DVD - 1 disque
Studio : Paramount - StudioCanal
Langues : Espagnol
Sous-titres : Anglais
Bonus : ?
Prix : ~ 6 euros
Sortie le : 1er février 2012
Disponible à la commande sur Amazon.es
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DVD - 1 disque
Studio : Paramount - StudioCanal
Langues : Espagnol
Sous-titres : Anglais
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Prix : ~ 6 euros
Sortie le : 1er février 2012
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16h05 dans En DVD !, Film-1974-Important Aimer | Lien permanent | Commentaires (0)
DVD - 1 disque
Studio : StudioCanal
Langues : Allemand
Sous-titres : Allemand
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Prix : ~ 13 euros
Sortie le : 16 mai 2012
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15h53 dans En DVD !, Film-1954-Jeune Reine | Lien permanent | Commentaires (2)
DVD - 1 disque
Studio : StudioCanal
Langues : Allemand et Français
Sous-titres : Allemand
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Prix : ~ 13 euros
Sortie le : 16 mai 2012
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15h52 dans En DVD !, Film-1979-Clair de Femme | Lien permanent | Commentaires (0)
DVD - 1 disque
Studio : StudioCanal
Langues : Allemand
Sous-titres : Allemand
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Prix : ~ 13 euros
Sortie le : 16 mai 2012
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15h51 dans En DVD !, Film-1953-Lilas Blancs | Lien permanent | Commentaires (0)
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Studio : StudioCanal
Langues : Allemand
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Prix : ~ 13 euros
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15h50 dans En DVD !, Film-1977-Portrait de Groupe | Lien permanent | Commentaires (0)
DVD - 1 disque
Studio : StudioCanal
Langues : Allemand et Français
Sous-titres : Allemand
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Prix : ~ 13 euros
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15h49 dans En DVD !, Film-1973-Train | Lien permanent | Commentaires (0)
DVD - 1 disque
Studio : StudioCanal
Langues : Allemand et Français
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Prix : ~ 13 euros
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15h48 dans En DVD !, Film-1980-Banquière | Lien permanent | Commentaires (0)
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Studio : StudioCanal
Langues : Allemand
Sous-titres : Allemand
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Sortie le : 16 mai 2012
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15h47 dans En DVD !, Film-1955-CriCri | Lien permanent | Commentaires (0)
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Studio : StudioCanal
Langues : Allemand
Sous-titres : Allemand
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Prix : ~ 13 euros
Sortie le : 16 mai 2012
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15h46 dans En DVD !, Film-1953-Feu Artifice | Lien permanent | Commentaires (0)
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Studio : StudioCanal
Langues : Allemand
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Prix : ~ 13 euros
Sortie le : 16 mai 2012
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15h44 dans En DVD !, Film-1957-Monpti | Lien permanent | Commentaires (0)
DVD - 1 disque
Studio : StudioCanal
Langues : Allemand et Français
Sous-titres : Allemand
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Prix : ~ 13 euros
Sortie le : 16 mai 2012
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15h43 dans En DVD !, Film-1970-Qui | Lien permanent | Commentaires (0)
DVD - 1 disque
Studio : StudioCanal
Langues : Allemand
Sous-titres : Allemand
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Prix : ~ 13 euros
Sortie le : 16 mai 2012
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15h41 dans En DVD !, Film-1980-Fantôme Amour | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Le Parisien.fr - 24 février 2012
L’événement a duré près de quatre mois, mais les visiteurs ont en partie attendu les derniers jours pour découvrir l’exposition consacrée à Romy Schneider à l’espace Landowski.
La rétrospective, consacrée aux vingt-cinq années de carrière devant les objectifs des caméras de la comédienne, a fermé ses portes mercredi et 47000 personnes sont venues admirer des documents inédits, des images d’archives, des extraits de films, des objets personnels, des photos ou des costumes de l’actrice disparue il y a trente ans.
Des chiffres très satisfaisants pour la mairie de Boulogne-Billancourt, qui se réjouit également de la fréquentation lors de la dernière semaine, avec 5300 visiteurs en six jours. Le commissaire de l’exposition, également journaliste et ancien directeur de la rédaction de "Studio Magazine", Jean-Pierre Lavoignat, souhaitait faire oublier le destin tragique de la comédienne pour rappeler son visage éblouissant, son élégance et son sourire désarmant. La comédienne aux deux Césars a conquis en moyenne plus de 400 passionnés par jour.
