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Source : Le Figaro.fr - 27 janvier 2017
L'inoubliable détective de la série policière culte de la fin des années 60 vient de disparaître à l'âge de 91 ans. Les cinéphiles se souviendront qu'il travailla avec Cecil B. DeMille, Romy Schneider, Alec Guinness, Robert Redford et Jack Lemmon.
L'acteur américain Mike Connors vient de disparaître à l'âge de 91 ans. Pour la postérité, il restera Joe Mannix, le formidable détective privé de la série culte policière, qui fit fureur sur les écrans de télévision à la fin des années 60.
Mais pour les cinéphiles scrupuleux, le comédien californien n'a pas été qu'un héros de série, fût-elle mythique. Durant une longue carrière qui dura de 1952 à 2003, il travailla avec quelques-uns des plus grands noms du cinéma mondial. Les anthologies du 7e art se souviendront que Cecil B. DeMille lui confia le personnage d'Amalekite herder dans "Les Dix Commandements" (1956).
Il joua aussi dans la comédie "Prête-moi ton mari" (1964) en compagnie de Romy Schneider et Jack Lemmon. Enfin il donna la réplique à Alec Guinness et Robert Redford dans "Situation désespérée, mais pas sérieuse" (1965).
13h14 dans Carnet noir | Lien permanent | Commentaires (2)
Source : Normandie.fr - 25 janvier 2017
Théâtre. Le metteur en scène à succès Christophe Lidon s’attaque pour la première fois à Feydeau et s’offre une belle brochette d’acteurs pour ce «Fil à la patte» donné à Vernon et Évreux.
Pour le metteur en scène Christophe Lidon, «monter Un fil à la patte de Feydeau aujourd'hui, c’est aller rechercher l’esprit français», et aussi «prendre un texte qui impressionne, oblige à se surpasser. Aussi on utilise des armes fatales !». Ces armes s’appellent Catherine Jacob, Sarah Biasini, Yvan Le Bolloc’h et Dominique Pinon, tous partants pour cette aventure théâtrale avec un metteur en scène désormais installé à Orléans qui ose tous les registres ou presque. La pièce à succès est présentée à l’espace Philippe Auguste à Vernon ce vendredi et au Cadran à Évreux le 7 février 2017.
«Je déplace le spectacle vers la fin des années 1940. L’idée est d’aller vers une comédie à la Billy Wilder, aller dans le ridicule tout en étant sincère, que ça swingue avec du jazz comme colonne vertébrale, que les gens aient envie de danser. Je n’ai jamais abordé ce type de répertoire. Il fallait aussi rencontrer les bonnes personnes avec une couleur d’acteurs pour coloriser ce que j’ai en tête», souligne le metteur en scène.
Sous les yeux de l’inénarrable baronne Catherine Jacob, Sarah Biasini incarne une Lucette Gautier pleine de naturel, de vivacité et de charme, face à Yvan Le Bolloc’h qui endosse les habits du séducteur Bois d’Enghien, fort malmené et vite dépassé par les événements.
Dominique Pinon prête son talent à l’étrange et désarmant Bouzin, victime éternelle. Pour compléter le tableau, le furieux général Irrigua, amoureux de Lucette et prêt à tout pour conquérir la belle, prendra les traits de Bernard Malaka...
Costumes façon Dior
L’histoire gagne en glamour et en sensualité dans le Paris des années 50, fait de music-hall, de cabarets et de joie de vivre débridée, synonyme dans le monde entier d’une capitale du spectacle et de la nuit à son apogée. Le décor joue de l’esthétique de cette époque et bénéficie de l’intervention poétique d’images de cinéma, avec des costumes «new-look» façon Christian Dior qui apportent à l’ensemble le faste d’un Paris capitale de la mode et du divertissement. Le jazz bondissant de la bande-son donne à tous le tempo effréné sans lequel le «Fil à la patte» n’est pas du «pur» Feydeau.
UN FIL À LA PATTE
À l’Espace Philippe-Auguste de Vernon le vendredi 27 janvier 2017à 20 h 30.
Tarifs 24/33 €.
Tel 02 32 64 53 16.
