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Source : Marie-Claire - 11 septembre 2017
Le film "La Piscine" appartient à ces films cultes, notamment parce qu'il réunit un couple phare du cinéma, Romy Schneider et Alain Delon. Retour sur les coulisses du tournage...
Réalisé par Jacques Deray, le film La Piscine est tourné à Ramatuelle, dans une somptueuse villa dans le quartier de l'Oumède. Chargé d'histoire, le film regroupe plusieurs anecdotes, à commencer par cette photo d'Alain Delon prise pendant le tournage du film par le photographe Jean-Marie Périer qui sera utilisée pour la publicité du parfum Eau Sauvage de Christian Dior. La Piscine, plus beau souvenir d'Alain Delon
Autre anecdote importante : Romy Schneider n'était pas pressentie pour le rôle de Marianne. Dans le creux de la vague à ce moment-là, les réalisateurs n'étaient pas favorables, et c'est Alain Delon qui l'a imposée, alors que d'autres suggéraient Monica Vitti, et des actrices américaines : Angie Dickinson et Nathalie Wood. Romy Schneider lui sera reconnaissante, puisque le film relance sa carrière. Et sa participation est aussi l'occasion que les deux anciens amants se retrouvent...
Il y a une dizaine d'années, Alain Delon confiait que le tournage de La Piscine était l'un des plus beaux souvenirs de sa vie : "Mon plus beau souvenir, c'était l'été 1968. La maison à Saint-Tropez, la lumière y était magnifique. Romy... J'avais l'âge du Christ, 33 ans, l'âge idéal pour un homme."
Des retrouvailles devant les caméras
Durant le tournage de "La Piscine", nous sommes en août 1968. Alain Delon et Romy Schneider se sont séparés il y a cinq ans, et c'est la première fois qu'ils se revoient depuis. Alain Delon a quitté Romy Schneider par le biais d'une lettre, qui a brisé l'actrice. Les anciens fiancés qui ne s'étaient jamais mariés se sont revus avec joie, dès le début de l'aventure du film. Les retrouvailles avaient d'ailleurs été filmées, dévoilant les sourires incessants du duo. Alain Delon attendait Romy Schneider sur la passerelle de l'aéroport de Nice, rendant leurs retrouvailles encore plus émouvantes, puisqu'elles faisaient écho à leur première rencontre au pied d'un escalator, à l'aéroport d'Orly à Paris, la veille du tournage du film Christine en 1958.
Durant le tournage, le couple d'Alain Delon bat de l'aile. Il est marié à Nathalie - la mère d'Anthony Delon - qui veut le quitter, mais l'acteur ne le veut pas. En parallèle, il fait tout juste la connaissance d'une jeune actrice, Mireille Darc. Rapidement, il lui propose de jouer avec elle dans le film "Jeff", le premier film de sa société de production "Abel productions" fondée en 1968. De son côté, Romy Schneider est oubliée des réalisateurs, et se consacre à sa vie de jeune maman, avec son mari Harry Meyen et son fils David âgé de 18 mois. Une vie qui l'enchante guère, car plus personne ne l'appelle, jusqu'au coup de pouce de son ancien amant.
Beaucoup sous entendent qu'Alain Delon souhaite raviver la flamme entre lui et Romy Schneider, mais il n'en est rien. Entre chaque pause de tournage, l'actrice allemande rejoint sa famille à Berlin, tandis que l'acteur tombe amoureux de Mireille Darc avec qui il est resté quinze ans, et qu'il considère comme la femme de sa vie, même après leur rupture en 1983. Une forte complicité propice à un bon jeu
Si Jacques Deray accepte d'intégrer Romy Schneider au casting, c'est parce qu'il comprend que le passé qu'ont les anciens amoureux aidera au tournage des scènes de couple, notamment ces instants torrides au bord de la piscine. Jacques Deray aurait téléphoné à l'actrice en lui disant "Je veux un vrai couple, un homme et une femme qui n'ignorent rien l'un de l'autre, qui savent mutuellement de quoi ils sont capables". Romy Schneider accepte le défi, sachant bien que chacun devra oublier sa vie de couple respective un temps, pour le bien du film, qui se veut très physique. Une tâche qui ne lui semble pas compliquée, étant donnée qu'elle est guérie de cette rupture, et heureuse de revenir devant la caméra.