Et pour cause, les éléments réunis étaient riches et foisonnants. Basé sur une collection impressionnante de clichés — en couleur et en noir et blanc — de la star avec notamment son grand amour, Alain Delon, les visiteurs ont pu se régaler devant les costumes prêtés par des proches de l’actrice.
"Sissi" dans la trilogie du même nom, Marianne dans "La piscine", Rosalie dans "César et Rosalie", Romy Schneider avait tourné une partie du "Procès" à Boulogne-Billancourt.
Et la ville, avec ce joli succès, se réjouit d’autant plus que la fréquentation moyenne égale celle de l’exposition consacrée à une autre actrice, symbole de la beauté, Brigitte Bardot. "Romy Schneider est une comédienne moins grand public", explique-t-on à la mairie, qui surfe ainsi sur le succès des femmes d’élégance. Entre le 29 septembre 2009 et le 7 mars 2010, l’exposition consacrée à la sulfureuse blonde avait attiré 90000 amateurs.
Justine Chevalier
08h08 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Puretrend.com - 20 février 2012
Personne ne pourra reprocher à Romy Schneider d'avoir toujours joué dans le même registre, qu'il s'agisse de sa filmographie ou de sa garde-robe. Des robes à panier et froufrous de la saga Sissi qui la consacra petite chérie de l'Allemagne des années 50, aux robes de femme fatale du film de Chabrol "Les innocents aux mains sales", en passant par ses bikinis mouillés dans "La piscine" : l'actrice a aussi bien marqué le cinéma d'auteur que la mode.
Romy fait partie du cercle très fermé des actrices a être passées dans les salons privés de la rue Cambon, pour des essayages sous le regard attentif de Coco Chanel. Loris Azzaro l'habilla également, tout comme Yves Saint Laurent pour ses films. Aujourd'hui encore, elle inspire les podiums, et ses photos figurent sur les mood board de Sophie Thallet, Peter Dundas pour Emilio Pucci, Massimiliano Giornetti pour Salvatore Ferragamo, ou encore Tippi Hedren et Eva Marie Saint de la marque Erdem.
Une exposition évènement lui rend hommage depuis le 4 novembre 2011 jusqu'au 22 février prochain, l'occasion de revenir sur une icône du style, qui a traversé les années 50, 60, et 70 avec une grâce infinie, malgré sa tragique disparition en 1982.
Tailleur jupe en tweed blanc, robe trapèze sixties, maillot une pièce et robe boho chic so seventies... Découvrez les essentiels de la garde-robe de Romy Schneider !
19h51 dans Biographie | Lien permanent | Commentaires (2)
Source : Culturopoing.com - 18 février 2012
On pourrait très facilement présenter Jacques Duby, mort le 15 février 2012 à 89 ans, comme l’archétype du second rôle. Mais, au cinéma, durant les années 50, il était plus que ça ; mais jamais davantage non plus que le faire-valoir des vraies vedettes masculines de l’époque. Son rôle favori, à l’époque ? Celui du mari cocu et/ou de l’amoureux éconduit.
Après des débuts au théâtre à l’orée de la décennie et à peine quelques apparitions au cinéma (dont Casque d’or), Marcel Carné lui confie l’un des rôles principaux de son adaptation contemporaine du Thérèse Raquin de Zola dès 1953. Jeune mari de Simone Signoret, le latin lover Raf Vallone était alors le coupable de son infortune conjugale. Jacques Duby allait vite retrouver l’univers de Zola puisque, dans le Pot-Bouille de Julien Duvivier en 1957, c’est cette fois Gérard Philippe qui allait faire de sa femme Dany Carrel sa jeune maîtresse. Dans Christine (1958), adaptation de Schnitzler par Pierre Gaspard-Huit, il était amoureux transi de Romy Schneider (pour son premier rôle en France) mais cette dernière lui préférait Alain Delon, évidemment (et pas seulement à l’écran, comme chacun sait)…
Mais Jacques Duby a excellé dans d’autres registres. Sa petite taille et son allure assez chétive faisait par exemple de lui l’idéal jockey complice de l’escroc Fernand Gravey dans Courte tête (1956), de Norbert Carbonnaux. Dans les films policiers ou d’action de l’époque, en revanche, son physique le condamnait davantage aux plus petits rôles. Citons par exemple Les Salauds vont en enfer (1955), la première réalisation de Robert Hossein, Une gueule comme la mienne (1960), le seul film jamais réalisé par Frédéric Dard, ou bien encore Le Clan des Siciliens (1969), d’Henri Verneuil, avec son trio de stars Gabin/Delon/Ventura.
