Avec la collaboration de Renate Seydel
Langue : Allemand
Sous-titre : Tagebuch eines Lebens
Voir également l'édition française.
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Avec la collaboration de Renate Seydel
Langue : Allemand
Sous-titre : Tagebuch eines Lebens
Voir également l'édition française.
11h03 dans Les livres | Lien permanent | Commentaires (1)
Voici le calendrier 2007 de chez Romy.de.
Prix : 25 euros.
Taille : 48 x 34 cm
Mon avis : un peu cher. Très grande taille alors pas évident à ranger ou afficher. Il faut espérer que les photos sont jolies et de bonne qualité (j'ai été déçue par le calendrier "Sissi" pour 2006). On rajoute un peu et on achète le livre de Helga Kneidl où figurent ces photos...
Est-ce que quelqu'un l'a acheté ? Si oui, qu'en pensez-vous (niveau qualité surtout) ?
Novembre 2007
Le prix est désormais inférieur à 10 euros...
20h41 dans Calendriers | Lien permanent | Commentaires (4)
Avec la collaboration de Renate Seydel
Langue : Français
320 pages - 46 pages photos en noir et blanc sur papier glacé.
Voir également l'édition allemande.
Mon avis : A lire mais en gardant ses distances car la réalité des écrits restent à prouver (je pense). Intéressant.
10h46 dans Les livres | Lien permanent | Commentaires (3)
De bien belles photos sur "La planète bleu.com" mais avec de GROS logos... Tant pis...
00h47 dans FilmTV-2007-Tant Hais | Lien permanent | Commentaires (2)
10h36 dans Les livres | Lien permanent | Commentaires (4)
Article intérieur : * Sarah Biasini sur les traces de Romy Schneider 3 pages |
Source : TV Mag.com - 10 septembre 2004
Sur les traces de Romy Schneider ...
Elle a les yeux clairs qui pétillent, le nez fin, les cheveux blonds qui frisent (à son grand désespoir) et un visage de caractère loin des archétypes à la mode. Elle a aussi le sourire enchanteur de sa maman, Romy Schneider, sa photogénie - «la caméra l'aime», assure la réalisatrice Charlotte Brändström - et sa façon de parler posée, déterminée, rapide qui laisse peu de place à l'hésitation. «En fait, j'ai de bonnes idées et j'ai peur de les oublier avant de les avoir dites», justifie Sarah Biasini avec une simplicité charmante.
Et si elle a paru se chercher et a longtemps refusé de l'admettre, elle sait aujourd'hui que le métier d'actrice lui colle à la peau. Et que c'est plus fort que tout. Qu'au fond, la difficulté d'être la fille de Romy Schneider, c'était surtout la tragédie d'avoir perdu sa maman à 4 ans. Car assurément le sourire et la spontanéité de Sarah Biasini démentent que l'héritage serait lourd à porter. Élevée loin des projecteurs du septième art, Sarah a pendant longtemps ignoré les lumières de cet univers et forcément sa face d'ombre. Quand, à 7 ans, elle regardait les «Sissi» qui avaient révélé sa mère, peut-être rêvait-elle d'être elle aussi une héroïne, mais comme toutes les petites filles du monde elle ne se disait pas qu'elle voulait faire comme sa maman. «Quand elle a tourné ces films, ma mère était très jeune. Comme je ne l'avais pas connue. Pour moi, ce n'était pas elle.» Sarah éclate même de rire à l'évocation de questions posées par des personnes mal informées ou qui n'ont pas le sens de la chronologie. «On m'a demandé si moi aussi j'avais joué avec elle dans "Sissi".»
D'autres ont même imaginé qu'elle était la petite fille blonde de "César et Rosalie" «Je n'étais pas née», s'amuse-t-elle. Plus tard, lorsqu'elle a découvert les films d'adulte de Romy, "Les Choses de la vie", "La Piscine" ou "La Passante du Sans-Souci", là encore elle a fait la distinction entre la femme dans le souvenir duquel sa famille l'entretenait et le mythe. «Je regardais l'actrice, son travail, pas ma mère.»
