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Source : Express.be - 28 septembre 2012
Nieuwsblad rapporte que le Festival du Film de Gand a choisi une photo emblématique de la très regrettée Romy Schneider pour ses affiches. Mais, à la consternation des amateurs du cliché très populaire qui a été choisi, on a privé Romy de sa cigarette ! Sur la photo d’origine, l’actrice tenait une cigarette dans sa main droite, qui a été éliminée lors des retouches. «Nous l'avons retirée pour éviter les contestations», explique Tom Heirbaut, le porte-parole du Festival du Film. «Comme le tabagisme est devenu un sujet sensible, de nos jours, nous avons voulu éviter les discussions. Il y a quelques années de cela, une polémique était déjà apparue en France pour qu’on supprime la pipe de Jacques Tati. Nous avons également reçu la permission du photographe.»
En revanche, le même zèle n’a pas été jugé de mise pour l’affiche générale du festival, et Robert Mitchum, qui y figure dans son rôle de Philip Marlowe, pourra conserver la cigarette non allumée qu’il a coincée dans sa bouche (photo visible sur le site du festival) « Mais cette cigarette n’est pas allumée», explique-t-on. «Et une cigarette dans la bouche est difficile à enlever avec Photoshop»…
par Audrey Duperron
08h38 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (3)
Source : FineArtAmerica.com
02h32 dans Artistes | Lien permanent | Commentaires (0)
Du 12 octobre 2012 au 13 janvier 2013
En collaboration avec le Festival du Film de Gand, à l’origine du projet, la province de Flandre orientale présente l’exposition « Romy Schneider ». Organisée par la Deutsche Kinemathek – Museum für Film und Fernsehen de Berlin, cette exposition pose un regard intime sur la carrière et le destin tragique de cette icône du cinéma européen. Elle se déroulera du 12 octobre 2012 au 13 janvier 2013 au centre culturel provincial Caermersklooster.
Trente ans après son décès, le Festival du Film de Gand rend dignement hommage à Romy Schneider en proposant une grande exposition dédiée à la vie et à l’œuvre de cette artiste née à Vienne, qui, après une brève carrière en Allemagne et au niveau international, devint l’actrice la plus importante du cinéma français dans les années 60 et 70.
L’exposition « Romy Schneider » jette un regard singulier sur cette icône, marquée par le succès et la tragédie, aussi bien dans sa carrière que dans sa vie privée. Pour ce faire, la commissaire de l’exposition, Daniela Sannwald, a rassemblé des archives, des photographies, des affiches de films originales, de vieux magazines, des témoignages, des bijoux, des souvenirs personnels de réalisateurs, partenaires et soupirants, des lettres inédites, des scénarii, des costumes, des objets de collection, des extraits de films, etc.
La vie de Romy Schneider (née le 23 septembre 1938 et décédée à Paris le 29 mai 1982) fut une longue succession de triomphes et de drames. Après avoir rencontré un succès mondial en incarnant la princesse de conte de fées "Sissi", l’actrice réussit, non sans peine, à se détacher de cette image mièvre pour, enfin, enchaîner avec brio des rôles poignants en France. Entretenant des relations tumultueuses avec les hommes, elle fut confrontée à des déboires et des tragédies avec, comme coup de grâce, la mort accidentelle de son fils David, empalé sur une grille qu’il voulait escalader. C’est avec près de soixante films à son palmarès qu’elle meurt dans son appartement parisien. Presque toutes les unes des journaux évoqueront un suicide, mais le médecin-légiste prononcera un «décès naturel, provoqué par un arrêt cardiaque». Un décès naturel ? En adressant un dernier adieu à l’actrice avec qui il forma « le plus beau couple du cinéma français », Alain Delon affirmera que « c'est le cœur d’une mère qui a lâché». [...]
