Auteur : Bernard Soares & Henry-Jean Servat
Editeur : Hors collection
Langue : Français
112 pges
Prix : ~ 13 euros
Sortie : 05 avril 2012
ISBN-10: 2258095182
ISBN-13: 978-2258095182
Disponible à la commande sur Amazon.fr et Fnac.com
NDLR : Quasi aucune information à ce jour mais je me demande s'il ne s'agit pas de la ré-édition du livre de HJ Servat paru en librairie (novembre 2010)... A confirmer, bien sûr !
Le 23 mars 2012 :
Il semble que ma première impression soit confirmée puisqu'il s'agit bien d'un livre d'Henry-Jean Servat. Toujours à confirmer, cependant...
Résumé : Romy Schneider rejoint l'histoire en incarnant au cinéma "Sissi", l'impératrice d'Autriche. Jetant un pont au lendemain de la Seconde Guerre mondiale entre la France et l'Allemagne, Romy rejoint Paris. Elle tombe sous le charme d'Alain Delon et de la France, qui sait si bien l'accueillir. Les amitiés s'enchaînent et perdurent. Elle y rencontre les plus grands réalisateurs (Visconti, Clouzot, Sautet...), de grand comédiens (Brialy, Montand, Piccoli), tous ces artistes avec lesquels elle travaillera régulièrement avec plaisir.
Actrice hors norme, interprétant des rôles souvent difficiles et qui correspondaient à ce qu'elle-même vivait alors, Romy fait partie du Panthéon des actrices française :"La piscine", "Le vieux fusil", "César et Rosalie", "L'important, c'est d'aimer"...
Cet ouvrage revient sur ce parcours exceptionnel de femme, d'artiste et de mère, au travers de plus de 100 photographies, qui la subliment.
Le 06 avril 2012 :
NDLR : Le livre est sorti et c'est donc une confirmation !!! S'était déjà du presque garanti mais c'est désormais assuré : il s'agit exactement de la copie conforme (hormis la couverture, donc) du livre intitulé : "Romy Schneider, la femme passionnée".
22h20 dans Les livres | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Frontera.info - 05 avril 2012
Exposition à Bonn (Allemagne)
Du 05 avril au 24 juin 2012
La galería estatal de arte Kunsthalle dedica a la actriz austriaca Romy Schneider una amplia exposición que abre hoy, con motivo del 30 aniversario de su muerte.
Desde la niña mimada de la saga Sissi, hasta la "femme fatale" de las películas francesas de Claude Chabrol: nadie puede reprocharle a esta actriz de no haber cambiado en su vida.
Schneider fue encontrada muerta en su departamento de París el 29 de mayo de 1982, un año después de la muerte en un accidente de su hijo David de 14 años.
La exposición en la galería ubicada en Bonn fue organizada entre la Cineteca Alemana y la Akuona de París, y presenta el trabajo de esta actriz como clave de acceso a su atormentada personalidad. "No nos centramos de manera demasiado intensa en su vida personal también porque su hija, Sarah Biasini, quien es también la principal contribuyente a la exposición, quiso evitarlo" , explicó Angelika Francke directora artística de la exposición.
La muestra se abre con una gran sala dedicada a "la princesa Sissi" , es decir el trabajó que lanzó a la actriz a la fama en los años cincuenta, aunque más tarde Schneider quiso tomar distancia de él. Francke recordó también una frase que se le atribuye a la actriz : "Hay tres personas que decidieron mi vida: Alain Delon, Luchino Visconti y Coco Chanel" .
A estas tres personas la exposición dedica espacio: Alain Delon fue el encuentro que abrió a Schneider las puertas de Francia y su bulliciosa vida cinematográfica de los años sesenta y setenta. Ambos fueron unidos por una pasión de jet-set. Más tarde en su vida Delon reconoció que fue uno de los errores más grandes de su vida haber terminado la relación.
Luego de la ruptura, ambos actores se volvieron a encontrar en el rodaje de la película La Piscina, de 1969, de la que la exposición presenta imágenes y hasta el vestuario. El estilo de Schneider que en aquellos años ya se había impuesto como ícono de la moda, supo sobrevivir a su muerte.
