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Titre : The Celebrity 411
Sous-titre : Spotlight on Romy Schneider, Including Her Personal Life, Famous Blockbusters Such as Sissi, the Victors, the Cardinal...
Auteur : Sharon Clyde
Editions : Webster's Digital Services
188 pages
Sortie le : 09 mars 2012
Langue: Anglais
Taille: 24 x 19 x 1,8 cm
Prix : ~ 17 $can
A commander sur Amazon.ca
ISBN-10 : 1277383367
ISBN-13 : 978-1277383362
NDLR : Attention, comme plusieurs "productions", depuis 1 ou 2 ans, il s'agit de contenus Wikipédia et autres sources internet. Je vous déconseille donc très très fortement cet achat qui ne pourra qu'être décevant...
09h43 dans Les livres | Lien permanent | Commentaires (0)
Blu-Ray - 1 disque
Studio : Studio Canal
Date de sortie : 05 novembre 2012
Langues : Français
Sous-titres : Anglais
Bonus : ?
Prix : ~ 16 £
A commander sur Amazon.co.uk
09h32 dans En blu-ray !, Film-1972-Rosalie | Lien permanent | Commentaires (0)
Langues : ?
Sous-titres : ?
Bonus : Sérénade à trois
Prix : ~ 12 £
A commander sur Amazon.co.uk
09h31 dans En DVD ! | Lien permanent | Commentaires (0)
Langues : ?
Sous-titres : ?
Bonus : ?
Prix : ~ 12 £
A commander sur Amazon.co.uk
09h28 dans En DVD ! | Lien permanent | Commentaires (0)
Blu-Ray - 1 disque
Studio : Studio Canal
Date de sortie : 10 septembre 2012
Langues : Anglais
Sous-titres : Anglais
Bonus : Welles, Kafka and The Trial documentary * Welles, Architect Of Light documentary * Orson Welles, Tempo interview * Interview with Steven Berkoff (actor, playwright) – adaptations of Kafka’s The Trial and Metamorphosis * Deleted scene * Trailer * Booklet on the movie written by Jonathan Rosenbaum, film critic and author of Discovering Orson Welles (2007), the editor of This Is Orosn Welles (1998) and consultant on the 1998 re-edit of Touch Of Evil?
Prix : ~ 16 £
A commander sur Amazon.co.uk
09h25 dans En blu-ray !, Film-1962-Procès | Lien permanent | Commentaires (0)
Langue : Italien (autres langues = ?)
Sous-titres = ?
Bonus = ?
Prix = ~ 15 euros
A commander sur Amazon.it
NDLR : Visuel à confirmer.
09h16 dans En DVD ! | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : L'Humanité.fr - 22 août 2012
Fin réjouissante de vacances avec le nouveau film de Pascal Thomas, à déguster en salle comme on lit un roman sur le sable de la plage. Grincheux et grognons s’abstenir.
Associés
contre le crime…
de Pascal Thomas
France, 1 h 44.
Certains, qu’on ne blâmera pas, prennent plaisir de retour chez eux à quitter leurs souliers de ville pour enfiler une vieille paire de charentaises. Vous savez, celle qui baîlle un peu, a subi les avanies du temps et dont le chien s’est servi pour affûter ses canines. C’est un peu cette sensation de confort que l’on éprouve en se glissant dans la salle de cinéma pour y découvrir ce nouveau volet des aventures de Prudence et Bélisaire Beresford. On trouve encore à la production la société Les Films Français, qui n’est autre que celle fondée un jour par Pascal Thomas. La photo est de Renan Pollès, qui éclairait déjà le maître en 1978 dans Confidences pour confidences et n’a guère cessé depuis. Le fidèle Hubert Watrinet est toujours directeur de production. Quant au style, il continue de privilégier la ligne claire et le son à l’ancienne, comprendre avec les haut-parleurs derrière l’écran, dans le refus des ambiances latérales si en vogue aujourd’hui, en particulier dans les superproductions riches en effets spéciaux. Bien entendu, comme dans les films à personnages récurrents quand cela est possible, les rôles sont suivis. Pour s’en tenir aux têtes d’affiche, c’est bien André Dussollier qui incarne Bélisaire Beresford, le détective retraité roi de l’évasion porté sur la bouteille, tandis que son épouse Prudence, confiante dans l’action et la jugeote à hauteur de son flair, qui s’affiche féminisant, et tout autant portée sur la bouteille à ses moments perdus (qui sont nombreux), est encore jouée par Catherine Frot, Bernard Verley étant une nouvelle fois le général ou Alexandre Lafaurie le valet Hector. Faut-il ajouter que l’intrigue est, pour la troisième fois consécutive, tirée d’Agatha Christie, mais d’un texte moins connu qu’à l’accoutumée, The Case of the Lissing Lady, dans le recueil Partners in Crime, déjà porté à l’écran en 1984 dans une version télévisée aussi obscure que très différente du film qui nous est proposé aujourd’hui par Pascal Thomas.
