De Romy Schneider... à Sarah Biasini

Sélection du Reader's Digest - Juin 2007

Article intérieur : * Romy Schneider, les français l'ont tant aimée... 7 pages 6 photos

Julie, chevalier de Maupin

Un roman de Anne Pietri
TF1 Editions - 2004 - 222 pages - aucune photo
ISBN : 2-87761-190-6

Déguisée en garçon, aussi douée à l'épée que les plus grands chevaliers, une jeune fille livre un combat épique pour démasquer celui qui, dans l'entourage du roi soleil, a décidé de sa mort. Une aventure de cape et d'épée aux rebondissements enivrants.

Résumé : 1680. Dans un village isolé, une fine silhouette fuit le manoir où son père vient d'être assassiné. Malgré ses bottes de cuir noir, son épée et sa tenue masculine, c'est bien une splendide jeune fille qui se terre dans la forêt, haletante, désormais seule au monde. Elle se nomme Julie de Maupin.

Qui a tué son père ? Pourquoi a-t-il caché son existence à tous ? Qu'est devenue sa mère ? Que signifie cette cicatrice ronde sur son épaule, comme si on l'avait marquée au fer rouge ?

Un seul endroit lui apportera des réponses : Versailles et la cour de Louis XIV. Versailles où se loge son étrange parrain, monseigneur Henri d'Armagnac, un proche du roi. Lui pourra peut-être lui dire où se cache sa mère, le dernier témoin du passé de Julie.

De Paris à Avignon, en passant par Versailles, Julie traque le secret de sa naissance, l'épée à la main, défendant chèrement sa vie. Un jour peut-être, si elle découvre la vérité, elle pourra vivre son vrai rêve : devenir une gloire de l'Opéra, comme sa mère, dit-on, l'a été avant elle.

De trahison en duel, de chevauchée effrénées en complots feutrés à la Cour, c'est dans le sang que Julie gagnera et l'amour et la liberté.

Sarah de nouveau au théatre

Tous au théatre Hebertot (Paris) à partir du 1er février prochain, vous y retrouverez Sarah Biasini dans une pièce "en costume". Les répétitions viennent tout juste de commencer...

Source : Sandrine (merci à toi !!!)

NDLR : C'est comme si j'y étais !!!

Romy est dans la presse !!!

Article sur Romy dans "Point de vue" du 5 au 11 décembre (c'est maintenant !!!)

Christine

Ce très joli livret contient le résumé ainsi que toutes les lobby cards du film.

Nous deux - N° 1318 - 3e trimestre 1972

Article intérieur (Supplément) : * Romy Schneider : son coeur hésite entre César et David 1 page 3 photos

Télé Poche - N° 311 - 29 janvier 1972

Article intérieur : * Romy ne connaît plus Sissi 2 pages 4 photos

Art collector

Sur le site Art collector.de

Stars in öl

Très belles repros de Romy sur le site et auteur du dessin de la "Royal édition" allemande.

Lilas blancs

Photos du film / Photos d'agence

Paris Match - N° 2038 - 17 juin 1988

Article intérieur : * Sarah Schneider, la ravissante fan-surprise de la finale dames 2 pages 2 photos

Sissi, once upon a time

Un très beau montage sur "Sissi" par 1Evie sur Dailymotion

Poupée "Sissi, bal des fiançailles"

NDRL : Pour toute question concernant cette collection unique de poupée ainsi que leur achat, merci de vous adresser auprès de la créatrice. Tous droits réservés.
Source : Cotho

1er prix du concours "Marseille Créations 2004" sur le thème des fleurs,catégorie poupées mannequins, lors du salon "Ours et Poupées, Stars duWeek-end", des 9 et 10 octobre 2004.

Elisabeth, duchesse de Bavière.

Cette poupée est une pièce unique.
La toilette de Sissi est librement inspirée de la tenue portée par Romy Schneider, dans le film de Ernst Marischka : Sissi.
Sa robe de bal est en taffetas de soie bleu pâle, la jupe est de forme évasée, environ 1 mètre de circonférence en bas de la jupe. Elle porte un jupon à baleines et tulle sous sa jupe pour la maintenir en forme. Trois étages de 4 volants de ruban d’organza bleu pâle ornent la jupe.Entre chaque étage de rubans, est brodé une frise florale en ruban de soie, fils à broder et perles de cristal véritable. Les fleurs sont couleur lie de vin, le cœur est orné d’une toupie en cristal transparent de 3 mm, les feuilles et les tiges sont de deux tons de vert, et quelques perles toupies en cristal fushia complètent l’ensemble. Les petites manches bouffantes laissent les épaules dégagées. Le motif de broderie se retrouve sur le bustier les manches et le petit sac. Cette tenue a nécessité : 16 mètres de ruban d’organza bleu pâle, 24 mètres de ruban de soie à broder, environ 150 perles toupies de 3 mm en cristal véritable, transparent et fushia.Sissi porte un bouquet de roses en résine, une culotte en dentelle, des chaussures blanches de la marque Kingstate, des gants en dentelle blanche. Elle mesure environ 42 cm. Sa longue chevelure châtain foncé est permanentée en de longues anglaises qui lui arrivent à la taille. Quelques mèches de devant sont relevées sur le haut de la tête. Sissi porte des boucles d’oreilles et un ornement de cheveux en forme de flèche en perles de cristal véritable.
La poupée ne se déshabille pas.