Para su colección primavera-verano de 2012 la celebre modista francés Sophie Theallet dijo que se inspiró en aquella película. Schneider fue una de las pocas actrices que accedieron a las salas privadas de la Rue Cambon 31 en París, para ser vestidas en persona por Coco Chanel.
Siempre a través de Delon, Schneider conoció el director italiano Luchino Visconti, para quien interpretó el papel de una prostituta en la película Boccaccio 70 , que causó escándalo en aquella época. "Entre los objetos privados la exposición presenta el famoso anillo que Visconti regaló a Schneider" ,ilustró Francke.
También hay algunas imágenes inéditas y las cartas personales que Schneider intercambió con otra gran actriz : Marlene Dietrich. A ambas se las considera las personalidades más destacada del cine de habla alemana.
06h42 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Gala.de - 05 avril 2012
Erinnerungen: Sarah Biasini (34) hält das Andenken an ihre Mutter Romy Schneider (†43) aufrecht.
Die Tochter der großen Leinwanddiva ("Sissy"), die am 29. Mai 1982 verstarb, wird ihr zu Ehren einen großen Bildband veröffentlichen und darin ihre persönlichen Fotos und Erinnerungen preisgeben. Sie war noch ein Kind, als ihre berühmte Mutter plötzlich starb und erinnert sich noch genau an den schweren Tag : "Ich erinnere mich an den Morgen, als es passiert ist. Erinnere mich an die große Aufregung, die ich in der Wohnung gespürt habe. Ich war mit meinem Kindermädchen direkt im Nebenzimmer, schaute durch das Schlüsselloch und sah sie auf dem Sofa liegen und viele Leute um sie herum - sicher Leute vom Rettungsdienst und Ärzte. In meiner kindlichen Fantasie sah das für mich aus wie eine riesige Spinne, die sich über sie beugt. Ich habe nicht sofort begriffen, dass sie für immer von uns gegangen war", beschrieb die damals Fünfjährige das Erlebnis laut "Bild.de".
Die große Trauer sitzt fest in ihrer Seele und es ist nicht immer leicht, mit dem Ruhm der Mutter und dem öffentlichen Interesse umzugehen. "Menschen, die zu mir kommen, wollen ihre Bewunderung, ihren Kummer und den Verlust mit mir teilen. Auf Dauer - wobei das sehr stark davon abhängt, wie gut oder schlecht ich selbst gerade gelaunt bin - kann das tatsächlich etwas Belastendes haben. Vor ein paar Jahren kam es sogar vor, dass ich die Frage, ob ich die Tochter von … sei, mit Nein beantwortet habe", schilderte Sarah Biasini ihr Leben im Rampenlicht. Und während andere Waisenkinder sich vielleicht wünschen würden, die geliebten Eltern noch einmal zu sehen, sind die Filme von Romy Schneider doch auch nicht wirklich genug, um die Trauer zu schmälern : "Es erfordert eine ganze Menge Distanz, oder man kann sie nicht anschauen, ohne loszuheulen. Einen Film von ihr anzuschauen ist wie ein Rendezvous mit meinen eigenen Wurzeln, mit einem Bein, einem Arm - das ist zwangsläufig nicht unverfänglich. Bei "Sissi" muss ich sechs, sieben oder acht gewesen sein, ich weiß es nicht mehr genau … Es war also so, als würde man Jugendbilder der eigenen Mutter ansehen: Man sieht sie lächelnd an, so hat sie also mit siebzehn oder achtzehn ausgesehen … Es ist die eigene Mutter und gleichzeitig ist sie es eben doch noch nicht", erzählte die Blondine.
Der Bildband "Romy" von Sarah Biasini umfasst 288 Seiten und wird am 29. Mai im Verlag "Edel" erscheinen.
