L'histoire...
1955 - Production : Ernst Marischka (Erma Films Vienne)
Allemagne |
Die Deutschmeister |
US / UK |
|
Espagne |
El panadera y el emperador |
Italie |
Quattro fanteria |
Mexique |
|
Générique : Réalisation : Ernst Marischka. Scénario et dialogues : Ernst Marischka, d'après Parade de Printemps, de Ernst Marischka et Gustav Holm. Directeur photo : Bruno Mondi (Agfacolor). Musique : composée et dirigée par Robert Stolz (marche de Wilheim August Jurek, Josef Erth, Franz Sioly). Chorégraphie : Dia Lucca. Décors : Fritz Jupner-Jonstorff Montage : Alfred Srp. Assistant réalisateur : Karl Stanzi. Caméra : Herbert Geier. Maquillage : Jupp Paschke, Heinz Stamm, Josef Schober. Costumes : Gerdago et Léo Bei. Son : Otto Saimberger. Directeur production: Karl Ehriich. Distribution: Les Films Marbeuf.
Durée: 90 mn.
Sortie à Paris: 18 septembre 1957 (première projection française : Nice, le 3 juillet 1957).
Distribution : Romy Schneider (Cri-Cri), Magda Schneider (Thérèse Hübner), Siegfried Breuer Jr (Wilheim A. Jurek), Hans Moser (Jeremia Swoboda), Paul Hörbiger (empereur François-Joseph), Gretl Schörg (Hansi Führer, la chanteuse), Wolfgang Luckschy (empereur Guillaume II), Adrienne Gessner (comtesse Burgstetten), Susi Nicoletti (Nanette, sa nièce), Günther Philipp (baron Zomdorf), Josef Meinrad (conseiller Hofwirt), Karl Schwetter (commandant Weber), Fritz Imhoff (adjudant Mittermeier), Heinz Conrads (Josef Stigler), Wolfgang Jansen (Gustav Knoll).
Résumé : Les années 1900, à Salzbourg et Vienne.
Selon l'horoscope qu'un charlatan de son village natal lui a vendu, Cri-Cri semble promise à un brillant avenir et doit rencontrer le bonheur en la personne d'un bel officier ou d'un grand artiste. Cri-Cri se rend aussitôt à Vienne où sa tante Thérèse Hübner, une jeune veuve dynamique, tient une boulangerie renommée. Au cours du voyage, la jeune fille est entraînée dans un bal masqué où un certain baron Zomdorf. joyeux viveur, la prend pour la comtesse Burgstetten et tombe amoureux d'elle. Cri-Cri apprend à pétrir les petits pains dans la boulangerie de sa tante lorsqu'un jeune et fringant caporal de la fanfare municipale, nommé Willy Jurek, entre dans le magasin. C'est le coup de foudre entre les deux jeunes gens qui se donnent rendez-vous le soir au fameux «Prater». Thérèse est l'objet des brûlantes attentions du conseiller Hofwirt, chargé d'acheter chaque jour les petits pains de l'empereur. Thérèse et son soupirant se rendent à leur tour au Prater. La boulangère, furieuse, a entrevu sa nièce en galante compagnie. Cri-Cri et Willy se dévorent des yeux. Le jeune homme, soudain frappé d'inspiration, se précipite au piano pour composer une marche militaire. Le lendemain, Cri-Cri introduit dans l'un des pains destinés à l'empereur la marche de son amoureux et un message adressé à la bienveillance du monarque. Mécontent, le chef du protocole retire sa clientèle à la boulangerie Hùbner. Cri-Cri obtient une audience privée au palais et séduit François-Joseph par sa fraîcheur et sa simplicité. Thérèse est élevée au rang de «fournisseur officiel de la Cour» et la marche de Willy sera jouée le jour de «la Parade de printemps» devant le souverain conquis. Cri-Cri et Willy peuvent enfin songer à leur amour.