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~ 22 x 28 cm
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France
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Occasion Trous de punaises dans les coins
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N°
1
2
3
Prix
15 €
10 €
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Taille
~ 24 x 29 cm
~ 21 x 29,5 cm
~ 21 x 29,5 cm
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France
Allemagne
Allemagne
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Très bon
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Occasion Trous de punaises dans les coins
Occasion Légère pliure sur le côté gauche
Occasion Trous de punaises dans les coins
N°
4
5
6
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10 €
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Taille
~ 21 x 29,5 cm
~ 21 x 29,5 cm
~ 21 x 29,5 cm
Pays
Allemagne
Allemagne
Allemagne
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Très bon
Très bon
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Occasion
Occasion Trous de punaises dans les coins
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N°
7
Prix
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Photo d'exploitation originale
Taille
~ 21 x 29,5 cm
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Allemagne
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N°
1
2
Prix
12 €
10 €
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Photo d'exploitation originale
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~ 24 x 29 cm
~ 24 x 29 cm
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France
France
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Assez bon
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Occasion Trous de punaises dans les coins
Occasion Trous de punaises dans les coins et arrachés
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Source : France Culture - 07 juillet 2022 Par Guillaume Erner
Romy Schneider à la Cinémathèque : icône majuscule
Quatre décennies après sa mort, on célèbre la mémoire et le talent de Romy Schneider, à travers l'exposition qui lui est consacrée à la Cinémathèque française, jusqu’au 31 juillet. Encore quelques semaines pour voir ces archives qui retracent sa carrière et sa vie d’actrice.
En savoir plus : Nous vous emmenons aujourd'hui dans les coins et recoins de la carrière de Romy Schneider, à laquelle la Cinémathèque consacre une exposition, jusqu'au 31 juillet prochain. Pour en parler, nous recevons Clémentine Deroudille, commissaire de l'exposition et le romancier Nicolas Mathieu. Bien loin de rester bloquée dans le rôle de l’Impératrice "Sissi" pour lequel nous sommes nombreux à la connaître - ou plus tard dans celui d’icône de beauté, ou encore dans l’image d’une femme victime d’un destin personnel tragique, cette exposition nous présente sous un jour nouveau tous les reliefs de sa vie d’actrice, et son travail acharné pour mener sa carrière ou elle le voulait.
Pour Nicolas Mathieu, Romy Scheiner incarne d'abord "une certaine idée de la femme française. ça peut paraitre paradoxal parce qu’elle est Autrichienne au départ et aussi parce que ça date des années 70 et ça pourrait paraître un peu suranné… Or il me semble que ça n’a pas pris une ride, qu’elle représente une femme française à la fois libre, vaillante, puissamment sensuelle, mais qui n’est jamais un objet, qui mène de front son travail, son intimité, qui ose aimer deux homes comme dans "César et Rosalie". […] Elle suit les mouvements de son cœur, mais sans jamais être une victime. Mais surtout Romy Schneider pour moi, par sa beauté, sa bouche, sa chevelure, ce type particulier d’élégance, peut-être l’espièglerie aussi qu’on voit dans son œil qui est si désarmante,, sa manière de manifester sa joie et la forme génie qu’elle semble mettre à vivre et en même temps ce tremblement intérieur, la fragilité qui passe dans son regard."
"Elle était une star mais elle a toujours refusé de l'être, souligne Clémentine Deroudille. Le sous-titre de l’exposition c’est "l’invention de la femme moderne", et c’était vraiment ça mon ambition. En découvrant le travail de Romy Schneider, j’ai découvert une femme totalement différente que celle que j’avais pu imaginer. C’est elle qui est allée chercher tous les plus grands réalisateurs, Il y a plein de films dont on ne parle pas. On sait peu qu’elle a tourné avec Wells, que son premier film en France était avec Alain Cavalier, que son histoire avec Alain Delon était bien plus romanesque. Et d’ailleurs Romy Schneider a passé sa vie à aller chercher des êtres d’exception, pour devenir cette espèce d’actrice idéale. Tous les réalisateurs voulaient tourner avec elle parce que c’était une pate à modeler, c’est-à-dire qu’elle se livrait totalement au réalisateur pour être dans un jeu unique, totalement.
Quarante ans après sa disparition, Romy Schneider est toujours aussi aimée et populaire. A l’occasion de l’exposition à la Cinémathèque Française qui lui est consacrée, nous reviendrons sur son parcours en évoquant des films qui ont marqué sa carrière.
Palais de la Médiathèque : 122 rue de la République - 92800 Puteaux Entrée libre
NDLR : Comme d’habitude, l’article ne semble pas très reluisant. Ci-dessous, l’article paru dans Closer Mag du 1er juillet 2022 :
Dans son livre Adieu Romy, Violaine de Montclos s'attarde sur les liens particuliers que Romy Schneider aurait noué avec ses maquilleurs.
"Romy Schneider confond toujours tout". C'est ce que rapporte, avec sévérité, Violaine de Montclos dans son livre "Adieu Romy" (Ed. Grasset) dont France Dimanche publie des extraits dans son magazine paru ce vendredi 1er juillet. L'ouvrage s'attarde sur une autre facette de la personnalité de la mythique comédienne. Celle d'une Romy Schneider autoritaire et odieuse. Tyrannique, même. Ses partenaires de jeu en auraient fait les frais, parfois violemment. Yves Montand, Claude Brasseur et Harvey Keitel pour ne citer qu'eux auraient gardé un mauvais souvenir de Romy Schneider - ce qui n'a pas empêché le premier de donner la réplique à celle-ci à plusieurs reprises.