06h37 dans Les livres | Lien permanent | Commentaires (0)
DVD - 1 disque
Format : 4:3
Langues : Allemand, Anglais
Sous-titres : Allemand
Bonus : "Orson Welles, Lichtarchitekt"
Sortie le : 21 juin 2012
Prix : ~ 10 euros
Disponible à la commande sur Jpc.de
23h03 dans En DVD !, Film-1962-Procès | Lien permanent | Commentaires (0)
CD - 1 disque
Auteur : Monika Elisa Schurr
Editions: Monarda Publishing House
Langue : Allemand
Date de sortie : 23 avril 2012
Prix : ?
Disponible à la commande sur Amazon.de
ISBN-10: 3939513792
ISBN-13: 978-3939513797
22h55 dans Musique / Audio | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Le Figaro - 05 avril 2012
Le réalisateur de "Garde à vue" disparaît à l'âge de 70 ans. Il venait de tourner une adaptation de "Thérèse Desqueyroux".
Claude Miller nous a quittés, ce jeudi matin d'avril, emporté par un cancer contre lequel il a lutté jusqu'au bout avec l'arme vitale qu'il connaissait le mieux : la caméra. À peine son film "Voyez comme ils dansent" était-il sorti, en juillet dernier, qu'il partait dans le Bordelais tourner "Thérèse Desqueyroux", avec Audrey Tautou dans le rôle-titre.
Cet enfant de la guerre et de la banlieue, né en 1942, grandit à Montreuil, fils unique ignorant qu'il a perdu une petite sœur, Annie. «Mes parents m'ont très longtemps caché son existence, a-t-il confié beaucoup plus tard dans un livre d'entretiens, Serrer sa chance. En dépit de quoi, j'ai grandi avec cette présence fantôme. Je la sentais là, quelque part. Ma femme dit que j'ai toujours la nostalgie de cette sœur perdue.»
Son père, juif laïque et lecteur assidu de L'Humanité, refusa de porter l'étoile jaune. «Sa détermination nous a sauvé la vie», disait le réalisateur, alors qu'une partie de sa famille fut déportée. Son enfance pauvre est vite illuminée par la magie du cinéma, qui le conduira à l'Idhec (Institut des hautes études cinématographiques) dans les années 1960. Il devient assistant de Carné, de Bresson ("Au hasard Balthazar"), de Godard ("Week-end"), et directeur de production de Truffaut, dont il est incontestablement proche par la sensibilité et le talent romanesque.
En 1976, il signe son premier film, "La Meilleure Façon de marcher", sur les rapports troubles de deux moniteurs de colonie de vacances, l'un viril et intolérant (Patrick Dewaere), l'autre efféminé (Patrick Bouchitey). Débuts salués par la critique et bientôt suivis par une œuvre au romantisme sombre, "Dites-lui que je l'aime" (1977), d'après un roman de Patricia Highsmith. Gérard Depardieu interprète avec toute sa force poétique un amoureux obsessionnel dévoré par sa passion sans espoir.
Dans les années 1980, Miller va atteindre une grande popularité avec deux beaux succès publics, qui ne se sont jamais démentis, "Garde à vue" et "Mortelle randonnée".
Le premier est un huis clos qui met face à face, un soir de réveillon, un commissaire de police (Lino Ventura) et le suspect qu'il a appréhendé, un respectable notaire auquel Michel Serrault apporte sa présence énigmatique et ironique. «C'est l'un des acteurs les plus ambigus que je connaisse», observait Miller, qui fera de nouveau appel à lui pour devenir le détective privé obsédé par sa fille inconnue dans "Mortelle randonnée". Cette fois, on traverse sans cesse de nouveaux paysages, à la suite de la fatale Isabelle Adjani, meurtrière que le détective identifie à sa fille et poursuit sans se résoudre à l'arrêter. Si "Garde à vue" est un policier classique dans la ligne de Quai des orfèvres, "Mortelle randonnée", tiré d'un polar de Marc Behm, est une variation névrotique et onirique sur le meurtre et la filature, autour de deux personnages perdus dans leurs obsessions et leurs illusions.
Cinéaste de l'intime, Miller s'intéresse au secret qui gît sous le mouvement des passions et des pulsions. «Je ne me vois pas tourner une charge de cavaliers. La forme symphonique n'est pas mon fait. Ce qui me passionne dans la démarche cinématographique, c'est de m'attacher au plus près au jeu des apparences, gestes, regards, comportements et d'essayer de faire deviner l'intérieur des êtres, leur jardin secret, alors qu'on ne voit d'eux que l'extérieur.»
