De Romy Schneider... à Sarah Biasini

Romy Schneider by Agnes Fischer

Source : (c) Agnes Fischer.at

Max et les ferrailleurs - Trailer

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Prête-moi ton mari

Captures d'écran - Part 1

Legende Romy Schneider

By Ar43sr60 sur YouTube

Romy Schneider by Christine

Source : Christine's Web

Romy, 2001, framed, Size 152x112 cm

 

Freizeit Woche - N° 09 - 20 février 2008

Article intérieur : * Yvonne Catterfeld : Sie ist die neue Romy Schneider 3/4 page 3 photos

Schöne Woche - N° 09 - 20 février 2008

Article intérieur : * Yvonne Catterfeld : Sie wird die neue Romy - zerbrucgt sue ab ugrel Vorbild ? 1 page 2 photos

Romy Schneider

Source

La banquière

N° 2 de la collection "Les plus grands films de Romy Schneider en DVD" : "La banquière"

Nuit des Molières: "Good Canary" et "La vie devant soi" en tête des nominations

Source : Nouvel Obs - 31 mars 2008

Les pièces "Good Canary" et "La vie devant soi" arrivent en tête des nominations de la 22e Nuit des Molières avec respectivement six et cinq citations chacune, ont annoncé lundi l'Association professionnelle et artistique du théâtre (APAT) et France-2.

Les deux pièces figurent notamment dans la catégorie majeure du Molière du metteur en scène, l'Américain John Malkovich pour "Good Canary" et Didier Long pour "La vie devant soi". "Good Canary" est aussi en lice pour le trophée de la comédienne (Cristiana Reali), celui de l'adaptation (Lulu et Michael Sadler), celui du théâtre privé ainsi que deux trophées techniques.

"La vie devant soi" concourra aussi dans la catégorie théâtre privé, celui de la comédienne (Myriam Boyer), de l'adaptateur (Xavier Jaillard) et de la révélation théâtrale (Aymen Saïdi).

La jeune Sarah Biasini, fille de Romy Schneider, fait une première apparition chez les nominés, dans la catégorie révélation théâtrale, pour son rôle dans "L'antichambre".

Clovis Cornillac, également nominé chez les comédiens au côté de Michel Galabru, Jacques Frantz et Jérôme Kircher, sera le président d'honneur de la soirée avec Barbara Schulz. La cérémonie, qui récompensera les professionnels du théâtre public et privé dans 17 catégories, sera retransmise sur France-2 le 28 avril à 20h50, en direct depuis le théâtre parisien des Folies-Bergère. Pour la troisième année consécutive, l'animatrice Karine Le Marchand en sera la maîtresse de cérémonie.

Plusieurs interludes sont prévus pour ponctuer la soirée dont l'un signé de Pierre Mondy, alors que des extraits du "Soldat rose", de "Fame" et de "Kirikou" sont aussi prévus sur scène. Un hommage sera également rendu par le comédien et metteur en scène James Thierrée, petit-fils de Charlie Chaplin, au mime Marceau, disparu en septembre dernier.

Molières 2008: "Good Canary" en tête des nominations

Source : AFP - 31 mars 2008

Paris — La pièce "Good Canary", mise en scène par l'acteur américain John Malkovich, est en tête des nominations aux Molières 2008 avec six mentions, selon la liste dévoilée lundi par les organisateurs des récompenses du théâtre français.

Les Molières 2008 seront remis le 28 avril à partir de 20h50, lors d'une cérémonie diffusée sur France 2 en direct des Folies Bergère à Paris.

"Good Canary" de Zach Helm, créé dans le théâtre privé (Comedia), devance deux spectacles du public, "La petite Catherine de Heilbronn" de Kleist (Odéon) et "La seconde surprise de l'amour" de Marivaux (Nanterre), et un du privé, "La vie devant soi" de Gary/Ajar (Marigny), à égalité avec cinq nominations.