La nouvelle série allemande dédiée à "Sissi" et dont le titre français sera "L'impératrice" sera disponible sur Netflix le 29 septembre prochain !
Résumé : Dans l'Autriche des années 1800, l'amour passionnel entre Sissi, la rebelle, et l'empereur Franz se heute aux complots et luttes de pouvoir au sein de la cour viennoise.
L'histoire : L’intrigue c’est qu’elle se concentre sur la rebelle Elisabeth (alias Sissi) mais aussi sur son époux, Franz, empereur d’Autriche : elle aborde des thèmes comme l’anorexie et les dépressions de la jeune femme. Par ailleurs, l’union et l’amour passionnel du couple ne tarderont pas à faire vaciller la structure même du pouvoir au sein de la cour viennoise ; une cour particulièrement marquée par la révolution de 1848. Une fois mariée, la jeune impératrice devra également apprendre à s’affirmer, non seulement auprès de sa belle-mère, la souveraine avide de pouvoir Sophie, mais également auprès du frère de Franz, Maxi, qui convoite lui aussi le trône, ainsi que Sissi. Tandis que les troupes ennemies se rassemblent le long des frontières de l’empire des Habsbourg, le peuple de Vienne se soulève contre l’empereur. Élisabeth devra identifier ses vrais alliés et comprendre le prix à payer pour devenir une vraie impératrice et un symbole d’espoir aux yeux du peuple.
Distribution : Devrim Lingnau, Philipp Froissant, Melika Foroutan, Johannes Nussbaum, Elisa Schlott, Jördis Triebel, Almila Bagriacik, Wiebke Puls
[...] Plus que le nom de l’actrice ici, c’est le nom du personnage qu’elle incarne qui attirera l’attention du grand public. Vicky Krieps prête en effet dans "Corsage" ses traits à l’impératrice Elisabeth de Bavière, plus connue sous le surnom de Sissi. Personnage emblématique des représentations historiques du septième art, évidemment grâce à Romy Schneider qui l’incarna à trois reprises devant la caméra d’Ernst Marischka, Sissi, héroïne tragique et romantique devant l’éternel, méritait bien un petit relooking modernisé comme l’ont eu en leur temps Marie-Antoinette ainsi que la moitié des reines d’Angleterre.
"Corsage" débute en décembre 1877, alors que l’impératrice s’apprête à fêter son quarantième anniversaire la veille de Noël. A quarante ans, on est déjà une vieille femme aux yeux du monde, plus encore à la fin du XIXe siècle où il s’agissait de l’espérance de vie féminine moyenne. Mais plus que le poids des ans, c’est l’usure de la vie de cour et de ses intransigeantes exigences qui épuisent Sissi. Elle dont on guette le moindre écart de poids, le moindre faux pli, la moindre variation de teint, elle n’en peut plus. Elle n’en peut plus de son mari trop occupé à faire la guerre, et de ce couple qui ne peut s’aimer. Le temps défile, faisant défiler avec lui les regrets de la mort de son premier enfant et de la santé fragile de sa petite dernière. Ce temps qui défile, on lui demande surtout de le faire oublier, et de faire tenir cet édifice de conventions qu’elle n’arrive plus à faire tenir debout.
Comme son nom l’indique "Corsage" est avant tout un film sur la charge mentale qui pèse sur les grandes femmes de l’histoire, celles qu’on a héroïsé et glorifié, celles dont les portraits et les légendes ont contribué à fortifier les canons de beauté et de bienséance qui les ont elles même oppressé toute leur vie. C’est l’histoire d’une rébellion interne qui finit par craqueler, fissurer la carapace impeccable d’une femme qui ne s’en relèvera pas. Comme beaucoup de films historiques récents ("Un peuple et son roi", "La favorite", "Mademoiselle de Joncquières", "Love and Friendship"…), "Corsage" va ausculter physiquement la laideur pernicieuse derrière le vernis propret des livres d’histoire (ou plutôt de roman national), battant en brèche l’austérité classiciste du film en costumes. Dans ces palais et ces maisons de campagne aux salons luxueux mais aux couloirs et alcôves décrépis où la moisissure ronge les murs, Sissi dépérit de ne pouvoir être autre chose que ce que l’on attend d’elle.
"Corsage" applique malheureusement trop souvent sa recette de manière un peu scolaire, au risque de tomber par moment dans la redite, le ronronnement. Ironiquement, ce film sur une cour trop corseté aurait gagné à se raffermir autour de ses fulgurances visuelles, comme autant de pulsions, de cris de liberté qui s’égarent dans le vide. Corsage n’est jamais aussi bon que quand il ausculte directement le corps contraint, engoncé de son actrice, et que la réalisatrice décide de le tordre, de le maculer de chocolat fondu, de le confronter à la psychiatrisation destructrice de la santé féminine de l’époque. "Corsage" n’est surtout jamais aussi bon que quand il laisse le champ libre à Vicky Krieps, dont l’époustouflante versatilité lui fait revêtir une multitude de féminités. Comme la Diana de Spencer, la Sissi de "Corsage" est presque le film d’un fantôme qui n’est pas encore là, la peinture d’une souffrance que personne n’entend sinon le spectateur. Un film doucement rock’n’roll, presque punk sans l’être, à l’image de sa playlist où vient se glisser, comme un écho des temps à venir, As Tears Go By.
"Corsage" de Marie Kreutzer avec Vicky Krieps, Florian Teichtmeister, Finnegan Oldfield, sortie en salles prévue le 14 décembre.