Mais selon le directeur artistique Patrick Duynslaegher, Romy Schneider a surtout été éblouissante et au sommet de son art dans les cinq films de son «réalisateur fétiche», Claude Sautet [...]. «Dans les cinq films qu’elle a tournés avec Sautet, elle joue dans des histoires simples, racontant les choses de la vie. Schneider y accomplit ce qui fait d’elle une si grande actrice : elle sublime des émotions et des actes de la vie quotidienne, elle rend l’ordinaire unique, le banal puissant, la routine exceptionnelle».
Lieu :
Centre culturel provincial Caermersklooster.
Vrouwebroersstraat 6, 9000 Gand
Tél. : +32 (0)9 269 29 10.
Ouvert tous les jours de 10 à 17h (dernière entrée à 16h30), sauf le lundi.
Fermé le 25 décembre et le 1er janvier.
Tickets :
Tickets disponibles au prix de 8 €, 6 € (tarif réduit), 4 € pour les groupes à partir de 20 personnes et des enfants de 6 à 12 ans ou 0 € pour les moins de 6 ans ou du pass musée.
Tarif réduit pour les moins de 26 ans, les demandeurs d’emploi, les membres du Club Knack, les plus de 60 ans, ou sur présentation de la carte de réduction enseignants.
La commissaire de l’exposition est Daniela Sannwald.
Cette exposition est organisée par la Deutsche Kinemathek – Museum für Film und Fernsehen de Berlin en collaboration avec le Centre culturel provincial Caermersklooster. - et le Festival du Film de Gand.
09h17 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Première.fr - 25 septembre 2012
Alain Delon va rendre hommage à sa manière à l'actrice qu'il aimait passionnément.
Le Parisien révèle qu'Alain Delon apparaitra dans le biopic de Romy Schneider que prépare actuellement Géraldine Danon. Si on ne sait pas encore qui incarnera l'interprète inoubliable de Sissi, on apprend que le rôle de Delon sera en fait un clin d'oeil à sa propre histoire vécue auprès de Romy : les deux comédiens ont partagé une romance passionnée et tourné plusieurs fois ensemble, notamment dans "La Piscine".
Il sera présent seulement lors d'une scène, dans la peau d'un SDF, "assis sur un banc", et "consolera l'actrice lorsqu'elle sortira de chez elle en pleurs". Le tournage est prévu pour 2013. L'identité de l'actrice choisie sera certainement connue dans peu de temps. Pour l'instant, on sait seulement que le film s'intéressera aux dix dernières années de la vie de Romy Schneider, décédée en 1982.
Géraldine Danon, qui mettra en scène le film, est en fait l'une des filleules d'Alain Delon. Son père, Raymond Danon, était un grand producteur français, qui a à la fois travaillé avec Romy Schneider ("Le train", "Le trio infernal") et avec Delon ("Le Gitan", "L'homme pressé"...).
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Source : Gala.fr - 25 septembre 2012
Alain Delon devient SDF pour Romy Schneider
Alain Delon sera bien dans le biopic consacré à Romy Schneider, mais sous forme de clin d’œil. Il campera un SDF qui réconforte l’actrice décédée en 1982 à l’âge de 43 ans.
Il ne pouvait pas être absent du biopic consacré à «l’amour de sa vie» comme il le clame si souvent. Alain Delon sera bien dans le film sur Romy Schneider mais il apparaitra sous forme de clin d’œil. Il ne jouera pas son propre rôle puisque l’histoire se consacrera aux dix dernières années de la vie de Romy Schneider, décédée en 1982, alors que les deux acteurs ont vécu une romance passionnée entre 1959 et 1964, mais il a accepté d’apparaître dans les habits d’un SDF.
Selon Le Parisen, Alain Delon jouera donc un clochard, assis sur un banc, qui «consolera l’actrice dans une scène où celle-ci sortira de chez elle en pleurs». Bel hommage donc de la part d’un homme qui ne cesse de dire combien il a aimé Romy Schneider, à qui il a été fiancé avant de la quitter pour Nathalie Delon, qui était enceinte d’Anthony.