Il filme avec prédilection les enfants et les adolescents: Charlotte Gainsbourg fait ses débuts avec lui dans "L'Effrontée" et "La Petite Voleuse", sur un scénario de Truffaut ; Romane Bohringer sera "L'Accompagnatrice" ; suivront "La Classe de neige", prix du jury à Cannes, "La Petite Lili", "Je suis content que ma mère soit vivante", co-réalisé avec son fils Nathan.
Souvent, aussi, il part d'œuvres littéraires (Marc Behm pour "Mortelle randonnée", Nina Berberova pour "L'Accompagnatrice", Emmanuel Carrère pour "La Classe de neige", "La Mouette" de Tchekhov pour "La Petite Lili", Philippe Grimbert pour "Un secret", Roy Parvin pour Voyez comme ils dansent. Cet anxieux trouvait dans le texte un appui précieux, mais ses adaptations sont toujours très personnelles, autant par les aspects qu'il choisit que par le style.
Si Claude Miller n'a pas traité dans ses films de sujets directement politiques, n'étant pas, disait-il, un homme de théories et d'explications globalisantes, il s'est toujours engagé dans la politique du cinéma en défendant la diversité culturelle et une économie de la production où l'originalité des auteurs ne soit pas sacrifiée à la rentabilité financière. Sa réflexion et ses positions sur le métier étaient parfaitement cohérentes avec son souci de comprendre et de respecter la place de chacun. Il y avait quelque chose de «renoirien» dans l'humanité bienveillante de Miller, qui détestait la violence et admettait que «chacun a ses raisons». Plutôt que de s'insurger contre l'ambiguïté humaine, il a choisi de la montrer, avec une sensibilité chaleureuse et indulgente.
22h12 dans Carnet noir | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Buzz-video.eu - 04 avril 2012
Pour rappel, il s'agit de l'exposition de Boulogne qui déménage en Allemagne (du 05 avril au 24 juin 2012) avant de gagner Cannes en juillet prochain.
21h49 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Bild.de - 04 avril 2012
Zum 30. Todestag am 29. Mai gibt ihre Tochter, Sarah Biasini (34), jetzt einen einzigartigen Bildband heraus.
Vergrößern Der Bildband „Romy“ von Sarah Biasini und Jean-Pierre Lavoignat erscheint im Edel Verlag (288 Seiten, 36 Euro) Foto: Edel VerlagIn „Romy“ (Edel, 288 Seiten) zeigt Sarah private Fotos und teilt persönliche Erinnerungen an eine Frau, die Mutter und Ikone zugleich war.
Romy, die Mutter
"Meine Mutter war achtunddreißig, als ich geboren wurde, sie hat mir also nur fünf Jahre ‚gehört‘. Als meine Mutter noch lebte, erinnere ich mich an Paparazzi, die uns am Flughafen fotografiert haben, als sie, mein Bruder David und ich an Bord gingen. Diese Fotos habe ich alle gesehen. Ich habe das alles also mehr oder weniger bewusst verinnerlicht. Gleichzeitig denke ich manchmal, dass ich immer noch nicht alles völlig realisiert habe. Denn was mich vor allem unruhig macht, was mir fehlt, was ich suche, das ist die Mutter, nicht die Schauspielerin und auch nicht die Frau, als die sie in der Öffentlichkeit wahrgenommen wurde."
