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Merci à Jürgen qui nous offre la photo du jour
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Source : Allier-Auvergne Tourisme.com & Théâtres de Bourbon
Samedi 07 août 2021 à 20h30 à Monétay-sur-Allier
Dimanche 08 août 2021 à 20h30 à Monteignet-sur-L'Andelot
Lundi 9 août 2021 à 20h30 à Veauce
Mardi 10 août 2021 à 20h30 à Marigny
TARIFS :
Plein tarif 15 €
Tarif réduit 10 €
En 1976, Romy Schneider la grande actrice de cinéma, rencontre la journaliste Alice Schwarzer à Cologne pour lui livrer un récit intime et sans fard. Cette interview, enregistrée sur magnétophone, restera longtemps dans le tiroir de cette journaliste qui n'en révèlera le contenu que quarante-deux ans plus tard. Romy y parle sans détour de son enfance, de sa vie et de son "spleen germanique".
Marilena Netker en a tiré un seule en scène d’une heure quinze, où elle nous parle au nom d’un spleen germanique qui est aussi le sien. Elle y aborde l’inabordable par une expérience théâtrale en s’éloignant d’un biopic classique. La comédienne utilise la danse, la musique et les voix multiples de Romy et de son entourage, pour mieux cerner cette grande comédienne qui était incapable de tricher.
Le spectacle glisse sur des mouvements de balanciers entre l’Allemagne et la France, entre une parole de clown et une réflexion profonde sur la condition de la femme, entre un cercle familial étouffant et le mirage du cinéma des années 70, entre la distance d’une journaliste et les mots subversifs d’un journal intime.
La libération de la parole a lieu lors de cette rencontre et son résultat est un récit inattendu, qui nous révèle une Romy Schneider inconnue. Et c’est grâce à son témoignage qu’on se rendra compte du courage dont elle fit preuve pour partager le plus subtile de ses attentes… avec la plus grande justesse possible.
Cette panoplie d’émotions que Romy Schneider nous a léguée dans son jeu nous aidera à ressentir l’urgence des émotions que nous étouffons pour «sauver la face». Le récit intime de Romy est un défi surprenant pour creuser dans notre spleen à nous, sans filtre et sans fard.
Son spleen germanique fut aussi pour Romy une force ludique, une lumière dans le regard pour enchanter le sourire de l’actrice. Elle le définit comme une contradiction continuelle et totale, se percevant à la fois, selon les mots d’Alice Schwarzer, comme «courageuse et craintive, révoltée et conformiste, surdouée et rongée par le doute». Comment rendre justice au spleen germanique sans dévoiler ou trahir Romy Schneider, cette femme qui avait tellement de choses à en dire ?
12h27 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (0)
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Source : Théâtre Municipal Bertholot - Jean-Guerrin
Lecture sonorisée dans le noir : Soudain Romy Schneider (en direct et en visio)
"Soudain Romy Schneider", de Guillaume Poix. Editions théâtrales
« La plupart des choses qui ont été écrites sur moi sont des mensonges. »
"Soudain Romy Schneider" évoque la vie et l’œuvre d’une actrice iconique. Ses partenaires de jeu dialoguent avec les personnages interprétés par la comédienne pour tenter d’approcher, par la fiction, une part de son mythe.
Ce texte interroge aussi, en filigrane, l’ambiguïté du regard masculin sur cette star d’origine autrichienne dont les soixante-trois films révèlent un impensé de l’histoire européenne et cinématographique.
Avec ce texte à la lisière du théâtre, de la parodie et du roman, Guillaume Poix réinvente la biographie littéraire fictionnée.
Conçue et interprétée par Arlette Desmots, Cie EkpHrasis – Durée 50mn
18h40 dans Musique / Audio | Lien permanent | Commentaires (0)
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Source : La Montagne - 18 avril 2021
Avec "La beauté du ciel", Sarah Biasini livre un roman révélant ce lien indestructible d'une fille pour sa mère Romy Schneider. L'occasion aussi de s'adresser à sa propre fille. Une belle histoire de famille loin des paillettes et plus près du coeur.
Pensez-vous que votre mère est au ciel en train de jouer une suite des Choses de la vie, film de Claude Sautet ?
Sarah Biasini : Je ne sais pas mais, avec ce livre, je trouvais intéressant de montrer comment les enfants perçoivent les choses. Ils mettent plus de poésie que les adultes dans les contextes difficiles à comprendre, tels que la mort. Souvent, je me suis dit en regardant le ciel : "Tiens, elle est derrière un nuage !" Je savais très bien que ce n'était pas vrai, mais je trouvais l'image magnifique.
Le déclic de votre ouvrage a été à la fois la profanation de la tombe de votre mère et le fait de tomber enceinte quelques semaines plus tard. Pourquoi avoir attendu ces événements pour écrire ?
