Source : Première
Titre original : Sisi & Ich
Date de sortie : 25 octobre 2023
Durée : 132 min
Réalisé par : Frauke Finsterwalder
Avec : Susanne Wolff , Sandra Hüller , Stefan Kurt Scénariste(s) Frauke Finsterwalder, Christian Kracht
Distributeur : Kinovista
Année de production : 2023
Pays de production Allemagne, Suisse, Autriche
Genre : Drame
Synopsis : Lorsque l’impératrice Sissi choisit Irma comme dame d’honneur pour l’accompagner dans ses escapades méditerranéennes, celle-ci se prête de bonne grâce à ses exigences. Rapidement, Irma semble parvenir à apprivoiser cette souveraine excentrique et éprise de liberté. Mais à leur retour en Bavière, les étouffantes conventions de la cour mettent leur apparente complicité à rude épreuve.
Avis de Première par Thierry Chèze : 70 ans après le film qui lança Romy Schneider, "Sissi", continue à inspirer les cinéastes. Après "Corsage" porté par Vicky Krieps, Frauke Finsterwalder entreprend de dépoussiérer l’image de la jeune monarque obéissante, tant par la forme (les anachronismes musicaux façon Marie- Antoinette) que sur le fond en se concentrant sur la dernière partie de sa vie et sa relation singulière en mode domination- soumission avec son ultime dame de compagnie. Comme "Corsage", "Sissi & Moi" s’appuie sur la qualité de son interprétation, à commencer par le duo formé par Susanne Wolff (Styx) et Sandra Hüller. Mais le portrait de cette Sissi, aussi capricieuse que traumatisée par les exigences de ses fonctions et fuyant la compagnie masculine pour vivre entourée de femmes séduit aussi par la qualité de son écriture, jouant entre pure fiction et faits historiques pour délivrer un manifeste féministe riche d’ambiguïtés.
17h03 dans Films-Sissi | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Télé Loisirs - 17 août 2022
Après la famille royale britannique, Netflix s'attaque à une autre lignée dont l'histoire à fasciné au point d'être plusieurs fois adaptée au cinéma : celle de Sissi, l'impératrice d'Autriche. La série "The Empress" devrait plaire aux fans de "The Crown".
Si vous êtes fan de "The Crown", la prochaine série Netflix devrait vous plaire. En effet, la plateforme de streaming a décidé de s'attaquer au monument de la littérature Sissi, impératrice malgré elle, d'Allison Pataki. Cette dernière fait d'ailleurs partie de la production de la série avec Michael Shamberg, à qui l'on doit notamment Pulp Fiction et Django Unchained. Cette mini-série allemande, intitulée "The Empress" (L'impératrice) et composée de 6 épisodes de 45 minutes chacun, devrait suivre la trame des romans et se concentrer sur la jeunesse de la duchesse de Bavière, alors qu'elle découvre la cour des Habsbourg. Si aucune bande-annonce n'est encore disponible en langue française, Netflix Allemagne a partagé sur Youtube une vidéo donnant un bel aperçu de la fiction. La série, elle, sortira le 29 septembre 2022. Un timing parfait en attendant la saison 5 de "The Crown", prévue pour novembre 2022.
Avec The Empress, Netflix revisite l'histoire d'amour de Sissi et Franz
Quand la rebelle Élisabeth ("Sissi") rencontre Franz, l'empereur d'Autriche, le jeune couple ne tarde guère à s'aimer d'un amour passionnel qui fera vaciller la structure même du pouvoir au sein de la cour viennoise. Une fois mariée, la jeune impératrice doit apprendre à s'affirmer, non seulement auprès de sa belle-mère, la souveraine avide de pouvoir Sophie, mais également auprès du frère de Franz, Maxi, qui convoite lui aussi le trône, ainsi que Sissi. Tandis que les troupes ennemies se rassemblent le long des frontières de l'empire des Habsbourg, le peuple de Vienne se soulève contre l'empereur. Élisabeth devra identifier ses vrais alliés et comprendre le prix à payer pour devenir une vraie impératrice et un symbole d'espoir aux yeux du peuple.
"The Empress" : qui pour succéder à Romy Schneider dans le rôle de Sissi ?
