Source : hostedbyjl.com
ROMY (L’important c’est d’aimer)
900 €
Mixte sur toile
Dimensions 80 x 80 cm
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Source : hostedbyjl.com
ROMY (L’important c’est d’aimer)
900 €
Mixte sur toile
Dimensions 80 x 80 cm
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02h00 dans Photo du jour | Lien permanent | Commentaires (2)
Editeur : Calvendo
14 pages
Sur Amazon.fr : Taille A2 - Taille A3 - Taille A4 ou Taille A5
Sortie : 15 avril 2017
Prix : de 19 à 50 euros selon la taille
NDLR : Même si les photos sont les mêmes que l'autre calendrier sorti chez cet éditeur, je trouve cette édition plus intéressante parce les photos ne sont pas coupées...
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Editeur : Calvendo
14 pages
Sur Amazon.fr : Taille A2 - Taille A3 - Taille A4 ou Taille A5
Sortie : 15 avril 2017
Prix : de 19 à 50 euros selon la taille
ISBN-10 : 3669306773
ISBN-13 : 978-3669306775
NDLR : Sortie avec 2 couvertures mais... On prend les même et on recommence !! Malheureusement, cet éditeur nous inflige chaque année le même calendrier avec les mêmes photos... Quel dommage !
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Source : Sud Ouest.fr - 06 août 2017
Comment sont-ils devenus artistes ? Tout l’été, "Sud Ouest Dimanche" pose la question à différentes personnalités. Après Julien Doré, Matthieu Chédid et Amélie Nothomb : Sarah Biasini
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Sarah Biasini : "Je ne voulais pas qu’on me casse les pieds avec ma mère"
Sarah Biasini est la fille de Romy Schneider. Il lui a fallu des années pour admettre qu’elle voulait être actrice. Après des débuts à la télévision, elle enchaîne les rôles au théâtre. Cette rentrée, elle s’apprête à répéter «Modi» de Laurent Seksik, avec Stéphane Guillon dans le rôle du peintre Modigliani, dont elle interprète la dernière compagne.
Sud Ouest Dimanche : Comment est née votre vocation ?
Sarah Biasini : C’est difficile de parler de vocation parce que pour moi, la vocation est quelque chose qui arrive très tôt, pour quoi on oublie tout le reste et à quoi on se consacre complètement. J’ai toujours été fascinée par les gens qui avaient su très tôt ce qu’ils allaient faire, qui avaient découvert très tôt leurs dons ou leurs moyens d’expression. C’est pourquoi j’aurais du mal à employer le mot de vocation, et si je l’employais, ce serait sous forme de vocation non assumée. Comédienne, c’est un métier magnifique bien sûr, mais j’aurais adoré être peintre, écrivain…
Sarah Biasini : "Comédienne, c’est un métier magnifique bien sûr, mais j’aurais adoré être peintre, écrivain…" |
SOD : À quel moment vous êtes-vous dit : « Je veux être comédienne ? »
SB : À 14–15 ans. J’adorais aller au cinéma. Je me rappelle être dans une salle obscure et me dire : je pourrais faire ça. Mais c’est comme un truc qui n’est pas accessible, que je ne m’autorise pas et dont je rêve en cachette. D'ailleurs, j’ai suivi des études d’histoire de l’art après avoir passé une licence d’anglais. Mon père m’a toujours emmenée dans les musées, depuis que je suis petite.
J’aurais aimé aussi être restauratrice de tableaux, mais je n’étais pas assez bonne en chimie, et je ne suis pas une grande travailleuse, j’aime beaucoup la paresse. Donc, je termine péniblement mes études et mon père me dit : ‘‘Si tu avais une baguette magique, tu voudrais faire quoi ?’’ Et je pense : "Etre comédienne". J’ai 23 ans et je me le dis enfin. Enfin, j’arrive à verbaliser un truc que j’ai pensé très fort pendant des années. Et à partir de là, je ne peux plus revenir en arrière, ni faire semblant de vouloir faire autre chose.
SOD : Vous prenez des cours ?
SB : Je ne voulais pas prendre des cours à Paris, je ne voulais pas qu’on me casse les pieds avec ma mère, je voulais pouvoir me tromper, faire des erreurs, être moi-même. Alors je m’inscris pour entrer à l’Institut Lee Strasberg, à Los Angeles, où j’ai de la famille. C’est sympa, c’est à l’américaine, on fait de la comédie, mais aussi du chant, de l’escrime, de la gymnastique. On apprend la méthode Stanislavski dont est issu l’actor's studio. C’est presque un début de psychanalyse. Fondé sur des émotions et des sensations. Donc, on développe sa mémoire. On nous répète que notre travail, c’est de chercher dans ce qu’on a vécu ce qui puisse être au plus près de la vérité du personnage. Aujourd'hui, je n’ai pas d’autre manière de trouver la vérité de mes personnages. Parce que du coup, on ne joue pas, on est.