De ce décalage vient sans doute la différence entre cet opus et les deux qui l’ont précédé. Nous avons abandonné, au moins partiellement, la recherche raisonnée, le décryptage d’indices, dans la tradition incarnée par Hercule Poirot ou Miss Marple. Les petites cellules grises ont laissé la place à une part de folie croissante. On ne cherche pas outre mesure, bien que les décors soient les mêmes, à nous faire croire à cette histoire de sérum permettant d’atteindre à l’éternelle jeunesse et donc à la réalité de cette mystérieuse comtesse russe disparue. La fantaisie, au sens renoirien, la loufoquerie suppléent.
Jean Roy
11h44 dans Film-2011-Associés crime | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Le Parisien - 22 août 2012
Voilà le troisième volet des aventures de Prudence et Bélisaire, adaptées de l’œuvre d’Agatha Christie par Pascal Thomas. Et, en matière d'exercice de style, il n’y en a pas deux comme lui. Cet «Associés contre le crime», qui met en scène le tandem Frot-Dussollier — du solide ! —, agit comme un brumisateur dans la canicule.
On aime ces situations improbables, ces mimiques à la Hercule Poirot et, en dépit d’une ou deux petites séquences qui ralentissent la mécanique, cet humour casse-cou mâtiné d’inventions guillerettes. Catherine Frot n’a jamais été aussi sexy et Dussollier aussi gouleyant.
Pierre Vavasseur
COMÉDIE FRANÇAISE de Pascal Thomas, avec Catherine Frot, André Dussollier, Linh-Dan Pham, Eric Naggar, Bernard Verley, Sarah Biasini…
Durée : 1h44.
11h39 dans Film-2011-Associés crime | Lien permanent | Commentaires (0)
Titre original : 茜茜公主——罗密·施奈德
Auteur : Guohuan
233 pages
Langue : chinois
Sortie : janvier 2012
ISBN : 9787513901185
Prix = ~ 35 dollars
Disponible à la vente sur Amazon.cn
NDLR : Je vous propose le site "Amazon" pour livre. Toutefois avec le n° ISBN, vous trouverez facilement d'autres sites de vente. Attention : comptez également un minimum de 20 euros de frais de port...
10h50 dans Les livres | Lien permanent | Commentaires (13)
Source : The New-York Times - 09 août 2012
For a Zealous Cop and a Gang of Two-Bit Thieves, Crime Does Not Pay
In the late ’60s and early ’70s, on television and at the movies, the streets were full of complicated cops: big-city detectives whose confusion, frustration and unorthodox methods reflected a general crisis of authority in the societies they served. Popeye Doyle, Dirty Harry Callahan and Frank Serpico (at least as imagined by Al Pacino and Sidney Lumet) made common existential cause with small-screen counterparts like Kojak and Columbo. Max, the sad, obsessive Parisian flic at the heart of Claude Sautet’s “Max et les Ferrailleurs,” is an especially memorable addition to this international brotherhood of disaffected policemen, even if his contributions have, until now, been largely forgotten.
Released in France in 1971, “Max et les Ferrailleurs” is receiving a belated and welcome American opening at the Elinor Bunin Munroe Film Center, the capstone of a Claude Sautet retrospective. Sautet, a director and screenwriter who died in 2000, is probably best known in this country for “Un Coeur en Hiver,” his 1992 psychological drama starring Emmanuelle Béart and Daniel Auteuil.
