Le spectacle crée par l'association "Ami, entends-tu ?" dans le cadre du 70e anniversaire de la libération de la France et de la victoire sur le nazisme rend hommage aux résistants et aux Français libres qui ont dit « non » à la défaite en s'engageant au péril de leur vie, pour leur pays et la liberté.
Le spectacle a pour ambition de transmettre leur histoire comme exemple d'engagement pour la jeunesse d'aujourd'hui, dans la défense des valeurs qui rassemblent la nation.
Une œuvre inédite créée par Antonin Le Guay et mise en scène par Manon Savary, associant spectacle vivant et compositions audiovisuelles. Une performance originale créée en partenariat avec l’INA et Radio France, à laquelle participeront une quinzaine de personnalités parmi lesquelles Jean Piat, le narrateur ou encore Thierry Frémont, Jacques Weber, Ana Girardot, Francis Huster, Sarah Biasini et Bruno Solo qui par leur voix ou sur scène, donneront vie aux lettres d'adieu des résistants.
Informations pratiques et billeterie
ami-entends-tu.org
Cour d'Honneur des Invalides (Paris - 75007)
Tarif : 20€ / tarif réduit : 1O € pour les moins de 18 ans, chômeurs et étudiants
Spectacle à 21h - durée : 1h30
Ami, entends-tu ? sur Facebook
Un spectacle dédié à l’engagement de la jeunesse qui s’inscrit dans le cadre des célébrations du 70ème anniversaire de la libération de la France et de la fin de la guerre
À travers l’exemple d’un groupe de jeunes résistants de 16 à 30 ans, nous mettons à l’honneur leur engagement au service des valeurs de la Patrie et de la Liberté. À travers leurs yeux, se raconte la Résistance : la richesse de sa diversité, sa force dans l’union, et son combat, jusqu’au sacrifice ultime, pour une France libre.
Pendant ce temps, la voix de la radio de Londres narre les grandes étapes de la Seconde Guerre mondiale et participe à relier les résistances françaises et les différents théâtres d’opérations. Elle permet de lier le destin et les choix de ces quelques jeunes, à toute la Résistance. De là où ils se trouvent, chacun écoute la voix unie de la France Libre et agit. De Paris à Londres, en passant par Alger, l’île de Sein ou le maquis ; militaires, intellectuels ou simples anonymes, vont se battre, chacun à sa manière et avec ses moyens, pour défendre leur « NON » à l’armistice et à la collaboration. En septembre 1943, seize de ces jeunes sont fusillés. Parmi eux, le jeune Henri Fertet, 16 ans, qui deviendra un des symboles de la Résistance en étant fait Compagnon de la Libération. Ils ont eu foi en une France libre, ils se sont engagés et ils se sont battus pour elle ; ils sont morts pour elle. Rendons leur hommage ; n’oublions pas ; et surtout, poursuivons la transmission de ces valeurs à la jeunesse de France.
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