Au Cadran à Évreux le 7 février 2017.
12h58 dans Thea-2017-Fil-Patte | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : La Montagne.fr - 25 janvier 2017
Aux côtés d’Yvan Le Bolloc’h et de Catherine Jacob, Dominique Pinon se retrouvera à Moulins samedi 4 février 2017, avec "Un fil à la patte". Il interprétera un musicien (NDLR : Parolier, plutôt) raté, qu’il rend touchant grâce à son grand talent.
«Clerc de notaire de profession, compositeur par vocation, Bouzin écrit des chansons qui ne sont pas très bonnes mais il persévère. Il est ridicule et touchant». Dominique Pinon s'est glissé dans la peau de ce musicien raté, dans le Paris bohème d'après-guerre, et lui donne l'épaisseur requise pour aller au-delà de la farce.
La tournée a démarré le 19 janvier. Les comédiens seront au théâtre de Moulins le 4 février 2017.
Vous avez bientôt 40 ans de carrière. De quels films vous parle-t-on le plus ?
Les gens ont retenu "le Fabuleux destin d'Amélie Poulain". On me parle de "Delicatessen" et des films de Jean-Pierre Jeunet.
Même quand ils ne disent rien, les gens ont la banane en me voyant, ils sourient. C'est très agréable.
Un souvenir de carrière ?
La pièce mise en scène par Zabou Breitman "L'Hiver sous la table" est un souvenir formidable. Une super aventure qui s'est conclue par six Molière, en 2014. L'univers de Roland Topor me convient tout à fait, drôle et poétique, incongru. Bon, malheureusement, j'ai obtenu un Molière pile l'année où la cérémonie n'a pas été diffusée à la télévision.
Qu'avez-vous aimé dans cette pièce de Feydeau ?
Chez Feydeau, la mécanique de chaque personnage enclenche des catastrophes comiques. Le metteur en scène Christophe Lidon a transposé l'histoire dans le Paris d'après-guerre, dans un milieu bohème chic très festif. Clerc de notaire de profession, compositeur par vocation, Bouzin écrit des chansons qui ne sont pas très bonnes mais il persévère. Il est ridicule et touchant.
Par ailleurs, je connaissais un peu mes partenaires : j'ai déjà joué avec Sarah Biasini dans "La tempête" de Shakespeare ; avec Yvan Le Bolloc'h on s'était croisé dans "Caméra Café", j'avais été guest ; et avec Catherine Jacob on a tourné "Dikkenek", un tournage un peu fou mais un très bon souvenir.
Vous n'avez jamais été cantonné dans un type de rôle.
C'est le plaisir du comédien de varier les émotions. Je reconnais que j'ai eu de la chance dans ma carrière. Je vais là où on me désire. Théâtre, cinéma, je ne me mets pas de limite, pas de règle. C'est le même métier pour moi.
Comment vous êtiez-vous retrouvé au casting d'Alien ?
"Alien, la résurrection", le volet 4, a été réalisé par Jean-Pierre Jeunet. J'ai reçu un coup de fil de lui ; il était à Los Angeles avec Sigourney Weaver. "Elle te veut comme partenaire" ! Je n'ai pas pu refuser !
Ce n'est pas ma seule expérience english. J'ai tourné plusieurs fois avec le réalisateur britannique Ken McMullen. En 2017, je vais tourner dans "Hamlet". J'ai aussi tourné pour une série Netflix qui s'appelle "Outlander".
Je ne cherche pas une carrière hors de France. C'est arrivé parce que je parle bien anglais. Après le bac, j'ai vécu un an aux États-Unis, grâce à une association, l'AFS, l'American Field Service. Ma famille d'accueil bénévole était en Alabama et j'ai été à la high school là-bas.
Pratique : "Un fil à la patte" de Georges Feydeau
samedi 4 février 2017 à 20 h 30 au théâtre de Moulins.
Tarifs : 20 €
Renseignements : 04.70.48.01.05.
Stéphanie Ména
18h48 dans Thea-2017-Fil-Patte | Lien permanent | Commentaires (0)
J'espère que vous pourrez aller voir la pièce "Un fil à la patte" !