Arrivent ensuite "L'hôtel du libre-échange" de Feydeau (quatre citations) puis "Je tremble" de Joël Pommerat et "Le roi Lion", "L'antichambre" de Jean-Claude Brisville (trois chacun).

"Juste la fin du monde" de Lagarce dans la mise en scène de Michel Raskine, "Les riches reprennent confiance" de Louis-Charles Sirjacq, "Les Forains" de Stephan Wojtowicz, "Homme sans but" d'Arne Lygre et "Le Cid" de Corneille sont pour leur part nommés deux fois.

Présentée par l'animatrice de télévision Karine Le Marchand, la 22e "Nuit des Molières" sera présidée par les acteurs Clovis Cornillac et Barbara Schulz.

"Ils sont le sang neuf de notre profession et représentent bien les deux secteurs du théâtre, Clovis Cornillac plutôt pour le public, Barbara Schulz pour le privé", expliquait récemment à l'AFP Jean-Claude Houdinière, président de l'Association professionnelle et artistique du théâtre (Apat), organisatrice des Molières.

Soucieux d'être "le reflet de la production théâtrale dans sa diversité créatrice sur l'ensemble du territoire", les Molières ont modifié la procédure déterminant les nominations, qui se faisaient sous forme de vote à deux tours depuis la création de ces récompenses en 1987.

"Nous nous sommes aperçus que les gens votaient très peu au premier tour, ce qui donnait lieu à beaucoup d'injustices", a fait valoir Jean-Claude Houdinière.

Cette année, la liste des nommés a été déterminée par trois jurys (un pour le théâtre privé, un autre pour le secteur public et le dernier pour les spectacles jeune public) constitués de personnalités assistant "à beaucoup de spectacles tant à Paris qu'en région".

Le palmarès sera le fruit du vote des 1.700 membres de l'Académie des Molières (professionnels et personnalités), appelés à voter dans les premiers jours d'avril à partir de la liste des nommés.

Les Molières 2008 seront attribués dans 17 catégories (comédien, metteur en scène, second rôle, etc.), le seul changement ayant trait à la révélation qui ne concernera qu'une personne (homme ou femme) contre deux (une masculine et une féminine) auparavant.

L'Apat espère que l'audience de la cérémonie repassera au-dessus de la barre des 2 millions de téléspectateurs sous laquelle elle était descendue en 2007.

"On l'espère d'autant plus que France 2 est en train de s'inscrire comme la chaîne du théâtre, dans la foulée du succès des retransmissions en direct de "Faisons un rêve" de Guitry (5,4 millions de téléspectateurs) et "Fugueuses" (près de 8 millions)", souligne Jean-Claude Houdinière.

Heim und Welt - N° 02 - 31 décembre 2007

Article intérieur : * Romy Schneider & Horst Buchholz : Es war die groBe Liebe 1/2 page 2 photos

Molières 2008 : acte I, scène 1

Source : Pure People - 1er avril 2008

Cristiana Reali, Sarah Biasini, Karine Lemarchand, Sabine Haudepin, Michel Galabru et Julie-Marie Parmentier ont assisté à la conférence de presse des Molières 2008 (voir les nominations), organisée hier aux Folies Bergère, à Paris.

Tout ce petit monde a pris la pose avant d'aller déjeuner au ministère de la Culture, en compagnie de la ministre Christine Albanel.

17 prix seront décernés par un jury de 1 700 personnes au cours de la cérémonie qui se tiendra le lundi 28 avril à 20h50 en direct du Théâtre des Folies Bergère. Diffusés en direct sur France 2, les Molières 2008 seront présidés par Barbara Schulz et Clovis Cornillac, et présentés par Karine Lemarchand — animatrice, entre autres, des Maternelles, sur France 5.

Sarah Biasini au déjeûner des Molières - 31 mars 2008

Dejeûner des Molières au ministère de la culture et de la communication à Paris - 31 mars 2008.

Sur les premières photos : Sarah en compagnie de Christiana Reali et Michel Galabru.

