De Romy Schneider... à Sarah Biasini

Un homme et son chien, l'affiche

Le bal des actrices : une affiche d'actrices nues

Source : My little buzz - 20 novembre 2008 et AlloCiné.fr

Le bal des actrices est le second long métrage de Maïwenn qui sortira en salles le 28 janvier 2009. L'affiche du film va faire parler puisqu'il s'agit d'une photo de toutes ces actrices nues !

L'histoire que raconte le film est celle d'une réalisatrice qui veut faire un documentaire sur les actrices, toutes les actrices : les populaires, les inconnues, les intellos, les comiques, les oubliées... Filmant tout, tout, tout, avec ou sans leur accord, la réalisatrice va se prendre au jeu et se laisser dévorer par ces femmes aussi fragiles que manipulatrices...

Une belle brochette d'actrices et d'acteurs qui jouent leur propre rôle : Jeanne Balibar, Romane Bohringer, Julie Depardieu, Mélanie Doutey, Marina Foïs, Estelle Lefebure, Maïwenn, Linh Dan Pham, Charlotte Rampling, Muriel Robin, Karole Rocher, Karin Viard, Joey Starr, Pascal Greggory...

9e Festival International Musique et Cinéma

Source : Festival Musique et Cinéma

Le film "Un homme et son chien" (en compétition - sortie officielle le 14 janvier 2009) a été projeté en avant-première le 12 novembre dernier à l'occasion de la 9e édition du Festival International Musique et Cinéma. Le film a reçu le prix spécial du Jury.

Téléchargez le programme complet du festival

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Interview exclusive de Francis Huster après la projection de son film "Un homme et son chien"

Quand vous avez eu l'idée de réaliser ce film, est-ce que vous pensiez déjà à Jean-Paul Belmondo ?
Totalement. Parce qu'il me fallait, et c'est ce que j'ai expliqué à Jean-Paul, un acteur qui puisse être crédible sur trois points :
1. Etre physiquement d'une grande beauté pour faire couple avec Julika Jenkins, un peu comme Yves Montand et Romy Schneider. Parce que si on fout à la porte un homme de 70 ans qui n'est pas séduisant, c'est la vie qui passe, mais s'il s'agit d'un homme qui a tout pour lui et que c'est la dégringolade, ça c'est significatif. Jenkins pouvait se dire qu'il se débrouillerait. Je voulais qu'il soit l'équivalent de Gary Cooper dans « Le train sifflera trois fois ». Il est abandonné par tout le monde mais il garde sa beauté, son élégance. Ce n'est pas John Wayne, dont on sait d'avance qu'il va s'en sortir...
2. La deuxième qualité qu'avait Jean-Paul c'est la diversité de son jeu : dans le film il y a une cinquantaine de scènes et il fallait qu'à chaque fois le héros soit différent, qu'il monte d'un cran dans sa découverte de la bassesse humaine ; même dans sa course par rapport à Dieu. C'est un film assez chrétien dans le chemin de croix. Jean-Paul fait partie des acteurs qui varient leur jeu constamment, prennent des risques. Je ne pouvais pas choisir un acteur qui soit le même durant tout le film.
3. La 3e chose c'était le public. Parce que c'est un film assez politique, social, sur la bassesse de cette société qui ne veut plus des personnes âgées, qui ne veut plus regarder en arrière, qui se débarrasse de ceux qui sont inutiles... il me fallait un acteur populaire. Si Gabin avait été vivant, si Raimu avait été vivant... Mais voilà : sans Gabin, sans Raimu, c'est Belmondo.

Le chien est l'un des acteurs principaux du film et il y a beaucoup de messages par rapport à l'abandon. Est-ce quelque chose qui vous touche ?
Terriblement. C'est un peu subliminal mais je suis très perturbé par ça. Pour moi la fourrière c'est... je n'ose pas dire ça mais... c'est un peu comme un camp de concentration. J'ai vraiment voulu dans cette scène montrer que si Jean-Paul retrouve son chien, les autres, eux, ne retrouvent personne. Et je pense que l'émotion vient de cela.
Ce sont les vrais chiens de la fourrière que j'ai filmés, c'est vraiment la fourrière... Et nous n'avons absolument pas truqué le son. Cela veut dire que toute la journée les chiens hurlent ; il n'y a jamais une seconde de silence. J'ai trouvé qu'il y avait là, d'une façon parallèle à la réalité de la vie, la cruauté de l'homme.
Dans ma vie le chien a toujours été très important. C'est un telle quête d'amour, de loyauté... Le chien est dans mon cœur, jusqu'au bout.

