De Romy Schneider... à Sarah Biasini

Mise en vente de photos privées sur Brandalley

Souce : Brandalley.fr

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Paris Jour - N° 1323 - 18 décembre 1963

Article intérieur : * Romy Schneider et Alain Delon ne sont plus fiancés 1/4 page 1 photo

Photofilm - N° 4 - Janvier 1980

Article intérieur : * Romy Schneider dans "La mort en direct" de Bertrand Tavernier 2 pages + 1 poster 4 photos

La belle et l'empereur

Captures d'écran - Part 2
     

Studio Magazine - N° Hors Série - Octobre 2008

Article intérieur : * Stars & Cars 1 photo avec Romy Schneider et Alain Delon dans l'article

Sarah Biasini, une comédienne vibrante

Source : Première.fr - 11 mai 2009

La jeune comédienne retrouve son rôle de Julie De Lespinasse dans "L’antichambre" de Brisville, mise en scène par Christophe Lidon. Une rencontre placée sous le signe du charme et de la spontanéité…

Qu’est-ce qui vous a séduite dans cette pièce ? 
Le texte de Jean-Claude Brisville aborde une période passionnante avec une authenticité historique. La pièce est agréable à lire parce qu’elle offre plusieurs niveaux de lecture. « L’Antichambre » est au départ une belle histoire d’amour, presque filiale, entre Julie et la marquise. Ces deux femmes se trompent, se manquent et ne se trouvent pas malgré leurs points communs. Bien sûr, quand la marquise du Deffand accueille Julie, elle ne le fait pas par bonté d’âme. Elle voit de moins en moins et a besoin d’une lectrice. Il y a de très beaux moments entre elles, où elles sont totalement en phase et se renvoient la balle avec la même repartie. Et juste après ces moments d’amour et de partage survient la claque. Et puis, j’adore jouer en costume. La comédie est le seul métier qui permette de voyager dans le temps… On peut se retrouver à la cour de Versailles ou bien encore s’inviter dans un salon du siècle des lumières. Ce serait dommage de s’en priver !

Votre personnage passe de la fougue de la jeune fille candide à l’assurance de la femme déterminée. Cette double partition doit être un régal à jouer…
Tout au long de la pièce, il y a des rendez-vous qui marquent cette évolution à la fois douce et subtile. On a beaucoup travaillé dessus avec Christophe Lidon . Au cours des tableaux, mon personnage gagne en assurance et sa pensée évolue progressivement. C’est vraiment très plaisant et je ne m’en lasse pas. Jouer cette pièce sur la durée est un beau cadeau. Il est évident que plus on joue, mieux on le fait. Le propos, la pensée… tout devient plus naturel, plus évident, même si, paradoxalement, on n’a jamais fini de progresser.

Christophe Lidon signe la mise en scène du spectacle. Qu’appréciez-vous dans son travail ?
Il est génial dans la direction d’acteurs ! Il a une manière intelligente et sensible de parler des personnages et d’expliquer les enjeux qui fait que tout devient limpide. Cela vient sûrement du fait qu’il a été acteur. On n’a qu’à se laisser porter. Et lorsqu’il n’arrive pas à obtenir ce qu’il veut de nous, il n’hésite pas à se servir de situations de notre quotidien. Il est à la fois très observateur et bienveillant. Pendant les répétitions, j’avoue avoir tenté de le contredire, de me faire l’avocat du diable, par pur plaisir de la discussion. Mais comme j’étais souvent à bout d’arguments, je cédais !

Comment est né votre désir d’être comédienne ?
J’ai toujours pensé que le choix de la profession est primordial car il est révélateur de la personnalité. C’est par lui qu’on se définit. C’est peut-être pour cela que j’ai très vite étouffé mon désir inconscient de jouer la comédie. Je trouvais que c’était très cliché d’avoir le même métier que sa mère. Alors j’ai essayé me persuader qu’il y avait autre chose. Mais à la fin de mes études, j’ai senti que si je devais changer de direction, il ne fallait pas tarder. J’ai toujours eu besoin de me sentir au pied du mur pour prendre une bonne décision ! Et à 24 ans, c’était le bon moment ! Finalement, je ne regrette pas d’avoir fait ce choix si tard. Je pense que je n’aurais pas pu l’assumer plus tôt. En fait, j’avais très peur à la fois du regard des autres et de me retrouver à 35 ans à me dire : « Tu te rends compte, t’as loupé ta vie ! »

Qu’est-ce qui vous fait vibrer au théâtre ?
On n’a jamais fini de réfléchir à cette question… Le théâtre, c’est avant tout une multitude de sensations. Pendant la représentation bien sûr, mais aussi avant et après… Il y a le stress, le trac avant l’entrée en scène. A la sortie, deux possibilités : soit on se dit qu’on a été en dessous, ou qu’on s’est carrément loupé, et là, on ne rêve que d’une chose, c’est de changer de nom, de changer de métier, bref, de disparaître. Et puis il y a des soirs où il se produit ce que j’appelle un petit miracle. Alors là, c’est extraordinaire ! On est le roi du monde. Un peu comme si on était Obama, Einstein et Mandela réunis ! On a l’impression de dominer sa vie et on ressent une incroyable assurance. Même si on sait que tout cela nous échappe un peu… Dans les deux cas, les sensations sont d’une force prodigieuse.