Longtemps donc, Sarah Biasini s'est refusée à penser qu'elle pourrait faire comme beaucoup d'enfants, céder à la facilité et embrasser la carrière d'un de ses parents. Qui, dans son cas, était déjà celle de ses grands-parents maternels, Magda Schneider et Wolf Albach-Retty et de son arrière-grand-mère, Rosa Albach-Retty. Non, Sarah ne pensait pas à tout ça. «Quand on a 15 ans, on ne sait pas forcément ce qu'on veut. J'envie ceux qui ont une idée bien arrêtée depuis le départ. Moi ça n'était pas mon cas. J'avais juste décidé que je ne ferais jamais ce métier.» Adolescente normale, «ni garçon manqué ni obsédée par les fringues», en grandissant elle s'intéresse alors volontiers à des domaines artistiques autres que celui du cinéma. La peinture, la sculpture, l'architecture. «Plus le temps passait, plus j'étais confortée dans mon idée. Je crois au fond que j'avais besoin de me prouver des choses à moi-même. Me prouver que je pouvais évoluer différemment, en dehors d'un chemin tout tracé.» Elle étudie donc l'histoire de l'art, passe sa maîtrise, travaille avec des commissaires-priseurs, pour des musées. «L'idée d'oeuvrer pour faire découvrir le patrimoine au plus grand nombre m'a toujours séduite.»
Séduite peut-être, mais pas conquise. «Je n'étais pas totalement épanouie. La vie, le temps passe vite. Soudain, à 25 ans, j'ai ressenti comme une urgence. Je devais faire des choix. J'ai eu peur de me dire à 40 ans que j'avais loupé ma vie en ne faisant pas quelque chose qui me satisfaisait totalement. Je me suis dit qu'il fallait que j'arrête de me cacher les yeux. Si je voulais être comédienne, il fallait y aller. Tout de suite. C'était plus fort que tout. Je devais arrêter d'avoir peur du regard des autres et des a priori.»
Prudente cependant, ne désirant pas s'exposer outre mesure, Sarah décide alors avec pragmatisme d'aller suivre des cours aux États-Unis et s'installe à Los Angeles dans la famille de son père. «Là-bas tout le monde veut faire du cinéma, même le serveur de la pizza du coin, c'est la chose la plus naturelle au monde.» Elle s'inscrit dans une des écoles de Lee Strasberg et apprend ses premiers textes en anglais. «Ce n'était pas si facile, je parle cette langue couramment mais quand même pas comme le français.» Mais elle se sent bien. Elle réalise qu'elle a du plaisir en donnant la réplique à d'autres. «Ça ne voulait pas dire que j'avais du talent, mais qu'au moins j'étais à l'aise. Quand on décide, on est seul au fond à faire des choix.» Côté familial d'ailleurs personne ne s'oppose à cette vocation, comme on lui avait laissé le choix de se lancer dans l'histoire de l'art. «En fait ce qui compte pour mon père et ma famille, c'est que je sois heureuse. Ils m'ont laissée me débattre. Si j'avais décidé d'aller élever des chèvres dans le Larzac ils m'auraient laissé faire.»
En rentrant à Paris tout va très vite. À peine s'est-elle trouvé un agent qu'on lui propose le rôle de Julie de Maupin librement inspiré du roman de Théophile Gautier. «Je m'étais juré de ne pas brûler les étapes. Mais ce rôle de femme rebelle et fougueuse sur les traces de ses origines, c'était très tentant. De plus comme elle, je n'aime pas qu'on me dise ce que je dois faire !»
Mais pour le personnage, elle doit apprendre à porter des corsets féminins et des bottes de cavalière, monter à cheval, combattre à l'épée et chanter. Elle qui se dit peu sportive - «un peu de jogging par-ci par-là et un saut à l'élastique de 61 mètres en Normandie avec des copains», annonce-t-elle quand même fièrement -, ne recule devant rien. «Au moins ce tournage m'aura permis d'apprendre l'équitation avec Mario Lurashi et de connaître la griserie des chevauchées au galop.» Avec Michel Carriez, elle apprend aussi l'art de l'escrime, travaille sur la chorégraphie de sept combats. «L'escrime, c'est à la fois gracieux et ça permet d'évacuer la rage ou le stress que l'on peut avoir en soi.» Ses cours de chant n'en font pas non plus une artiste lyrique «mais j'ai appris à chanter autrement», ajoute-t-elle.