Jules Dassin s'est éteint

Source : La tribune.fr - 1er avril 2008

Le réalisateur américain Jules Dassin, père du chanteur Joe Dassin, est décédé lundi soir à Athènes à l'âge de 96 ans, des suites d'une grippe, a-t-on appris de source hospitalière.

Son épouse grecque Melina Mercouri avait été à l'affiche de certains de ses plus grands succès, comme "Jamais le dimanche" (1960). "Du Rififi chez les hommes" (1954) avait valu à Dassin le prix de la Mise en scène au festival de Cannes, où il avait fait la rencontre de Mercouri.

En tout, Mercouri, décédée en 1994, avait joué dans sept de ses plus de 20 films, parmi lesquels ont note "Reunion in France" (1942), "Les forbans de la nuit" (1950), "Toptaki" (1964) et "10 h 30 du soir en été" (1965).

Lundi soir, le Premier ministre grec Costas Karamanlis a rendu hommage à un "Grec de la première génération". "La Grèce pleure la perte d'un être humain exceptionnel, un artiste important, et d'un vértibale ami", a-t-il déclaré dans un communiqué.

Après ses débuts à Hollywood dans les années 1940, il rencontra quelques problèmes au sein du milieu en raison de ses opinions gauchistes et fut placé sur la célèbre liste noire des personnalités communistes. Il se rendit alors à Londres, et vécut également en Italie et en France avant de gagner la Grèce en 1966 après avoir épousé Mercouri.

Cette dernière a entamé une carrière politique après avoir quitté le grand écran, entrant au Parlement en 1974 et devenant ministre de la Culture en 1981.

Qui ?

Captures d'écran - Part 1

Comme dans un bocal...

Sarah, nommée pour les Molières 2008 !

Source : PurePeople.com - 31 mars 2008

NDLR : You-hou !!! Et félicitations pour cette nomination très méritée ! En tout, 3 nominations pour la pièce, c'est vraiment une magnifique nouvelle... Qui promettra sans doute une sortie DVD !

La pièce de John Malkovich, Good Canary, est en tête des nominations pour la 22e cérémonie des Molières, qui se tiendra le 28 avril 2008 aux Folies Bergère et sera retransmise en direct sur France 2. Good Canary est en compétition dans 6 catégories (metteur en scène, comédienne, théâtre privé, décorateur / scénographe, lumières, adapteur).

17 prix décernés par un jury de 1 700 personnes, seront  remis lors de la cérémonie présidée par Barbara Schulz et Clovis Cornillac, et présentée par Karine Lemarchand.

Le coprésident de la cérémonie est d'ailleurs en compétition avec Michel Galabru pour le Molière du meilleur comédien. Quant à sa mère, Myriam Boyer, elle est en lice dans la catégorie meilleure comédienne — pour son interprétation dans La Vie devant soi - avec Marina Hands et Cristiana Reali.

A noter, les nominations de Sarah Biasini et de Clotilde Hesme pour le prix de la révélation théâtrale de l'année. Romy Schneider aurait été si fière de sa fille...

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Source : Yahoo actualités - 31 mars 2008

Paris - Les pièces "Good Canary" et "La vie devant soi" arrivent en tête des nominations de la 22e Nuit des Molières avec respectivement six et cinq citations chacune, ont annoncé lundi l'Association professionnelle et artistique du théâtre (APAT) et France-2.

Les deux pièces figurent notamment dans la catégorie majeure du Molière du metteur en scène, l'Américain John Malkovich pour "Good Canary" et Didier Long pour "La vie devant soi". "Good Canary" est aussi en lice pour le trophée de la comédienne (Cristiana Reali), celui de l'adaptation (Lulu et Michael Sadler), celui du théâtre privé ainsi que deux trophées techniques.

"La vie devant soi" concourra aussi dans la catégorie théâtre privé, celui de la comédienne (Myriam Boyer), de l'adaptateur (Xavier Jaillard) et de la révélation théâtrale (Aymen Saïdi).

La jeune Sarah Biasini, fille de Romy Schneider, fait une première apparition chez les nominés, dans la catégorie révélation théâtrale, pour son rôle dans "L'antichambre".