A partir de la fin des années 60, ses apparitions au cinéma se font plus rares et on le voit davantage à la télévision (et toujours au théâtre, presque invariablement dans le registre du boulevard, mais aussi dans la dernière mouture des Branquignols de Robert Dhéry au début des années 70). La "cause" en est-elle ce fameux spot de publicité qu’il tourna en novembre 1968 pour Boursin ? Cette pub est en tout cas restée fameuse, à la fois comme étant l’un des premiers spots pour une marque commerciale diffusée à l’ORTF (le deuxième, en fait, et pas le premier, comme on le croit souvent), pour son utilisation d’un comédien très familier du public et pour sa répétition de la marque (Duby y prononçait "Boursin" pas moins de 18 fois !). Malgré quelques rôles pour Jean-Pierre Mocky (Un linceul n’a pas de poches, 1974), Roger Hanin (Le Faux-cul, 1975), Alexandre Arcady (Le Coup de scirocco, 1979), ou, plus tard, Francis Girod (Lacenaire, 1990) ou Diane Kurys (Je reste !, 2003, sa dernière apparition à l’écran), c’est surtout grâce à la sitcom au long cours Maguy (1985-1994) * et à son rôle de Paul Cruchon, maire du Vézinet, que Jacques Duby restera encore longtemps une figure bien connue du petit monde des comédiens français.
21h09 dans Carnet noir | Lien permanent | Commentaires (0)
Superbes timbres disponibles à la vente sur Ebay.fr (attention, ils peuvent aussi ne plus être disponibles : reconnectez-vous ultérieurement pour vérifier les nouvelles ventes...)
20h38 dans Les timbres | Lien permanent | Commentaires (0)
Blu-Ray - 1 disque
Studio : Concorde Vidéo
Langues : Allemand (Autres langues = ?)
Sous-titres : ?
Bonus : ?
Prix = ~ 14 euros
Date de sortie : 16 février 2012
Disponible à la commande sur Amazon.de
20h24 dans En blu-ray !, Film-1968-Piscine | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Jim Le Pariser - 16 février 2012
Elle est là dehors, malgré le froid polaire, coiffée d’une toque, prête à griller une cigarette. Souriante, les yeux brillants comme lorsqu’elle joue la passion sur la scène du théâtre des Mathurins. Sarah Biasini, les mêmes initiales que Sarah Bernhardt, joue Zweig et ça lui va drôlement bien : donner vie aux mots de cet auteur qui décrivit mieux que quiconque les destins d’hommes et de femmes. De ceux qui vous broient comme dans la nouvelle adaptée au théâtre par Christophe Lidon, Lettre à une inconnue. Une passion pour un homme jamais avouée, une amoureuse oublieuse d’elle même qui enfin, lui raconte dans une lettre son amour magnifique et secret. Et qu’ elle vient de perdre leur unique et jeune enfant.
Sarah, elle, a perdu sa mère à quatre ans et demi. Une mère qui s’appelait Romy Schneider et à laquelle le haut de son visage rend merveilleusement hommage. La mâchoire elle, est plus carrée, volontaire, et semble taillée pour mordre dans la vie. Ce dont elle ne se prive pas, jouant sur les planches après avoir longtemps hésité à être comédienne- pas vraiment convaincue que ce serait une bonne idée. A la voir s’abandonner et nourrir son personnage de sa propre félure qu’elle semble avoir si bien apprivoisée, on est heureux qu’elle ait fait ce choix. Et d’être là dans ce café de l’autre côté du Théâtre, face à elle, pour profiter de cette énergie solaire mais délicate qu’elle dégage, une petite heure avant la représentation du soir.
Comment vous sentez-vous avant d’entrer en scène ?
Un quart d’heure avant, le trac arrive; j’écoute alors de la musique live pour me mettre dans l’énergie. Je trouve ça inspirant pour être ensuite prête.
La musique, justement, couvre notre conversation, elle me demande alors si elle veut que je baisse la musique, un peu chez elle dans ce café où elle tutoie le serveur. Et éclate de rire devant mon temps de réponse.
La lassitude ? (elle joue la pièce depuis l’an dernier)
Non, parce que c’est un texte magnifique; il y aura toujours des femmes qui aimeront en cachette un homme à la folie, il y aura toujours malheureusement des femmes qui perdront un enfant, donc c’est universel. C’est la troisième fois que je travaille avec ce metteur en scène et au départ, je me suis dit que ce n’était vraiment pas gai et puis finalement ça c’est fait et je suis très contente.