Jusqu'à présent, quand on pensait à Sissi, c'est le visage de la sublime Romy Schneider qui nous apparaissait. L'actrice a en effet prêté ses traits à l'impératrice d'Autriche dans "Sissi" (sorti en 1955), "Sissi impératrice" (1956) et "Sissi face à son destin" (1957). Un rôle qui lui collait à la peau ! Pas facile donc de passer après Romy Schneider. Pour cela, Netflix a choisi l’actrice allemande Devrim Lingnau. Elle donnera la réplique à l’acteur Philip Froissant dans le rôle de François-Joseph.
Preuve que l'histoire de Sissi est indémodable, TF1 avait proposé une mini-série avec de jeunes comédiens il y a quelques mois.
Marine GIRARD
10h01 dans Films-Sissi | Lien permanent | Commentaires (0)
La nouvelle série allemande dédiée à "Sissi" et dont le titre français sera "L'impératrice" sera disponible sur Netflix le 29 septembre prochain !
Résumé : Dans l'Autriche des années 1800, l'amour passionnel entre Sissi, la rebelle, et l'empereur Franz se heute aux complots et luttes de pouvoir au sein de la cour viennoise.
L'histoire : L’intrigue c’est qu’elle se concentre sur la rebelle Elisabeth (alias Sissi) mais aussi sur son époux, Franz, empereur d’Autriche : elle aborde des thèmes comme l’anorexie et les dépressions de la jeune femme. Par ailleurs, l’union et l’amour passionnel du couple ne tarderont pas à faire vaciller la structure même du pouvoir au sein de la cour viennoise ; une cour particulièrement marquée par la révolution de 1848.
Une fois mariée, la jeune impératrice devra également apprendre à s’affirmer, non seulement auprès de sa belle-mère, la souveraine avide de pouvoir Sophie, mais également auprès du frère de Franz, Maxi, qui convoite lui aussi le trône, ainsi que Sissi. Tandis que les troupes ennemies se rassemblent le long des frontières de l’empire des Habsbourg, le peuple de Vienne se soulève contre l’empereur. Élisabeth devra identifier ses vrais alliés et comprendre le prix à payer pour devenir une vraie impératrice et un symbole d’espoir aux yeux du peuple.
Distribution : Devrim Lingnau, Philipp Froissant, Melika Foroutan, Johannes Nussbaum, Elisa Schlott, Jördis Triebel, Almila Bagriacik, Wiebke Puls
Création : Katharina Eyssen
16h46 dans Films-Sissi | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Cinématraque - 20 mai 2022
[...] Plus que le nom de l’actrice ici, c’est le nom du personnage qu’elle incarne qui attirera l’attention du grand public. Vicky Krieps prête en effet dans "Corsage" ses traits à l’impératrice Elisabeth de Bavière, plus connue sous le surnom de Sissi. Personnage emblématique des représentations historiques du septième art, évidemment grâce à Romy Schneider qui l’incarna à trois reprises devant la caméra d’Ernst Marischka, Sissi, héroïne tragique et romantique devant l’éternel, méritait bien un petit relooking modernisé comme l’ont eu en leur temps Marie-Antoinette ainsi que la moitié des reines d’Angleterre.
"Corsage" débute en décembre 1877, alors que l’impératrice s’apprête à fêter son quarantième anniversaire la veille de Noël. A quarante ans, on est déjà une vieille femme aux yeux du monde, plus encore à la fin du XIXe siècle où il s’agissait de l’espérance de vie féminine moyenne. Mais plus que le poids des ans, c’est l’usure de la vie de cour et de ses intransigeantes exigences qui épuisent Sissi. Elle dont on guette le moindre écart de poids, le moindre faux pli, la moindre variation de teint, elle n’en peut plus. Elle n’en peut plus de son mari trop occupé à faire la guerre, et de ce couple qui ne peut s’aimer. Le temps défile, faisant défiler avec lui les regrets de la mort de son premier enfant et de la santé fragile de sa petite dernière. Ce temps qui défile, on lui demande surtout de le faire oublier, et de faire tenir cet édifice de conventions qu’elle n’arrive plus à faire tenir debout.