Pour vous, la vérité d’un comédien réside-t-elle sur les planches ?
Ce qui me préoccupe le plus, c’est de me sentir totalement libre sur scène. Au théâtre, tout est plus grand. On est exposé en hauteur, on parle plus fort… Il faut savoir passer au-dessus de toutes ces contraintes. C’est très paradoxal : s’affranchir du regard des autres alors que, en même temps, on est là pour eux. Il faut dépasser toutes ces angoisses pour pouvoir ressentir sa pleine liberté d’acteur. On sent tout de suite ceux qui le sont, ils sont automatiquement bons. Même si cette liberté est le fruit de trois mois de travail qui ne se voit plus. Au final, le vrai talent, c’est la liberté !

Propos recueillis par Dimitri Denorme

"L'Antichambre" - du mardi au samedi à 21h, le samedi à 18h30, le dimanche à 15h30, au Théâtre de l'œuvre

Le Magazine - N° 19 - Mai 2009

Le nouveau numéro du "Magazine" est disponible. Pour le recevoir,  c'est très simple et gratuit : une adresse mail suffit. Pour toute info complémentaire, consultez le QCM du Mag ou laissez un commentaire.

Quelques pages de la maquette (10 pages au total) :
 

César et Rosalie

Les affiches
   

Cinématographe - N° 1 - Février 1973

Article intérieur : * Le crépuscule des dieux - De Luchino Visconti avec Helmut Berger et Romy Schneider 3 pages 2 photos

Alain Delon pour Eau Sauvage de Dior par Jean-Marie Périer

Source : PaperBlog.fr - 10 mai 2009

Quand un mythe vivant rencontre un grand classique de la parfumerie, cela donne Alain Delon incarne l'Eau Sauvage de Dior.

 Fini les affiches de Gruau où l'homme était représenté dans sa salle de bains, une serviette à sa taille, puis par ces mannequins des années 90, toujours dans la même situation et fini aussi cette idée ridicule de le cacher avec un col roulé en y associant des "vedettes" : Zidane, Hallyday ou bien encore Corto Maltèse.

Place à Alain Delon photographié par Jean Marie Périer, l'année du tournage du film mythique : "la Piscine" avec Romy Schneider et celle aussi du lancement de ce parfum : 1966.

Une photo magnifique, un homme ténébreux, au faîte de sa beauté... avec juste une retouche pour correspondre à notre époque et ses "principes de précaution" : la cigarette a été effacée de la photo d'origine.

 

 

 

La banquière

Captures d'écran - Part 14

Abendblatt Journal - N° 76 - 06 septembre 2008

Article intérieur : * Romy Schneider - was für eine Frau 11 pages 11 photos

France inter : "Et si on parlait d'amour" du dimanche 10 mai 2009

Marie-Pierre Planchon a invité Philippe Barbier, auteur du livre "Delon-Romy, ils se sont tant aimés", dans son émission "Et si on parlait d'amour" sur France inter le dimanche 10 mai de 6h10 à 6h15.

 

Romy Schneider et Alain Delon, un amour éternel !

25 années d'amour ont uni Romy Schneider et Alain Delon depuis leur rencontre sur le tournage de Christine, leur prestation sur scène dans Dommage qu'elle soit une p., leurs retrouvailles à l'occasion de La Piscine, jusqu'à la fin tragique de Romy, en 1982.

Pour la première fois, Alain Delon se met le coeur et l'âme à nu.
Il confie sa passion toujours présente pour Romy, la femme qui a marqué toute son existence, autant par sa présence que par son absence. Alain Delon se souvient de celle qu'il a tant aimée au travers de magnifiques photos souvent inédites.

Invité : Philippe Barbier nous raconte la belle aventure de ce livre très émouvant "Delon-Romy - Ils se sont tant aimés" aux Editions Didier Carpentier

Berliner Kurier - N° 264 - 25 septembre 2008

Article intérieur : * Geliebte Romy Schneider (Série - Part 5) 2 pages 6 photos

Jeunes filles en uniforme

Les cartes postales
         

Freizeit Revue - N° 20 - 06 mai 2009

Article intérieur : * Alain Delon - Unfassbar, wie respektlos er jetzt über Romy Schneider spricht 1 page 5 photos

France 3 : "Les grands du rire" du 09 mai 2009

Durée : 75 minutes
Yves Lecoq, en compagnie de nombreux invités, nous offre un condensé d'humour. L'occasion de voir ou de revoir les sketches inoubliables des plus grands humoristes et de découvrir la nouvelle génération... Un cocktail à consommer sans modération au cours de chaque émission. Avec : Francis Huster, Shake, Stéphanie Fugain, Catherine Barry, Danièle Lebrun, Sarah Biasini (fille de Romy Schneider) pour la promotion de la pièce "L'antichambre".