Quel est votre rapport à l’image ?
Ça ne m’intéresse pas, je m’en fous. Maintenant voir les gens les larmes aux yeux au salut quand on a finit de travailler, j’adore. Non, c’est vrai que je l’ai cherché, personne ne m’a obligé à monter sur scène; il y a plein de moments où je me dis que j’aurai pu faire autre chose comme restaurer des tableaux, être antiquaire, peintre. Femme au foyer ça me va bien aussi, je pourrais très bien rester à m’occuper de chez moi. Et puis, je ne veux pas trop savoir quelle image j’ai, en fait, certainement cela me fait un peu peur, ça m’empêcherait de faire des choses.
Vous a -t’on déjà interviewé sans évoquer votre mère ?
Si vraiment je n’avais pas voulu qu’on m’en parle, il ne fallait pas que je fasse ce métier! Personne ne m’a forcé, c’est moi qui ai voulu y aller, et puis c’est bien normal que l’on me parle d’elle. De toutes les façons, vous pouvez me poser toutes les questions que vous voulez, je verrai bien ce que je vous répond! Je ne laisserai pas d’affect passer.
Vous avez fait l’Actor’s Studio à Los Angeles, quels souvenirs en gardez vous ?
La théorie sur le théâtre ça n’existe pas. En tout cas, je suis bien meilleure maintenant que lorsque j’ai commencé! Ça m’a appris à utiliser “qui on est” pour jouer quelqu’un d’autre, mais tout ça, en fait c’est très mystérieux. Il faut avant tout bien se connaitre, savoir où aller chercher dans les moments où on allait pas bien, même si je suis persuadée qu’ il faut aller bien, pour bien jouer. Le truc d’aller très mal, ça peut marcher mais les moments de pur bonheur sont tout aussi inspirants que le caniveau.
Vous voyez le danger dans cela ?
Dans cette pièce, c’est vrai que je pense à des choses pas gaies, forcément; hier, par exemple pendant dix minutes j’aurai pu continuer à pleurer. Mais bon, tout va bien dans ma vie! Et puis je fais exprès de désacraliser-le seul truc, c’est qu’il faut être sincère. Il faut croire en ce que vous dites, c’est ça la méthode.
Et vous trouvez cela plus facile au théâtre qu’au cinéma ?
Pour moi, c’est plus facile. La caméra me fait peur car je n’en ai pas l’habitude. Au théâtre, vu que je joue tous les soirs, je suis plus à l’aise. Et puis surtout, il y a l’adrénaline et le plaisir de jouer chaque soir une heure sans s’arrêter. D’autant que le public est à chaque fois différent; on ne joue jamais de la même façon, on fait à chaque représentation des micro-différences qui auront été pour nous énormes. Mon partenaire, Thomas Cousseau, est totalement dans le jeu, alors c’est très agréable. Pour le cinéma, il faudrait que je trouve un metteur en scène très patient car j’ai l’impression que le moindre mouvement de sourcil va dire quelque chose alors, moi qui bouge beaucoup ! Je m’entraîne certains soirs à ne plus bouger. Quoi qu’il en soit, vous dépendez du désir des autres, ce n’est donc pas très facile…être là, à attendre et se dire que l’on ne vaut rien ; ce n’est que vous que vous vendez, votre savoir faire, c’est vous.
Quelle est votre relation avec cette idée de destinée chère à Stefan Zweig ?
Pour moi, il n’y a rien après la vie, mais c’est joli de se laisser tenter. J’aime bien y croire, c’est plus sympa. Du coup, on essaye de ne pas trop banaliser les choses comme par exemple, monter sur scène. Il n’y a rien de plus important pendant une heure. En plus, mon personnage donne à tout une saveur exceptionnelle puisque c’est la dernière fois. C’est pour cela que j’en profite, un texte comme cela, je n’en aurai pas tous les jours! En début de semaine, il y a un peu moins de monde, mais ce n’est pas grave. C’est moins excitant mais il faut jouer, les gens ont payé. Du coup, comme on a moins peur, on essaye plus de trucs. Mais ça ne rend pas la chose moins importante. On se délecte par ailleurs avec Thomas du silence qui est très perceptible et de l’attente. Quand j’ai commencé à voir ça, j’avais encore plus de plaisir à prendre des temps. Une, deux, trois secondes de silence au théâtre, ça parait très long. On a alors vraiment l’impression que le public est là, que l’on pourrait rester encore plus longtemps dans le silence et ça c’est génial. On vous tient dans la main. Maintenant, même si j’ai vu beaucoup d’hommes qui pleurent dans la salle, il y a aussi ceux qui ont été traînés là par leur femme. Ou les gens qui veulent prendre un bonbon là tout de suite.