Sarah Biasini : J'avais envie d'écrire depuis un moment mais je ne savais pas que j'allais écrire ce livre là. Pour être tout à fait honnête, je sentais que le sujet maternel pouvait m'inspirer. L'affaire de la profanation de la tombe de ma mère et puis mon début de grossesse étaient tellement romanesques. Ne pas en parler à travers mon histoire personnelle aurait été bien regrettable.
Mais vous allez au delà d'un simple hasard, comme si un signe divin vous avez guidé ?
Sarah Biasini : Je peux très bien me dire que ces événements sont le pur fruit du hasard mais c'est aussi joli d'y mettre un peu de poésie. Et d'y voir un lien. Étant en pleine réflexion d'un projet de roman, cette occasion était une belle opportunité.
La réalité a dépassé la fiction...
Sarah Biasini : Totalement. En général, la réalité dépasse toujours la fiction.
En préambule, vous citez une chanson de Jacques Higelin : "La mort est le berceau de la vie". Que voulez-vous dire ?
Sarah Biasini : C'est d'abord une chanson très belle. Cela veut dire que la nature a horreur du vide et que les deux, vie et mort, vont ensemble. Elles dansent ensemble. Comme une idée d'infini, avec ce signe de boucles enlacées.Être devenue mère à votre tour semble vous avoir rapproché de votre propre mère, la rendant plus vivante que jamais. Sans doute. C'était une occasion de m'interroger sur mon rapport de mère avec sa fille.
Elle est partie alors que vous n'aviez que 4 ans. Pourtant, vous vous en rappelez comme si c'était hier...
Sarah Biasini : Je me souviens bien lorsque mon père me l'a dit. A ce moment précis, j'ai compris que la chose était grave, irréversible. Que c'était la fin de quelque chose, le début d'une autre vie. Je l'ai intégré mais je voulais pas m'y attarder. Quand on est enfant, on sent la gravité de la situation mais on veut continuer d'être dans le mouvement. Après cette annonce, j'ai, sans doute, continué de jouer.
Vous auriez une question à lui poser, ce serait laquelle ?
Sarah Biasini : Je ne vous répondrai pas. C'est une bonne question mais elle est tellement intime. De plus, il y a des choses que l'on écrit dans un livre mais qu'on ne dit pas à haute voix.
Vous écrivez que, contrairement aux clichés, votre mère n'était pas uniquement cette comédienne jouant des rôles dramatiques.
Sarah Biasini : D'une façon générale, une personne n'est pas faite que de larmes ou de rires. C'est un mélange des deux. Mon livre s'appuie aussi sur une volonté de normaliser certaines choses. Parler d'abord de la mère. Je me fiche de la star. Je n'ai pas fait un livre sur le cinéma, mais sur l'amour maternel. Sur mon ressenti d'enfant et à la manière dont j'allais expliquer tout ça à ma propre fille, elle-même une enfant.
Que répondriez-vous à votre fille si elle vous demandait : "C'était qui Romy Schneider ?"
Sarah Biasini : D'abord, elle ne me dirait pas qui était Romy Schneider mais "c'était qui ma grand-mère ?" A partir delà, je lui montrerais des films, des photos, je lui parlerais.
Êtes parfois un peu lasse qu'on présente comme "la fille de..." ? Cela m'enorgueillit suffisamment, c'est très bien.
Sarah Biasini : Revenez-vous parfois sur sa tombe ? Je n'aime pas y aller. Les gens qu'on aime sont toujours avec nous. Partout.
Olivier Bohin
18h04 dans News Sarah | Lien permanent | Commentaires (0)
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Source : Télé Loisirs - 09 avril 2021
Dans un épisode de la série documentaire "Les Amants de l'Histoire" disponible sur Salto, est raconté le début de la relation entre Alain Delon et Romy Schneider. Une rencontre qui fut loin d'être un coup de foudre !
Disponible sur la plateforme Salto, la série documentaire "Les Amants de l'Histoire" raconte l'histoire du XXe siècle au travers de relations amoureuses entre célébrités. Dans le cinquième épisode, intitulé La France des années 1960, on en apprend plus sur les débuts de l'idylle entre les comédiens Alain Delon et Romy Schneider à la fin des années 1950.
Alain Delon et Romy Schneider, la petite vingtaine, se sont rencontrés quasiment par hasard. "C'est le destin qui a provoqué leur rencontre", explique ainsi dans le film le journaliste Jean-Pierre Lavoignat, auteur d'une biographie de la comédienne allemande. A l'époque, Romy Schneider est déjà une star. Elle n'a pas encore 20 ans mais a tourné trois épisodes de la saga cinématographique "Sissi" qui ont fait d'elle quasiment la première star européenne. De son côté, Alain Delon, à peine 23 ans, est un jeune acteur qui monte. On propose à Romy Schneider, qui doit tourner un film français, "Christine", de choisir son partenaire. Parmi les photos de acteurs qu'elle reçoit, elle désigne, sans le connaître, Alain Delon.