SOD : Dans quelle mesure votre mère a pu être un modèle à ce moment-là ?
SB : Cela m’était impossible de la prendre comme modèle, surtout pas. J’aurais pu si je l’avais connue davantage, mais là, quand je la voyais à l’écran, j’avais trop de découvertes à faire avant de pouvoir regarder son travail. Je n’étais que dans l’examen de son anatomie, de sa voix, et même à présent, je me l’interdis, je crois que j’aurais trop peur de la copier ou d’essayer d’être comme elle. Déjà, quand il m’arrive de l’entendre pendant que je joue, parce que, l’accent mis à part, j’ai un timbre très similaire… Je m’en empêche, je ne peux pas… J’ai trop besoin de l’observer pour la connaître. Je ne me souviens pas de sa peau, je ne me souviens pas de son parfum. Il y a des couches de travail à faire pour moi parce qu’elle appartient à tout le monde. Tout le monde l’aime. Mais c’est ma mère. C’est la personne la plus proche de moi et en même temps…
Je n’ai que des flashs d’elle, rien de concret. Ce n’est pas comme quand on perd un parent à 14 ou 15 ans. Après, j’ai fait ma vie. Je ne voulais plus y penser. Les films, ça réveille le manque, ça réveille la douleur. C’est pourquoi je n’ai pas vu tous ses films – et je n’ai pas envie de tous les voir d’ailleurs. Parce qu’il faut que j’avance et je ne vais pas me culpabiliser de ne pas avoir vu tous ses films…
SOD : Mais vous avez eu d’autres modèles ?
SB : Oui, j’ai adoré Juliette Binoche, Isabelle Adjani. Ce sont les films surtout qui m’ont servi de modèles. Gena Rowlands, bien sûr, dans les films de Cassavetes.
SOD : Votre entourage vous a-t-il encouragée ?
SB : Oui, mon père m’avait dit bien avant que je le décide : «Tu devrais être actrice.» Et je lui avais rétorqué : «Jamais de la vie !»
SOD : Est-ce que l’on hérite d’une disposition malgré tout ?
SB : Oui, sans doute, et sans doute aussi que j’ai choisi ce métier pour rencontrer ma mère. Mais quand on décide de faire le métier de ses parents, c’est très dur. Il y a des comparaisons, forcément, c’est normal, j’avais qu’à choisir autre chose… Mais du coup, on se demande si on fait ce métier pour les bonnes raisons. Est-ce que la recherche de sa mère est une bonne raison ?
SOD : Quelle qualité vous a été essentielle ?
SB : L’honnêteté. Je suis honnête. Je ne me la joue pas, je suis lucide, aussi, j’aime observer, j’aime analyser, je sais observer. Je regarde qui j’ai en face de moi et j’ai de l’instinct. Cela ne m’empêche pas d’être mon pire ennemi.
SOD : Êtes-vous à la hauteur de la petite fille que vous étiez ?
SB : Oui, je suis à la hauteur de mes rêves d’enfant. Mais pas à la hauteur de mes rêves d’adulte. (Sourire.)
Par Sophie Avon
En quelques dates :
22h10 dans Presse - 2017 | Lien permanent | Commentaires (1)
Editeur : Weingarten
14 pages
33x68 cm
Prix : ~ 28 euros
A commander sur Amazon.de
04h00 dans Calendriers | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Catawiki
Technique : Acrylique sur toile
Signature : Signé
Édition : Original
Condition : Neuf
Période : Années 2000
Artiste : Oleg
Titre: Romy Schneider painting
Technique : acrylic
Dimensions : 90x90 cm
04h00 dans Artistes | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Le Monde - 1er août 2017
Jean-Claude Bouillon a joué dans de nombreux rôles au cinéma, à la télévision et au théâtre au cours d’une carrière de cinquante ans.
Connu notamment pour son rôle du commissaire Paul Valentin dans la célèbre série télévisée Les Brigades du Tigre, le comédien Jean-Claude Bouillon est mort à Marseille des suites d’un cancer lundi 31 juillet 2017. Il avait 75 ans.
Né à Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) le 27 décembre 1941, Jean-Claude Bouillon a joué dans de nombreux rôles au cinéma, à la télévision et au théâtre au cours d’une carrière de cinquante ans. C’est surtout la série télévisée culte Les Brigades du Tigre qui fait connaître au grand public ce bel homme, fine moustache et regard clair : de 1974 à 1983, il y tient le premier rôle, celui du commissaire Paul Valentin, à la tête de ces fameuses brigades mobiles créées par Georges Clemenceau avant la première guerre mondiale.
Dans une ambiance Belle Epoque très soignée et sur une musique entêtante signée Claude Bolling, la série met en scène les enquêtes d’un trio de policiers de choc, Valentin, Pujol (Jean-Paul Tribout) et le jovial Terrasson (Pierre Maguelon), aux moustaches aussi épaisses que son accent méridional. Jean-Paul Tribout est le dernier membre du trio encore en vie : Pierre Maguelon est mort en juillet 2010 d’une hémorragie cérébrale à l’âge de 76 ans.
