De Romy Schneider... à Sarah Biasini

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Romy Schneider by Prab Prab

Source : Deviant Art

Romy Schneider à l'honneur sur Drouot Online

Source : Le Revenu.fr - 03 mai 2013

Collectionneur passionné, Guy Pellegrin a rassemblé pendant plus de vingt ans toutes ces affiches qui constituent la plus importante documentation, aujourd'hui, en mains privées sur cette légende du cinéma. Suivant le principe de la chronologie, cette vente d'affiches commencera par la première période, celle des «Sissi» qui s'ouvre en 1955. Des affichistes de renom comme René Péron, Pierre Leve, Joëlle Marquet et surtout Clément Hurel, ont immortalisé la trilogie des «Sissi» au travers de dessins maîtrisés et très recherchés tant par les nostalgiques de l'actrice que par les cinéphiles et les inconditionnels de ces affichistes.

On citera aussi les affiches de "Christine" (1958) conçues par René Péron et qu'il faudra attendre autour de 200 euros. Pour "Le Combat dans l'Île", un film de 1962, l'affiche de Jean Mascii (1926-2003) est très rare. Estimée 200 euros, elle pourrait, là encore, créer la surprise. Dans "Boccace 70", un film de Visconti où Romy joue avec Sophia Loren, l'affiche de René Ferracci (1927-1982) témoigne d'une des premières affiches qui systématise et qui impose le style «photomontage» (100 euros), etc.

Parmi les pièces uniques et originales, on mentionnera deux maquettes qui ont servi à l'édition de l'affiche : des projets aquarellés pour "La Piscine" (1968) et la deuxième maquette du "Procès" (1962), deux dessins estimés chacun 200 euros.

En quelque 600 lots, les amoureux de Sissi, mais aussi les cinéphiles confirmés pourront redécouvrir l'oeuvre riche et complexe d'une des plus célèbres héroïnes du septième art.

La vente se déroulera le jeudi 16 mai prochain à 14 heures, exclusivement sur Drouot Online :

www.drouotonline.com

Romy Schneider, vamp fragile

Source : Le Monde.fr - 03 mai 2013

La voix veloutée séduit la planète entière dès les années 1950. Passant de sa langue natale, l'allemand, dans la célèbre trilogie "Sissi", à l'italien sous la direction de Visconti ("Bocacce 70"), l'actrice à la beauté magnétique manie le français dans "César et Rosalie" et l'anglais avec Orson Welles ("Le Procès"). Mais c'est peau dorée et cheveux plaqués en arrière, dans "La Piscine", au côté d'Alain Delon, qu'elle entre dans la légende.

NDLR : Pour les objets publicitaires associés à cet article, rendez-vous sur le lien "Source".

Le Bihan, chef de guerre royaliste

Source : Le Figaro.fr - 03 mai 2013

Samuel Le Bihan tourne jusqu'au 17 mai Le Général du roi, une fiction adaptée et mise en scène par Nina Companeez, à partir d'un roman de Daphné Du Maurier pour France 2. Entouré de Louise Monot, de Natacha Lindinger et de Sarah Biasini, l'acteur joue le rôle de François Denis Brilhac, un officier de marine. Celui-ci devient chef de guerre royaliste lorsqu'éclate la guerre de Vendée, pendant la Révolution française.

Il vit une passion avec Constance (Louise Monot), de dix ans plus jeune que lui. Mais, le jour de leurs fiançailles, un accident de cheval la rend infirme. «Mon personnage est fascinant à jouer, raconte Samuel Le Bihan. Certains aspects de sa personnalité sont assez dégueulasses, chose que j'ai du mal à assumer. Mais il me faut être son avocat. Sans cela, il me serait impossible de l'incarner. Le contexte de la guerre exacerbe les sentiments. C'est là que se révèlent les héros et les lâches. Cette complexité est très intéressante.»

Diffusion prévue en fin d'année.

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