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Au programme du N° 71 : 24 pages
(14 pages + 1 dossier spécial)
Merci à Jürgen qui nous offre la photo du jour
Le 23 juin 2013
Auteurs : Anne et Dirk Schiff
Traduction du titre : "Romy intime ! : rencontres"
Photos : Roger Fritz et Helga Kneidl
Editions : Eule Verlag
212 pages (avec ~ 50 photos)
Langue : Allemand
Sortie le : 31 août 2013
Prix : ~ 25 euros
ISBN-10 : 3000426442
ISBN-13 : 978-3000426445
Disponible à la commande sur Amazon.de
Site de l'éditeur ici
Sujet : Des témoins parlent de leurs rencontres personnelles avec Romy Schneider. D'anciens voisins, des camarades de classe, le coiffeur Udo Walz, le photographe et acteur Roger Fritz, le producteur de films Artur Brauner et de nombreuses autres personnes racontent des histoires inédites sur Romy.
Le 07 septembre 2013
Voilà, j'ai reçu le livre hier soir ! D'abord déçue par la taille parce qu'il est finalement assez petit pour un livre de 25 euros... Et puis, je l'ouvre et là, Ô suprise : pleins de photos qui (même si on les connait et sauf erreur de ma part, bien sûr !) n'ont jamais été éditées dans un livre : Romy en 1961 au moment de "Dommage qu'elle soit une p..." et du tournage de "Boccace 70".
Malheureusement, je ne sais pas lire l'allemand et pour une fois, je le regrette !!! J'aimerai beaucoup lire les témoignages (D'ici que je me lance dans la traduction... Il faudrait juste le temps...).
Bref, finalement, une très bonne surprise. Le papier (y compris le texte) est d'excellente qualité et cela fait plaisir.
Sommaire :
Quelques photos :
A l'occasion de son 75e anniversaire, la poste allemande a composé une nouvelle plaquette "Romy Schneider" réunissant deux (anciens) timbres. Pour la commander, rendez-vous sur le site officiel :
Deutsche Post
Prix : 12,95 euros - Format : A5
Madame Dorette Roess organise une nouvelle exposition au Parc de Wesserling (Alsace - 68) à partir du 15 septembre et jusqu'au 27 octobre 2013 intitulée "Romy Schneider en toute intimité".
Encore une fois, j'adresse toutes mes sincères félicitations et mes remerciements aux particuliers qui organisent régulièrement ce type de manifestation (expositions, conférences...) sur Romy Schneider car je peux qu'imaginer le travail que cela représente ! Alors : BRAVO !
En espérant que cette nouvelle initiative rencontrera un vif succès parmi vous !
Source : Première.fr - 05 septembre 2013
NDLR : Le documentaire de Bertrand Teissier évoqué dans cet article semble être celui qui a été diffusé pour la première fois en 2008. Rien d'inédit, donc, à priori. Cela reste toutefois à confirmer puisque nous attendons toujours celui dont on avait parlé (bien avant les vacances) et qui devait être diffusé sur Chérie 25...
Paris Première va rendre homme à Romy Schneider le 24 septembre 2013. A cette occasion, les téléspectateurs découvriront le film "La passante du sans-souci", ainsi qu’un documentaire sur ses derniers jours.
Chaque mois, la chaîne du groupe M6, Paris première, rendra hommage à une icône du cinéma en lui consacrant une soirée spéciale. A l’occasion de la grande première, Paris Première consacrera une soirée spéciale à Romy Schneider.
Le mercredi 24 septembre à 20h40, Paris Première diffusera le dernier film de l’actrice, "La passante du sans-souci". De l'assassinat de son père par les SA berlinois, jusqu'à son emprisonnement pour avoir tué un vieil SS, quarante ans de la vie de Max Baumstein, interprété par Michel Piccoli, président du mouvement de Solidarité Internationale, qui lutta contre le terrorisme antisémite de l'Allemagne nazie.