Jeunes filles en uniformes

Photos du film / Photos d'agence

Bunte - N° 5 - 27 janvier 1994

Article intérieur : * Romy Schneider zum ersten, zum zweiten... 7 pages 7 photos

Schaufenster in die Welt der Stars und Sternchen

Source : Welt on line du 1er décembre 2007

Vor 50 Jahren wurde die „Aktuelle Schaubude" erstmals ausgestrahlt. Dank des legendären Moderators Werner Baecker wurde sie schnell zu einer der beliebtesten Sendungen des NDR.

Romy Schneider mit Moderator Werner Baecker in einer

Sendung der "Aktuellen Schaubude" von 1959. Damals

stellte die Schauspielerin ihren neuen Film "Die Halbzarte" vor.

Zwei NDR-Journalisten reisten, jeder für sich, Mitte der 50er-Jahre durch Amerika, um sich über das Zukunftsmedium Fernsehen zu informieren. Beide waren in New York gleichermaßen fasziniert von Dave Garroways Schaufenster-Sendung „Today's Show“. Der eine dieser beiden TV-Touristen war Rüdiger Proske, den NDR-Intendant Walter Hilpert mit dem Aufbau des Regionalfernsehens beauftragt hatte. Der andere war Werner Baecker, der aus dem Hörfunk kam. Proske beschloss: „So etwas machen wir auch in Hamburg.“ Und Werner Baecker wurde der brillante Partner, der diese Idee umsetzte. Der Titel war rasch gefunden: „Die aktuelle Schaubude“.

Baecker scheute keine Experimente
So kam es, dass in der Dammtorstraße, direkt gegenüber der Hamburger Staatsoper, ebenfalls eine Schaufenster-Sendung produziert wurde – zum ersten Mal am 7.Dezember 1957 um 18.45 Uhr, direkt aus dem dafür leer geräumten Autohaus Dello. Von dort meldete sich Werner Baecker live, während sich draußen vor den großen Glasscheiben die Zuschauer drängten, um hautnah mitzuerleben, wie so eine Sendung gemacht wurde.
Baecker legte großen Wert auf diese Unmittelbarkeit der „Schaubude“ und scheute auch keine Experimente, wenn sie durchdacht und kalkulierbar waren. Die Premierensendung war, wen konnte das wundern, noch etwas holperig. Sie begann mit einer Viertelstunde Verspätung, geriet dadurch unter großen Zeitdruck, und die Interviews hinterließen einen etwas hektischen Gesamteindruck: Befragt wurden ein alter Seemann, ein Hauptmann der Bundeswehr, Polizeipräsident Bruno Georges und eine gewisse Elisabeth Müller, von Beruf Filmschauspielerin. Für die Musik sorgte eine schmissige US-Band. Draußen stand der Reporter Werner Buttstädt und befragte die Zuschauer, wie sie das fanden, was sie sahen und hörten.

