De Romy Schneider... à Sarah Biasini

Télé Star - N° 692 - 06 janvier 1990

Article intérieur : * Romy Schneider - Les vingt ans d'une star : et Sissi devint Romy... 4 pages 9 photos

TV Video Jacquettes - N° 35 - Janvier 1990

Pas d'article intérieur mais 2 covers (recto-verso) !

Jours de France - N° 1804 - 31 juillet 1989

Article intérieur : * Amours de stars: Romy Schneider et Alain Delon, la princesse et le feu follet 6 pages 11 photos

Mado

L'histoire...

1976 - Réalisé par Claude Sautet

Générique : Scénario et dialogues: Claude Néron, Claude Sautet. Directeur photo: Jean Boffety (Eastmancolor). Musique: Philippe Sarde. Décors : Piere Guffroy. Son: Jean-Pierre Ruh. Montage: Jacqueline Thiédot. Assistants réalisateurs : Jean-Claude Sussfeld, Jacques Santi. Caméra: Christian Guillouet. Maquillages: Jean-Pierre Eychenne. Costumes: Jacques Cottin. Directeur production: Guy Azzi. Distribution: Les Films La Boétie. Durée : 135 mn. Sortie à Paris: 27 octobre 1976.

Distribution : Michel Piccoli (Simon), Ottavia Piccolo (Mado), Jacques Dutronc (Pierre), Charles Denner (Reynald Manecca), Julien Guiomar (Lépidon), Jean-Paul Moulinot (Papa), Bernard Fresson (Julien), Claude Dauphin (Vaudable), Jean Bouise (André), André Falcon (Mathelin), Jacque Richard (Gerbai), Michel Aumont (Barrachet), Nathalie Baye (Catherine), avec la participation de Romy Schneider dans le rôle d'Hélène et Nicolas Vogel (Maxime), Denise Filiatrault (Lucienne), Benoît Allemane (Antoine), Jean-Denis Robert (Alex), Marc Chapiteau (Francis), David Tonelli (William), Daniel Russo (Roger), Sabine Glaser (la soeur du marié), Dominique Zardi (Crovetto, le photographe), Claude Néron (Maurice), Marie Mansard (Jacqueline), Michel Bardinet (Félix), Henri Coutet (chef comptable), Pierre Londiche (administrateur), Albert Sonkin (ami de Lépidon), Jean-Paul Blondeau (client au café) et André Cassan, Marcel Portier, Nina Gorski, Carole Lange, Hilaire Lovato, Carole Fouanon, Lucienne Legrand.

Résumé : Simon Léotard, un promoteur immobilier de cinquante ans, est à un tournant de sa vie privée et de sa carrière. Tourmenté par ses problèmes financiers, le mal de vivre et une situation sentimentale agitée, il se réfugie souvent chez Mado, une jeune émigrée italienne qui se prostitue dans le milieu des affaires. Celle-ci fréquente quelques amis parmi lesquels Pierre, un jeune chômeur, qu'elle fait engager par Simon. Pierre devient vite le secrétaire et le confident de Simon. Les soucis s'accumulent. Simon cherche réconfort chez Hélène, une jeune femme victime de l'alcoolisme qu'il a failli épouser et pour laquelle il éprouve toujours une vive affection. Sans doute est-il responsable de la lente dégradation de celle qui n'a jamais cessé de l'aimer. Bientôt, Mado s'attache à Pierre, Hélène entre en clinique et Simon doit affronter la solitude.

Une femme à sa fenêtre

L'histoire...

1976 - Réalisé par Pierre Granier-Deferre

Titre anglais : A woman at her window

Générique : Scénario: Jorge Semprun, Pierre Granier-Deferre, d'après le roman de Pierre Drieu La Rochelle (Editions Gallimard). Dialogues: Jorge Semprun. Directeur photo : Aldo Tonti (Eastmancolor-Panavision). Musique: Carlo Rustichelli. Décors : Enzo Bulgareli. Son: Roy Mangano. Montage: Jean Ravel. Assistant réalisateur : Jean-Michel Lacor. Caméra: Jean Harnois. Maquillages : Didier Lavergne, Lamberto Marini. Costumes: Jacques Fonteray, Maria Baroni. Coiffures : Jean-Max Guérin, Sergio Gennari. Chapeaux de Romy Schneider: Jean Barthet. Directeur production: Georges Casati. Distribution: S.N.C. Durée: 110 mn. Sortie à Paris : 10 novembre 1976.

Distribution : Romy Schneider (Margot Santorini), Philippe Noiret (Raoul Malfosse), Victor Lanoux (Michel Boutros), Umberto Orsini (Rico Santorini), Delia Boccardo (Dora Cooper), Martine Brochard (Avghi Arditi), Gastone Moschin (Primoukis), Carl Mohner (Staalbaum), Joachim Hansen (von Pahlen), Sandra Burguy (Margot à sept ans), Paul Muller (Théodoris), Neli Riga (Amalia), Jean Martin (Drieu La Rochelle).

Résumé : En 1936, pendant la Seconde Guerre mondiale, et en 1967, en Grèce et en France.