Romy, die Ikone
"Menschen, die zu mir kommen, wollen ihre Bewunderung, ihren Kummer und den Verlust mit mir teilen. Auf Dauer – wobei das sehr stark davon abhängt, wie gut oder schlecht ich selbst gerade gelaunt bin – kann das tatsächlich etwas Belastendes haben. Vor ein paar Jahren kam es sogar vor, dass ich die Frage, ob ich die Tochter von... sei, mit Nein beantwortet habe"
Romys Tod
"Ich erinnere mich an den Morgen, als es passiert ist. Erinnere mich an die große Aufregung, die ich in der Wohnung gespürt habe. Ich war mit meinem Kindermädchen direkt im Nebenzimmer, schaute durch das Schlüsselloch und sah sie auf dem Sofa liegen und viele Leute um sie herum – sicher Leute vom Rettungsdienst und Ärzte. In meiner kindlichen Fantasie sah das für mich aus wie eine riesige Spinne, die sich über sie beugt. Ich habe nicht sofort begriffen, dass sie für immer von uns gegangen war."
Romys Filme
"Es erfordert eine ganze Menge Distanz, oder man kann sie nicht anschauen, ohne loszuheulen. Einen Film von ihr anzuschauen ist wie ein Rendezvous mit meinen eigenen Wurzeln, mit einem Bein, einem Arm – das ist zwangsläufig nicht unverfänglich. Bei ,Sissi‘ muss ich sechs, sieben oder acht gewesen sein, ich weiß es nicht mehr genau... Es war also so, als würde man Jugendbilder der eigenen Mutter ansehen: Man sieht sie lächelnd an, so hat sie also mit siebzehn oder achtzehn ausgesehen... Es ist die eigene Mutter und gleichzeitig ist sie es eben doch noch nicht."
Romys Mutter Magda Schneider
"Nach dem Tod meiner Mutter habe ich sie ziemlich regelmäßig besucht. Aber das Verhältnis zu Magda war etwas speziell. Ich sprach kein Deutsch, sie sprach nur wenig Französisch. Sie war keine gewöhnliche Großmutter. Sie hat mir ein Medaillon mit einem Jugendfoto meiner Mutter gegeben. Mit dem heutigen Abstand würde ich sagen, dass es neben der großen Sprachbarriere zwischen uns eine Art Befangenheit gab, die den Austausch von Erinnerungen blockiert hat."
Judith BONESKY
21h44 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : TV7 Colmar
Depuis son plus jeune âge, Dorette Roess est passionnée de cinéma et plus particulièrement de Romy Schneider. Cette habitante de Turckheim possède une impressionnante collection d'objets consacré à l'actrice et organise régulièrement différentes manifestations afin de lui rendre hommage. Plus récemment, Dorette Roess a également écrit un ouvrage sous forme d'abécédaire intitulé «Romy Schneider, les choses de ma vie».
Cliquez sur le lien pour découvrir ce reportage :
21h27 dans Télévision - Romy | Lien permanent | Commentaires (0)
Ce très beau portrait est actuellement en vente sur ebay (prix : 600 euros).
Taille : 20 x 27 cm
21h10 dans Artistes | Lien permanent | Commentaires (1)
Source : RTBF.be - 28 mars 2012
Du lundi 2 au vendredi 13 avril 2012
dans l'émission "Printemps Première" entre 9h00 et 11h00
sur La Première
Le 29 mai, cela fera 30 ans que Romy Schneider nous a quittés, sans nul doute l’actrice européenne la plus populaire de sa génération : un palmarès de 57 films, tout au long des 28 années d’une carrière fabuleuse, de l’adolescence à la féminité épanouie, de la série en costume des "Sissi" aux rôles plus graves, de "La Piscine", puis des films de Claude Sautet, jusqu’à "La Passante du Sans Souci", son dernier film avant sa mort dramatique à l’âge de 43 ans. Elle a reçu à deux reprises le César de la meilleure actrice pour "L’important c’est d’aimer" (1976) et "Une histoire simple" (1979).
Princesse de l’écran, puis héroïne tragique au cinéma comme dans sa vie privée, Romy n’a jamais su concilier harmonieusement son métier et ses amours, évoluant sans cesse de la passion sentimentale aux angoisses intenses de la comédienne. Après 1970, on la voit s’investir totalement dans ses rôles, se donnant jusqu’à la dépossession d’elle-même à des personnages de fiction, comme pour compenser les drames intimes et les névroses qui vont jalonner ses dix dernières années.