Das waren die Anfänge
Die Sendung, die stets am Sonnabend lief, kam schnell aus den Kinderschuhen heraus, wurde routinierter und immer beliebter. Nach dem ersten Jahr konnte Werner Baecker eine stolze Bilanz ziehen: „Natürlich haben wir uns vor einem Jahr gewünscht, möglichst bald zur Familie eines jeden Fernsehzuschauers zu gehören. Aber wir haben auch gewusst, dass wir diese Freundschaft nur gewinnen können, wenn jeder spürt, dass alles, was er zu Hause sieht, ohne Tricks in genau diesem Augenblick im Studio passiert. Unsere Zuschauer auf der Straße sollen deshalb nicht nur einen Blick hinter die Kulissen des Fernsehens tun, sondern sie können und sollen gleichzeitig unsere Arbeit kontrollieren und bei unserer Sendung mitwirken!“
Mehr Zuschauernähe war nicht möglich, und Werner Baecker nahm dafür das Pannenrisiko in Kauf. Wenn es also darum ging, die Dompteuse Herta Fosset zu interviewen, dann bestand er darauf, dass diese Dame nicht etwa solo kam, sondern ihren Elefanten mitbrachte.
Ein weiterer Grund für den Erfolg der „Schaubude“ war, dass es sich zwar um eine Regionalsendung handelte – doch ihr Inhalt wurde wesentlich durch die prominenten Hamburg-Besucher aus allen Lebensbereichen bestimmt, die sich gerade in der Stadt aufhielten. Und die kamen eben aus der ganzen Bundesrepublik und aus dem Ausland. Es war ganz wesentlich diese Mischung, die den Charme der Show ausmachte.
Dieser Erfolg war von der Person Werner Baecker nicht zu trennen. 1917 in Wuppertal geboren, hatte er in Rommels Afrika-Korps gekämpft und war 1943 in amerikanische Gefangenschaft geraten. Er hatte diese Zeit für ein journalistisches Fernstudium an der University of Oregon genutzt. 1946 nach Deutschland entlassen, hatte er diese Ausbildung in der Rundfunkschule in Hamburg fortgesetzt.
Anfang 1948 war er dann als politischer Redakteur in den damaligen NWDR eingetreten. Er betreute so populäre Hörfunksendereihen wie die „Umschau am Abend“ und „Zwischen Hamburg und Haiti“, später das Hörfunkmagazin „Echo des Tages“. Für ein Jahr schickte sein Sender ihn 1952 als Austauschredakteur zum Deutschen Dienst der BBC in London. Als Königin Elizabeth II. gekrönt wurde, war er der deutsche Kommentator.

Baecker moderierte bis 1960
Es war sicherlich dieses breite Erfahrungsspektrum, das Baecker zum idealen Moderator machte, als die nunmehr ein halbes Jahrhundert umfassende Geschichte der „Schaubude“ begann. Er prägte sie durch handwerkliche Präzision, Gelassenheit, thematischen Überblick und durch seine Vorliebe für die „weicheren“ Themen. Sich selbst sah er nie als „harten“ politischen Journalisten, obwohl er dieses Metier perfekt beherrschte.
Bis 1960 moderierte Baecker die „Schaubude“. Dann ging er nach New York, in die Stadt, die er liebte. Dort leitete er das ARD-Studio und produzierte über 70 Folgen des überaus populären Fernseh-Magazins „New York, New York“. Werner Baecker, einer der großen Rundfunk- und Fernsehjournalisten der Nachkriegszeit, erlag 1993 in Starnberg einem Krebsleiden.
Als Moderator der „Schaubude“ hatte er zahlreiche Nachfolger: Marie-Louise Steinbauer und Christian Müller, Jürgen Roland, Rüdiger Wolff und Sabine Sauer, Carlheinz Hollmann, Carlo von Tiedemann und Victoria Voncampe, um nur einige zu nennen. Derzeit führen Ludger Abeln und Madeleine Wehle durch die Sendung. Der NDR hat sich bemüht, der auf den Freitagabend verlegten Sendung mit diesem Moderatorenpaar und einem neuen Studio ein verjüngtes Image zu geben. Die „Schaubude“ lohnt es, und sie hat es verdient.

Mes archives !

Je suis en train de faire "un peu" de rangement cause plus de place et obligation d'acheter de nouvelles étagères... Voici donc la presque totalité de mes archives !

La piscine

France Dimanche - N° 2701 - 05 juin 1998

Article intérieur : * Romy schneider : le jour où elle a assassiné son bonheur 1,5 page 3 photos

2 000 !

Poupée "Sissi, mariée"

NDRL : Pour toute question concernant cette collection unique de poupée ainsi que leur achat, merci de vous adresser auprès de la créatrice. Tous droits réservés.
Source : Cotho

Cette poupée est une pièce unique. Sissi porte une tenue blanche, réalisée librement d’après les croquis de mode et les tableaux de l’époque. Sa toilette est composée d’une robe et d’un long voile. La robe est en satin et dentelle ancienne de tulle rebrodé. La jupe est soutenue par un jupon à baleine. Elle a une circonférence d’1mètre 50. Le bustier est rebrodé de perles en forme de toupies et de fleurs en cristal, et de perles de rocailles transparentes avec le trou argenté. Une goutte de cristal facettée et des toupies en cristal ornent le devant des volants du bustier. Le bustier est bordé d’une fine dentelle froncée, de même que les manches. Son long voile est réalisé dans la même dentelle ancienne que sa robe. Il mesure 65 cm de long.
Sissi porte des chaussures en satin blanc et perles, réalisées à la main sur une semelle de chaussures. Elle porte des gants courts en dentelle. Son visage a été entièrement effacé et repeint à la main avec des peintures acryliques et des vernis de qualité professionnelle. Son maquillage est très naturel. Ses cils sont appliqués à la main. Sa chevelure brune est coiffée selon un portrait de Sissi daté de ses seize ans. Les cheveux sont séparé par une raie puis tressés et portés en un chignon imposant. Le voile en dentelle est fixé dans le chignon. Trois fleurs de cristal ornent la coiffure. Sissi porte des boucles d’oreilles en toupies de cristal transparent et un collier de fines rocailles blanc nacré.
La poupée ne se déshabille pas.