But if he is something of a footnote in the history of French cinema — frequently overshadowed by contemporaries like Jean-Pierre Melville and the attention-devouring rebels of the New Wave — Sautet was also an original, a tough and subtle dramatist with a gift for teasing moral complications out of straightforward genre scenarios.
Shot (by René Mathelin) in harsh, grainy color in grubby, workaday locations in and around Paris, “Max et les Ferrailleurs,” adapted from a novel by Claude Néron, has the matter-of-fact look and careful pace of a precinct-house procedural. The film’s central crime is the robbery of a bank branch by a gang of small-timers, and most of the cops are beleaguered, cynical bureaucrats.
Max (Michel Piccoli) is different. A former administrative judge who at some point in the past traded his gavel for a badge and a gun, he stands out as a somber and aloof figure among his colleagues. His wide-brimmed black hat is closer to what a sheriff in a western might wear than to the standard fedora of the urban lawman, and family money frees him from the necessity of filing expense reports for the bachelor pad he rents or the prostitute he pretends to employ as he pursues his big case.
These are not the perks of ordinary corruption, but rather signs of Max’s perverse and terrifying zeal. He believes, almost as a philosophical conviction, that the only real way to solve a crime is to catch the perpetrator in the act. The problem, of course, is that criminal behavior, like the rest of human life, is rarely predictable enough to ensure that outcome. Max’s solution is to manufacture the crime he will solve, indirectly but methodically manipulating an old army buddy into planning a bank job.
The friend, Abel (Bernard Fresson), lives in Nanterre, an unlovely suburb where he and some pals — the “ferrailleurs,” or junkmen, of the title — eke out a livelihood stealing scrap metal and chopping cars. Their lack of ambition is the opposite of Max’s professional monomania, and some of the film’s suspense arises from doubt about whether they will prove too lazy and disorganized to attempt the armed robbery that Max intends to foil.
His secret weapon is Lily (Romy Schneider), a German streetwalker who lives with Abel and who has slightly loftier aspirations than he does. Max, pretending to be a lonely, divorced banker, becomes her most loyal and lucrative customer, even though they never have sex. Instead, they drink wine, play cards and lounge around Max’s apartment until their artificial intimacy starts to resemble the real thing.
Max is so quiet and resolute that it takes a while for the monstrous dimensions of his plan to sink in. The legal term for what he does to Abel is entrapment, but under Sautet’s measured, merciless gaze it starts to look like a more profound betrayal of the basic idea of justice. More disturbing is that Max’s colleagues and superiors seem to be aware of the plan and untroubled by its implications.
Max’s cold, single-minded determination is undermined only by Mr. Piccoli’s soft brown eyes, which communicate unspoken and enigmatic hurts. This remarkable actor, who was the cuckolded screenwriter in Jean-Luc Godard’s “Contempt” and who has lately brought a melancholy twinkle to movies like Manoel de Oliveira’s “I’m Going Home” and Nanni Moretti’s “We Have a Pope,” is one of the treasures of European cinema.
So, for a sadly shorter time, was Romy Schneider. (She died in 1982 at 43.) Her resilient grace keeps “Max et les Ferrailleurs” tantalizingly poised among comedy, realism and a tragic love story. In the ’70s Schneider was a fixture in Sautet’s films, and the overdue arrival of “Max et les Ferrailleurs” gives American audiences a chance to rediscover both of them.
Max et les Ferrailleurs
Opens on Friday in Manhattan.
Directed by Claude Sautet; written by Mr. Sautet, Claude Néron and Jean-Loup Dabadie, based on the book by Mr. Néron; director of photography, René Mathelin; edited by Jacqueline Thiédot; music by Philippe Sarde; produced by Roland Girard and Jean Bolvary; released by the Film Society of Lincoln Center. At the Elinor Bunin Munroe Film Center, 144 West 65th Street, Lincoln Center. In French, with English subtitles. Running time: 1 hour 52 minutes. This film is not rated.
WITH: Michel Piccoli (Max), Romy Schneider (Lily), François Périer (Rosinsky) and Bernard Fresson (Abel Maresco).
00h00 dans Film-1970-Max & ferrailleurs | Lien permanent | Commentaires (0)
Ce tableau est en vente sur ebay avec une mise à prix de 65 euros.
Titre : On the screen
Format : 100 x 50cm
Technique : Reproduction « Giclée » sur véritable toile, tendue sur un châssis en bois de grande qualité.