Par Katia Fache-Cadoret
14h40 dans Film-1968-Piscine | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Le parisien.fr - 17 octobre 2017
Paris 1917, le sculpteur et peintre Amedeo Modigliani souffre du manque de reconnaissance. A la douleur se mêle une fureur constante et contenue qui le ronge. Son entourage tente de le protéger. Il y a Jeanne, sa compagne, jeune fille de bonne famille enceinte de lui que sa mère tente d'extirper de cette mauvaise vie (merveilleuses Sarah Biasini et Geneviève Casile). Il y a aussi Léopold Zborowski — Didier Brice — marchand d'art et poète polonais que l'Italien rudoie sans cesse verbalement... Se focalisant sur les trois dernières années d'un Modigliani alcoolique et malade — il meurt en 1920 — Laurent Seksik convoque les démons de l'artiste. Dans sa mise en scène, Didier Long nous plonge dans son atelier où règne une ambiance pesante. Barbe fournie, Stéphane Guillon prête son sourcil levé et son phrasé particulier au peintre. L'ensemble est captivant.
LA NOTE DE LA REDACTION : 4/5
«Modi», Théâtre de l'Atelier (Paris XVIIIe).
10 à 44 €.
Tél : 01.46.06.49.24.
12h18 dans Thea-2017-Modi | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : non-stop-people.com - 18 octobre 2017
Du 11 au 15 octobre 2017 se tenait un évènement très attendu par les aficionados de la gastronomie et du bon vin. Pour cette 84e édition de la fête des vendanges, c’est sous le signe des lumières, que se sont retrouvés petits et grands, dans le quartier historique de Montmartre, dans le 18e arrondissement de Paris.
Touristes et Montmartiens se sont bousculés pour assister au troisième rendez-vous incontournable de la capitale, après Paris Plages et la Nuit Blanche. Pour cette fête des vendanges 2017, ce sont Hugues Aufray et Sarah Biasini, [...] qui ont été choisis pour honorer ces cinq jours de festivités.
Comme le veut la tradition, c'est aux deux parrains que revient la lourde tâche de couper les dernières grappes de raisin avant de lancer l'ouverture du défilé où se mêlent confréries et groupes folkloriques.
Au programme : Spectacles, stands de dégustations, expositions et parcours aussi historiques que gustatifs. Si la fête se veut festive, elle met aussi à l'honneur la gastronomie étrangère qui s'envole cette année pour le Portugal, à la découverte culinaire et oenologique de cinq régions du pays. en présence d’Eric Lejoindre, maire du 18ème arrondissement
Célébrant les lumières et les artistes, le rendez-vous tient à rendre hommage aux célèbres habitants de la butte : Les chanteuses Dalida et Barbara sont mises à l'honneur dans le quartier favori des peintres et des acteurs.
Selon le site officiel de l'évènement, pas moins de 500 001 personnes ont été invitées à déambuler dans les rues du myhtique XVIIIe arrondissement.
Un évènement qui revendique également son engagement écologique puisqu'il est écoresponsable pour la deuxième année consécutive : Sur place, des animations sur le thème du recyclage et des dispositifs innovants pour promouvoir la réduction des déchets. Un clin d'oeil à la sauvegarde de la planète.
Le dernier jour de fête s'est soldé par un bal hommage à l'icône Dalida, qui signe le succès de l'évènement. Chaque jour est une fête en haut des buttes de Montmartre, où habitants et touristes du monde entier contribuent au rayonnement de la fête et illuminent les rues de mille feux.
08h19 dans News Sarah | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Ici.radio-canada.ca - 22 septembre 2017
Trois scènes décortiquées en apéritif à la diffusion du film culte de Claude Sautet.