Clovis Cornillac, également nominé chez les comédiens au côté de Michel Galabru, Jacques Frantz et Jérôme Kircher, sera le président d'honneur de la soirée avec Barbara Schulz. La cérémonie, qui récompensera les professionnels du théâtre public et privé dans 17 catégories, sera retransmise sur France-2 le 28 avril à 20h50, en direct depuis le théâtre parisien des Folies-Bergère.

Pour la troisième année consécutive, l'animatrice Karine Le Marchand en sera la maîtresse de cérémonie. Plusieurs interludes sont prévus pour ponctuer la soirée dont l'un signé de Pierre Mondy, alors que des extraits du "Soldat rose", de "Fame" et de "Kirikou" sont aussi prévus sur scène. Un hommage sera également rendu par le comédien et metteur en scène James Thierrée, petit-fils de Charlie Chaplin, au mime Marceau, disparu en septembre dernier.

Liste des nominations aux Molières 2008

Source : MSN actualités - 31 mars 2008

La pièce "Good Canary", mise en scène par l'acteur américain John Malkovich, est en tête des nominations aux Molières 2008 avec six mentions, selon la liste dévoilée lundi par les organisateurs des récompenses du théâtre français.

Les Molières 2008 seront remis dans 17 catégories (comédien, metteur en scène, second rôle...) le 28 avril à partir de 20h50, lors d'une cérémonie diffusée sur France 2 en direct des Folies Bergère à Paris.
"Good Canary" de Zach Helm, créé dans le théâtre privé (Comedia), devance deux spectacles du public, "La petite Catherine de Heilbronn" de Kleist (Odéon) et "La seconde surprise de l'amour" de Marivaux (Nanterre), et un du privé, "La vie devant soi" de Gary/Ajar (Marigny), à égalité avec cinq nominations.
Arrivent ensuite "L'hôtel du libre-échange" de Feydeau (quatre citations) puis "Je tremble" de Joël Pommerat et "Le roi Lion" (trois chacun). Cette 22e "Nuit des Molières" sera présidée par les acteurs Clovis Cornillac et Barbara Schulz et animée par Karine Le Marchand.

L'Association professionnelle et artistique du théâtre (Apat), organisatrice des Molières, espère que l'audience de la cérémonie repassera au-dessus de la barre des 2 millions de téléspectateurs sous laquelle elle était descendue en 2007. Les gagnants sont en gras, souligné et vert :

Théâtre public

• "Hop là, nous vivons !" de Ernst Toller, mise en scène Christophe Perton
• "Juste la fin du monde" de Jean-Luc Lagarce, m.e.s. Michel Raskine
• "La seconde surprise de l'amour" de Marivaux, m.e.s. Luc Bondy
• "Les trois soeurs" de Tchékhov, m.e.s. Stéphane Braunschweig

Compagnies

• "Le cirque invisible" de Victoria Chaplin et Jean-Baptiste Thiérrée (Cie Le cirque de l'invisible)
• "Les fourberies de Scapin" de Molière, m.e.s. Emilie Valantin (Théâtre du Fust-Montélimar)
• "Je tremble" de Joël Pommerat
• "Juste la fin du monde" de Lagarce, m.e.s. Francois Berreur(Cie Les Intempestifs)
• "Meilleurs souvenirs de Grado" de Franz Xaver Lroetz, m.e.s. Benoît Lambert (Théâtre de la tentative)
• "Le mendiant ou la mort de Zand" de Youri Olecha, m.e.s. Bernard Sobel (Cie Bernard Sobel)
• La petite Catherine de Heilbronn" de Kleist, m.e.s. André Engel (Le vengeur masqué)

Théâtre privé

• "Les belles-soeurs"
• "Good Canary"
• "Les riches reprennent confiance" - Théâtre de Poche
• "La vie devant soi" - Théâtre Marigny Robert Hossein