1936 : la Grèce va bientôt sombrer, broyée par la montée du fascisme. Margot Santorini, riche et belle, mariée à Rico, diplomate et play-boy désargenté, est une femme frustrée et se sent prête à vivre une folle passion. En apparence, le couple semble uni et profite pleinement de ses privilèges. En réalité, Rico collectionne les aventures et Margot les soupirants. L'un d'eux, Raoul Malfosse, industriel français, est très épris d'elle. Margot répond à ses déclarations avec frivolité et cynisme mais elle dissimule en elle une gravité, une sensibilité qui la préservent du monde et la rendent ainsi plus attirante. Une nuit d'août, Margot entrouvre sa fenêtre et assiste à une chasse à l'homme. Elle accueille dans sa chambre le fugitif, Michel Boutros, un militant politique poursuivi par la police. Cette rencontre inattendue bouleverse son existence oisive. Margot s'éprend passionnément de Boutros, mais aussi de son courage, de son idéal. Elle se donne avec ardeur à cet homme qui la fascine puis l'aide à s'évader, grâce à la complicité de Malfosse, dévoué corps et âme à son amie. Margot bafoue la morale, trahit son mari, ses relations, trompe la police puis abandonne tout pour suivre Boutros et unir son destin au sien. Les hommes qui l'ont aimée, dont Malfosse, essaieront en vain de la retrouver dans la tourmente de la guerre. Margot aura une fille de Boutros qu'elle confiera à Rico, devenu son ami. Cette jeune fille reviendra, en 1967, sur les lieux où sa mère a connu le bonheur.

Le vieux fusil

L'histoire...

1975 - Réalisé par Robert Enrico

Titre allemand : Abschied in der nacht
Titre anglais : The old gun

Générique: Scénario: Pascal Jardin, Robert Enrico et Caude Veillot, d'après un récit de Pascal Jardin. Dialogues: Pascal Jardin. Directeur photo: Etienne Becker (Eastmancolor). Musique: François de Roubaix. Son: Bernard Aubouy. Décors: Jean Saussac. Montage: Eva Zora. Assistants réalisateurs: Jacques Santi, Claire Denis, Jean Achache. Caméra: Patrice Wyers. Costumes: Corinne Jorry. Maquillages: Phuong Maittret (maquillages Romy Schneider: Didier Lavergne). Régisseur: Alain Pancrazi. Ensemblier: Michèle Saussac. Accessoiriste : Marcel Laude. Effets spéciaux : René Albouze. Cascades: Daniel Vérité (Cascades feu exécutées par Guy di Rigo). Coiffures: Jean-Max Guérin, Marc Blanchard. Bruitage: Daniel Couteau. Robes et chapeaux de Romy Schneider: Caire Brard et Uliane de Vesscheringe. Animalier: André Noël. Documentation: Comité d'Histoire de la Deuxième Guerre mondiale. Directeur production: Alain Belmondo. Distribution: Artistes Associés. Durée : 102 mn. Sortie à Paris: 23 août 1975. Interdit aux moins de treize ans.

Distribution: Philippe Noiret (Julien Dandieu), Romy Schneider (Clara Dandieu), Jean Bouise (François), Joachim Hansen (officier SS), Robert Hoffmann (lieutenant allemand), Madeleine Ozeray (la mère de Julien), Karl-Michael Vogler (médecin-major Müller), Caroline Bonhomme (Florence Dandieu à huit ans), Catherine Delaporte (Florence à treize ans), Daniel Breton (Walter, soldat déserteur), Jean-Paul Cisife (chef milicien), Antoine Saint-John (soldat allemand tué dans la cuisine), Maurice Bes (pharmacien), Bernard Bireauc (chef maquisard), Jean Le Boulbar et Patrick Cément (soldats allemands noyés), Marie- France Mignal (postière), Hennine Delysle (religieuse), Jean-Pierre Garrigues, Jean Hache, Jean-Louis Hebre (étudiants en médecine), Roland Neunreuther (chauffeur), Claude Marcan (officier de la patrouille allemande), Micheline Sarto (l'infirmière, Mlle Langrenier) et Patrick Gaillard, Daniel Celich, Gérard Dauzat, Anne Debrettys, Olivier Lefort, Alain Soreil, Christian Teyras.

Résumé : A Montauban et ses environs en 1944 et à Paris et Biarritz en 1939. Julien Dandieu est chirurgien dans le Périgord. Il ne fait pas de politique et soigne aussi bien les communistes, les saboteurs et les autres malades. Les Allemands sont nerveux. La division "Das Reich" regoupée dans le Sud-Ouest s'apprête à rejoindre la côte normande. Après l'intervention menaçante de la Milice dans l'hôpital où il travaille, Julien, sur les conseils de son ami François, décide d'éloigner Clara, sa femme, et sa fille Florence, treize ans, au château de la Barberie, non loin de Montauban. Le hameau et la propriété, appartenant à la famille de Julien, seront une retraite idéale en attendant la fin du cauchemar. Quelques jours plus tard, Julien, inquiet, décide de se rendre à la Barberie. Le village a subi le même sort que la ville d'Oradour. Julien découvre la population massacrée. Mû par un affreux pressentiment, il se précipite vers le château et entrevoit les noires silhouettes des tueurs SS appartenant à la division "Das Reich". Le visage de Julien se décompose : il vient de voir le cadavre de sa fille Florence abattue d'un coup de revolver et le corps calciné de Clara contre un mur. La jeune femme a été violée puis brûlée vive avec un lance-flammes. Ivre de douleur et en proie à une frénésie intérieure, Julien s'élance dans les couloirs souterrains du château et sort d'une cachette le vieux fusil de chasse de son grand-père. Les souvenirs, témoignage d'un passé heureux, affluent soudain dans sa mémoire. L'émotion étreint son coeur déchiré. Profitant des issues secrètes de l'endroit et d'un miroir sans tain, Julien va, méthodiquement, exterminer les bourreaux...