Dès 22h45, les téléspectateurs découvriront ensuite le documentaire "Les derniers jours de Romy Schneider" réalisé par Bertrand Tessier. Bertrand Tessier revient sur les derniers jours de l’actrice de "La Piscine" grâce à des témoignages de ses proches et des dernières personnes qui l’ont fréquentées jusqu’à cette nuit du 28 au 29 mai 1982 où elle les a définitivement quittés. Plus de trente ans après, sa mort interroge toujours : suicide à base d’un mélange fatal d’antidépresseurs et d’alcool ou arrêt cardiaque ? Selon ses proches, la véritable date de sa mort correspondrait en réalité au décès tragique de son fils David un an auparavant, le 5 juillet 1981. "Lorsque j’ai annoncé le décès à Madame Schneider, elle ne s’est pas écroulée. Bien pire : c’est le monde qui s’est écroulé autour d’elle", confie le chirurgien qui a tenté de sauver l’enfant. Elle a été traquée par des paparazzis, des photos de son fils mort ont même été publiées. Romy Schneider va ensuite s’investir dans un dernier film : La passante du sans-souci, dans lequel elle donne la réplique à un jeune acteur de 14 ans qui lui rappelait à chaque scène son fils David.
Source : Stars Portraits
Lieux mythiques du cinéma : Le village de Bruniquel, dans le Tarn-et-Garonne, a accueilli le tournage du film de Robert Enrico, au printemps 1975. Le souvenir du premier «meilleur film» de l’histoire des Césars y est encore vivace
«C’était un grand moment !» À Bruniquel, un village de 610 habitants du Tarn-et-Garonne à trente kilomètres de Montauban, le tournage du Vieux Fusil, en 1975, reste un temps fort de l’histoire locale. Les figurants qui ont participé à cette aventure ne sont plus nombreux, mais le film continue à drainer toute l’année des touristes jusqu’à la cité médiévale, classée parmi les plus beaux villages de France. «À chaque fois qu’il repasse à la télévision, ce qui arrive plusieurs fois par an, il y a un afflux de visiteurs», témoigne le maire, Michel Montet.
Le film de Robert Enrico raconte l’histoire d’un paisible chirurgien de Montauban, Julien Dandieu (Philippe Noiret), qui, aux dernières heures de l’Occupation en 1944, venge le meurtre de sa femme Clara (Romy Schneider) et de sa fille dans un village décimé par une division allemande. Cette sombre quête, inspirée du massacre d’Oradour-sur-Glane, est éclairée par l’ardente interprétation des deux acteurs principaux. A l’office de tourisme, on peut presque situer chaque scène de mémoire.
Florence Brutto, coiffeuse au village depuis un an, a regardé le film à son arrivée comme un rituel d’intégration. «Je cherche une affiche du film avec Romy Schneider. Beaucoup de gens ont des photos du tournage chez eux», témoigne la jeune femme. À l’office du tourisme, Philippe Noiret et sa partenaire s’enlacent dans un cadre au-dessus des prospectus, et Sandie Vonck, derrière le comptoir, peut presque situer chaque scène de mémoire.
L’ancienne conciergerie accueillait la scène où Julien Dandieu tue le dernier de ses ennemis. La cour du château a été le cadre de la fête du village, mais aussi de l’assassinat de la mère et de la fille, dans la terrible «scène du lance-flammes». Les Allemands du film se distraient dans la salle à manger du vieux château, et c’est d’un de ses balcons qu’ils tentent de s’échapper à l’aide d’une corde. «Le puits le plus profond qui soit» construit pour le tournage.
Des aménagements avaient été nécessaires, à commencer par la construction d’un pont-levis aujourd’hui détruit que les touristes cherchent en vain. Le puits dans lequel le personnage principal abat sa première victime est en revanche toujours là. «C’est le puits le plus profond qui soit, puisqu’il commence à Bruniquel et se finit au château de Bonaguil, où ont été tournées toutes les scènes souterraines du film, à 75 km d’ici», s’amuse Jacky Poussou, peintre et vitrailliste au village.
Les astuces du montage –entretenant l’illusion que Bruniquel, Bonaguil et Penne, deux autres communes du Quercy, n’en forment qu’une– ont fasciné les habitants et créé une durable complicité entre le film et le village. Yvan Bianchi, directeur de l’office du tourisme, se souvient de la première fois qu’il a vu le film dans un cinéma de Montauban : «Dans la salle, tout le monde pleurait, et moi, j’avais envie de rire ! Je connaissais les secrets de fabrication.»