Pendant plusieurs semaines de préparation, Sarah se plie donc à une discipline rigoureuse. «Ce ne sont pas non plus mes expériences de danse classique quand j'avais 8 ans qui m'ont aidée, à l'époque, j'étais plutôt gauche», se souvient-elle. Sarah Biasini n'est décidément pas du genre à se flatter ou à déguiser la réalité. D'ailleurs quand on lui demande si, pour éviter les comparaisons évidentes avec sa mère, elle n'a pas eu envie, par exemple, de changer la couleur de ses cheveux, elle s'amuse franchement. «J'aurais pu. Mais je n'aime pas changer la nature des choses. Pour les besoins d'un rôle, je n'hésiterais pas, mais changer d'apparence pour aller contre la nature, ça ne me plaît pas. Si on est fait comme on est, c'est sans doute parce que c'est ça qui nous va le mieux !» Une philosophie originale qui va, c'est certain, à l'encontre de la mode actuelle.
Mais ce qui a été le plus difficile pour elle, reste évidemment l'interprétation. «C'est compliqué et magnifique à la fois. J'ai essayé de me fondre avec le personnage, de lui donner une humanité, de puiser dans mon expérience personnelle», explique-t-elle ajoutant que ses modèles d'actrice - en dehors de Romy - sont Juliette Binoche, Isabelle Huppert, Meryl Streep. «J'aime leur sincérité et leur simplicité.» Côté masculin, elle a adoré la grâce et la beauté de Jean Marais et de Gérard Philipe dans les films de cape et d'épée. «J'étais amoureuse», se souvient-elle. Elle admire aussi Alain Delon qui fit battre le coeur de sa mère. Elle cite "La Piscine", "Plein Soleil", "Monsieur Klein" surtout. Sait-elle si l'acteur a regardé sa prestation dans Julie de Maupin ? «Je ne sais pas, on ne se voit pas beaucoup. Mais j'aimerais avoir son avis ! Comme j'aimerais avoir celui de beaucoup de monde.»
04h00 dans Presse - 2004, Revue France Soir | Lien permanent | Commentaires (0)
Sous-titre : Biographie eines Abschieds
Auteur : Bernard Pascuito
Editions : Langen Müller
Année : 2003
Langue : Allemand
272 pages - 48 photos en noir et blanc sur papier glacé.
ISBN : 3-7844-2898-3
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Mon avis : Edition allemande du livre "La double mort de Romy". Cover et photos bien plus belles que sur l'édition française. |
10h21 dans Les livres | Lien permanent | Commentaires (0)
Auteur : Bernard Pascuito
Editions : Albin Michel
Année : 2002
Langue : Français
258 pages - 13 photos en couleur sur papier glacé.
ISBN : 2-226-13135-3
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Mon avis : Pas lu... Donnez-moi le votre. Ce livre a également été édité en Allemagne. |
10h16 dans Les livres | Lien permanent | Commentaires (5)
BOF du film "L'assassinat de Trotsky"
Extrait issu du DVD.
Générique de début :
04h40 dans Film-1971-Trotsky, Musique / Audio | Lien permanent | Commentaires (0)
Article paru dans "Enjoy Vienna"
21h03 dans FilmTV-2007-Tant Hais | Lien permanent | Commentaires (0)
Sarah Biasini : dans cette interview, la fille de Romy Schneider parle de sa carrière dans le spectacle et ses amis à Vienne.
Si on regarde ses yeux bleus rayonnants, on reconnaît Romy. Si elle sirote rapidement le petit café-crème qui se trouve devant elle, elle le fait avec une grâce familière. Lentement, elle baisse le regard pour lever à l'improviste les épaules et sourire.
Sarah Biasini ne peut nier une seule seconde l’hérédité de sa célèbre mère Romy Schneider. La Parisienne de 29 ans qui étudiait l'histoire de l'art et a travaillé débuté sa carrière professionnelle en tant que journaliste, s’est décidé à marcher définitivement désormais sur les traces de sa mère. Sarah Biasini se trouve à présent devant la caméra dans « Nous nous sommes tant haïs » pour une production franco-autrichienne.
ÖSTERREICH a rencontré Sarah Biasini lors de son dernier jour de tournage à Vienne pour une l'interview.