Le biopic consacré à Romy Schneider sera réalisé par Géraldine Danon et devrait être tourné l’an prochain. En revanche, on n’en connaît encore ni le titre, ni le nom d’actrice principale qui prêtera ses traits à cette femme qui a marqué l’histoire du cinéma français avec ses rôles dans "Garde à vue", "La passante du Sans-Souci", "César et Rosalie", "La banquière" ou encore "Le vieux fusil". Il s’agira de la première réalisation de Géraldine Danon, la filleule... d’Alain Delon.
08h42 dans Films-Romy | Lien permanent | Commentaires (0)
Bonjour à tous,
Juste un petit mot pour vous dire que : NON ! Je n'ai pas oublié la date du 23 septembre...!!!
ll se trouve que, vendredi soir, mon PC s'est éteint en bipant plusieurs fois... Je dois dire que cela fait peur !!! Il se peut que cela ne soit pas trop "grave, docteur"... Juste un petit ventilateur qui ne fonctionnerait plus, du coup le processeur chauffe. Si c'est bien cela... ouf... Sinon... sniff...
Bref, je mets en ligne dans 2 secondes le montage-photos que j'ai préparé à l'occasion de cette date anniversaire... J'espère qu'il vous plaira.
Cordialement,
Inoubliable Romy
11h32 dans Perso | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Get the Look.fr - 19 septembre 2012
Dès sa sortie en 1969, "La Piscine" de Jacques Deray devient un véritable film culte. Avec Alain Delon et Romy Schneider en têtes d'affiche, le film raconte l'histoire de Jean-Paul et Marianne, un jeune couple qui coule des jours heureux dans leur villa de Saint-Tropez. Néanmoins, l'arrivée d'Harry (Maurice Ronet), ex-amant de Marianne, venu accompagné de sa fille, Pénélope (Jane Birkin), va tout bouleverser. Entre jalousies et séductions, le film prend vite des allures d'intrigue policière.
Amoureux à l'écran comme à la ville, Alain Delon et Romy Schneider nous captive par leur beauté et leur complicité.
La caméra s'attarde d'ailleurs sur eux, nous offrant à travers des scènes lentes et remplies de sensualité un aperçu de tout le charme des acteurs.
Romy Schneider, véritable icône beauté, apparaît plus belle et sensuelle que jamais dans ce film. On se souvient d'elle dans son petit bikini noir, ses cheveux ramenés en arrière et habillés d'un simple fichu à pois, mais aussi de ses looks ultra-chics le soir venu. En effet, dans le film, Romy Schneider affiche un maquillage irréprochable, ses yeux bleus soulignés d'un simple trait de crayon noir, sa bouche couverte d'un rouge à lèvres nude et sa mine dorée par le soleil du sud, ainsi que des coiffures savamment maîtrisées.
Tour à tour élégante, sexy, femme fatale ou encore chic à souhait, Romy Schneider nous montre dans ce film toute l'étendue de sa beauté.
09h41 dans Film-1968-Piscine | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Télérama.fr - 17 septembre 2012
Un blog sur César et Rosalie, vraiment ? Malgré quarante ans (ou presque) de multidiffusions en prime time – au fait, c’était quand la dernière ? Bon, je vous la fais courte, je continue de tester mon matériel, nouvel écran (grand), lecteur blu-ray (petit). C’est comment, le Sautet des seventies, en blu-ray (chez StudioCanal) ? Cinéphiliquement toujours impec, grand plaisir, émotion, même. Visuellement un peu étrange, avec des moments de grande netteté, comme la voiture jaune-orange de Sami Frey, qui ressemble à une petite Dinky Toys saisie sur le caméscope de la famille. Et, par instants, il y a un filtre, un grain – sur le beau visage de Romy Schneider, notamment.