     

Sarah Biasini : Etre la fille de Romy Schneider !

Source : Omega.tv - mai 2009 (?)

Sarah Biasini est la fille de Romy Schneider. Comédienne et actrice, elle joue dans des téléfilms et évolue également sur les planches. Elle est interviewée par Jacques Paugam.

 

Prix Romy Schneider 2009

 

Timbres de Guinée

 

 

«L'enfer» du Cantal au paradis à Cannes

Source : La Montage.fr - 08 mai 2009

Henri-Georges Clouzot n'a jamais terminé "L'enfer". Serge Bromberg et Ruxandra Medrea ont retrouvé les rushes de ce film tourné en 1964 dans le Cantal. Leur travail sera présenté au Festival de Cannes 2009.

Serge Bromberg en rêvait. Le festival de Cannes l'a fait. En 2008, alors qu'il tournait à Garabit et Murat, dans le Cantal, Serge Bromberg se montrait évasif sur la date de sortie de son film. «On le verra peut-être en mai, à un certain festival». Il ne savait pas encore que le film qu'il était en train de réaliser sur "L'enfer" inachevé d'Henri-Georges Clouzot avec Romy Schneider et Serge Reggiani, le mènerait sur la Croisette avec sa collaboratrice Ruxandra Medrea. L'Enfer retrouvé, souvenirs d'Henri-Georges Clouzot, est en sélection officielle dans la catégorie «Cannes classics 2009», sous la présidence de Martin Scorsese.

Cette section, créée en 2004, «accompagne les oeuvres contemporaines de la sélection officielle par un programme de films restaurés, de films retrouvés, dans le cadre de leur (re) sortie en salle ou en DVD».

Serge Bromberg et Ruxandra Medrea ont déniché seize heures d'images «extraordinaires», les rushes du film d'Henri-Georges Clouzot de 1964. Avec ses images inédites de cet enfer de la jalousie, le film ne pouvait que s'intégrer dans cette catégorie. Ils y ajoutent des documents exclusifs, des interviews, comme celle de Sarah Biasini, la fille de Romy Schneider ; de Catherine Allégret, qui jouait là son premier rôle. Les réalisateurs ont retrouvé des images de Burt Lancaster, Eddy Barclay ; ils ont questionné Costa-Gavras, qui devait être assistant-réalisateur du film de Clouzot?

Une oeuvre inachevée présentée comme un mythe qui devait être une révolution dans l'art de faire du cinéma. Une oeuvre dont la maladie de l'acteur principal puis la crise cardiaque du réalisateur (qui s'en est néanmoins remis) ont signé l'arrêt de mort. Serge Bromberg et Ruxandra Medrea n'ont pas refait "L'enfer" mais «essayé de montrer un cinéaste à l'oeuvre en tentant de dépasser ses propres limites».

«Ce sera un choc», avait prévenu Serge Bromberg. Un choc chic sur la Croisette.

Véronique Mettey

Berliner Kurier - N° 263 - 24 septembre 2008

Article intérieur : * Geliebte Romy Schneider (Série - Part 4) 2 pages 8 photos

Portrait de groupe avec dame

Captures d'écran - part 4
      

23e nuit des Molières - Dimanche 26 avril 2009

Captures d'écran
    

Berliner Kurier - N° 262 - 23 septembre 2008

Article intérieur : * Geliebte Romy Schneider (Série - Part 3) 2 pages 7 photos

Célébrité Magazine - N° 4 - Mai / Juin 2009

Article intérieur : * Romy Schneider, elle aurait eu 70 ans : "L'impératrice éternelle" 10 pages 23 photos

France Soir - N° 11 752 - 29 mai 1982

Article intérieur : * Romy Schneider s'est suicidée 3/4 page 5 photos NDLR : Je tiens à rappeler que ce journal est paru quelques heures après le décès de Romy. Le titre "accrocheur" est faux puisque la cause officielle du décès Romy est un arrêt cardiaque.

Une femme à sa fenêtre

Captures d'écran - Part 7
 

Calendrier Sissi de 1999 : en vente

Ce calendrier de 1999 sur "Sissi" est en vente sur ebay. Il devient assez difficile de le trouver... Pour plus d'info, vous pouvez le feuilleter ici.

Mise à prix = 1 euro.
Attention au frais de port qui sont quand même à... 15 euros.

Max et les ferrailleurs

Les cartes postales