Télé 7 Vidéo - N° 11 - 27 mai 1989

Article intérieur : * Romy Schneider à la une 1/2 page 1 photo

Kronen Zeitung - 25 janvier 2004

Article intérieur : * Romys tochter 2 pages 2 photos

Télé Star - N° 638 - 24 décembre 1988

Article intérieur : * Romy Schneider, les années Sissi 8 pages 14 photos

Les innocents aux mains sales

L'histoire...

1974 - Réalisé par Claude Chabrol

Titre allemand : Die unschuldigen mit den schmutzigen händen
Titre anglais : The innocents with the dirty hands

Générique : Scénario: Claude Chabrol, d'après le roman de Richard Neely The Damned Innocents (Editions Gallimard Série Noire). Directeur photo : Jean Rabier (Eastmancolor-Panavision). Musique: Pierre Jansen (dirigée par André Jouve). Décors: Guy Littaye. Son: Guy Chichignoud. Montage: Jacques Gaillard. Assistants réalisateurs : Michel Dupuy, Philippe Delarbre, Philippe Malherbe. Caméra: Yves Agostini. Maquillages: Didier Lavegne, Louis Bonnemaison. Coiffures: Jean-Max Guérin. Costumes : Fanny Jakubowicz (costumes de Romy Schneider: Yves Saint-Laurent). Accessoiriste : Marcel Laude. Régisseur: Patrick Delauneux. Bruitages: Louis Devaivre. Directeur production: Guy Azzi. Distribution: Les Films La Boétie. Durée: 125 mn. Sortie à Paris: 26 mars 1975.

Distribution : Romy Schneider (Julie Wormser), Rod Steiger (Louis Wormser), Paolo Giusti (Jeff MarIe), Jean Rochefort (Me Legal), François Maistre (inspecteur Lamy), Pierre Santini (inspecteur Villon), François Perrot (Georges Thorent, l'ami de Louis), Hans-Christian Blech (le juge), Serge Bento (directeur du Crédit Lyonnais), Dominique Zardi (premier agent), Henri Attal (deuxième agent), René Piget (mécanicien), Gilbert Servien (huissier), Jurgen Doeres (jeune homme), Jean Cherlian (policier du bateau), Georges Bain (joueur de boules).

Résumé : Julie Wormser somnole, nue, sur la pelouse de sa villa à Saint-Tropez lorsqu'un séduisant jeune homme s'introduit dans la propriété pour récupérer un cerf-volant. Jeff MarIe est écrivain. Julie devient aussitôt sa maîtresse. Son mari, le riche Louis Wormser, est alcoolique et s'intéresse davantage à son bateau qu'à son épouse. Chaque soir, les amants attendent que Louis, ivre, monte dans sa chambre puis se possèdent avec fougue. Bientôt, Louis devient une charge qu'il faut éliminer. Une nuit, Julie assomme son mari puis Jeff transporte le corps vers la mer pour le noyer. Après avoir pris la voiture des Worsmer, Jeff laisse un message poste restante à Julie. La jeune femme prévient alors la police de la disparition de son époux. Deux inspecteurs, Lamy et Villon, se méfient et surveillent Julie. Celle-ci se rend à la banque et apprend que Louis a retiré toute sa fortune. Démunie, Julie s'adresse à Thorent, l'homme de confiance de Louis. Accusée du meurtre de son mari, interrogée, elle est défendue par Me Legal, un avocat véreux qui lui fait délivrer un non-lieu. En rentrant à la villa, lulie se trouve face à face avec Louis, bien vivant. Ce dernier lui explique son plan. Elle a, en fait, assommé son amant Jeff et Louis a terminé la besogne. Le piège s'est refermé sur Julie. Afin de l'humilier, Louis l'oblige à se donner à lui contre une somme d'argent. Julie accepte et domine son dégoût. Peu à peu, les époux retrouvent leur tendresse de jadis. Soudain, Jeff réapparaît. Louis lui avait donné l'ordre de quitter la France contre un forte somme d'argent mais le jeune homme réclame le reste de la fortune et Julie en prime. Cette dernière, séduite, prend le parti de son amant. Tandis qu'il part chercher l'argent, elle surveille Louis, désespéré. Ce dernier est victime d'un malaise cardiaque. Paniquée, Julie supplie Jeff de l'aider à sauver son mari. Le jeune homme refuse et, fou furieux, menace lulie. La police interviendra à temps pour empêcher Jeff d'étrangler la jeune femme. Julie restera seule, plonge dans l'angoisse.