Illustrant parfaitement, au fond, l’impression que donne le film : si loin, si proche. C’était donc hier – j’avais dix ans – quand la vie se déroulait dans les volutes du tabac – cigares, cigarettes, et pas des light, hein. Une mémorable partie de poker se développe dans un brouillard opaque, et ce n’est pas le blu-ray, ce n’est pas le HD, ce sont les clopes. C’était hier, aussi, l'époque où la compagne, quand les hommes jouaient aux cartes, les regardaient, conquise, en leur servant bière, vodka, glaçons… «Rosalie, Rosalie !», crie Montand, attendant d’être servi. De fait, lassée, elle part, mais c’est pour aller faire le café chez Sami Frey qui dessine des BD à la Druillet dans un atelier très «Association» – j’ai cru voir Riad Sattouf au fond.
Rosalie n’en a que plus de mérite d’imposer son dépit amoureux : elle aime César, elle aime David (Romy dit «Dâaaavid» en chantant presque, et c’est irrésistible). Elle va faire en sorte que ses amants soient amis, puisqu’elle ne peut vivre pleinement ni avec l’un ni avec l’autre, et se retirer, laissant les mecs entre eux – pour combien de temps ? Variation inventive, moderne, ludique et triste à fois, inéluctable – Rosalie ne peut juste pas faire autrement – du ménage à trois, option chacun son tour. Ce qui est fort, c’est que Sautet avait beau précisément écrire ses films – ou les faire écrire par Dabadie et Néron – c’est tout sauf du cinéma sur-scénarisé, sur-psychologique – le personnage de Rosalie est ainsi sous-écrit, n’expliquant jamais ses choix étranges. La vie circule, certaines scènes d’un brio étourdissant – je pense à l’affrontement en voiture, au début du film, qui s’achève dans les hautes herbes. Pialat n’est pas si loin. Qui connaît les relations perso entre Claude et Maurice ?
Si le film, au demeurant très réussi, émeut, c’est que tout cela nous est (m’est) très familier, et pourtant déjà oublié : c’est comme rouvrir un album de famille. Montand est mince, avec des faux airs de Jean-Pierre Cassel, parfois des mimiques de Patrick Bruel. Romy Schneider radieuse, malgré des coiffures un peu trop apprêtées. Sami Frey, un délice. Ils avaient quoi ? Yves 51 ans, Romy 34, Sami 35. Bernard Lecoq a 22 ans, de grosses lunettes carrées à la Jacques Denis. Isabelle Huppert, 19 ans, et de bonnes joues, qu’elle a perdues, hélas. On les connaît tous depuis toujours, ils sont là, dans nos vies.
C’est quoi l’équivalent de César et Rosalie dans le cinéma français d’aujourd’hui ? Je peine à trouver. Love, etc., de Marion Vernoux ? J’ai dit aujourd’hui. Douches froides ? Mais celui-ci transgresse bruyamment quand l’autre le faisait en douce. Les Petits mouchoirs ? Après tout, César et David font amis-amis à Noirmoutier, avec scène de plage et de pêche. Sauf qu’eux on les aime... Et la figure paternelle qu’incarne Montand : pourquoi un comédien comme Lindon ne s’en empare-t-il pas ? J’en oublie peut-être. Dites-moi qui est le Claude Sautet 2012, j’achète tout de suite…
Aurélien Ferenczi
09h37 dans Film-1972-Rosalie | Lien permanent | Commentaires (0)
Vous pourrez découvrir la pièce :
le vendredi 28 septembre 2012 - 14h30
et le samedi 29 septembre 2012 - 20h30
au théâtre Gérard Philippe à Champigny-sur-Marne (77)
Création avec le soutien de la ville de Champigny-sur-Marne
Texte de Valérie Alane
Mise en scène de Christophe Lidon
Assisté de Laurence Kevorkian
Avec : Valérie Alane, Denis Berner, Sarah Biasini, Marie-Christine Danède, Sylvain Katan, Bernard Malaka
L'histoire : Zéro a décidé de ne plus se lever. Il ne souhaite qu’une seule chose : s’endormir pour pouvoir rêver. Car pour lui, rêver, c’est vivre. Et lorsqu’il s’éveille, cette vie lui échappe. Il ne voit plus personne mais accepte de rencontrer Alice, spécialiste de l’étude des rêves, car elle lui propose une chose surprenante : photographier ses songes. C’est alors qu’un incident se produit : pendant une «séance photos», des personnages d'un rêve de Zéro, surgissent dans sa chambre. Ils vont tous, chacun à leur façon, lui donner des outils, des signes pour éclairer sa nuit. Réussira-t-il, grâce à eux, à se frayer un chemin vers lui-même... A choisir, en conscience, ce que sa vie sera ? Rêve ou réalité ?