Sarah Biasini y tient son premier grand rôle dans une vraie comédie très drôle et l'on passe un très moment en sa compagnie mais aussi avec Yvan Le Bolloch, Catherine Jacob et Dominique Pinon... Et tous les acteurs !
Pour retrouver les dates de la tournée, c'est par ici...
00h29 dans Thea-2017-Fil-Patte | Lien permanent | Commentaires (0)
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09h11 dans Le Magazine | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : ln-online.de - 27 décembre 2016
Süssau/Fehmarn. "3 Tage in Quiberon" – länger hat Romy Schneider nicht Zeit, um sich von ihrem Image als Sissi-Darstellerin zu lösen. Können ihr ein Journalist und ein Fotograf dabei behilflich sein? Auf Fehmarn und in Süssau wurde ein Teil eines Films gedreht, der sich um wahre Begebenheiten Anfang der 1980er Jahre in der französischen Bretagne rankt.
Zur Geschichte : Der internationale Star Romy Schneider, hier gespielt von Marie Bäumer, ist 1981 für einige Tage in Quiberon in einem Sanatorium. In der Hafenstadt am Atlantik wird sie vom Fotografen Robert Lebeck und dem Journalisten Michael Jürgs besucht, die mit ihr ein Interview führen wollen. Ziel von Romy Schneider ist es, endlich ihr Sissi-Image los zu werden. Ihre Freundin Hilde ist ebenfalls anwesend. Die drei Tage werden für alle Beteiligten anstrengend.
Für die Innenaufnahmen fanden die Produktionsfirma Rohfilm Factory GmbH aus Berlin sowie die Autorin und Regisseurin Emily Atef mit einem alten Restaurant an der Süssauer Promenade und dem denkmalgeschützten ehemaligen Haus des Kurgastes in Burgtiefe auf Fehmarn zwei geeignete Drehorte. Auf Fehmarn wurde eine Hotelhalle nachempfunden im Stil der 1970/1980er Jahre. In Süssau wiederum wurde das Lokal für Nachtszenen gebraucht. Mit einem Spaziergang am Meer beginnt der Film und führt im Laufe des Abends in eine Hafenbar.
Robert Lebeck beschrieb diese Szenerie bereits vor einigen Jahren. So sei Romy Schneider in dem Fischrestaurant von einem kauzigen Mann gefragt worden, ob sie nicht die Sissi sei. Und der Filmstar, der eigentlich immer vor der Sissi geflohen sei, hätte sich geschmeichelt gefühlt, "Oui" (= französich Ja) gehaucht und zum Erstaunen ihrer Begleiter mit dem Fremden getanzt.
Der Film ist mit Charlie Hübner als Robert Lebeck, Robert Gwisdek als Michael Jürgs sowie mit Yann Grouhel und Birgit Minichmayr hochkarätig besetzt. Die Erzählung stützt sich auch auf die Autobiografie "3 Tage in Quiberon" über den Weltstar von Michael Jürgs. Er hat diese drei Tage im Leben einer modernen Frau beschrieben, aufgerieben zwischen der Leidenschaft für ihren Beruf und der Liebe zu ihren Kindern.
Jürgs war bis zum mysteriösen Tod von Romy Schneider mit ihr befreundet und schildert in seinem Buch, so die Kritiker, einen sehr persönlichen, behutsamen, ja zärtlicher Versuch einer Annäherung an diese weltberühmte Frau.
Die Produktion gehört zu 25 Spiel- und Dokumentarfilmvorhaben sowie sechs Drehbuchprojekten, die die Filmförderung der Bundesregierung mit einem Gesamtvolumen von fast sechs Millionen Euro unterstützt. Außerdem wird "3 Tage in Quiberon" durch die Filmförderung Hamburg und Schleswig-Holstein gefördert, was auch bedingt, dass Dreharbeiten in diesen Bundesländern stattfinden. Die Außenaufnahmen wurden größtenteils an der Atlantikküste gedreht. Wann der Film zu sehen sein wird, steht noch nicht fest.
Markus Billhardt
12h10 dans Films-Romy | Lien permanent | Commentaires (0)