Feu d'artifice

Bonnes soirées - N° 3961 - 07 janvier 1998

Article intérieur : * Sissi et Romy, un même destin 4 pages 11 photos

Romy et Dewaere

Titre de Boloc joué en live (guitare basse batterie violon violoncelle chant) lors de l'émission 100 % musique.

Par Bolocsongs sur YouTube

Le musée expose des photographie inédites de Romy Schneider

Source : Haz.de du 29 novembre 2007

En 2008, Romy Schneider aurait eu 70 ans. C'est l'hommage que lui rend le Theatermuseum de Hannovre à travers deux expositions de photographies inédites consacrées à l'actrice décédée en 1982.

En janvier, une exposition a prévu de présenter les images de Benno Wundshammer (1913-1987) a communiqué le musée. Le journaliste était le portraitiste de Romy Schneider à Berchtesgarden en 1956, ainsi que pour les deux premiers films "Sissi".

Le jour des 70 ans de la star mondiale, le 23 septembre commencera une deuxième exposition avec des photos totalement inédites datant des années 1970's. Par ailleurs, des costumes originaux seront exposés.

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Romy-Schneider-Fotos

Schon 2003 und 2006 haben wir unbekannte Fotografien von Romy Schneider ausgestellt. Die Fotografen hießen damals Will McBride und Helga Kneidl. In der dritten Fotoausstellung, anläßlich des 70. Geburtstages der großen Schauspielerin, präsentieren wir jetzt Bilder, die bisher noch nie zu sehen gewesen sind! 1956. Romy Schneider, kurz vor ihrem 18. Geburtstag, im Haus ihrer Mutter Magda Schneider in Berchtesgaden. Wir sehen Romy Schneider im und am Swimmingpool, mit den Hunden vor dem idyllischen Bauernhaus, in ihrem neuen Karmann, den sie noch nicht fahren darf. Sie posiert am Kamin und schmückt den Weihnachtsbaum. Heute würden wir Homestory dazu sagen. Benno Wundshammer (1913-1987) war in den 1950er Jahren Reporter der Zeitschrift „Quick“ und Chefredakteur des Prominentenheftes „Revue“. Mit seinen Aufnahmen der Nachkriegsprominenz prägte er die bundesdeutsche Pressefotografie wesentlich mit. Daneben arbeitete er als Modefotograf. Im Herbst werden wir mit einer weiteren feinen Fotoausstellung mit Bildern aus den 1970er Jahren das Romy-Schneider-Jahr beschließen. Auch Kostüme von Romy Schneider werden dann in Hannover zu sehen sein.

Source : Kulturkurier

NDLR : Ouh la la... Ca à l'air génial !!!! Qu'est-ce que j'aimerais y aller...

Le Prix Grand Siècle Laurent-Perrier - 19 novembre 2007

Source : Diana

Article Bunte du 29 novembre 2007

Le Prix Grand Siècle Laurent-Perrier a été remis lundi 19 novembre 2007 au 2007 Professeur Bronislaw Geremek.

Le 43ème Prix Grand Siècle Laurent-Perrier 2007, sa Présidente a été remis lors d'un dîner prestigieux au Professeur Geremek dans les salons du Pavillon d'Armenonville par Franz-Olivier Giesbert.

Intellectuel, historien et homme politique actuellement député européen polonais, Bronislaw Geremek a reçu cette distinction avec beaucoup d'émotion, entouré de nombreuses personnalités : Bernard Accoyer, Claude Bébéar, Dominique Bona, Claudia Cardinale, Franz-Olivier Giesbert, Jean-Pierre et Claudie Haigneré, Pierre Schoendoerffer, Simone Veil, Professeur Jean-Didier Vincent, le Duc Eberhard de Wurttemberg, Sarah Biasini, Françoise Chandernagor, Patrick Poivre d'Arvor...

Créé en 1965 par Bernard de Nonancourt, le Prix Grand Siècle récompense chaque année une personnalité, soutient son engagement, salue son action et son mérite.