Pour tous à partir de 12 ans
Durée : 1h30
Tarifs : 5,10 euros (enfant), 8,20 euros (réduit), 12,20 euros (plein)
Réservations : [email protected] ou 01 48 80 05 95 (du mardi au vendredi de 14h à 18h30)
Autour du spectacle
Lever de Rideau ! Pour son premier spectacle, l’équipe du Théâtre Gérard Philipe vous présentera le samedi 29 à 18h les grands moments de la saison dans le foyer du théâtre.
Coproduction : SCAENA, Leo Théâtre, Théâtre Gérard Philipe de Champigny-sur-Marne. Avec la participation de Acte 2 et le soutien du conseil général du Val-de-Marne.
23h08 dans Thea-2012-Zéro | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Pascal Guerin
NDLR : Oeuvres publiées ici avec l'aimable autorisation de l'auteur. Merci beaucoup ! C'est également lui qui avait créé l'affiche pour l'exposition de mai 2011 : ici.
02h08 dans Artistes | Lien permanent | Commentaires (6)
Cette semaine, le SND du Théâtre privé a lancé sa saison. Ils sont venus nombreux comme chaque année écouter le discours de Bernard Murat au Théâtre de Paris : acteurs, comédiennes, metteurs en scènes, directeurs de théâtres, attachés de presse et nous, blogueurs ou journalistes, pour s’informer sur les pièces qui vont vous divertir cet hiver.
On a pu croiser Pierre Arditi qui se produit dans « Moi je crois pas ! » avec Catherine Hiégel et «Comme s’il en pleuvait» avec Evelyne Buyle au Théâtre Edouard VII. On a échangé aussi avec la charmante Sarah Biasini qui sera, à partir du 15 novembre, au Théâtre artistic Athévains dans «Zéro s’est endormi» et enfin, last but not least, étaient présents également Steve Suissa qui met en scène la talentueuse Roxane Duran dans «Le journal d’Anne Frank » dont je vous reparle très vite sur Justinteresting.
On va "déguster" avec plaisir ces merveilleux spectacles tout l'hiver. Mes premiers choix pour le moment :
18h51 dans News Sarah | Lien permanent | Commentaires (0)
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Au programme du N° 59 (8 pages)
+ la bibliographie (38 pages) - MAJ 2012
23h37 dans Le Magazine | Lien permanent | Commentaires (2)
Source : Montauban.com
Hommage à Romy Schneider
Samedi 15 septembre 2012
à 16h00
Projection du documentaire : "Romy Schneider , étrange étrangère " de Anne Andreu et Francesco Brunacci (2002) suivie en 2ème partie d'une animation sur le tournage du film "Le vieux fusil" en mars 1975 à Montauban et ses environs , avec le témoignage de Lily Latu.
Entrée libre
09h08 dans Au ciné... | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Stars Portraits
02h57 dans Artistes | Lien permanent | Commentaires (3)
Source : Stars Portraits
02h54 dans Artistes | Lien permanent | Commentaires (2)
Du 15 novembre au 13 décembre 2012
Téléchargez le programme complet ici
Pratique :09h18 dans Au ciné... | Lien permanent | Commentaires (0)