Comme son nom l’indique "Corsage" est avant tout un film sur la charge mentale qui pèse sur les grandes femmes de l’histoire, celles qu’on a héroïsé et glorifié, celles dont les portraits et les légendes ont contribué à fortifier les canons de beauté et de bienséance qui les ont elles même oppressé toute leur vie. C’est l’histoire d’une rébellion interne qui finit par craqueler, fissurer la carapace impeccable d’une femme qui ne s’en relèvera pas. Comme beaucoup de films historiques récents ("Un peuple et son roi", "La favorite", "Mademoiselle de Joncquières", "Love and Friendship"…), "Corsage" va ausculter physiquement la laideur pernicieuse derrière le vernis propret des livres d’histoire (ou plutôt de roman national), battant en brèche l’austérité classiciste du film en costumes. Dans ces palais et ces maisons de campagne aux salons luxueux mais aux couloirs et alcôves décrépis où la moisissure ronge les murs, Sissi dépérit de ne pouvoir être autre chose que ce que l’on attend d’elle.
"Corsage" applique malheureusement trop souvent sa recette de manière un peu scolaire, au risque de tomber par moment dans la redite, le ronronnement. Ironiquement, ce film sur une cour trop corseté aurait gagné à se raffermir autour de ses fulgurances visuelles, comme autant de pulsions, de cris de liberté qui s’égarent dans le vide. Corsage n’est jamais aussi bon que quand il ausculte directement le corps contraint, engoncé de son actrice, et que la réalisatrice décide de le tordre, de le maculer de chocolat fondu, de le confronter à la psychiatrisation destructrice de la santé féminine de l’époque. "Corsage" n’est surtout jamais aussi bon que quand il laisse le champ libre à Vicky Krieps, dont l’époustouflante versatilité lui fait revêtir une multitude de féminités. Comme la Diana de Spencer, la Sissi de "Corsage" est presque le film d’un fantôme qui n’est pas encore là, la peinture d’une souffrance que personne n’entend sinon le spectateur. Un film doucement rock’n’roll, presque punk sans l’être, à l’image de sa playlist où vient se glisser, comme un écho des temps à venir, As Tears Go By.
"Corsage" de Marie Kreutzer avec Vicky Krieps, Florian Teichtmeister, Finnegan Oldfield, sortie en salles prévue le 14 décembre.
07h00 dans Films-Sissi | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Point de Vue - 20/09/2021
TF1 va diffuser une adaptation inédite de la vie de Sissi. Prévue pour la fin de l’année 2021, cette nouvelle série est la deuxième sur l'impératrice d'Autriche qui se prépare à sortir : Netflix est aussi dans les rangs avec sa mini-série "The Empress".
La vie d’Élisabeth de Bavière n'a pas fini d’occuper les écrans de télévision. Plus de 50 ans après la trilogie devenue culte d’Ernst Marischka qui a vu triompher Romy Schneider et après l’annonce d’une mini-série à venir sur la plateforme Netflix, c’est au tour de TF1 de se lancer dans l’aventure Sissi.
Le projet de la société berlinoise "Story House", sobrement intitulé "Sissi", a été racheté par la chaîne TF1 et devrait être diffusé à la fin de l’année 2021.
Le tournage a commencé au mois de mai dernier dans les pays baltes et se poursuit entre l’Autriche, la Hongrie et l’Allemagne. Elle portera sur la relation amoureuse du couple impérial à la cour de Vienne.
Une jeune femme qui se bat pour ses droits "Sissi est une histoire intemporelle, une jeune femme qui lutte pour son indépendance dans un environnement plutôt hostile. Il semble que l'histoire se répète. Aujourd'hui, elle pourrait être interviewée par Oprah Winfrey", a ironisé Moritz von Kruedener, directeur général de la production Beta Film, qui a vendu la série à TF1.
[...]
Par Louise Ginies
NDLR : je ne vous présente pas les photos présentes avec l'article car elles ont été dévoilées (depuis plusieurs semaines) avec la série de Netflix... Confusion ou erreur ?
19h24 dans Films-Sissi | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Yourtopia.fr - 07 mai 2021
EXCLUSIF: Beta Film a conclu des préventes avec deux grands diffuseurs européens, TF1 en France et ORF en Autriche, sur la série de RTL Group sur l’emblématique impératrice autrichienne Sissi.
Le tournage de la série de six heures vient de commencer dans les pays baltes et se poursuivra en Autriche, en Hongrie et en Allemagne. Aujourd’hui, nous pouvons vous révéler un premier regard sur le plateau. TVNOW prévoit de lancer le service de streaming de RTL Group Côté à la fin de cette année. De nouvelles négociations avec plusieurs radiodiffuseurs internationaux seraient en cours.
L’impératrice Elisabeth, surnommée Sisi, dont le personnage fictif a été incarné par l’actrice autrichienne Romy Schneider dans les années 1950, était une pop star et une influenceuse de son temps à la fin du XIXe siècle, et une icône en Europe et au-delà.