[...] Lire la suite sur "Le monde"
14h25 dans Carnet noir | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Paris Match - 04 août 2017
Jeanne la Française a bouleversé l’ordre du monde cinématographique
Jeanne, c’est une voix. Une voix rauque et grave qui semble sortie de lointains ailleurs. Jeanne, c’est aussi une bouche. Une bouche fiévreuse et frissonnante. A la lèvre inférieure tombante. Moue presque hautaine de femme volontaire, à mi-chemin entre la vamp vénéneuse et la mante religieuse. Jeanne, c’est encore des paupières. Des paupières lourdes, ourlées et ombrées. D'un pas décidé, nez levé, yeux mi-clos et lèvres sèches, elle n’a cessé d’entrer dans une suite ininterrompue de chefs-d’œuvre. Actrice de toutes les époques, elle a réussi à n’être d’aucune et à gagner, par les voies de l’enfer ou du ciel, l’éternité de son vivant.
Qu’elle soit mariée aux couleurs du deuil, Mata Hari, danseuse espionne, flambeuse de casino platinée dans « La baie des Anges », Catherine II impératrice de Russie, sous-prieure de couvent dans « Le dialogue des carmélites », elle est, depuis sept décennies, une créature mythique faisant les quatre cents coups et défiant les modes et le temps.
Constamment coulée en des personnages dont personne n’a jamais su s’il fallait les adorer ou les haïr, elle a pu, avec cette allure inimitable et ce visage marqué, changer de registre, brouiller les pistes pour se classer dans la catégorie des monuments souverains. Au début, sa voie semble toute tracée entre les ruelles du vice et le boulevard du crime. Dotée d’un indéniable rayonnement sensuel, courtes mèches frisottées et anneaux d’or aux oreilles, affichant le sexe sur son visage, elle commença sa carrière par une longue liste d’emplois de garces, interchangeables avec ceux d’Annie Girardot. Lorsque l’une n’était pas libre, l’autre était engagée à sa place. Les deux comédiennes, pareillement sociétaires à la Comédie-Française, se remplaçaient à la scène comme à l’écran. Jeanne commença ainsi, en vamp de première catégorie dans des films de second ordre. Après avoir effectué sa toute première apparition à l’écran en 1948 dans «Dernier amour » comme rivale d’Annabella, elle traversa, en poule tenant le haut du pavé, «Pigalle-Saint-Germain-des-Prés», «Meurtres ?» et «L’homme de ma vie», puis monta en grade. Dans «Touchez pas au grisbi», maquillée à la tonkinoise et coiffée façon tapineuse de Pigalle, elle recevait une taloche aller-retour musclée de Jean Gabin.
Par Henri-Jean Servat
[...] Lire la suite sur Paris Match.com
14h05 dans Carnet noir | Lien permanent | Commentaires (0)
DVD - 3 disques
Titre original : Erinnerungen an Romy Schneider
Studio : Universum Film GmbH
Contient : Jeunes filles en uniforme + Mademoiselle Ange + La passante du Sans-Souci
Langues : Allemand et Français
Sous-titres : Allemand et Anglais
Bonus : ?
Sortie le : 06 octobre 2017
Prix : ~ 18 euros
Disponible sur Amazon.de
13h37 dans En DVD ! | Lien permanent | Commentaires (3)
Auteur : Guy Deloeuvre
Edition : Amazon.fr
Langue : Français
Format : Kindle (sur tablette, donc !)
240 pages
Sortie le : 29 juillet 2017
Prix : 3,40 euros
Disponible sur Amazon.fr
Le mot de l'éditeur : La carrière de Romy Schneider est marquée par deux orientations divergentes : la première est celle des années de jeunesse, sous l'influence de sa mère Magda qui l'impose comme la jeune héroïne allemande typique, fraîche et tumultueuse, dans des films pastoraux et romantiques : l'ère des Sissi....
13h27 dans Les livres | Lien permanent | Commentaires (0)
DVD - 3 disques
Studio : Lobster Films
Langue : Français
Sous-titres : ?
Bonus : ?
Sortie le : 05 septembre 2017
Prix : ~ 20 euros
Disponible à la commande sur Amazon.fr
13h23 dans En DVD !, Film-1964-Enfer | Lien permanent | Commentaires (1)
DVD - 1 disque
Studio : TF1 Studio
Langue : Français
Sous-titres : ?
Bonus : ?
Sortie le : 05 septembre 2017
Prix : ~ 10 euros
Disponible à la commande sur Amazon.fr
13h16 dans En DVD !, Film-1981-Garde à Vue | Lien permanent | Commentaires (0)
04h00 dans Thea-1962-Mouette | Lien permanent | Commentaires (1)
03h05 dans Photo du jour | Lien permanent | Commentaires (0)
03h00 dans Photo du jour | Lien permanent | Commentaires (0)