Théâtre musical

• "Cabaret"
• "L'enfer" de Gabor Rassov, m.e.s. Pierre Pradinas
• "Le roi lion"
• "Souingue ! Souingue !" de Laurent Pelly

Adaptateur

• Pierre Deshusses pour "La petite Catherine de Heilbronn"
• Xavier Jaillard pour "La vie devant soi"
• Dominique Laure Miermont et Lukas Hemleb pour "La Marquise d'O"
• Lulu et Michael Sadler pour "Good Canary"

Metteur en scène

• Luc Bondy pour "La seconde surprise de l'amour"
• Alain Françon pour "L'hôtel du libre-échange"
• Didier Long pour "La vie devant soi"
• John Malkovich pour "Good Canary"

Révélation théâtrale

• Sarah Biasini dans "L'antichambre"
• Thibaut Corrion dans "Le Cid".
• Raphaëline Goupilleau dans "Une souris verte"
• Clotilde Hesme dans "La seconde surprise de l'amour"
• Julie-Marie Parmentier dans "La petite Catherine de Heilbronn"
• Amen Saïdi dans "La vie devant soi"

Décorateur / Scénographe

• Catherine Bluwal pour "L'antichambre".
• Karl-ernst Herrmann pour "La seconde surprise de l'amour"
• Pierre-Francois Limbosch pour "Good Canary"
• Nicky Rieti pour "La petite Catherine de Heilbronn"

Créateur costumes

• Moidele Bickel pour "La seconde surprise de l'amour"
• Pascale Bordet pour "Victor ou les enfants au pouvoir"
• Patrice Cauchetier pour "L'hôtel du libre-échange"
• Florence Sadaune pour "Le Cid".
• Julie Taymor pour "Le roi lion"

Créateur lumières

• Christophe Grelié pour "Good Canary"
• Donald Holder pour "Le roi lion"
• Joël Hourbeigt pour "Homme sans but"
• Eric Soyer pour "Je tremble"

Spectacle seul(e) en scène

• Jacques Bonnaffé dans "L'oral et hardi"
• Christophe Malavoy dans "Gary/Ajar"
• Eric Métayer dans "Un monde fou"
• Laurent Poitrenaux dans "Ebauche d'un portrait"

Comédien

• Clovis Cornillac dans "L'hôtel du libre-échange"
• Jacques Frantz dans "Les riches reprennent confiance"
• Michel Galabru dans "Les chaussettes - opus 124"
• Jérôme Kircher dans "La petite Catherine de Heilbronn"

Comédienne

• Myriam Boyer dans "La vie devant soi"
• Marina Hands dans "Le partage de midi"
• Cristiana Reali dans "Good Canary"
• Dominique Reymond dans "Le pélican"

Comédien dans un second rôle

• Didier Brice dans "Les forains"
• Jean-Pierre Malo dans "En toute confiance"
• Gilles Privat dans "L'hôtel du libre-échange"
• Laurent Stocker dans "Juste la fin du monde"

Comédienne dans un second rôle

• Valérie Bonneton dans "Le dieu du carnage"
• Sabine Haudepin dans "Les belles-soeurs"
• Norah Krief dans "Le roi Lear"
• Bulle Ogier dans "Homme sans but"

Auteur

• Jean-Claude Brisville, "L'antichambre"
• Roland Dubillard, "Les diablogues"
• Joël Pommerat, "Je tremble"
• Stephan Wojtowicz, "Les forains"

Jeune public

• "L'hiver 4 chiens mordent mes pieds et mes mains", Philippe Dorin/Sylviane Fortuny
• "Nosferatu", Denis Athimon/Julien Mellano
• "Petit Pierre", Suzanne Lebeau/Maud Hufnagel
• "Seule dans ma peau d'âne", Estelle Savasta

Romy renaît au bord de la Piscine

Souce : L'humanité - 29 mars 2008

"La piscine" de Jacques Deray (1968)
2 DVDs - M6 Vidéo - 24,99 euros.