Un destin hors série, que les auteurs de ce feuilleton nous racontent avec, pour fil conducteur, un long entretien avec la meilleure biographe de Romy Schneider, la romancière française Catherine Hermary-Vieille. Le tout jalonné d’extraits de ses films et des témoignages de ceux qui ont côtoyé l’actrice, dont Alain Delon, Jean-Claude Brialy, Michel Piccoli, Yves Montand, Jean-Louis Trintignant ou Horz Bucholz, sans oublier ses réalisateurs des années 70, de Claude Sautet à Andrej Zulawski.
Romy Schneider a accepté peu d’interviews parlées (on l’entendra quand même dans ce feuilleton), mais a laissé un journal intime, qu’elle a tenu de son enfance à sa mort, et dont les extraits lus par Francine Landrain, permettront de mieux cerner une personnalité pathétique, passionnée, mélancolique, que sa disparition précoce intègre désormais dans la légende du cinéma.
Feuilleton en 20 épisodes d’Yvette et René Michelems, Ninette Godefroid et Pierre-Joseph Renquin, produit par André Romus.
Réalisé par la RTBF Liège en 1990 (pour célébrer les 8 ans de sa mort). Avec la participation de la romancière et biographe française Catherine Hermary-Vieille, auteur du livre "Romy" chez Plon. Le feuilleton Romy Scneider sera diffusé du lundi 2 au vendredi 13 avril dans l'émission "Printemps Première" entre 9h00 et 11h00 sur La Première.
Retrouvez ici les épisodes :
01 | Les années d'enfance |
1938 - 1953
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02 | Les débuts à l'écran | 1953 - 1955 | ||
03 | Le premier amour | 1955 - 1956 | ||
04 | Mademoiselle Sissi | 1956 - 1958 | ||
05 | Sissi en Amérique |
1958
|
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06 | Alain Delon | 1958 - 1960 | ||
07 | Les années Visconti | 1960 - 1961 | ||
08 | La rupture | 1962 - 1964 | ||
09 | Harry Meyen | 1965 - 1967 | ||
10 | Le retour en France | 1968 - 1969 | ||
11 | Claude Sautet | 1969 - 1970 | ||
12 | Vers le divorce | 1972 - 1973 | ||
13 | Un amour de pluie |
1973
|
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14 | L'important, c'est d'aimer |
1974
|
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15 | Daniel Biasini | 1974 - 1975 | ||
16 | Une histoire simple | 1976 - 1978 | ||
17 | La mort en direct |
1979
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18 | La banquière |
1980
|
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19 | La passante du Sans-Souci |
1981
|
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20 | Adieu Romy, Adieu Sissi |
1982
|
15h47 dans Musique / Audio | Lien permanent | Commentaires (1)
Source : Ksta.de - 04 avril 2012
Exposition à Bonn (Allemagne)
Du 05 avril au 24 juin 2012
Hommage an Romy Schneider: In der Bonner Bundeskunsthalle dokumentieren 800 Exponate und Filmausschnitte die Entwicklung Romy Schneiders vom „Sissy“-Star zur gefeierten Charakterdarstellerin des französischen Kinos.
Bonn - Evchen blickt einschmeichelnd und ein bisschen naiv zu ihrer Mutter empor, die neben ihr am Bett sitzt. Das war Romy Schneider in ihrem ersten Film "Wenn der weiße Flieder wieder blüht" (1953). Knapp 30 Jahre später ist in ihrem letzten Film, der "Spaziergängerin von Sans-Souci", aus dem naiven Mädel eine vom Schicksal gezeichnete Frau geworden, die sich mit Alkohol tröstet. Die beiden Filme stehen am Anfang und Ende einer Hommage an den früh verstorbenen Star, die ab Donnerstag in der Bundeskunsthalle in Bonn zu sehen ist. 800 Exponate und Filmausschnitte dokumentieren die Entwicklung der Rollen Romy Schneiders vom naiven Teenager hin zur reifen, vom Leben gezeichneten Frau - ein Wandel, den sie auch mit ihrem persönlichen Schicksal vollzog. Romy Schneider (1938-1982) sei die Verkörperung ihrer Epoche, sagt der Leiter der Bundeskunsthalle, Robert Fleck. Sie habe einen festen Platz im kollektiven Bildgedächtnis.
