Une nouvelle pièce avec Sarah Biasini !
"Lettre d'une inconnue" de Stefan Zweig
Adaptation de Michael Stampe sur la base de la traduction de Alzir Hella et Olivier Bournac, révisée par Françoise Toraille (Stock)
Mise en scène de Christophe Lidon
Avec Sarah Biasini - Frédéric Andrau
Lieu : Théâtre des Mathurins (petite salle)
36 rue des Mathurins - 75008 Paris - Tél : 01.42.65.90.00
Du 15 avril au 30 juin 2011
Prix des places : de 16 à 32 euros selon la catégorie
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Le livre : Lettre d'une inconnue
Auteur : Stefan Zweig
Présentation de l'éditeur :
Un amour total, passionnel, désintéressé, tapi dans l'ombre, n'attendant rien en retour que de pouvoir le confesser. Une blessure vive, la perte d'un enfant, symbole de cet amour que le temps n'a su effacer ni entamer. Une déclaration fanatique, fiévreuse, pleine de tendresse et de folie. La voix d'une femme qui se meurt doucement, sans s'apitoyer sur elle-même, tout entière tournée vers celui qu'elle admire plus que tout. Avec Lettre d'une inconnue Stefan Zweig pousse plus loin encore l'analyse du sentiment amoureux et de ses ravages, en nous offrant un cri déchirant d'une profonde humanité. Ici nulle confusion des sentiments : la passion est absolue, sans concession, si pure qu'elle touche au sublime.
Quatrième de couverture :
Lettre d'une inconnue est un des textes les plus déchirants qui soient, souvent adapté au théâtre. C'est la confession, à la veille de sa mort, d'une femme à un homme qu'elle a aimé toute sa vie et qui ne l'a jamais vraiment "vue", jamais vraiment regardée.
Biographie de l'auteur :
Né à Vienne en 1881, fils d’un industriel, Stefan Zweig a pu étudier en toute liberté l’histoire, les belles-lettres et la philosophie. Grand humaniste, ami de Romain Rolland, d’Émile Verhaeren et de Sigmund Freud, il a exercé son talent dans tous les genres (traductions, poèmes, romans, pièces de théâtre) mais a surtout excellé dans l’art de la nouvelle (La Confusion des sentiments, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme), l’essai et la biographie (Marie-Antoinette, Fouché, Magellan…). Désespéré par la montée du nazisme, il fuit l’Autriche en 1934, se réfugie en Angleterre puis aux États-Unis. En 1942, il se suicide avec sa femme à Petropolis, au Brésil.