La série tourne autour du garçon manqué et de la princesse bavaroise, qui, après son mariage avec François-Joseph Ier, empereur d’Autriche, doit se rendre compte que la vie à la cour des Habsbourg à Vienne n’est pas du tout ce à quoi elle s’attendait. La monarque doit lutter contre le régime strict et même cruel de la cour et pour ses idéaux.
Le rôle de Sisi est interprété par la jeune actrice suisse-américaine Dominique Devenport ("Train de nuit pour Lisbonne"), tandis que l’empereur Franz est décrit par l’Allemand Jannik Schümann ("Centre de mon monde", "Charité"). Désirée Nosbusch, récompensée par Grimme ("Mauvaises banques") dans le rôle de l’archiduchesse Sophie, la belle-mère de la jeune impératrice, et Julia Stemberger ("République sauvage") comme sa mère Ludovica et Tanja Schleiff ("Chute") comme la célèbre comtesse Esterhazy, entre autres.
Beta gère les ventes mondiales. [...] Les scripts sont écrits par Elena Hell et Robert Krause. Les auteurs principaux sont Andreas Gutzeit et Robert Krause.
Sven Bohse ("Bois sombres") dirige la série; Hauke Bartel dirige l’équipe de RTL Mediagroup avec Sylke Poensgen (EP) et Markus Böhlke (rédacteur en chef). [...]
11h06 dans Films-Sissi | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Elle.fr - 25 mars 2021
Alors que Netflix avait déjà annoncé un reboot, le règne de l’impératrice Sissi va être réadapté par une production allemande. Portée par Dominique Devenport et Jannik Schümann, la série adoptera des angles inédits.
Les protagonistes de « Bridgerton » ou de « The Crown » ne sont pas les premières à avoir subjugué les foules. Loin de là. À partir des années 1950, Romy Schneider captait déjà tous les regards et fomentait toutes sortes de fascinations. Et ce, lorsqu’elle endossait le costume d’Élisabeth de Bavière, alias princesse Sissi, l’amoureuse transie de l’Empereur viennois François-Joseph. Une romance royale, déployée sur une série de trois films, qui – en témoigne ses millions de téléspectateurs – avait marqué sa génération.
Mais il semblerait bien que les aventures de l’impératrice ne s’en tiennent pas à ce seul public. Sissi fait son grand retour sur petit écran, cette fois-ci, et en calèche allemande ! C’est en effet à la société berlinoise Story House qu’est confié le projet, avec Sven Bohse à la réalisation et Andreas Gutzeit à l’écriture du scénario de cette série de six heures. Et tandis que le lancement du reboot est prévu pour la fin de l’année, on guette toujours la réadaptation « plus sombre » du règne de Sissi promis, en avril dernier, par Netflix. Une intrigue rafraîchie
Pour l’heure, c’est l’actrice suisse-américaine Dominique Devenport qui marchera dans les pas de Romy Schneider. « Quand je pense à Sissi, la première chose qui me vient à l'esprit c’est une statue intronisée au-dessus de tout le monde, et entourée de nombreux mythes. Je suis très reconnaissante d’être la nouvelle Sissi et de pouvoir montrer quel genre de personne elle était : une jeune femme avec de grands rêves, de fortes émotions et prête à se battre pour sa vision », a-t-elle confié dans un communiqué rapporté par « Hollywood Reporter ». François-Joseph de Habsbourg – l’empereur – sera incarné par l’acteur allemand Jannik Schümann. Tous deux vont être plongés dans la fosse à vipères qu’est la cour de Habsbourg à Vienne. Les amateurs de récits historiques aux accents « Gossip Girl » en tremblent déjà.
Néanmoins, il ne s’agira pas d’une pâle copie de l’œuvre de Ernst Marischka. Le reboot sera centré sur la relation fusionnelle entre l’impératrice et son mari. Mais également sur la bataille que mène Sissi pour imposer ses idéaux et révéler au monde la nature sensible de l’Empereur. En dépit d’un régime qui cherche à tout prix à lui accoler l’étiquette de dirigeant impitoyable. Encore une femme derrière l’homme ? « Sissi est une histoire intemporelle, une jeune femme libérale qui lutte pour son indépendance dans un environnement plutôt hostile. Il semble que l'histoire se répète. Aujourd'hui, elle pourrait être interviewée par Oprah Winfrey », a déclaré Moritz von Kruedener, directeur général de la production Beta Film.
