf en crise de foie, de moment tendre en folie passagère, c'est tout un Paris de la scène et du rire qui va sous vos yeux brûler de mille éclats. Trois coups de feu et place au théâtre, qui est bien plus joyeux que la vie.
Monter «Un fil à la patte» aujourd'hui, c'est aller rechercher derrière les codes du théâtre de Feydeau la vérité jaillissante de ces situations extrêmes, à travers le jeu d'une équipe d'acteurs dont la jeunesse et l'univers ancré dans le monde d'aujourd'hui garantissent une redécouverte de la narration.
Notre démarche apportera à cette histoire le glamour et la sensualité du Paris des années 50, fait de music-hall, de cabarets et de joie de vivre débridée, synonyme dans le monde entier d'une capitale du spectacle et de la nuit à son apogée. Sarah Biasini incarnera une Lucette Gautier pleine de naturel, de vivacité et de charme. Frédéric Diefenthal, dans les habits du séducteur, sera un Bois d'Enghein dépassé et continuellement malmené.
Dans un décor qui jouera de l'esthétique de cette époque et bénéficiera de l'intervention poétique d'images de cinéma, les costumes "new look" façon Christian Dior apporteront à l'ensemble le faste d'un Paris capitale de la mode, du divertissement et du jazz bondissant de la bande-son, qui donnera à tous le tempo effréné sans lequel le «Fil à la patte» n'est pas du "pur" Feydeau.
Christophe Lidon
Les personnages principaux :
Fernand de Bois-D'Enghien : amant de Lucette et futur mari de Viviane
Lucette : chanteuse et maitresse de Fernand
La Baronne ou Madame Duverger : mère de Viviane
Viviane : fille de la baronne
Marceline : soeur de Lucette
Le Général Irigua : amoureux de Lucette
Pour plus d'infos : consultez la page Wikipédia "Un fil à la patte"
Vous pouvez aussi : Commandez le livre sur Amazon.fr
18h33 dans Thea-2017-Fil-Patte | Lien permanent | Commentaires (0)
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Source : Sophie Griotto
02h12 dans Artistes | Lien permanent | Commentaires (2)
02h00 dans Film-1963-Cardinal, Synopsis | Lien permanent | Commentaires (0)
03h05 dans Photo du jour | Lien permanent | Commentaires (0)
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Photo de tournage - Part 2 - (Voir la part 1)
02h47 dans Film-1959-Belle & Empereur | Lien permanent | Commentaires (0)
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03h03 dans Photo du jour | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Art Majeur.com
80x80 cm (vendu)
02h58 dans Artistes | Lien permanent | Commentaires (0)
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Photos du tournage - Part 2 - (Voir la part 1)
02h01 dans Film-1959-Melle Ange | Lien permanent | Commentaires (0)
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02h07 dans Film-1959-Plein Soleil | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Le Monde.fr - 04 janvier 2016
Dans la galerie des acteurs qui ont donné leur corps (et ipso facto leur âme) au cinéma comique et populaire français, Michel Galabru tenait à sa manière deux touches complémentaires : une touche régionaliste bien frappée (tendance provençale, quelque part entre Raimu, Fernandel et Paul Préboist) et une inclination à l’hénaurme (tendance roublardise ahurie). Les deux réunis ont donné une carrière pléthorique, pour ne pas dire stakhanoviste, souvent asservie aux seconds rôles, mais riche d’un talent qui tombait comme la foudre, mâtiné de science et d’étrangeté.
Voilà pour la typologie, de laquelle il faudra évidemment s’éloigner pour toucher plus juste, en évitant de réduire l’acteur à son personnage, et son genre de prédilection à l’ensemble de sa carrière. Rassasié de jours (93 ans), de films et de téléfilms (plus de deux cents) et de pièces de théâtre (à peu près une par an depuis 1950), Michel Galabru est mort le lundi 4 janvier à l’aube, dans son sommeil, comme l’a précisé sa famille – signe des bienheureux.
Par Jacques Mandelbaum et Brigitte Salino
19h46 dans Carnet noir | Lien permanent | Commentaires (0)