Télé Loisirs - N° 146 - 17 décembre 1988

Article intérieur : * Les malheurs de Romy Schneider - Sissi ont fait pleurer des millions de spectateurs 1,5 page 3 photos

Voici - N° 57 - 12 décembre 1988

Article intérieur : * Les carnets secrets de Romy Schneider 3 pages 11 photos

Paris Match - N° 2079 - 30 mars 1989

Article intérieur : * Destinées : Romy Schneider avait donné son visage à Sissi 5 pages 5 photos

L'important, c'est d'aimer

L'histoire...

1974 - Réalisé par Andrzej Zulawski

Générique : Scénario: Christopher Frank, Andrzej Zulawski, d'après le roman de Christopher Frank La Nuit américaine (Editions du Seuil, Prix Renaudot 1972). Dialogues: Christopher Frank. Directeur photo: Ricardo Aronovitch (Eastmancolor). Musique: Georges Delerue. Décors: Jean-Pierre Kohut-Svelko. Son : Jacques Gérardot. Montage: Christiane Lack. Assistants réalisateurs : Laurent Ferrier, Franco Sormani, Philippe topez. Caméra: Andrzej Jarozewicz, Walter Bal. Maquillages : Didier Lavergne, Massimo de Rossi. Costumes: Catherine Leterrier. Coiffures: Jean-Max Guérin. Ensemblier: Jean-Claude Sevenet. Cascades : Claude Carliez. Générique: Les Films Michel François. Directeur production: Georges Casati. Producteur associé: Léo L. Fuchs. Distribution: S.N. Prodis. Durée: 110 mn (version intégrale: 116 mn). Sortie à Paris: 1er février 1975. Titre primitif: L'Orage. Interdit aux moins de dix-huit ans.

César de la meilleure actrice de l'année pour Romy Schneider.

Distribution : Romy Schneider (Nadine Chevalier), Fabio Testi (Servais Mont), Jacques Dutronc (Jacques Chevalier), Klaus Kinski (Karl-Heinz Zimmer), Claude Dauphin (Mazelli), Roger Blin (le père de Servais), Gabrielle Doulcet (la femme de Mazelli), Michel Robin (Raymond Lapade), Guy Mairesse (Laurent Messala), Katia Tchenko (la putain), Nicoletta Machiavelii (Luce, femme de Lapade), Paul Bisciglia (assistant metteur en scène), Jacques Boudet (Roger Béninge), Oaude Legros (Manuel Rosenthal), Robet Dadies (médecin à l'hôpital et acteur au théâtre), Gérard Zimmermann (Léonard), Guy Delorme et Gérd Moisan (hommes de main de Mazelii), Kira Potonie (femme de Messala), Olga Valérie (femme au godemiché), Nadia Vasil (réalisatrice), Sin May Zao (Vietnamienne de Servais Mont), Jerry di Giacomo (travesti), Manu Pluton (noir au gymnase), Jacques van Dooren (Verdurin), Jacques Jourdan (Victor), Sylvain Levignac, Michel Berruer, Eric Vasberg (hommes de la Brasserie), Claudine Beccari (fille de la partouze), Serge Godenaire (éphèbe de la partouze), Georges Frédéric Dehlen (acteur au théâtre), Michel Such (électricien), Georges Gueret (machiniste), Charles Bayard (vieux comédien) et dans les séquences coupèes au montage, Marc Dudiourt (Mertolle), Philippe Clévenot (William Nesbitt), Zouzou (Oaude Landre), Sybille Danning (Violaine), Andrée Tainsy (mère de Jacques), Henri Coutet (père de Jacques), Maritin (frère de Jacques).

Résumé : Un jeune reporter-photographe, Servais Mont, rencontre sur un plateau de tournage Nadine Chevalier, une actrice ratée contrainte, pour survivre, de s'avilir dans des films pornographiques. Immédiatement séduit par Nadine, Servais se rend chez elle pour faire une série de photos. La jeune femme est mariée à Jacques, un être fragile, à la fois drôle et amer qui fuit les réalités de la vie. Très attirés l'un vers l'autre, Nadine et Servais se revoient. Déçue par leur entrevue, Nadine chasse le photographe. Ce dernier, très amoureux, s'obstine et décide d'aider Nadine à son insu. Il veut commanditer une pièce de théâtre dans laquelle elle aura enfin un rôle digne de son talent Sur les conseils de son ami Raymond Lapade, alcoolique et solitaire, il s'adresse à Laurent Messala, une sorte d'illuminé qui pourrait réaliser la pièce et à un comédien allemand, Karl-Heinz Zimmer, homosexuel et expert en karaté. Servais assiste aux répétitions et essaie, en vain, de conquérir Nadine. Les critiques dénoncent l'extravagance de la mise en scène et la pièce Richard III est un échec total. Nadine apprend la vérité sur son engagement et s'offre à Servais pour «payer sa dette». Le jeune homme refuse de profiter d'elle de cette façon. Nadine rentre chez elle et avoue son geste à son mari. Celui-ci bouleversé, lui promet de faire un effort et de travailler sérieusement. Jacques trouve un emploi grâce à Servais mais, désemparé, ne peut plus supporter la pitié de sa femme. Il se suicide dans les lavabos d'un café. Nadine, égarée par la douleur, se sent responsable et repousse violemment Servais venu la soutenir. Mazelli, un odieux maître-chanteur, réclame une forte somme d'argent à Servais. Pris au piège, ce dernier s'engage à rembourser sa dette en acceptant de faire une série de photos «spéciales». Ecoeuré par ce marché, Servais rompt avec Mazelli qui le menace. Zimmer vient de toucher un héritage et lui offre, par amitié, les moyens de se libérer enfin de Mazelli, mais ce dernier veut se venger de Servais et le fait corriger par sa bande. Lorsque Nadine se rend au domicile de Servais, elle trouve un homme ensanglanté, meurtri, à qui elle avoue enfin son amour.