Jean-Marc Thibault évoquait avant la projection les difficultés que vous avez rencontrées pour monter ce film. Que voulez-vous préciser ?
Seulement que la chance de ma vie c'est que Jean-Louis Livi ait décidé de produire le film et qu'il l'ait produit dans ces conditions-là.

Pourquoi cela a-t-il été si difficile ?
Parce que les gens ont cru que Zinedine Zidane ne reviendrait jamais après la coupe du monde perdue en Corée. Le métier pensait aussi que Marlon Brando ne reviendrait jamais, et puis il est revenu. Alors je crois que là, Jean-Paul Belmondo est revenu, et en plus ce qui est beau et émouvant, c'est qu'il est revenu lui-même...

Propos recueillis par Nathalie Hadrbolec

Novela Fotofilm - N° 5 - 1958

"Sissi impératrice" - Roman photos 14 pages 16 photos

Les fiches de M. Cinéma : Les choses de la vie

Patrick Fiori chante "Les choses de la vie"

Source : Chérie FM - Découvrez le live de Patrick Fiori
Découvrez l'album de Patrick Fiori : Note du 16 novembre 2008

Version CD (avec Micheline Presle) :

Sissi face à son destin

NDLR : Cet extrait vous est présenté ci-dessous dans l'unique but de vous faire connaître le film et vous donner envie de le découvrir dans son intégralité par le biais des supports à votre disposition (DVD, diffusion TV...).
Par respect des droits liés à la diffusion d'une oeuvre, vous ne pourrez en découvrir, ici, que les premières 15 à 20 minutes.

Sissi face à son destin

Captures d'écran - Part 10

Mado

Le numéro 21 de la collection "les plus grands films de Romy Schneider en DVD" est disponible au numéro ou en abonnement sur ma collection.fr au prix de 13 euros

Contient :

• "Mado", le film
• Bonus : -
• Fascicule : Analyse du film : De l'argent et des hommes - Les artisans du cinéma : Jean Bofféty, le chef opérateur - On l'appelait Romy... : en attendant Sarah - Casting de rêve : Des hommes et une femme - Parenthèse historique : L'urbanisme parisien des années 1970- Zoom sur la production : Mado, entre réalité et fiction - Fiche Technique.
• Prochain numéro : L'assassinat de Trotsky 

Sissi - Still Crazy in Love

Source : Julia DiNozzo sur YouTube

Cinémonde - N° 1450 - 22 mai 1962

Article intérieur : * La photo de la semaine : Romy Schneider et Alain Delon 1 page 1 photo

Allo ! - N° 1 - 14 septembre 1998

Article intérieur : * Romy, ses photos inédites 4 pages 5 photos

Lysistrata

Captures d'écran - Part 4
   

Neue Post - N° 49 - 26 novembre 2008

Article intérieur : * Sarah Biasini : Eine Tasche für's Leben 1/4 page 1 photo

Scampolo

 
 
 
 
 

Cinémonde - N° 1624 - 02 novembre 1965

Article intérieur : * "Quoi de neuf Pussycat ?" raconté par Michel Gérac 4 pages 2 photos

Jean-Loup Dabadie ou les choses de sa vie

Source : Film documentaire

Documentaire de Nicolas Castro (2008)
Jean-Loup Dabadie et les choses de sa vie

L'Italien de Serge Reggiani, c'est lui. "Les yeux secs", roman d'un jeune auteur de 19 ans, c'est lui. "Bonne fête Paulette", premier sketch, envoyé par la poste, c'est encore lui. Vincent, François, Paul, César, Rosalie, Violette, Clara, ses chics types et les nombreux autres, c'est toujours lui. Le paradis chanté par Polnareff ou filmé par Yves Robert, c'est lui aussi. Bref, la liste serait trop longue, mais quel incroyable parcours que celui de ce gentleman touche à tout de génie.

Pas question de tracer dans ce documentaire un portrait hagiographique de l'artiste, mais plutôt de partir pour une ballade en sa compagnie, à travers archives et extraits de films où se croisent ses complices Claude Sautet, Yves Robert, Julien Clerc, Serge Reggiani sans oublier bien sûr Guy Bedos, le porte-parole de ses sketchs. Portrait subjectif, évidemment non-exhaustif, qui s'intéresse à l'œuvre avant tout, sa genèse, à ces choses de la vie, souvent compliquées mais qu'il parvient à glisser avec des mots simples au détour d'un dialogue entre "César et Rosalie", ou dans les paroles du Petit garçon. Oui, des mots simples pour traduire des sentiments et des émotions complexes, voilà ce qui résume le mieux le remarquable travail de cet écrivain de spectacle.

