L'histoire...
1973 - Réalisé par Francis Girod
Générique : Scénario et dialogues: Francis Girod, Jacques Rouffio, d'après le récit de Solange Fasquelle (Editions Presses de la Cité). Directeur photo : Andréas Winding (Eastmancolor). Musique: Ennio Morricone. Décors : Jean-Jacques Caziot. Son: Bernard Bats. Montage: Claude Barrois. Assistants réalisateurs: Jean-Patrick Leble, Riccardo Sesani. Caméra: Jean Harnois. Maquillages: Didier Lavergne. Costumes: Jacques Fonteray. Chapeaux de Romy Schneider: Jean Barthet. Effets spéciaux : Pierre Roudeix. Conseillers techniques: Jean-Marc Isy, Jean-Patrick Lebel. Productions exécutifs: Ralph Baum, Alain Coiffier. Directeur production: Jean-Marc Isy. Distribution: Fox, Lira. Durée: 107 mn. Sortie à Paris: 22 mai 1974.
Distribution : Michel Piccoli (Georges Sarret), Romy Schneider (Philomène Schmidt), Mascha Gomska (Catherine Schmidt), Andréa Ferreol (Noérnie Chambon), Monica Fiorentini (Magali), Philippe Brizard (Maurice Chambon), Jean Rigaux (Villette), Papinou (Luffeaux), Hubert Deschamps (Deltreuil), Monique Tarbes (infIrmière), Pierre Dac (médecin des Assurances), Francis Oaude (docteur Guy), Jean-Pierre Honoré (employé de la Compagnie d'Assurances), Henri Piccoli (violoniste), Marcel Berbert (notaire) et Adolfo Gerni, Fanny Renan, Ralph Spath, Maurice Gilbert, Jean Hanois, Raymond Lemoigne, Martine Ferri ère, Luigi Zerbinatti, Nicole Chomo.
Résumé : Les années vingt-trente, à Marseille. Philomène Schmidt, jeune gouvernante allemande employée à Marseille, est licenciée à la mort de sa patronne. Seule et démunie, elle devient la maîtresse de Georges Sarret, un avocat-conseil réputé dont la personnalité la trouble et la fascine. Afin de devenir française, elle épouse un vieil amant, Villette, que Sarret fait chanter. Villette décède, laissant des titres à Philomène, trop heureuse de partager avec son amant. Sarret fait venir d'Allemagne Catherine, soeur cadette de Philomène. La jeune fille devient également la maîtresse de l'avocat, à la grande fureur de Philomène, puis épouse un certain Deltreuil. Sarret décide de monter une escroquerie à l'assurance-vie. Maurice Chambon accepte de prendre l'identité de Deltreuil pour la visite médicale exigée par les assurances. Deltreuil à son tour disparu, l'inséparable trio se partage la somme versée. Les complices se dispersent et mènent la grande vie. Chambon les fait chanter. Il faut éliminer ce misérable ainsi que Noémie, sa compagne. Sarret organise une soirée dans une immense villa isolée puis tue Chambon et Noémie avec un fusil. Avec l'aide de ses maîtresses, il place les cadavres dans deux baignoires où il prend soin de verser plusieurs litres d'acide sulfurique. Peu après, les trois monstres vident les baignoires, transportent la matière décomposée dans le jardin et l'enterrent avec précaution. Epuisés mais ravis, ils partagent leur butin. Sarret prépare un nouveau coup et charge Philomène de trouver une jeune malade. Après de nombreuses recherches, elle choisit Magali, une orpheline phtisique. La jeune fille, très faible, reprend rapidement des forces malgré l'abus des plaisirs que le trio lui impose et se rétablit tout à fait à la grande stupeur de Sarret, fou de rage. Un soir, Catherine, écoeurée par le cynisme de ses comparses, monte dans sa chambre. Quelques instants plus tard, elle tombe du balcon sous les yeux de Sarret et de Philomène, effondrée de douleur. Accident ? Suicide ? Meurtre ? Au cours des funérailles, Sarret apprend à Philomène qu'elle touchera la prime d'assurance déclarée au nom de Catherine. Ils se marient, avec Magali pour témoin...
Je viens de regarder ce film, c'est un portrait assez sombre ou cynique, il n'y a pas de limites mais les acteurs, Picoli et Romy Schneider donnent un entrain particulier et puis on éprouve un certain attachement pour les trois personnages. Quant aux costumes et au maquillage, c'est un peu trop mais cela va bien avec les personnages et c'est il n'y a rien dire à part waouh.... lol
Rédigé par : flappergirl | 22 décembre 2008 à 23h05
J'hésite également sur ce film....
Rédigé par : claudine | 04 septembre 2010 à 13h00