Avis aux attristés qui auraient constaté que la diffusion n’est annoncée qu’en Allemagne : Beta Film devrait présenter le projet aux acheteurs étrangers dans les mois à venir. Réjouissant.
Par Jade Vigreux
14h10 dans Films-Sissi | Lien permanent | Commentaires (2)
Source : Première.fr - 21 avril 2020
Il ne va pas être simple de faire oublier Romy Schneider, mais Netflix tente le coup ! Selon la presse allemande (DWDL et Der Spiegel), le service de streaming prépare une mini-série consacrée à l'Impératrice Sissi, dans la veine de "The Crown".
Intitulée "The Empress" ("Die Kaiserin" en VO, c'est à dire... "L'impératrice"), elle sera composée de six épisodes de 45 minutes, racontant la vie de la souveraine autrichienne, notamment les premiers mois de sa vie à la cour de Vienne, mais également le contexte historique, à savoir "la crise de Crimée, l'occupation de l'Italie du Nord par l'Autriche ou la guerre avec la Prusse." La mini-série cherchera également à mettre en avant certaines "figures et leur entourage qui n'ont, jusqu'à présent pas été montrés". (NDLR - Extrait de l'article DWDL : "De plus, une série américaine sur "Sissi" est actuellement en préparation, basée sur un livre de l'auteur américaine Allison Pataki").
L'actrice qui aura la lourde tâche de succéder à Romy Schneider n'a pas encore été trouvée, mais c'est Katharyna Eyssen, scénariste de Holiday Secrets sur Netflix, qui est en charge de mener le projet à bien.
Alors que "The Crown" s'achèvera prochainement - au terme de la saison 5 - les fans de têtes attendent avec impatience de découvrir cette "Kaiserin"...
09h57 dans Films-Sissi | Lien permanent | Commentaires (2)
Source : Amica.de - 21 novembre 2012
Ihre Rolle als Kaiserin Elisabeth war für Romy Schneider Segen und Fluch zugleich.Nun schnuppert Hannah Herzsprung ein bisschen Sissi-Luft. Ob sie der Schauspiel-Ikone Konkurrenz macht ?
Sie war die Frau des 19. Jahrhunderts: die Kaiserin Sisi. Geliebt von den Österreichern, gehasst von den Anarchisten. Der Mythos der einst beliebtesten Monarchin ging in die Geschichte ein. Und so verwundert es nicht, dass diese Geschichte auch auf der Kinoleinwand in den 50er-Jahren seinen Höhepunkt findet – mit der verehrten Schauspielerin Romy Schneider.
Erst hier, bei der Trilogie der Ernst-Marischkas-Filme, wird der Titelfigur der Name Sissi (mit Doppel-s) gegeben. Das tat dem Erfolg keinen Abbruch. Im Gegenteil, denn heute gehören die Filme zu Weihnachten, wie die Geschenketürme unterm Christbaum. Jetzt weht frischer Wind in der Sissi-Mania. Denn Hannah Herzsprung wird ab dem 26. Dezember die „Millenium“-Sissi im Kinofilm „Ludwig II.“ geben.
„Ich habe die ´Sissi´-Filme geliebt und gucke sie auch heute noch gerne“, verriet die junge Schauspielerin auf „Bild.de“. Es ist ihre Traumrolle, „denn welches Mädchen träumt nicht davon, eines Tages Prinzessin zu sein?“. Lediglich das Reiten im Damensitz während der Dreharbeiten fiel der 31-Jährigen schwer. Dafür ist die Ähnlichkeit mit Romy Schneider nicht zu übersehen. vergrößern
Romy Schneider zerbrach an ihrer Rolle. Wurde nur noch als Sissi wahrgenommen und floh nach Frankreich um sich auch als Charakterschauspielerin zu etablieren. Wie viele deutsche Fans findet auch Hannah Herzsprung: „Romy Schneider hat mit der Sissi-Rolle etwas Einzigartiges geschaffen.“
Es ist keine einfache Aufgabe, nicht nur in die Fußstapfen der anmutigen Kaiserin Elisabeth, sondern auch in die der Romy Schneider zu treten. Die preisgekrönte Schauspielerin gibt sich bescheiden: „Den Vergleich mit ihr würde ich mir niemals anmaßen.“ Dennoch wird diese Rolle für immer eine ganz besondere und wichtige für Herzsprung sein.