Des corps bronzés s’enlacent sous le soleil brûlant de la Côte d’Azur. «Gratte-moi le dos, personne ne le fait comme toi», soupire une Marianne / Romy Schneider qui a laissé Sissi à ses tourments d’adolescentes, pendant que Jean-Paul / Alain Delon lui arrache le haut de son bikini. Dès la première scène de "La piscine", le décor est planté, érotique, sulfureux, presque sismique. Car on sent bien à la façon dont ce couple parfait (à l’écran comme à la ville) s’étreint que l’orage menace. C’est un vieil ami (pour lui), vieil amant (pour elle), qui en sera l’étincelle : Harry (Maurice Ronet), un ami qui ne leur veut pas que du bien, venu passer, au volant de sa rutilante voiture de sport, et accompagné de sa charmante fille (premier rôle en France de Jane Birkin), quelques jours au bord de "La piscine".

C’est Delon lui-même qui a proposé au réalisateur Jacques Deray, avec qui il collaborera sur huit autres longs métrages, de confier le principal rôle féminin à Romy Schneider, dont la carrière périclitait. Delphine Seyrig ou Monica Vitti avait été envisagées, «mais elles hésitaient à accepter un rôle pour lequel la plupart des scènes se faisaient en maillot de bain», se souvient le scénariste Jean-Claude Carrière. Un tort, sans doute, car, grâce à une mise en scène impeccable, le film remporta un beau succès et réinstalla Romy au tout devant de l’affiche. Sautet ("Les choses de la vie", "César et Rosalie", "Une histoire simple"), Zulawski ("L’important, c’est d’aimer") ou Enrico ("Le vieux fusil") ne se firent pas prier pour utiliser cette actrice exceptionnelle. Quarante ans après d’ailleurs, "La piscine" n’a pas pris une ride et séduit toujours par la tension qui anime son quatuor de comédiens. On plonge !

Une femme à sa fenêtre

Le numéro 4 de la collection "les plus grands films de Romy Schneider en DVD" est disponible chez tous les marchands de journaux et en abonnement sur ma collection.fr au prix de 13 euros

Contient :

• "Une femme à sa fenêtre", le film
• Bonus : Film annonce, Interview de Pierre Granier-Deferre, Filmographie de Pierre Granier-Deferre, Romy Schneider, Philippe Noiret, Victor Lanoux
• Fascicule : Analyse du film : une tragédie moderne * Les artisans du cinéma : Pierre Granier-Deferre * On l'appelait Romy... : la fin de Sissi * Casting de rêve : Boutros et Malfosse * Parenthèse historique : la Grèce entre dictature et démocratie * Zoom sur la production : un roman à filmer * Fiche Technique
• Prochain numéro : Clair de femme

 

L'assassinat de Trotsky

Les affiches

2 Die Zwei - N° 38 - 15 septembre 1984

Article intérieur : * Romy's Sarah : Am ersten schultag gab's Tränen 3/4 page 5 photos

Sissi face à son destin

Captures d'écran - Part 1

Romy Schneider, de Sissi à Visconti

Source : Boomer Café

Rosemarie Magdalena Albach-Retty dite Romy Schneider, (1938-1982) est issue d'une famille de comédiens, Rosa Retty, sa grand-mère était actrice de théâtre, son père Wolf Albach Retty et sa mère Magda Schneider sont comédiens. Wolf et Magda se séparent en 1943, ils divorceront en 1945. Romy vit avec sa mère, elle entre à l'école primaire de Berchtesgaden en 1944. Son père s'installe avec l'actrice Trude Marlen. Sa mère se remarie en 1953 avec le restaurateur Hans-Herbert Blatzheim. La même année Romy Schneider s'inscrit à l'Ecole des Beaux-Arts de Cologne

