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BOF du film "Mon premier amour"
Extraits issus du DVD
Générique de début (1'02) :
Générique de fin (2'19) :
00h01 dans Film-1955-Premier Amour, Musique / Audio | Lien permanent | Commentaires (0)
10h48 dans Film-1966-Voleuse | Lien permanent | Commentaires (0)
10h16 dans Bannières, Film-1961-Boccace 70 | Lien permanent | Commentaires (0)
Pour retrouver facilement l'année qui vous intéresse, cliquez sur les liens suivants :
BIOGRAPHIE PAR ANNEE | ||||||||
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Voilà... La bio de Romy est terminée et je vous invite à me faire part de vos commentaires concernant tout complément d'information, erreur ou omission.
Je me suis inspirée de 3 ou 4 livres pour la faire mais ils peuvent aussi contenir des erreurs !
10h16 dans Biographie | Lien permanent | Commentaires (3)
Disponible sur : Amazon.fr
Broché : 60 pages
Editeur : Actes Sud-Papiers (4 juin 1999)
Collection : Papiers
Langue : Français
Prix : - de 10 euros
ISBN-10 : 2742704507
ISBN-13 : 978-2742704507
Et sur : Fnac.com
Ou : Alapage.com
Auteur : John Ford
Editeur : Solitaires Intempestifs
Date de parution : janvier 2006
Collection : Traductions Du 21e Siecle
Format : 11 cm x 18 cm
ISBN : 2846811512
En 1633, huit ans après Tirso de Molina, s'inspirant entre autre du personnage de Don Juan et des thèmes qui sont abordés dans ce mythe, John Ford imagine des jumeaux, Giovanni et Anabella, qui font le serment de s'aimer jusqu'à la mort, au point de vendre leur âme à l'inceste et à l'érotisme noir. Cette pièce, signée par un des grands rivaux de Shakespeare, avec Marlow, s'inscrit dans la tradition du drame élisabéthain, avec son baroque flamboyant, sa providence noire, sa violence sourde et meurtrière. Elle s'adresse à des lecteurs qui n'ont pas peur de se frotter à une intrigue parfois obscure, entremêlant plusieurs complots ponctués de rebondissements sanglants qui, pour certains, annoncent déjà la vague des mélodrames.
En 1625, Tirso de Molina inaugure le mythe de Don Juan par le biais de L'Abuseur de Séville. La figure du "grand seigneur méchant homme" n'aura de cesse d'évoluer par la grâce de plumes aussi talentueuses que celles de Molière, Pouchkine, Lenau, Da Ponte etc. D'autres dramaturges ou poètes s'inspirent du personnage, de sa fougue, de son esprit rebelle, de son insensibilité qui cache souvent une hypersensibilité, et surtout un besoin vital de liberté et d'absolu. Véritable ennemi des conventions et de l'examen de conscience, Don Juan se jette à corps perdu dans une quête effrénée du plaisir et de l'interdit. Dommage que ce soit une putain a souvent été considérée comme une pièce sulfureuse. La preuve en est l'acharnement avec lequel les traducteurs et les metteurs en scène ont successivement modifié le titre original.
"Dommage que ce soit une P…" ou pire encore "Dommage que ce soit une prostituée", chacun y est allé de sa petite tentative pour calmer le courroux d'un public -tant outre-Manche qu’en France- soucieux que "l'immoralité" n'outrepasse pas l'alibi artistique. L'Angleterre, en toute logique, s'est tout de même intéressée à cet auteur classique incontournable (tout en déclinant le titre) et a monté de multiples versions plus ou moins heureuses de la pièce. En France, coup de tonnerre dans le ciel serein du Paris des années 60, Visconti entreprend une mise en scène du texte de John Ford (à ne pas confondre avec le John Ford des westerns hollywoodiens). Il choisit deux pointures de l'époque, Alain Delon et Romy Schneider, sous le titre tronqué de "Dommage qu'elle soit une P…". Bref, l'historique de la mise en scène en dit long sur le vertige que procure ce texte.
00h31 dans Thea-1961-Dommage | Lien permanent | Commentaires (0)
10h43 dans Film-1968-Piscine | Lien permanent | Commentaires (0)
Christine : Les films qu’on peut ne pas voir
”Liebelei”, un des chefs-d’oeuvre du cinéma autrichien fit couler des torrents de larmes. Il était joué par Magda Schneider et il était mis en scène par Max Ophuls qui s’imposa par ce film comme un grand.
Voilà « Christine », seconde mouture de « Liebelei » qui fera encore verser des larmes, car l’histoire de l’amourette du lieutenant Franz et de Christine qui se transforme en grand amour avec une fin tragique est un thème qui fera toujours pleurer. Vienne, ses officiers, ses bals de la cour, des guinguettes, ses flonflons, carme rococo d’une époque révolue. Max Ophuls en avait fait un émouvant poème.
Le film de Gaspard Huit fait penser pendant les trois quarts de sa projection à un roman de Mme de Linarès. Et puis, brusquement, il tourne au drame. Travail correct, soigné même. Le film aura un succès certain. Le meilleur en est un dialogue spirituel, tendre et poétique de Georges Neveux. Alain Delon est un peu frêle et jeunot pour supporter le rôle de Franz.
Il manque de poids, de chaleur. Mais avec son physique, sa carrière est assurée. Micheline Presle, qui joue sa maîtresse, femme du monde, pourrait être sa mère et Jean Galland, le mari qu’elle trompe et qui le tue, pourrait être son grand-père. Interprétation au demeurant excellent avec Fernand Ledoux et Jean-Claude Brialy, etc. Romy Schneider succède à sa mère dans le rôle de Christine. Elle est jolie, bien élevée, très Sissi. Pour le reste, comme elle est doublée, qu’elle parle ou change, impossible de la juger.
M.D
09h45 dans Film-1958-Christine, Les critiques | Lien permanent | Commentaires (0)
Vidéo disponible sur YouTube
04h02 dans Les vidéos montages | Lien permanent | Commentaires (0)
05h48 dans Film-1969-Choses Vie | Lien permanent | Commentaires (1)
De bien jolies photos vendues par "lefouillis"
Prix de départ raisonnable : 5 euros.
13h38 dans Annonces | Lien permanent | Commentaires (0)
06h58 dans Film-1971-Trotsky | Lien permanent | Commentaires (0)
04h34 dans Film-1980-Fantôme Amour | Lien permanent | Commentaires (0)