21h43 dans Annonces, Artistes | Lien permanent | Commentaires (0)
Ce tableau est en vente sur ebay avec une mise à prix de 65 euros.
Titre : Romy art collage
Format : 80 x 80cm
Technique : Reproduction « Giclée » sur véritable toile, tendue sur un châssis en bois de grande qualité.
21h38 dans Annonces, Artistes | Lien permanent | Commentaires (0)
Proclamé roi du "nouveau naturel" dans les années 1970 ("Pleure pas bouche pleine", "Le Chaud lapin"), Pascal Thomas se paie depuis quelques années une nouvelle jeunesse en s'intéressant de près à l'une des plus méchantes vieilles dames indignes de la Perfide Albion, Agatha Christie, dont il tire des comédies policières saugrenues. Après "Mon petit doigt m'a dit" (2005), "L'heure zéro" (2007) et "Le Crime est notre affaire" (2008), "Associés contre le crime" décline une nouvelle aventure du couple Béresford, deux vieux excentriques qui jouent les détectives pour mettre un peu de piment dans leur vie.
Bélisaire (André Dussolier) est un ancien des services secrets de sa majesté qui aime son confort. Prudence (Catherine Frot) cache sous ses airs de femme au foyer une redoutable aventurière. Le présent récit les confronte, dans le charmant coin de paradis des Alpes franco-suisses, à une bande de chirurgiens interlopes et fous qui courent après la formule magique d'un élixir de jouvence propre à satisfaire la clientèle féminine internationale et à renflouer les caisses de leur clinique.
L'aventure est surtout prétexte à brosser un portrait loufoque du couple, à parodier les codes du roman policier et à livrer une série B d'une aimable désinvolture. Il s'en faut de beaucoup que ce programme, qui risque la désuétude en courant après la jeunesse d'esprit, soit vraiment rempli.
Jacques Mandelbaum
11h45 dans Film-2011-Associés crime | Lien permanent | Commentaires (0)
Oh, quelle impatience nous saisit, nous amateurs des Beresford, à l’annonce par le réalisateur lui-même, lors d’une avant-première bondée, de ce à quoi il fallait nous attendre : une enquête originale, parsemée de grains de fantaisie (Cocteau et Prévert en ont fait autant, nous prévint un Pascal Thomas d’une grande modestie) – quelque chose de surprenant et d’original... Dans le cadre de la saga des Beresford, de telles promesses émoustillent. Hélas, entre une succession de sketches à la «fantaisie» comique plate et un scénario d’un ridicule invraisemblable, "Associés contre le crime..." met un point final très décevant à une série policière pourtant d’assez bonne tenue.
Le film, cependant, propose de bonnes idées : une Prudence Beresford (Catherine Frot) dépressive, envieuse du prestige de son Bélisaire de mari (André Dussollier), et qui persiste toujours et encore à voir partout des idées de polars à deux sous. Le film se permet même de douter un instant de son héroïne – au point de situer l’action au même endroit que "Mon petit doigt m’a dit...", le premier de la trilogie des Beresford. L’idée est absurde, mais séduisante : que se passe-t-il donc dans ce petit village de Savoie pour que les intrigues crapuleuses s’y accumulent ? Rien. Rien, sinon la coïncidence – cette grande ennemie de la rigueur qui sied à un polar digne de ce nom. Voilà qui donne le ton quant à «l’enquête» qui structure "Associés contre le crime..." : une sorte de prétexte absurde à encadrer les scènes de bravoure du couple Dussollier-Frot.
Là encore, pourquoi pas ? L’alchimie entre les deux acteurs fonctionne bien : "Mon petit doigt m’a dit..." et "Le crime est notre affaire" l’ont assez prouvé. Pascal Thomas, réalisateur tranquille et sans beaucoup de personnalité, donnait dans ses deux films l’occasion à Catherine Frot et André Dussollier de camper un couple d’enquêteurs fouineurs, complices et iconoclastes, une sorte d’avatar quinquagénaire des Emma Peel et John Steed de Chapeau melon et bottes de cuir, tout entier porté par leurs interprètes. Hélas, Pascal Thomas, dans sa volonté de faire « fantaisiste », semble avoir perdu tout sens de la mesure : que les chemins narratifs divergent en plein milieu de l’intrigue pour aller explorer des pans de la vie de Prudence Beresford, soit. Encore faudrait-il qu’ils apportent quelque chose au personnage. Catherine Frot elle-même semble avoir quelques difficultés à porter du crédit à ces passages – celui de l’anniversaire de son père, d’une colossale idiotie, étant le plus pénible de tous.