C'est en 1953 aussi que le destin pointe son nez : le producteur Kurt Ulrich cherche une jeune fille pour interpréter le rôle de la fille de Magda Schneider dans "Lilas Blancs". Magda propose Romy qui obtient le rôle. Un rôle très secondaire et très court ou elle a l'occasion de chantonner le refrain du film. Elle apparait au générique sous le nom de Rose-Marie Albach. Critiques et public la trouve charmante et photogénique. Magda décide de prendre en charge la carrière de sa fille, qui prend définitivement le pseudonyme de Romy Schneider. Magda espère pouvoir entamer une deuxième carrière en duo avec sa fille. Immédiatement après "Lilas blancs" Romy tourne "Feux d'artifice" comédie romantique et musicale de Kurt Hoffmann. Le film propulse l'actrice principale Lilli Palmer au rang de star et offre l'occasion d'une jolie prestation de chant et de danse à Romy Schneider, qui semble alors bien partie pour incarner les ingénues d'opérettes.

Magda et Romy Schneider à la première des Lilas Blancs 1953

Romy Scneider et Horst Buchholz 1957- Romy Scneider et Karlheinz Böhm 1955

En 1954, Ernst Marischka pour tourner propose à Romy Schneider le premier rôle dans "Les jeunes années d'une reine". Sa Mère Magda y joue le rôle d'une gouver- nante. Ce sera le premier grand succès commercial de Romy. Ernst Marischka bien décider a exploiter ce succès propose aux deux actrices une assez na- vrante opérette "Mam'zelle Cricri", mais qui comporte les ingrédients du succès d'alors pour le public autrichien : jolie histoire et bons sentiments, bals romantiques et Vienne. En 1955 elle tourne l'oubliable "Premier amour" de Harald Braun, un remake du film de Murnau réalisé en 1924.

Woche Aktuell - N° 08 - 16 février 2008

Article intérieur : * Yvonne Catterfeld spielt Romy Schneider : Kann ihr diese Rolle zum Verhängnis werden ? 3/4 page 2 photos

Le trio infernal - trailer allemand

By Spannick sur YouTube

Romy by Henri Elwing

Photo actuellement en vente sur ebay.
Mise à prix = 119 euros

De "Max et les ferrailleurs" aux "Liens du sang", histoire d'une décadence

Source : Le coin de l'écran - 27 mars 2008

Ô déchéance hebdomadairement vérifiée du cinéma français ! Comment en sommes-nous arrivés là ? Pourquoi avions-nous Marcel Carné ("Les Enfants du Paradis"), Jean Renoir ("La Grande Illusion"), Jacques Becker ("Casque d'Or") et Jean-Pierre Melville ("Le Cercle rouge"), pourquoi avons-nous Thomas Langmann (Astérix aux Jeux Olympiques), Cédric Klapisch (Paris), Jean Becker ("Dialogues avec mon jardinier") et Jacques Maillot ("Les Liens du Sang") ? Le sarkozysme n'explique pas tout.

Revu en DVD "Max et les ferrailleurs" (1971), de Claude Sautet – drôle de cinéaste soit dit en passant, qui signe quelques polars existentiels, comme "Classe tous risques" ou "L'arme à gauche", avant de se positionner dans les années 70 comme le cinéaste de la bourgeoisie française au gré de machins avec Romy Schneider qui faisaient fureur au temps de leur sortie et qu'il n'est plus possible de regarder aujourd'hui comme "César et Rosalie", ou "Vincent, François, Paul et les autre"s ou encore "Mado"… Enfin, sur la fin de sa carrière, Sautet a sorti trois films graves, hantés, comme si l'ombre de la mort les imprégnait : "Quelques jours avec moi", "Un cœur en hiver", "Nelly et M. Arnaud"…

"Max et les ferrailleurs" est peut-être son chef-d'œuvre. Max (Michel Piccoli), ancien juge devenu flic, mène une croisade contre le mal. Après un hold-up qu'il n'a su empêcher et qui s'est soldé par mort d'homme, il tombe par hasard sur un de ses vieux potes perdus de vues, Abel Maresco (Bernard Fresson). Un tout petit malfrat qui, à la tête de gang de minables, gagne sa vie en volant des voitures et en récupérant de la ferraille. Par l'intermédiaire de Lily (Romy Schneider), prostituée, Max va manipuler à distance Abel et ses gars, les pousser à sortir de la petite délinquance, à braquer une banque où il n'aura plus qu'à les arrêter en flagrant délit.