En 1972, Claude Sautet, après Les choses de la vie ou Max et les ferrailleurs, réalise un concentré de charme, de sensibilité et de romance impossible… qui aurait dû être son premier film! Écrit dès 1964, le triangle amoureux entre César, Rosalie et David n’avait, en effet, pas réussi à trouver preneur à l’époque.
Mais le temps arrangeant tout et Romy Schneider, Yves Montand et Sami Frey s’étant prêté au jeu, le film, aussi tonique que délicieux, a fini par voir le jour et s’imposer comme une des œuvres les plus singulières et inoubliables du cinéma français. Un film que même les sérieux Cahiers du cinéma ont adoubé, en en parlant comme d’un "drame gai", mené tambour battant au rythme de l’incroyable musique de Philippe Sarde.
Le voici en trois scènes marquantes où se dévoilent tant les mystères que les contradictions de personnages formidablement attachants. Sans évidemment dévoiler celle de la fin, tout particulièrement émouvante.
La course en voiture
Au cœur de "César et Rosalie" : un triangle amoureux. Il y a Rosalie, d’abord, divorcée et mère d’une adorable fillette. Son amoureux, César, ferrailleur au charisme redoutable. Et David, son ancienne flamme, dessinateur de bande dessinée flegmatique et un rien ténébreux. Tout ce beau monde se retrouve au mariage de la mère de Rosalie, et en route vers la petite fête, David, au volant d’une voiture jaune, double César dans sa grosse berline. Vexé, ce dernier le double à son tour, transformant un simple trajet sur une route de campagne en concours de virilité pour gagner le cœur de la belle, qui elle, se fiche éperdument de la taille des moteurs de ces messieurs. Assise à côté de lui, une femme regarde un homme qui conduit une voiture Romy Schneider et Yves Montand dans "César et Rosalie", de Claude Sautet.
La brasserie
César, au restaurant, plaide sa cause devant sa belle, superbe Romy Schneider magnifiée par une robe en résille noire au profond décolleté en v, signée Yves Saint-Laurent, comme le reste des costumes. «Non, mais, franchement, qu’est-ce que tu lui trouves ?» lui demande César pour la provoquer, osant même un «Je ne fais pas des petits dessins comme lui. Moi, je gagne de l’argent». Si Sautet a le don des histoires d’amour simples et touchantes, et celui des scènes de restaurant, typiques de son cinéma, il a aussi celui de savoir les doubler d’un regard juste assez ironique sur les classes sociales, et le rapport que nous entretenons tous avec l’argent.
La plage de Sète
Rosalie a tranché, ce sera David. Le doux David avec qui elle vit maintenant dans le sud de la France, paisiblement. Mais César n’a pas dit son dernier mot et va venir les chercher jusque sur la plage pour annoncer qu’il a acheté la maison d’enfance de Rosalie et faire un numéro de charme fou. David, qui ne peut rien contre l’exubérance de César, renonce et part, préférant ne même plus répondre aux bouleversantes lettres que Rosalie, l’indécise, lui envoie.
Un texte de Helen Faradji
14h29 dans Film-1972-Rosalie | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Le Figaro.fr - 17 octobre 2017
MON QUARTIER - La fille de Romy Schneider vit à Paris depuis toute jeune. Après avoir habité dans le IXe, elle s'est récemment installée non loin du Théâtre de l'Atelier où elle joue dans Modi aux côtés de Stéphane Guillon.
Depuis le 10 octobre, Sarah Biasini joue au Théâtre de l'Atelier, un lieu que l'actrice affectionne particulièrement et où elle se sent comme chez elle. Sur scène, elle incarne la jeune et dernière femme du peintre Modigliani (Stéphane Guillon), mort à 35 ans de la tuberculose. Contactée par le metteur en scène Didier Long, qu'elle connaît de longue date, elle s'est tout de suite intéressée à la vie de l'artiste et plus particulièrement à celle de Jeanne Hébuterne, son modèle et sa muse. Peintre, elle aussi, douée mais totalement sacrifiée et inconnue, invisible. «J'ai aimé la façon dont en parlait l'auteur. Dans la pièce, c'est une femme qui est là tout le temps, qui est indispensable à la vie de Modi. Et qui parle peu…», confie la jeune comédienne qui apprécie Laurent Seksik, pour avoir lu ses pièces et ses romans. Attachée à Paris où elle habite depuis longtemps, Sarah Biasini n'a qu'une envie en ce moment: partir! Pour mieux revenir sans doute… On imagine que la naissance à venir de son bébé y est pour quelque chose. Fin décembre, lorsque le rideau tombera sur la dernière représentation de "Modi", l'actrice s'éloignera des planches afin de se consacrer à un autre rôle: celui de mère.