Le rapport de force entre Alain Delon et Romy Schneider se transforme en rapport de séduction
La première rencontre a lieu sous l'œil des photographes, en avril 1958, sur le tarmac de l'aéroport d'Orly, les producteurs ayant demandé à l'acteur d'aller accueillir la star. Timide, Alain Delon est accompagné de son ami Jean-Claude Brialy. C'est loin d'être le coup de foudre entre les deux comédiens : Alain Delon n'aime pas le côté bourgeois de Romy Schneider tandis qu'elle lui reproche de ne pas être maîtrisable, d'être en retard sur le tournage… "Ce qui sera le nœud de leur histoire semble-t-il, est un bal organisé autour de la production du film à Bruxelles où ils vont tous les deux", raconte Jean-Pierre Lavoignat.
Pendant le voyage, le rapport de force se transforme en rapport de séduction. La suite de leur histoire, on la connaît : les comédiens tourneront ensemble (entre autres le film "La Piscine"), par amour pour Alain Delon, Romy Schneider refusera de faire le quatrième film de "Sissi", quittera l'Allemagne pour s'installer à Paris et commencera une nouvelle carrière…
par Elisabeth Bommelaer
12h39 dans Télévision - Romy | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Le Populaire du Centre - 15 avril 2021
Martin-Lugand, Bouysse, Khadra, Joncour, Makine... Mais aussi Charline Vanhoenacker, Guillaume Meurice, Gringe, Nicoletta, Romain Sardou... "Lire à Limoges" propose une formule adaptée pour que la fête du livre, de la lecture puisse avoir lieu à Limoges dans le contexte de crise sanitaire.
La formule est réduite, certes, et ô combien. Avec une petite cinquantaine d'invités, tous auteurs et autrices confondus de littérature générale et de livres pour la jeunesse, on est loin des 300 auteurs que "Lire à Limoges" invite depuis plus de trente ans sous chapiteau au Champ de Juillet, dans les librairies à la place du chapiteau
Mais la municipalité, qui orchestre "Lire à Limoges", avait à coeur de maintenir une forme adaptée à la situation, pour célébrer envers et contre tout le livre, ceux qui le font et ceux qui les aiment.
Pas de vaste chapiteau, bien sûr, cette année. C'est dans les librairies de Limoges que les auteurs et autrices seront accueillis. C'est là que le public pourra les rencontrer et obtenir des dédicaces, uniquement sur inscriptions (voir ci-dessous) et en nombre limité. Des rencontres captées et diffusées.
Pour maintenir le lien avec les lecteurs, 25 grandes rencontres seront aussi enregistrées et diffusées tout au long du mois de mai sur lire.limoges.fr
On note aussi que l'intégralité des interventions en milieu scolaire des auteurs de littérature pour la jeunesse est maintenue.
Ce programme sera complété par un salon des éditeurs de la région le week-end du 5 et 6 juin.
En pratique :
Sous la présidence d'Agnès Martin-Lugand
Les invités de Lire à Limoges en littérature générale :
Troub’s, Martine Pilate, Nicoletta, Gilles Paris, Jean-Marie Blas-de-Roblès, Irène Frain, Sandrine Collette, Djamel Cherigui, François Roca, Daniel Picouly, Serge Joncour, David Fortems, Elsa Flageul, Richard Malka, Franck Bouysse, Bernard Werber, Gringe, Andreï Makine, Nicolas Lebel, Olivier Norek, Sarah Biasini, Yasmina Khadra, Charline Vanhoenacker, Guillaume Meurice, Romain Sardou, Carène Ponte.
Les invités en littérature jeunesse :
Eva Offredo, Maria Jalibert, François Roca; Christian Grenier, Jean-Sébastien Blanck, Justine Jotham, Manon Fargetton, Corinne Morel Darleux, Évelyne Brisou Pellen, Guillaume Reynard, Sarah Turoche Droméry, Charlotte Erlih, Delphine Chedru, Bertrand Puard, Liuana Virardi, Élo, Davide Cali, Henri Meunier, Emmanuel Bourdier, Isabelle Pandazopolous, Bastien Contraire, Bernadette Gervais, Annette Tamarkin, Arthur Ténor.
Muriel Mingau
12h14 dans News Sarah | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Livre Hebdo.fr - 1er février & 08 mars 2021
Le jury féminin du "Prix de La Closerie des Lilas" 2021 a retenu six romans parus à la rentrée d'hiver. La deuxième sélection sera annoncée le 9 mars. La date de remise n'a pas encore été fixée.
Cette première sélection a été retenue par le jury permanent avec le soutien d'Anne Nivat, Lydia Bacrie et Josyane Savigneau.
Les romans retenus :
Le jury permanent se compose d'Emmanuelle de Boysson, Adélaïde de Clermont-Tonnerre, Carole Chrétiennot, Stéphanie Janicot, Jessica Nelson et Tatiana de Rosnay. Le prix est doté de 3000 euros.
Par Isabel Contreras
06h45 dans News Sarah | Lien permanent | Commentaires (1)
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