Bild + Funk - N° 48 - 03 octobre 1988

Article intérieur : * Endlich wieder Sissi mit Romy Schneider 1 page 1 photo

Horoscope - N° 463 - Octobre 1988

Article intérieur : * La vie karmique de Romy Schneider 2 pages 1 photo

Die Aktuelle - N° 12 - 20 mars 1989

Article intérieur : * Alle Romy-Freunde aus Deutschland sollen sich bei uns melden ! 2 pages 2 photos

Le trio infernal

L'histoire...

1973 - Réalisé par Francis Girod

Générique : Scénario et dialogues: Francis Girod, Jacques Rouffio, d'après le récit de Solange Fasquelle (Editions Presses de la Cité). Directeur photo : Andréas Winding (Eastmancolor). Musique: Ennio Morricone. Décors : Jean-Jacques Caziot. Son: Bernard Bats. Montage: Claude Barrois. Assistants réalisateurs: Jean-Patrick Leble, Riccardo Sesani. Caméra: Jean Harnois. Maquillages: Didier Lavergne. Costumes: Jacques Fonteray. Chapeaux de Romy Schneider: Jean Barthet. Effets spéciaux : Pierre Roudeix. Conseillers techniques: Jean-Marc Isy, Jean-Patrick Lebel. Productions exécutifs: Ralph Baum, Alain Coiffier. Directeur production: Jean-Marc Isy. Distribution: Fox, Lira. Durée: 107 mn. Sortie à Paris: 22 mai 1974.

Distribution : Michel Piccoli (Georges Sarret), Romy Schneider (Philomène Schmidt), Mascha Gomska (Catherine Schmidt), Andréa Ferreol (Noérnie Chambon), Monica Fiorentini (Magali), Philippe Brizard (Maurice Chambon), Jean Rigaux (Villette), Papinou (Luffeaux), Hubert Deschamps (Deltreuil), Monique Tarbes (infIrmière), Pierre Dac (médecin des Assurances), Francis Oaude (docteur Guy), Jean-Pierre Honoré (employé de la Compagnie d'Assurances), Henri Piccoli (violoniste), Marcel Berbert (notaire) et Adolfo Gerni, Fanny Renan, Ralph Spath, Maurice Gilbert, Jean Hanois, Raymond Lemoigne, Martine Ferri ère, Luigi Zerbinatti, Nicole Chomo.

Résumé : Les années vingt-trente, à Marseille. Philomène Schmidt, jeune gouvernante allemande employée à Marseille, est licenciée à la mort de sa patronne. Seule et démunie, elle devient la maîtresse de Georges Sarret, un avocat-conseil réputé dont la personnalité la trouble et la fascine. Afin de devenir française, elle épouse un vieil amant, Villette, que Sarret fait chanter. Villette décède, laissant des titres à Philomène, trop heureuse de partager avec son amant. Sarret fait venir d'Allemagne Catherine, soeur cadette de Philomène. La jeune fille devient également la maîtresse de l'avocat, à la grande fureur de Philomène, puis épouse un certain Deltreuil. Sarret décide de monter une escroquerie à l'assurance-vie. Maurice Chambon accepte de prendre l'identité de Deltreuil pour la visite médicale exigée par les assurances. Deltreuil à son tour disparu, l'inséparable trio se partage la somme versée. Les complices se dispersent et mènent la grande vie. Chambon les fait chanter. Il faut éliminer ce misérable ainsi que Noémie, sa compagne. Sarret organise une soirée dans une immense villa isolée puis tue Chambon et Noémie avec un fusil. Avec l'aide de ses maîtresses, il place les cadavres dans deux baignoires où il prend soin de verser plusieurs litres d'acide sulfurique. Peu après, les trois monstres vident les baignoires, transportent la matière décomposée dans le jardin et l'enterrent avec précaution. Epuisés mais ravis, ils partagent leur butin. Sarret prépare un nouveau coup et charge Philomène de trouver une jeune malade. Après de nombreuses recherches, elle choisit Magali, une orpheline phtisique. La jeune fille, très faible, reprend rapidement des forces malgré l'abus des plaisirs que le trio lui impose et se rétablit tout à fait à la grande stupeur de Sarret, fou de rage. Un soir, Catherine, écoeurée par le cynisme de ses comparses, monte dans sa chambre. Quelques instants plus tard, elle tombe du balcon sous les yeux de Sarret et de Philomène, effondrée de douleur. Accident ? Suicide ? Meurtre ? Au cours des funérailles, Sarret apprend à Philomène qu'elle touchera la prime d'assurance déclarée au nom de Catherine. Ils se marient, avec Magali pour témoin...