Elle regarde tout d’un coup son portable. "Ouh la la mais il faut que j’y aille !" me dit-elle gaiement. La toque est oubliée. Elle revient. Puis disparaît. Sarah est partie en scène, rire et pleurer une heure durant. Et sans doute vivre un peu plus intensément, avec l'idée que brûler les planches peut se faire sans que le prix en soit exorbitant.
Laetitia Monsacré
08h12 dans Thea-2011-Lettre Inconnue | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : PurePeople.com - 17 février 2012
Au mois d'avril 2011, Gilles Lellouche et Anaïs Demoustier recevaient les prix Patrick-Dewaere et Romy-Schneider. Ces récompenses ont pour but de mettre à l'honneur deux espoirs du cinéma français. Pour l'édition 2012, nous pouvons d'ores et déjà vous annoncer les noms des deux comédiens qui auront le plaisir de venir récupérer, certainement au printemps, leurs prix : Bérénice Bejo et JoeyStarr.
Jean Dujardin a été porté au sommet grâce à sa performance dans "The Artist", accaparant les projecteurs. Pourtant, dans ce long métrage muet et en noir et blanc, sa partenaire Bérénice Bejo brille tout autant. Et si elle n'a pas reçu de Golden Globe et qu'aux Oscars, elle n'est nommée que dans la catégorie second rôle, sa prestation mérite tout autant d'être saluée. Ce sera donc chose faite avec ce prix Romy Schneider, sachant qu'elle est également en lice pour le César de la meilleure actrice. Jolie coïncidence, Bérénice Bejo jouait Odette, alias Romy Schneider, dans le documentaire "L'Enfer d'Henri-Georges Clouzot".
Côté mâle, le choix s'est porté sur JoeyStarr. Son talent avait déjà explosé dans "Le Bal des actrice"s de Maïwenn. Mais dans le troisième film de la réalisatrice, "Polisse", l'acteur s'affirme au point de devenir l'un des visages incontournables du cinéma français (dernièrement à l'affiche de "L'amour dure trois ans"), obtenant une nouvelle nomination comme meilleur second rôle. Il enchaîne les projets alléchants : des polars, "Colt 45" et "Miserere", comme des comédies, "Les Seigneurs" et "Max".
19h36 dans Prix Romy Schneider | Lien permanent | Commentaires (0)
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La maquette
(6 pages + 3 pages de calendrier + 13 pages "dossier spécial") :
09h06 dans Le Magazine | Lien permanent | Commentaires (1)
Source : Le Dauphiné.com - 30 janvier 2012
Le 29 mai prochain, on commémorera le 30e anniversaire du décès de Romy Schneider. Trois décennies après sa disparition, nombreux sont ceux et celles qui vouent une véritable admiration, pour ne pas dire un culte, à la comédienne franco-autrichienne qui se vit décerner à deux reprises le César de la meilleure actrice.
Dorette Roess est l’un de ses inconditionnels fans qui consacre une bonne partie de son temps libre à la recherche de documents, d’archives, d’affiches et d’écrits ayant trait à la carrière cinématographique de Romy Schneider. Cette patiente quête a abouti à la publication de l’ouvrage “Romy Schneider : les choses de ma vie”, publié aux éditions Do Bentzinger en août 2011.
C’est à l’occasion de ses vacances en terres septimontaines et à l’invitation conjointe de la médiathèque municipale et de l’association Criou-Livres, que Dorette Roess a évoqué samedi matin son sujet de prédilection. À force de ténacité et de passion, elle a accumulé une somme incroyable d’objets et de témoignages, à l’instar des notes rédigées par le réalisateur Jacques Rouffio durant le tournage du film “La passante du Sans-souci”, ainsi que la lettre lue lors des obsèques de la comédienne. Pour les amoureux de Romy, signalons l’exposition qui lui est consacrée à Boulogne-Billancourt jusqu’au 22 février.
15h04 dans Presse - 2012 | Lien permanent | Commentaires (0)