Générique : Auteur-Réalisateur : Nicolas Castro
Production / Diffusion : Les Films en hiver, Grisbi Productions, TPS Star
Distribution : Les Films en hiver

Fiche technique : 52 minutes - 2008
Première diffusion TV le 26/11/2008

Grand succès des sacs et bagages customisés par 21 célébrités

Source : Curie.fr - 24 novembre 2008

La vente aux enchères organisée le 17 novembre 2008 chez Christie's, ainsi que le prestigieux dîner caritatif qui s'est déroulé à l'Hôtel le Bristol ont permis de collecter 143 500 euros pour financer des recherches innovantes sur le cancer de l'ovaire à l'Institut Curie.

Pour cette 3e éditon, Sarah Biasini (photo), Elodie Bouchez, Cécile Cassel, Audrey Dana, Emma De Caunes, Catherine Deneuve, Zoé Félix, Charlotte Gainsbourg, Vahina Giocante, Judith Godrèche, Audrey Marnay, Chiara Mastroianni, Amélie Mauresmo, Mathilda May, Héléna Noguera, Géraldine Pailhas, Vanessa Paradis, Linh-Dan Pham, Barbara Schulz, Audrey Tautou et Elsa Zylberstein se sont investies aux côtés de l'Institut Curie pour faire avancer la recherche et prendre le cancer de vitesse.

Chacune avait été invitée par la Maison Goyard à projeter sur la célèbre toile aux chevrons entrelacés, noire ou orange aux couleurs de l'Institut Curie, leur vision personnelle du voyage : bandes de couleur, messages ou dessins.

Leur imagination et le savoir-faire de la Maison Goyard ont ainsi permis de réaliser les 21 pièces uniques, symboles d'un engagement solidaire, vendues aux enchères chez Christie's, le 17 novembre 2008. la vente a été dirigée par Maître François de Ricqles en présence d'Amélie Mauresmo, marraine de l'Institut Curie, et de Sarah Biasini, la fille de Romy Schneider. La soirée s'est poursuivie par un dîner caritatif prestigieux à l'Hôtel le Bristol auquel se sont jointes Zoé Félix,Mathilda May et Barbara Schulz.

Le fruit de la soirée est entièrement reversé à l'Institut Curie afin de financer un programme de recherche innovant sur les cancers de l'ovaire notamment dans son département de biologie des tumeurs..

L'Institut Curie remercie les partenaires de cette opération : Goyard, Christie's, l'hôtel Le Bristol, Gaya la nouvelle agence, la maison Delamotte.

Romy Schneider by Hannelore Teutsch

Source : Hannelore Teutsch.de
Taille : 47 x 120 cm

 

Sissi - What You don't Know

Source : Julia DiNozzo sur YouTube

Cinémonde - N° 1654 - 03 juin 1966

Article intérieur : * Romy Schneider, voleuse d'enfant... 2 pages 8 photos

Ici Paris - N° 3303 - 21 octobre 2008

Article intérieur : * (Parfum d'hier) Mireille Darc : La grande sauterelle à coeur ouvert ! 2 pages 1 photo avec Romy

Gala - N° 265 - 09 juillet 1998

Article intérieur : * Romy Schneider, du bonheur au désespoir Suite du N° 264 3 pages 4 photos

Mon petit doigt m'a dit...

Captures d'écran - Part 2
   

Novela Fotofilm - N° 4 - 1958

"Sissi impératrice" - Roman photos 16 pages 26 photos

Romy Schneider 4ever

Source : PatDido sur YouTube
NDLR : Vous allez reconnaître nombres de montages...

Musée Grévin

Découvrez le site du musée

Romy est au Musée Grévin (Paris) depuis 2001 :

 

La préparation :

Fantôme d'amour

Captures d'écran - Part 2

Nous Deux - N° 3199 - 21 octobre 2008

Article intérieur : * Interview : Anthony Delon : "Avec mon père, nous n'avons pas su nous parler" 2 pages 1 photo avec Romy dans l'article

Saint-Germain-en-Laye, lieu de tournage

Source : Saint-Germain-en-Laye.fr - 19 octobre 2008

Depuis quelques mois, les tournages de films et téléfilms se multiplient dans la ville. Entre les mois de mars et octobre, ce ne sont pas moins de vingt-et-une demandes qui ont été recensées. 

Décidément, toutes les caméras se tournent vers Saint-Germain-en-Laye !

Parmi ce foisonnement de prises de vues, un tournage aura particulièrement touché les Saint-Germanois. Jeudi 16 octobre, la société Phoenix-films réalisait pour la télévision allemande une séquence de Romy Schneider, un téléfilm retraçant une période de la vie de l’actrice. Ce jour-là, les caméras étaient braquées sur le 2 rue de Lorraine, ancienne résidence des beaux-parents de la comédienne.

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