Le Prix Romy Schneider

Créé après la mort de Jean Gabin, ce prix récompense un espoir du cinéma masculin et féminin. Le choix du jury s'est rarement démenti d'ailleurs, puisque la plupart des lauréats ont tous fait carrière et se retrouvent souvent quelques années plus tard lors de la nuit des César.
2004 a célébré le centenaire de la naissance de Monsieur Gabin et un prix spécial à été remis à Thierry Lhermitte à l'occasion de la 25ème édition de ce prix.

La petite histoire des prix Jean Gabin et Romy Schneider...

19 février 1981
Le prix Jean Gabin.... Une histoire d'amitié

Les cendres de Jean Gabin venaient d'être dispersées sur l'Atlantique.
Nous dînions, Marlène et moi, avec notre ami Louis de Funès au "Fouquet's".
Loulou avait deux passions: le cinéma et les acteurs. C'est pourquoi nous parlions ce soir là de Jean Gabin qu'il appelait "Le Grand".

On égrenait des souvenirs. Des films dans lesquels Gabin avait la vedette et de Funès ne tenait encore que de petits rôles: La traversée de Paris, Le gentleman d'Epson. Mais surtout Le tatoué où pour la première fois Maurice Jacquin faisait partager la vedette entre Loulou, devenu star, et Jean consacré depuis longtemps.

- "Nous n'aurons pas un endroit où déposer une rose", soupira soudain de Funès. "Tout Gabin s'est englouti. Seulement notre mémoire."
Et se tournant vers moi, il dit:
- "Eugène, vous devriez créer quelque chose qui la perpétue, qui marque l'admiration que nous avions pour son talent, pour lui-même."

J'ai proposé un prix qui récompense un comédien avec un jury de journalistes femmes pour le décerner. Il nous fallait l'accord de Madame Gabin et c'est ainsi que le 19 février 1981, Thierry Lhermitte fut le premier promu. Suivirent Gérard Lanvin, Gérard Darmon, François Cluzet, Chritophe Malavoy, Tcheky Karyo, Jean-Hugues Anglade...

Depuis Romy Schneider nous a aussi quittés. Romy était une amie qui m'était chère, tout comme Louis. Pour elle, nous nous étions occupés de bien des films réalisés par Claude Sautet, produit par Raymond Danon, distribués par Richard Pezet.
Elle aussi professait un culte pour Gabin.

C'est pourquoi Marlène et moi avons pensé les unir tous les deux dans une manifestation qui leur prouve notre attachement et notre admiration. Il était tout naturel qu'un prix à une comédienne fasse le pendant au prix Jean Gabin devenu adulte et prestigieux.

Ce fut le prix Romy Schneider avec Christine Boisson pour première Lauréate. C'était en 1984. Les membres du jury était cette fois des journalistes hommes. Elisabeth Bourgine fut couronnée l'année suivante, puis Juliette Binoche, Catherine Mouchet, Fanny Bastien, Mathilda May, Vanessa Paradis...

Ainsi chaque année lors d'un jour proche du 19 février - jour de la Saint Gabin - nos deux compagnies désignent une jeune comédienne et un jeune comédien dont la personnalité s'exprime dans le cadre d'une tradition illustrée par ces deux immenses talents, nos amis Jean Gabin et Romy Schneider.

C'est notre façon à nous de dire que nous n'avons pas oublié, tout en marquant notre attachement au cinéma français, chaque année, par cette association du nom et du prestige de ces deux artistes immortels à deux jeunes acteurs récemment révélés au public.
Et nous en sommes fiers parce que Funès et Gabin doivent être content quelque part dans l'immensité.

Eugène Moineau

Paris Match - N° 2046 - 12 août 1988

Article intérieur : * Les grandes amours : Romy Schneider, l'amour fracassé 20 pages 19 photos

France Soir TV - N° 13.629 - 06 juin 1988

Article intérieur : * Romy Schneider, l'actrice de tous les succès 2 pages 4 photos

 

Le mouton enragé

L'histoire...

1973 - Réalisé par Michel Deville
Titre allemand : Das wilde schaf

Générique: Scénario et dialogues: Christopher Franck, d'après le roman de Roger Blondel (Editions Gallimard). Directeur photo: Claude Lecomte (Eastmancolor). Musique: Camille Saint-Saëns (adaptée par José Berghmans et dirigée par André Girard). Extraits de: Symphonie n°3 pour orgue, Concerto pour piano n°2 , Introduction et Rondo Capriccioso, Septuor en mi bémol, Quatuor en si bémol, Trio en fa. Son: André Hervée. Montage: Raymonde Guyot. Assistants réalisateurs: Philippe Monnier, Fred Runel. Accessoiriste : Jean Catala. Ensemblier: Pierre Lefait. Maquillages : Eliane Marcus (Maquillages de Romy Schneider: Didier Lavergne). Costumes: Simone Baron (Romy Schneider est habillée par Torrente). Coiffures: Jean-Max Guérin (Romy Schneider est coiffée par Alexandre). Régisseur: Chantal Larouette-Debelmas. Directeur production: Roger Debelmas. Distribution: S.N. Prodis. Durée: 105 mn. Sortie à Paris : 13 mars 1974.