Pour le dévouement et les qualités humaines qu'il met au service de son pays et de l'Europe, le Professeur Geremek a été choisi comme lauréat 2007 par l'ensemble du jury du Prix Grand Siècle : Jeanne Moreau, Hélène Carrère d'Encausse de l'Académie française, Claude Bébéar, Dominique Bona, Françoise Chandernagor, Yves Dumont, Franz-Olivier Giesbert, Bernard de La Giraudière, Jacqueline Lanier, Stéphanie Meneux de Nonancourt, Bernard de Nonancourt, Alexandra Pereyre de Nonancourt, Jacques Rigaud, Jean-Didier Vincent.

Ce Prix met à l'honneur depuis 43 ans des hommes et des femmes qui témoignent des valeurs durables de notre temps. Bronislaw Geremek rejoint ainsi de prestigieux lauréats tels que : Soeur Emmanuelle, Simone Veil, Claude Chabrol, ...

Des fiancées volées, des bonnes et une banquière

Film de Francis Girod (France, 1980). Scénario : Georges Conchon et F. Girod. Image : Bernard Zitzermann. Musique : Ennio Morricone. 130 mn.
Avec Romy Schneider : Emma. Jean-Louis Trintignant : Vannister. Jean-Claude Brialy : Cisterne. Claude Brasseur : Largué. Daniel Mesguich : Rémy Lecoudray. Marie-France Pisier : Colette Lecoudray.
Genre : comédie historique.

Dans le Paris trépidant de l’entre-deux-guerres, une femme, fille d’un chapelier juif et reine de l’anticonformisme, impose ses insolences. Elle fume en public, ne porte ni corset ni voilette et accumule sans honte ses aventures homosexuelles. Surtout, elle se bâtit une fortune au prix d’un individualisme forcené, exaspérant les géants de la Bourse.

Inspiré de la vie de Marthe Hanau, que l’on surnomma «la banquière des Années folles», ce ciné-roman est l’un des meilleurs de Francis Girod. Auréolée par la beauté têtue et la fierté déchirée de Romy Schneider, son héroïne rejoint une galerie d’insoumis à panache, où figurent René la Canne et Lacenaire. En banquier dandy et cynique, Trintignant a la rigidité glacée d’un von Stroheim. Mesguich joue un jeune loup de la politique ; Carmet, un journaliste véreux... Tous font de ce spectacle un éblouissement.

Avec cette saga de satin qui navigue entre les rivières de diamants et les fioles de vitriol, Francis Girod signe un petit bijou où l’amour, le pouvoir, l’aventure et la tempête des passions se marient divinement avec l’éclat du baroque.

Nagel Miller
Télérama.fr - le 24 novembre 2007

Romy Schneider seule contre tous

Source : TV Mag.com - Le film du jour - 29 novembre 2007

Paris, les années folles. Marthe Hanau, une reine de la finance, défraye la chronique. Symbole de l'anticonformisme, elle fait scandale en affichant ses amours saphiques et en luttant contre le capitalisme pour favoriser l'épargne populaire. Dans «La Banquière» (1980), Marthe Hanau devient Emma Eckhert (Romy Schneider). Ses spéculations en Bourse lui permettent de faire bénéficier à ses clients d'intérêts rondelets. Une abomination pour ses concurrents, adeptes de la finance «traditionnelle»! Ils commencent à sérieusement grincer des dents et ne tardent pas à manigancer leur vengeance...

«La Banquière» de Francis Girod («Le Trio infernal», «Le Bon Plaisir») s'impose comme une magnifique reconstitution historique. «J'aime créer une fiction romanesque à partir de faits divers qui me paraissent exemplaires, expliquait-il. Mais j'essaie aussi de donner à ce ciné-roman de l'histoire un éclairage moral personnel.» Il ajoute ainsi à cette libre adaptation de la vie de Marthe Hanau une critique sociale sans concessions des milieux dirigeants de l'entre-deux-guerres.

Romy Schneider partage, avec Jean-Louis Trintignant, Claude Brasseur, Jean Carmet et Jean-Claude Brialy, la vedette de ce drame flirtant, comme l'expliquait Francis Girod, avec «le jeu de massacre, mais aussi l'apologie de la fidélité en amitié et en amour». C'est la chronique prenante de l'ascension vertigineuse - et de la chute - d'une femme hors du commun dans les arcanes du pouvoir.

Boccace 70

France Dimanche - N° 2490 - 21 mai 1994

Article intérieur : * Romy Schneider : quel culte d'amour autour d'elle ! 1 pages 2 photos