Déterminé, sans doute, à porter la «fantaisie» au sein même de ses choix techniques, Pascal Thomas laisse de côté toute direction d’acteurs : les acteurs chevronnés s’en sortent bien, mais les seconds couteaux, tels que Linh Dan-Pham dans le rôle de l’indic-infirmière, semblent jouer très faux à dessein. Quant au trio de médecins félons (un Allemand afec un agzent gomme za, une Russe en cuir qui rrrroule les «r» et ne sourit jamais, et un Français... sans signe distinctif mais c’est le chef, parce que c’est sans doute mieux comme ça, le public-cible étant français avant tout), ils appartiennent à une tradition du pulp autoparodique au trait forcé qui ferait sans doute merveille chez un réalisateur comme Quentin Tarantino. Hélas, Pascal Thomas ne possède pas la présence formelle du réalisateur de Jackie Brown, et ces numéros outrés, assortis d’intermèdes comiques un rien –osons la litote– poussifs, évoquent plus volontiers les comédies franchouillardes des années 1970 que l’absurde poétique dont se prévalait Pascal Thomas.
Restent Frot et Dussollier, toujours impeccables. Cela suffit-il à acheter l’indulgence pour un film qui termine sur une note ridicule une trilogie de série noire érudite pourtant prometteuse ? Certes pas, d’autant moins que la désinvolture de l’intrigue hommage à Agatha Christie hérissera certainement le poil de ses lecteurs. Dommage.
Vincent Avenel
11h49 dans Film-2011-Associés crime | Lien permanent | Commentaires (0)
Titre original : Роми Шнайдер. История жизни и любви
Auteur : G. Krasnov (Краснова Г)
Editions : Feu vert (Зеленая лампа)
320 pages
Sortie le : 15 mai 2012
Prix : de 300 à 400 roubles
Faire la conversion roubles/euros : ici
ISBN : 978-5-905629-28-0
Vous pouvez le trouver ici : Site 1 - Site 2 - Site 3
Résumé : Romy Schneider - star du cinéma allemand et français, est l'une des actrices les plus belles et talentueuses du cinéma mondial. Depuis le début des années 60's, elle a joué avec les plus grands maîtres du cinéma mondial (Luchino Visconti, Claude Sautet, Orson Welles, Claude Chabrol et d'autres). Romy Schneider est d'une beauté qui a toujours attiré et fasciné le public. Son départ de l'Allemagne, sa longue histoire d'amour avec Alain Delon, deux mariages ratés, la mort tragique de son fils qu'elle se reprochait, sa santé ruinée.
Elle était passionnée et avait un désir irrésistible de constamment s'améliorer. "Le travail procure un sentiment de plénitude de la vie, sans lequel il est impossible de vivre dans ce monde" - a reconnu l'actrice. Romy a tenté, en vain, de concilier sa carrière d'actrice et sa vie familiale, mais n'y est pas parvenue. Elle voulait avoir les deux, et l'a payé très plus cher - de sa vie. Romy Schneider est décédée d'une crise cardiaque à l'âge de 43 ans. C'est une prédiction de la grand-mère de Romy grand-mère (Rosa Albach-Rhetty) : «Il est possible qu'un jour, ma petite-fille soit dans une impasse devant laquelle elle ne pourra s'échapper, elle laisse vivre ses émotions, ses sentiments et ses passions, ne pense pas que le fait que brûler la bougie par les deux bouts, cela fait souffler sur les deux côtés. La vie est très fugace."
Le livre présente les photos des journaux actrice uniques, souvenirs de personnes qui ont été liés telle ou telle partie de sa vie.
Ce livre propose des articles de journaux, des photos uniques, des souvenirs de personnes qui l'ont connu, tout ou partie de sa vie.
NDLR : Non, non, je ne parle pas le russe non plus !!!