Die Ausstellung zeichnet chronologisch die rasante Karriere, aber auch das stürmische Privatleben des Filmstars anhand zahlreicher Fotos, Kostüme und Briefe nach. Darunter sind auch viele Fotos, die die Schauspielerin in unbeobachteten Momenten bei den Dreharbeiten zeigen sowie persönliche Briefe. Zu der Ausstellung steuerten unter anderem Alain Delon und Schneiders Tochter Sarah Biasini Stücke aus ihrem Privatbesitz bei, darunter den César, den Schneider 1979 für den Film "Eine einfache Geschichte" bekam oder einen Ring, den Regisseur Luchino Visconti ihr schenkte.
Romy Schneider, die aus einer Schauspielerfamilie stammte, stand erstmals 1953 im Alter von erst 14 Jahren an der Seite ihrer Mutter Magda Schneider vor der Kamera. Zunächst erscheint der Teenager stets in Begleitung der Mutter und des Stiefvaters, die ihre Karriere für sie planen. Frühe Fotos zeigen sie neben oder etwas niedriger sitzend als die Mutter. Doch der Schein trügt. "Durch Romy bekam die etwas abgeflaute Karriere der Mutter wieder neuen Schwung", sagt Kuratorin Daniela Sannwald.
Fluch der Kaiserin
In Deutschland prägte zunächst vor allem ihre Rolle als österreichische Kaiserin "Sissi" ihr Image. Doch der überwältigende Erfolg dieser Figur wird Romy Schneider bald zum Fluch. Sie will dem Klischee des naiven Teenagers und der Prinzessin entfliehen. Die Begegnung mit ihrem französischen Schauspielerkollegen Alain Delon bietet ihr die Chance auszubrechen. 1958 geht sie nach Paris, um mit Delon zusammen zu leben.
Die Beziehung mit Delon scheitert, aber Romy Schneider schafft den Einstieg in den französischen Film. In den 70er Jahren wurde sie zu einem der größten Stars des französischen Kinos. Mit Filmen wie "Christine" (1958), "Der Swimmingpool" (1968) und "Nachtblende" (1974) löste sie sich vom Rollenklischee der "Sissi".
Die Hommage versucht, sich Romy Schneider als Star und Privatperson zu nähern. Die vielen Briefdokumente, Drehbücher und privaten Fotos sorgten fast für einen privaten Charakter der Ausstellung, sagt Fleck. Immer wieder schimmert dabei die leidenschaftliche, aber auch schicksalhafte Seite der Schauspielerin durch. "Romy Schneider war eine tragische Gestalt einer Epoche", resümiert Fleck.
Vom Schicksal gezeichnet
Ihre Sehnsucht nach einer eigenen Familie einerseits und die Leidenschaft für ihren Beruf andererseits ziehen sich wie ein roter Faden durch die Ausstellung. Zwei gescheiterte Ehen und der Unfalltod ihres Sohnes machten sie nicht nur im Film, sondern auch im realen Leben zu einer vom Schicksal gezeichneten Frau. Ihr früher Tod an Herzversagen 1982 machte sie einmal mehr zum Mythos.
Dabei ist sich Kuratorin Sannwald nicht einmal sicher, ob die Tragik ihres Lebens bestimmend für Romy Schneider war. Schließlich lebte sie für den Film. In den knapp 30 Jahren ihrer Karriere drehte sie fast pausenlos. Lediglich unterbrochen durch die Geburt ihrer beiden Kinder entstanden mehr als 60 Filme. "Ich kann nichts im Leben, aber alles auf der Leinwand", sagte sie über sich selbst.