Distribution: Jean-Louis Trintignant (Nicolas Mallet), Romy Schneider (Roberte Groult), Jean-Pierre Cassel (Claude Fabre), Jane Birkin (Marie-Paule), Florinda Bolkan (Flora), Georges Wilson (Julien Lourceuil), Michel Vitold (Groult), Henri Garcin (Berthoud), Mary Marquet (Tania Hermens), Jean-François Balmer (Vischenko), Dominique Constanza (Sabine), Estella Blain (Shirley Douglas), Betty Berr (Sylvie), Georges Beller (Jean-Mi), Raoul Curet (Kalfon), Carlo Nell (Ondrasz), Pierre Gualdi (M. Carelmann), Adrienne Servantie (Mme Carelmann), Pippo Merisi (garçon du Tournon), Guy Michel (Benoît), Georges Bruce (minet de Flora), Christine Boisson (Zouzou), Oaude Marcault (Bernadette), Robert André (Belfond), Madeleine Damien (Eléonore), Gisèle Casadesus (Mme Lourceuil), Yves Bureau (Fanon), Léonie Collet (Denise), Jean-Pierre Maurin (Bayard), Yvette Frank (fille du boulevard Saint-Michel), Salvino di Pietra (chauffeur de la Rolls), Frédéric Nort (patron du café «La Harpe»), Dominique Marcas (chaisière), Madeleine Ganne (caissière du supermarché), Gérard Lemaire (garçon du Tabac des Batignolles), Jacques Verlier (barbu), Renée Legrand (speakerine), Françoise Burgi (femme de chambre), ArIette Balkis (femme dans le métro), Jean-Pierre Moreux (agent de police) et Annick Blancheteau, Marie-Christine Carliez, Rachel Cathoud, Yvette Delaune, Roger Muni.

Résumé : Nicolas Mallet est un modeste employé de banque timide et fade. Un jour, il ose aborder une jeune fille : Marie- Paule. Son succès lui donne confiance et il raconte aussitôt son aventure à son confident, Claude Fabre, un jeune instituteur infirme et frustré. Fabre amusé par l'exploit de Nicolas, échafaude un plan. Son ami sera désormais «son instrument». L'étrange ascension téléguidée de Nicolas Mallet commence. Fabre décide pour lui, le conseille et trouve dans cette réussite une profonde excitation et un exutoire à ses propres fantasmes. Nicolas devra d'abord séduire la belle épouse d'un collègue de Fabre : Roberte Groult. Sans hésiter, celle-ci devient la maîtresse de Nicolas. Les deux amants se retrouvent en cachette et vivent leur liaison avec sensualité. Roberte s'est éprise de Nicolas. Selon Fabre, elle est devenue un obstacle encombrant qu'il faut éliminer. Mais Nicolas, qui n'est pas insensible au charme de Roberte, refuse de rompre. Il n'en poursuit pas moins son expérience. Il séduit les plus jolies femmes et devient le confident d'hommes réputés dont Julien Lourceuil. Nicolas est riche, adulé. Il revoit Roberte. Marie-Paule, qui a séduit Lourceuil, est également la maîtresse de Nicolas. C est le triomphe mais après son rendez-vous d'amour, Roberte est abattue par son mari sous les yeux de son amant. Elle était enceinte de Nicolas. Ce dernier, effondré, sait qu'il ne pourra plus donner suite à une ascension qui le détruit. Après une cruelle déception sentimentale, Claude Fabre se suicide. Lourceuil meurt à son tour, laissant une petite fortune à Marie-Paule qui peut enfin épouser Nicolas.

La véritable Romy Schneider

Auteur : Emmanuel Bonini

	Editions : Pygmalion pour la collection "J'ai Lu" - N° 6965 Année : 2001 Langue : Français 315 pages - 21 photos en noir et blanc sur papier glacé. ISBN : 2-290-33012-4
	Editions : Corps 16 Année : janvier 2002 Langue : Français Prix = 23,50 euros 410 pages ISBN 2-84057-437-3
	Titre : Az Igazi Romy Schneider Année : 2002 Langue : Hongrois ISBN-10 : 9639134732 ISBN-13: 978-9639134737

Résumé : Romy Schneider c'est l'inoubliable Sissi, impératrice d'Autriche. Ce rôle lui assure d'emblée la consécration internationale. Elle tourna avec les plus grands réalisateurs, enchaîna les succès mais sa vie sentimentale fut une succession d'abandons, de trahisons, de séparations, d'escroqueries. Le décès accidentel de son fils acheva de l'atteindre au plus profond d'elle-même. Emmanuel Bonini retrace ici le bouleversant destin de cette femme, au visage rayonnant et tragique. Cette biographie nous fait pénétrer au coeur d'un douloureux et poignant mystère.

TV Hebdo - N° 36 - 04 juin 1988

	Pas d'article intérieur

Télé Star - N° 588 - 09 janvier 1988

Article intérieur : * Romy Schneider : "La banquière" ignorait la valeur de l'argent 4 pages 7 photos

Un amour de pluie

L'histoire...