Edition d'origine (à droite)
Editions : Feu vert
Sortie le : 09 décembre 2011
285 pages
N° ISBN : 978-5-470-00171-9
21h53 dans Les livres | Lien permanent | Commentaires (3)
Source : Le Journal du Dimanche (JDD) - 20 août 2012
Pascal Thomas signe la nouvelle enquête, inspirée par Agatha Christie, du tandem Catherine Fort-André Dussollier.
Chic et vieillotte, la brasserie du Lutetia est le repaire tout trouvé où Pascal Thomas engloutit de larges assiettes de charcuterie et s’abandonne à une pagaille de souvenirs. Dans ce joyeux tourbillon, on croise, entre autres, les rires de Bourvil et de Jacques Rozier, et une flopée de ces œuvres littéraires qui hantent le cinéaste, Jean Follain, Paul Léautaud, Léo Perutz… Sans oublier Agatha Christie, Eugène Labiche ou Ruth Rendell, qui pourraient lui inspirer de prochains films.
L’époque contemporaine a le don de hérisser toujours un peu plus la chevelure d’énervé du cinéaste. Pourtant, le présent n’entrave en rien son sourire amusé ni son solide appétit. Tout l’esprit de son cinéma est là, doux mélange de réaction et d’anarchie actionné par un besoin impérieux d’évasion, de satire, de magie. "Mes films sont des fuites de la grisaille et de l’horreur du temps présent. Je suis d’avant la civilisation du jetable et des producteurs sortis d’écoles de commerce."
Souvenirs du "cinéma babouin"
Observer les riches hôtes du Lutetia, et imaginer les crimes abominables que chacun de ces inconnus a peut-être commis, lui rappelle les exercices auxquels il s’adonnait avec ses camarades scénaristes italiens, Germi, Risi ou Scola, à la fin des années 1960… C’était la belle époque de ce qu’il appelle encore le "cinéma babouin". Avec son mentor, Roland Duval, le futur réalisateur avait alors créé V.O., une revue qui s’opposait au parisianisme et défendait un cinéma résolument farceur, léger. Journaliste, il fit aussi bien des reportages sur les leaders des Black Panthers que des entretiens avec des mythes du cinéma comme Carl Dreyer, Douglas Sirk ou encore Howard Hawks, qu’il place au plus haut. "Il est l’ironie supérieure, son élégance m’a inspiré Prudence et Bélisaire."
Le duo de détectives, inventé par Agatha Christie, est devenu le sien, pour notre bonheur avec Catherine Frot et André Dussollier impeccablement complémentaires. Car Pascal Thomas l’avoue, ses adaptations sont de moins en moins fidèles aux intrigues originales. Mais toujours plus drôles et efficaces, ouvertes à l’improvisation et finalement très loyales avec la tenue et la finesse d’esprit qu’une Agatha Christie a eu le don de transmettre. Plus sérieux qu’il n’y paraît, le cinéaste acquiesce. "La transmission est un aspect crucial de ma démarche." Avec le rire, s’entend, le plus puissant des élixirs. "Le bonheur n’existe pas, c’est le plaisir qui est possible et partout."
Alexis Campion
11h54 dans Film-2011-Associés crime | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Aurore Rivals.fr
Juin 2003
Aquarelle et pastel à l'huile sur papier
(H) 61 x (L) 46 cm
MAJ du 24/04/2021 : Aurore Rivals me signale son nouveau site internet disponible ici. Merci Madame :)
03h54 dans Artistes | Lien permanent | Commentaires (1)
15h16 dans Film-1977-Portrait de Groupe, Les romans | Lien permanent | Commentaires (0)
Le livre préfacé par Henry-Jean Servat qui avait été en vente en librairie est actuellement sur ebay avec une mise aux enchère à 3 euros (+ 4,5 euros de frais de port). Le prix me paraît intéressant et je vous signale donc cette annonce au cas où...
J'espère que cela vous sera utile !
11h39 dans Annonces | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Stars Portraits
02h51 dans Artistes | Lien permanent | Commentaires (2)
Langues : Français (autres langues = ?)
Sous-titres = ?
Bonus = ?
Prix = ~ 20 euros
Sortie le = 06 novembre 2012
Disponible à la commande sur Fnac.com
00h03 dans En blu-ray ! | Lien permanent | Commentaires (0)