Die Ausstellung, die bis 24. Juni gezeigt wird, gibt einen Einblick in die Welt einer großen Schauspielerin. Eine tiefer gehende Einordnung in historische und kulturgeschichtliche Zusammenhänge bietet sie jedoch nicht. Die Bundeskunsthalle knüpft mit der Ausstellung an frühere Präsentationen zum Thema Film wie "Luis Buñuel (1994)", "Marlene Dietrich (1995/96)" und "Anime! High Art - Pop Culture (2011)" an. (epd)
10h27 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (0)
03h51 | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : AlloCiné.fr - 28 mars 2012
A l'occasion du trentenaire de la disparition de Romy Schneider, projection exceptionnelle du film de Jacques Rouffio :
La passante du Sans-Souci
Soirée reportée !!!! Samedi 14 avril 2012
A 17h00 et 20h15
En présence du comédien Gérard Klein
Lieu : Cinéma le Colisée - 19 rue de Rempart - 68000 Colmar
11h17 dans Au ciné... | Lien permanent | Commentaires (4)
DVD - 1 disque
Studio : Universum Film GmbH
Langue : Allemand (autre langue : ?)
Sous-titres : ?
Bonus : ?
Prix : ~ 10 euros
Sortie le : 22 juin 2012
A commander sur Amazon.de
08h48 dans En DVD !, Film-1957-Jeunes Filles | Lien permanent | Commentaires (6)
Auteurs : Daniel Biasini & Marco Schenz
Editions : Knaur TB
Langue : Allemand
304 pages
Prix : ?
Sortie le : 19 avril 2012
A commander sur Amazon.de
ISBN-10 : 3426779374
ISBN-13 : 978-3426779378
NDLR : Evidemment, il s'agit d'une énième ré-édition du livre de 1998...
08h31 dans Les livres | Lien permanent | Commentaires (0)
Projection privée : Romy Schneider
Sur France Culture - le samedi 14 avril 2012
de 15 h à 16 h
Concept de l'émission : Autour d’un thème cinématographique unique - un film, un livre, une exposition, un festival, une rétrospective -, Michel Ciment reçoit, chaque samedi, une ou plusieurs personnalités, des réalisateurs, comédiens, collaborateurs de création, historiens et critiques de toutes tendances.
Ecoutez l'émissin ici :
Table ronde autour de l’actrice Romy Schneider (30ème anniversaire de sa disparition le 29 mai 1982).
* Le journaliste Jean-Pierre Lavoignat pour "Romy" l'ouvrage qu'il a cosigné avec Sarah Biasini (la fille de Romy Schneider et Daniel Biasini). Sortie prévue en avril.
* Bernard Pascuito, auteur de "La double mort de Romy Schneider" paru en 2002 aux Editions Albin Michel
* Henry-Jean Servat pour 2 ouvrages parus aux Editions Hors Collection : "Romy La Légende" paru en octobre 2011 dans la collection "Stars et musique" et "Romy Schneider" dans la collection "Destins de légende" dont il a signé la préface. Sortie courant avril.
Site officiel de l'émission
Ecoutez les émissions en podcast
18h46 dans Musique / Audio | Lien permanent | Commentaires (0)
Auteur : Günter Krenn
Editions : Aufbau Digital
Format: Kindle Edition
464 pages
Date de sortie : 23 mars 2012
Langue : allemand
Prix : ?
Disponible à la commande sur Amazon.de
ASIN : B007N6XDJY
NDLR : Une ré-édition (bien sûr) et qui semble d'autant plus inutile quelle paraît être le reflet parfait de l'édition d'origine datant de mai 2008... Alors à quoi bon ??
18h04 dans Les livres | Lien permanent | Commentaires (0)
A la cinémathèque de Toulouse (31)
Du 03 au 31 mai 2012
Source : MovieLandDrive.com
Du jeudi 3 mai au jeudi 31 mai 2012, la Cinémathèque de Toulouse rendra hommage à Romy Schneider à l’occasion des 30 ans de sa disparition et projettera treize de ses films.
Le Programme :
Infos pratiques :
La Cinémathèque de Toulouse. 69 Rue du Taur. 31000 Toulouse
Site officiel : www.lacinemathequedetoulouse.com
Plein tarif : 6,50 €
Tarif réduit (étudiants, chômeurs, seniors) : 5,50 €
Tarif abonnement 10 places : 4,50 € (la place)
Jeune (-18 ans) : 3 €
15h27 dans Au ciné... | Lien permanent | Commentaires (1)
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