Sur le pouce
Un restaurant tenu par une bande de jeunes zouaves très sympathiques. J'y vais souvent, avec des copains. Pour leur faire découvrir l'endroit. Le chef est japonais et c'est délicieux. J'apprécie les portions qui sont assez petites, à la japonaise, avec une cuisine minimaliste, des mélanges de saveurs très particuliers et des assaisonnements inattendus. La dernière fois que j'y suis allée, j'ai mangé du poisson avec une sauce au cresson…
Mamagoto : 3 rue des Petits-Hôtels (Xe). Tél.: 01 44 79 03 98.
Produits sains
Je vais là-bas pour les fruits et légumes bio. Et aussi pour les fleurs. Je me suis mise au jardinage et j'essaie d'arranger mes balconnières. J'apprends avec les saisons. Il y a également une Suédoise qui fait de très bons brunchs, le samedi et le dimanche. Avec des produits bio, sans gluten et pas trop de viande… J'essaie de me mettre aux cuisines saines! Mais ce qu'il y a de très sympathique, c'est qu'il y a un endroit avec des tables où tout le monde peut s'installer et manger.
Marché Saint-Quentin : 85 bis boulevard de Magenta (Xe). Tél.: 01 48 85 93 30.
Bio et bien ordonné
Il faut voir l'intérieur ! Tout est bien mis, un peu à l'américaine, hyper bien rangé. Ça donne envie de tout acheter. J'y vais quand je reçois. Récemment, j'y suis allée pour acheter des petites choses pour l'apéritif: de la tapenade, des cœurs d'artichaut, du houmous, des crackers… C'est tellement propre et il y a un choix incroyable.
Dada Paradis : 29 rue de Paradis (Xe). Tél.: 01 40 79 73 51.
Bistrot sympa
J'y vais avec des amis, souvent. Une cuisine version tapas, très délicate. C'est très fin. Il y a notamment une salade de bœuf façon thaï délicieuse. Avec une carte qui se renouvelle très souvent et de très bons vins. Lorsque je viens ici, plutôt en fin d'après-midi et le soir, je reste au bar. L'accueil est très sympathique. Et contrairement à l'enseigne, on n'y laisse pas ses vêtements sales…
Pressing : 1 bis rue de Paradis (Xe). Tél.: 01 45 80 04 24.
Plaisirs d'offrir
C'est une très chouette librairie que j'ai découverte en me baladant sur le canal. J'aime bien l'environnement. En déménageant, je m'en suis rapprochée. J'ai maintenant l'occasion d'y aller plus souvent. J'y vais pour faire des cadeaux. On y trouve des livres sur le design, la photo, la déco. C'est un endroit inspirant.
Artazart : 83 quai de Valmy (Xe). Tél.: 01 40 40 24 00.
Pour le goûter
Une boulangerie à l'ancienne avec une devanture qui donne envie. Tout est beau et délicieux! J'apprécie l'ambiance familiale et les sachets bleus très jolis dans lesquels ils servent le pain et les gâteaux. J'y vais assez régulièrement tout en essayant de faire un peu attention et de ne pas oublier d'acheter du pain complet. Les viennoiseries sont assez irrésistibles, en particulier les brioches à la praline…
Du Pain et des Idées. : 34 rue Yves-Toudic (Xe). Tél.: 01 42 40 44 52.
