Certains anniversaires ne se souhaitent pas, certains chagrins ne s'oublient pas. Je penserais à vous Madame, aujourd'hui comme hier.
Et je sais que où que vous soyez, nulle peine ne voile votre si beau regard et que vous avez enfin trouver la sérénité. Septembre, Octobre, les mois et les années défilent mais vous êtes toujours là ; étoile au firmament qui souvent me tient compagnie, présence irréelle mais si familière qui m'aide à chasser mes démons.
Je vous embrasse Madame. Je reviendrais fumer une cigarette près de vous, dans le frimas d'un matin hivernal... et là, oserais-je alors vous dire combien vous me manquez...
Sandrine - septembre 2007
Avec son aimable autorisation
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