1973 - Réalisé par Jean-Claude Brialy

Générique : Scénario: Jean-Claude Brialy et Yves Simon. Directeur photo: Andreas Winding (Eastmancolor). Musique: Francis Lai (arrangements : Christian Gaubert). Décors : Gabriel Déchir. Son: André Hervée. Montage: Eva Zora. Assistant réalisateur: Patrick Bureau. Caméra: Jean Harnois. Maquillages : Didier Lavergne. Costumes : Elise Seruet, Fanny Jakubowicz. Directeur production: Ralph Baum. Distribution: Fox, Ura. Durée : 96 mn. Sortie à Paris: 3 avril 1974.

ibution : Romy Schneider (Elisabeth), Nino Castelnuovo (Giovanni), Suzanne Pion (Mme Edith), Mehdi El Glaoui (Georges), Bénédicte Bucher (Cécile), Jean-Claude Brialy (dragueur), Philippe Castelli (réceptionniste), Louis Navarre (maître d'hôtel), Pierre Mirat (patron du café), Albert Michel (client du café), Ermano Casanova (père de Georges), Rosine Vuillaume (Claudine), Dany Jacquet (cliente de l'hôtel) et Jacques Villeret, Danielle Durou, AIlette Gilbert, Jean-Pierre Lombard, Alain David, Jean-Paul Bouvier, Francine Walter, Jérôme Deschamps, Lydia Feld, Gaston Meunier.

Eésumé : Une jolie jeune femme, Elisabeth, arrive à Vittel avec sa fille Cécile, âgée de quinze ans. L'adolescente est bousculée par Georges, dix-sept ans, en sortant d'une pâtisserie. Ils sympathisent. Georges est employé cuisinier à l'hôtel où séjournent Cécile et sa mère. Il déclare aimer la moto et lui présente son confident Alain, serveur au même hôtel. Mme Edith, la directrice, anime quelques soirées auxquelles participe Elisabeth. Un matin, la jeune femme se rend aux Bains et rencontre le séduisant Giovanni, un play-boy bohème et drôle. Elisabeth, qui ne semble guère s'amuser avec son mari, homme d'affaires, est séduite. Cécile et Georges se sont donnés rendez-vous au kiosque sous la pluie. Puis le jeune homme entraîne sa petite amie dans sa chambre où ils vivent leur première expérience amoureuse. Attendris et timides, les deux jeunes gens refusent de se conduire comme des adultes insouciants. Tandis que Cécile considère cette idylle avec beaucoup de sérieux, sa mère et Giovanni profitent de leur aventure avec folie et sensualité. Complices, la mère et la fille se confient leurs secrets. Bientôt, la cure tire à sa fin. Giovanni, incorrigible aventurier, annonce brusquement son départ à Elisabeth. Cécile, de son côté, révèle à Georges qu'elle doit quitter Vittel avec sa mère. Elisabeth et sa fille, mélancoliques, garderont longtemps le souvenir d'une trop brève passion.

Romy Schneider, Ihre Filme - ihr Leben

Mon avis : Semble très complet : bio, filmo, citations... Nombreuses photos mais sur papier de qualité assez moyenne. Quelques raretés.

	Auteur : Pierre J.-B Benichou - Sylviane Pommier Editions : Wilhelm Heyne Verlag Année : 1981 Langue : Allemand 256 pages - Beaucoup de photos. ISBN : 3-543-86021-7
	Auteur : Pierre J.-B Benichou - Sylviane Pommier Editions : Heyne Année : 1998 Langue : Allemand 300 pages ISBN : 3-453-13677-2

Romy au fil de la vie ~ David Lelait

Mot de l'éditeur : «Cette Sissi qui lui a ouvert les portes du succès lorsqu’elle n’était encore qu’une adolescente, Romy l’a détestée très vite. Tandis qu’on fait de ses crinolines une camisole, la jeune actrice rêve de rôles dramatiques. Alain Delon va lui ouvrir la voie de cette liberté. Auprès de lui elle va découvrir la vraie vie, les plaisirs d’amour autant que ses chagrins, l’autorité de Visconti, les rôles exigeants. Mais Romy fera aussi l’expérience d’une contradiction qui ne cessera jamais de la hanter : comment vivre vraiment et rencontrer le bonheur lorsqu’on a pour métier de jouer et de simuler ? Bientôt elle répète qu’elle a fait fausse route, qu’elle s’est trompée de vie ; chaque rôle l’écorche ou la mutile. Au fil de ses personnages de cinéma, elle se consume comme si à chaque rendez-vous elle avait cédé un peu d’elle-même. Romy n’est pas une comédienne de l’extraordinaire mais bien au contraire la femme des passions franches et courageuses du quotidien. Dans les années 1970, elle aura réussi à incarner au travers des films de Sautet la femme française moderne.»

	Auteur : David Lelait Editions : Payot & Rivages - Collection de Poche Année : 2003 Langue : Français 284 pages - 15 photos en noir et blanc sur papier glacé ISBN : 2-228-89769-8
	Auteur : David Lelait Editions : Payot & Rivages Année : 2002 Langue : Français 288 pages ISBN : 9782228895668

TV Couleur - N° 215 - 27 juin 1987

	Pas d'article intérieur

Télé Star - N° 560 - 27 juin 1987

Article intérieur : * Romy Schneider, le film testament 4 pages 6 photos