Denis Montet, agriculteur bruniquelais, avait prêté aux accessoiristes une charrette et des bêtes. La vache errante, qui annonce au début du film le massacre du village, lui appartenait. Recruté comme figurant, il se souvient surtout avoir attendu : «Dès qu’un petit nuage passait, il fallait tout arrêter. Ma scène n’a pas été retenue, alors que j’ai dû venir six fois, parfois pendant une demi-journée !» En dédommagement, il touchait 50 francs par jour. «Nous ne savions pas comment se tournait un film. On ne se rendait pas compte de l’importance de ce qui se passait», regrette l’agriculteur. La scène de l’incendie a réellement brûlé la façade du château
Pourtant, peu de choses ont échappé aux habitants, des disputes qui ont pu ponctuer le tournage, amenant les acteurs à se retirer dans leur caravane, aux repas à l’auberge «L’Étape du château» auxquels étaient conviés certains figurants, en passant par de menus détails, comme la technique de Philippe Noiret pour simuler un vomissement («le gobage d’œuf !»).
Yvan Bianchi s’étonne encore de «l’usine» déversée chaque jour par les camions, comme ces dizaines de projecteurs dardant leurs rayons sur la petite fenêtre de la conciergerie pour simuler l’éclat du jour. L’incendie final du château avait débordé les pompiers lors de la prise de vues, brûlant véritablement la façade du bâtiment classé et encore habité par Mme de Bellefond, qui avait engagé un procès.
Les apparitions de Romy Schneider constituent un autre souvenir brûlant : «Je revois ses longues jambes fines sortir de la Mercedes. C’était une star, une grande dame. On ne pouvait pas l’approcher comme ça», se souvient Jacky Poussou. Responsable de la Maison Payrol, le musée du village, il aimerait rendre hommage à l’actrice à travers une autre exposition que celle, permanente et consacrée au film, qui occupe déjà l’une des pièces du château. Les acteurs ont bouleversé les habitants
À l’époque, l’actrice frôlait le surmenage. «Elle jouait des scènes très dures. J’ai assisté à celle du viol. À la fin, elle était véritablement bouleversée», se souvient l’artiste. Seule Mme Montastruc, recrutée pour la scène de la fête du cochon, a eu le droit jalousé d’approcher de près l’actrice et même de recevoir un baiser.
Plusieurs habitants évoquent aussi avec émotion la présence du fils de Romy Schneider, David Meyen, alors âgé de 9 ans, mort six ans plus tard. Mais de tous, c’est bien Philippe Noiret, cet homme «simple et ouvert», qui a su le mieux se faire aimer des Bruniquelais. Quant aux acteurs incarnant les Allemands, «ils avaient l’air tellement réels qu’un homme les a accueillis son fusil à la main !» se souvient Denis Montet avec un rire.
Parmi ces acteurs se trouvaient des militaires du 17e RGP de Montauban. Le lance-flammes du film faisait partie de leur matériel. Comme beaucoup d’autres objets, il n’a pas été conservé, mais la mémoire du tournage ne risque pas de s’éteindre : au balcon du vieux château, le jeune lieutenant Antoine Casasole a préparé une descente en rappel le long de la falaise, en référence à une scène du "Vieux Fusil" : «L’un de mes films préférés !»
C'est avec un immense plaisir que nous retrouverons Melle Sarah Biasini, à la rentrée, pour une reprise de 50 représentations de la pièce mise en scène par Christophe Lidon :
Lettre d'une inconnue
Du 20 septembre 2013 au 05 janvier 2014
au Théâtre de la Gaîté-Montparnasse
Mise en scène de Christophe Lidon
Avec Sarah BIasini et Thomas Cousseau ou Frédéric Andrau (en alternance)
Théâtre de la Gaîté-Montparnasse - 26 rue de la Gaîté - 75014 Paris.
Tél : 01.43.20.60.56
http://www.gaite.fr/
Du mardi au samedi à 19h - Le dimanche à 17 h.
Prix plein tarif : 32 euros
Langues: Allemand, Anglais, Français
Sous-titres : Allemands, Anglais, Français, Italiens, Espagnols, Danois, Hollandais
Sortie le : 20 septembre 2013
Prix : ~ 15 euros
Disponible sur Amazon.de
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Article intérieur : 8 pages
L'article intérieur est identique à celui du magazine "Plus Magazin" de septembre 2013. |
| Article intérieur : * We love Romy Schneider 1 page |