Par Isabelle Blondel
09h25 dans News Sarah | Lien permanent | Commentaires (1)
Source : PurePeople.com - 16 octobre 2017
Le chanteur et la comédienne parrainaient la fête des Vendanges 2017.
Du 11 au 15 octobre, se tenait la fête des Vendanges de Montmartre 2017. Pour cette nouvelle édition, la mairie du 18e arrondissement de Paris avait choisi un parrain et une marraine issus du monde de la musique et de la comédie : le chanteur Hugues Aufray, venu avec Muriel, sa jeune maîtresse, et l'actrice Sarah Biasini.
08h33 dans News Sarah | Lien permanent | Commentaires (0)
DVD - 5 disques
Comprend les films : Sissi * Sissi impératrice * Sissi face à son destin * Les jeunes années d'une reine * Forever my love
Studios : Film Movement Classics
Langue : Allemand
Sous-titres : Anglais
Bonus : De Romy à Sissi, making of de 20 minutes * Des images rares de l'arrière-petit-fils de Sissi dans un extrait du documentaire "Elisabeth : Enigme d'une impératrice" * Livret commémoratif de 20 pages, essai du critique de cinéma Farran Smith Nehme
Sortie le : 31 octobre 2017
Prix : ~ 40 euros
A commander sur Amazon.com
18h52 dans En DVD !, Film-1955-Sissi | Lien permanent | Commentaires (0)
Blu-Ray - 5 disques
Studios : Film Movement Classics
Langue : Allemand
Sous-titres : Anglais
Bonus : De Romy à Sissi, making of de 20 minutes * Des images rares de l'arrière-petit-fils de Sissi dans un extrait du documentaire "Elisabeth : Enigme d'une impératrice" * Livret commémoratif de 20 pages, essai du critique de cinéma Farran Smith Nehme
Sortie le : 31 octobre 2017
Prix : ~ 56 euros
A commander sur Amazon.com
18h46 dans En blu-ray !, Film-1955-Sissi | Lien permanent | Commentaires (0)
Le nouveau numéro du "Magazine" sera dans votre boîte mail dans quelques minutes si vous y êtes abonné ET si j'ai reçu la(les) photo(s) de votre collection "Romy" et/ou "Sarah".
Vous n'êtes pas encore destinataire du Magazine ? Pour le recevoir, c'est très simple et gratuit ! Pour connaître les modalités précises afin de le recevoir : consultez le QCM du Mag (important : pas de photo, pas de Mag !).
Au programme du N° 120 (7 pages + dossier spécial = 34 pages) :
15h46 dans Le Magazine | Lien permanent | Commentaires (4)
A la recherche de l’histoire d’une ville.
De ses traditions, d’une époque fondatrice de sa culture.
Nos pas sont tout naturellement orientés vers Montmartre.
Un quartier de Paris qui vous replonge dans le temps et vous donne envie d’imaginer le rythme d’une époque passée.
Un village presque sauvagement gardé.
Ses habitants, les authentiques et les adoptés.
Une butte qui élève le corps et l’esprit.
Il faut mériter ce point de vue unique sur la capitale.
Enrouler son pied avec un petit effort sur cette butte tenace.
Et en ce mois d’octobre une douce liqueur violacée, cramoisie vient nous récompenser.
Mon palais se délecte du vin montmartrois sous les lumières de la butte.
Je pense à tous les artistes qui s’y sont enivrés.
Et en particulier ce bel italien, Modigliani, orgueilleux de ses lignes précises et de ses courbes poétiques.
Tant d’artistes ont trouvé refuge haut perché dans Paris, comme inaccessibles et protégés sous le ciel étoilé.
En 1917, La lumière traverse les ateliers du Bateau-Lavoir. Elle inspire Modigliani, Picasso, Derain, Matisse, Van Dongen et tant d’autres.
Trinquons avec eux.
Un siècle plus tard, revivra un peu de cette histoire au théâtre de l’Atelier, lui aussi incontournable dans l’histoire de Montmartre.
Vive les arts !
Sarah BIASINI
09h15 dans News Sarah | Lien permanent | Commentaires (0)