1971, c'était hier. C'était un autre temps. Max et les ferrailleurs témoignent avec une troublante acuité des changements gigantesques survenus dans la société (française) et le cinéma (français). En 1971, on fume (les cendriers débordent, l'atmosphère des chambres, du commissariat est bleue) et on boit (à l'apéritif, double Pernod sans eau et vous nous remettez ça patron…). En 1971, les comédiens sont des hommes, pas des mannequins bodybuildés. En 1971, on parle un français impeccable relevé d'une pointe d'arguemuche.

En 1971, autour de la capitale, c'était la zone. Des taudis insalubres, des terrains vagues, des bistrots crapoteux où grouille toute une faune plus pittoresque que dangereuse. Face à ces ruffians, la justice s'habille tout de raide. Max est impénétrable, tout en noir, chapeau vissé sur le crâne. Il dit "Monsieur" à son directeur. Il parle doucement, il semble absent à lui-même. Sa violence est une violence de classe : issu de l'aristocratie viticole, cet homme riche a un rêve de propreté, pour lequel il est prêt à passer du côté obscur. Son raisonnement est d'une extraordinaire perversité : susciter le mal pour l'éradiquer de manière spectaculaire. Evidemment, il se damne. Il brise des innocents, des destinées, mais son cœur et sa raison se brisent pour avoir regardé Lily dans les yeux. La machine s'emballe. Il y a plus procédurier, plus flic donc plus salaud que Max: Rosinski (François Périer) qui va jusqu'au bout des tâches qui lui sont assignées…

Quelle rigueur! Quel calme – pas de poursuite, deux coups de feu riquiqui sur la fin… Quelle classe…

Quarante-sept ans plus tard, le cinéma français nous impose "Les liens du sang", de Jacques Maillot, sur le thème ultra rabâché du flic et voyou. Soit deux frères, Gabriel au nom d'archange et François au nom de saint, l'aîné bandit, le cadet policier, et hardi petit. C'est les meilleurs amis de la terre, François Cluzet et Guillaume Canet qui s'y collent, dans une exercice de cabotinage poussif très vite insupportable. Comme on est en 1979, on fume beaucoup, mais ces clopes innombrables ne sont pas naturelles: elle ont pour fonction de dater l'action, comme les moumoutes grotesques des frangins. Dans cette atmosphère empoissée de médiocrité franchouillarde, la ligne de démarcation entre le bien et le mal est aussi flasque qu'une tête de veau gribiche et les clichés abondent: quand Gabriel veut foutre le veut à une guinguette, il procède comme le veut la tradition du cinéma qui radote en jetant son Zippo dans la traînée d'essence… Et les gars? Avec une allumette, ça marche aussi, ça coûte moins cher et puis c'est plus difficile de remonter la piste.

Plus tard, les deux frangins sont devant la télévision que retransmet les images de la mort de Mesrine. Les deux comédiens se paient alors un morceau de bravoure en confrontant deux point de vue: le gangster abattu était-il un justicier lâchement assassiné ou un bandit justement exécuté ? C'est tellement mauvais, qu'on profite de toute cette vaine agitation pour quitter la salle sur la pointe des pieds. On ne saura jamais la fin des "Liens du sang". Cela n'a strictement aucune importance.

Paris Match - N° 3071 - 27 mars 2008

Ce dernier numéro de Paris Match contient l'article suivant :

"Jean-Paul Belmondo LA RAGE DE JOUER. Le choc de son retour au cinéma Le rôle d'un homme blessé par la vie, comme lui. Un reportage émotion"

A suivre pour voir s'il parle également de Sarah ! Je vous tiens au courant... ou bien j'attends vos commentaires.

21 h 00
L'article parle bien du film de Francis Huster mais il n'y a aucune photo de Sarah et en l'ayant parcouru rapidement, je n'y ai même pas vu son nom.