ÖSTERREICH : Melle Biasini, comment est-ce de tourner un film dans la ville natale de votre mère ?
Sarah Biasini : J’ai éprouvé une immense joie, quand on m’a dit que nous tournerions à Vienne. Je voulais voir certains lieux que ma mère aimait et étaient proches du lieu de tournage. Malheureusement, j'ai eu trop peu du temps. Vienne est l'une des plus belles villes d'Europe. Je voudrais venir ici une fois avec tous mes amis français. Et puis, j'ai une tendresse toute particulière pour Vienne, car Julia Stemberger est une bonne amie à moi. Cette fois, malheureusement, nous ne pouvions pas nous rencontrer. Je voyage pas mal et Julia tourne au Canada. C'est dommage cela fait longtemps que nous ne nous sommes pas vus et elle me manque. Je voudrais jouer au moins une fois avec elle dans un film. Un scénario correct arrivera bientôt, peut-être.
ÖSTERREICH : Votre mère Romy Schneider est encore respectée par beaucoup de gens. Es-ce difficile pour vous d'être perçue comme une artiste indépendante ?
Sarah Biasini : Pour être honnête, au début, mon nom m’a beaucoup aidé à faire la connaissance des gens connus. Mais il a très vite été évident que les metteurs en scène ne me voulait pas me proposer un rôle, uniquement parce que je suis la fille d'une célébrité. Car se sont les talents artistiques sont exigés et non le nom que l’on porte. Je ne pouvais pas me reposer sur les laurier de ma mère, et j’ai du me prendre en mains Cela m'a aidé à devenir indépendante. Mais il faut du temps pour que je puisse prouver queje suis une bonne actrice.
ÖSTERREICH : De nombreuses personnes comparent votre exécution d'actrice avec celle de votre mère ?
Sarah Biasini : C’est ainsi. Mais cela ne me dérange pas du tout. J'ai appris à faire avec. J'essaie d'accomplir le mieux possible et honnêtement mon travail. Je ne peux pas faire plus. Maintenant, je fais ce que j’ai toujours voulu : être actrice.
ÖSTERREICH : Malgré cela, les gens vous parlent immédiatement de votre mère ?
Sarah Biasini : Je m'y suis résignée. Mais c’est très bien aussi de voir que beaucoup de personnes aiment encore ma mère. Non seulement ma mère, mais aussi mes grands-parents (Magda Schneider, Wolf Albach-Retty) qui étaient des acteurs de cinéma connus aussi.
Auteur: Alfred Strauch / ÖSTERREICH
20h48 dans FilmTV-2007-Tant Hais | Lien permanent | Commentaires (0)
19h13 dans Les vidéos montages | Lien permanent | Commentaires (0)
Article intérieur :
* Sarah Biasini in Bester stimmung
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Une petite traduction en anglais de l'article par Diana (Merci à toi).
Sarah Biasini in best mood
She laughs, waves and is jubilant. Sarah Biasini (29) enjoyed it obviously to be once completely herself. With the complex produced performance of Lew Wallaces "Ben Hur" in the "Stade de France" in Paris. Because the other spectators were so enthusiastic by the spectacular performance , that the young woman was once not asked for autographs. So she could be a part of the public But that she is constantly responded to Romy Schneider (+43), is ok for her : "She is my mother and I am very, very proud of her!"
11h43 dans Presse - 2006, Revue Heim und Welt | Lien permanent | Commentaires (0)
BOF du film "Le train"
Générique de début : L'attaque (1'18) :
L'exode (2'06) :
Anna (2'00) :
Le train (1'52) :
La nuit (1'47) :
La guerre (2'36) :
Le camp (2'31) :
La traversée (2'01) :
Générique de fin : Julien (1'54) :
11h38 dans Film-1973-Train, Musique / Audio | Lien permanent | Commentaires (0)
Auteur : Reinhold Beckmann
Editions : Sachbuch - Livre de poche n° 62083
Année : 2005
Langue : Allemand
238 pages - 14 photos en noir et blanc.
ISBN13 : 978-3-499-62083-6
ISBN10 : 3-499-62083-9
07h53 dans Les livres | Lien permanent | Commentaires (1)
23h32 dans Les vidéos montages | Lien permanent | Commentaires (0)