17h49 dans Films-Sissi | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : sisi-wahrheit.at/
L'HISTOIRE
11 Septembre 1898 : le médecin personnel de la famille de l'empereur, le Dr Hermann Widerhofer, apprend que l'impératrice Elisabeth a été assassinée par un anarchiste à Genève, il est extrèmement choqué. Il se retire dans ses appartements privés et passe ses souvenirs de "Sisi" en revue. Nous apprenons, pour la première fois, toute la vérité sur la vie tragique de l'impératrice, parce que le médecin savait ce que peu de personnes connassaient sur la vie des monarques. A travers des flashback, nous voyons «Sisi» dans toutes les situations, et découvront ce qui a toujours intéressés les fanss : ses recettes de beauté secrète et le culte de ses cheveux, les maladies et la toxicomanie, ses régimes, son obsession pour le sport et la famine, la dépression et sa tendance à la spiritualité, le scandale entourant une photo présumée nue, et bien plus encore...
Tout le film a été tourné dans une technologie 3D. Parmi les lieux de tournage : le palais de Schönbrunn, la Hofburg, la Villa Hermes à Madère, et de nombreux autres sites historiques bien connus. Plusieurs films et actrices ayant interprété «Sisi» à différents âges sont repris. Ainsi, l'actrice américaine Jessica Franz et expressif Annaberg.
Parmi les faits importants, le films comprend également des scènes avec Romy Schneider et Karlheinz Böhm. Ils sont, aujourd'hui, la représentation la plus connue dans le monde du couple impérial. De sorte qu'ils peuvent être ainsi être coupés dans un flash-back dans le film dans les mémoires du Dr Widerhofer. Les enregistrements originaux de Romy Schneider ont été convertis en 3D. [...]
Le 10 Septembre est l'anniversaire de la mort de l'impératrice Elisabeth. Cette année en marque également le 175e anniversaire. "SISI ... et je vous dis la vérité", mettant en vedette Romy Schneider et Karlheinz Bohm, est un must pour les fans de Sisi, jeunes et moins jeunes. Mais tous les amateurs d'histoire apprécieront le tournage d'une histoire véridique. [...]
Production : m-cine/vinci-film Auteur Mario Vinci Directeur Mario Vinci producteur Gabriele Prammer
Avec : Romy Schneider, Karlheinz Böhm, Florentin Groll, Annaberg, Michael Kiefer, Jessica Franz, Ernst Weinmann
23h12 dans Films-Sissi | Lien permanent | Commentaires (0)
19h47 dans En DVD !, Films-Sissi | Lien permanent | Commentaires (3)
Source : ProgrammeTV.com - 30 novembre 2010
Noël approche à grands pas, et les chaînes de télévision font leurs annonces de programme à cette occasion. Et, comme chaque année, les visages incontournables font leur retour, à l'image de Sissi. En effet, les téléspectateurs sont habitués à (re)voir tous les ans les films de la saga.
Cette fois, TF1 annonce un remake inédit du premier opus, qu'elle diffusera le mercredi 22 décembre à 16h10. Un téléfilm en deux parties qui retrace la vie de l'impératrice d'Autriche, avec, dans les rôles principaux, Cristiana Capodonti et Martina Gedek, sous la houlette de Xavier Schwarzenberger. Une production Eos Entertainment, Sunset Austria et Publispei, en association avec la ZDF, l'ORF, la Raï et Beta, qui a été acheté par 16 autres chaînes de télévision.
Par Emilie Lopez
18h51 dans Films-Sissi | Lien permanent | Commentaires (5)
DVD
Format : Dolby, PAL
Langue : Allemand
Sous-titre : Sans
Bonus ?
Studio: Universum Film GmbH
Durée : 197 minutes
Sortie : 08 janvier 2010
ASIN : B002USOW8G
Prix : ~ 15 euros
A la commande sur Amazon.de
02h41 dans En DVD !, Films-Sissi | Lien permanent | Commentaires (4)
De nombreuses photos et vidéos disponibles sur le site du téléfilm sur Zdf.de
22h32 dans Films-Sissi | Lien permanent | Commentaires (0)
23h53 dans Films-Sissi | Lien permanent | Commentaires (4)
Source : Ozap.com - 21 octobre 2009
NDLR : Aucune date de diffusion n'est indiquée mais on sait déjà qu'il va être diffusé !!
TF1 fait d'une pierre deux coups. La chaîne vient d'acquérir auprès de Beta Films le téléfilm en deux parties de 90 minutes, Sissi, qui retrace la vie de l'impératrice d'Autriche. Elle vient également d'obtenir les droits de rediffusion de la saga produite dans les années 50 avec Romy Schneider, saga dont est tiré le remake.
Réalisée par Xavier Schwarzenberger, le téléfilm "Sissi" est porté par Cristiana Capotondi et Martina Gedek (La Bande à Baader, The good Shepherd). Ce Sissi nouvelle version est une coproduction Eos Entertainment, Sunset Austria et Publispei en association avec la ZDF, l'ORF, la Raï et Beta. Le téléfilm a déjà été acheté par 16 autres chaînes. Ce nouveau Sissi confirme la tendance des chaînes de télévision à diffuser de plus en plus fréquemment des fictions historiques.
Le personnage de Sissi a toujours fasciné la télévision. En 2004, elle avait fait l'objet d'un téléfilm sur France 2, Sissi, l'impératrice rebelle, réalisé par Jean-Daniel Verhaeghe et avec Arielle Dombasle dans le rôle titre.
21h49 dans Films-Sissi | Lien permanent | Commentaires (5)
Source : Vienna.at - 15 mai 2009
Cliquez ici pour lire la traduction en ligne de l'article complet
Depuis le 15 avril, le tournage du téléfilm "Sisi" en deux partie, sous la direction de Xaver Schwarzenberger est en cours. Cette semaine, l'équipe est arrivée à vienne pour tourner des scènes sur les lieux historiques.
14h18 dans Films-Sissi | Lien permanent | Commentaires (15)
Source : Faz.net - 21 juin 2009
Cliquez ici pour lire la traduction en ligne
Sisi. Der Name reicht aus, um im Kopf einen Bildersturm in grellbuntem Technicolor auszulösen : die junge Romy Schneider, die sechzehnjährig im Dirndl als quietschfidele Herzogin in Bayern das Jagdrevier ihres "Papili" durchstreift. Die junge Romy Schneider, die mit kunstvoll geflochtenen Frisuren und in prunkvolle Kleider gepresst die von der Kaiserwürde gequälte Elisabeth von Österreich-Ungarn mimt. Die junge Romy Schneider, die unwiderstehlich leuchtet, sobald sie als Sissi in den Armen ihres Franzl liegt.
"Sissi pappt an mir wie Grießbrei", soll Romy Schneider einmal gesagt haben, die zeit ihres Lebens das süßliche Sissi-Image nicht gänzlich abzustreifen vermochte - zu fest klebt die wunderschön kitschige Filmtrilogie des Regisseurs Ernst Marischka im filmischen Gedächtnis, seit rund fünfzig Jahren schon, vielleicht mangels Alternativen. Denn bis auf Christoph Böll mit seinem gefloppten Film "Sissi und der Kaiserkuß" (1991) hat es kaum einer ernsthaft probiert, per Remake etwas von diesem inzwischen altbackenen, aber hartnäckig erfolgreichen "Grießbrei" abzuzweigen. Noch heute gehört die Geschichte der widerspenstigen Kaiserin zu den österreichischen Exportschlagern weltweit ; in Deutschland zählt die "Sissi"-Trilogie zu den meistgesehenen Filmen überhaupt.
Die Ruhe vor der Hochzeit
"Dabei kenne ich viele, die sich an diesem Stoff versuchen wollten", erzählt der Wiener Xaver Schwarzenberger achselzuckend und kann selbst nicht erklären, warum ausgerechnet er nun einer der ersten Regisseure ist, die eine Neuverfilmung in die Tat umsetzen. Allein deshalb habe er sofort zugesagt, als er von dem Produzenten Jan Mojto gefragt wurde, ob er eine neue "Sisi" - diesmal mit historisch korrektem einfachen "s" - als Fernsehzweiteiler für das ZDF, den österreichischen ORF und die italienische Rai drehen wolle. Danach wurde es aber erst mal kompliziert : Bevor Schwarzenberger loslegen konnte, wurde die elf Millionen Euro teure Koproduktion eineinhalb Jahre diskutiert, bis alle Parteien mit dem Drehbuch zufrieden waren (verfasst vom Duo Ivan Cotroneo und Monica Rametta, abschließend "poliert" von Christiane Sadlo) und bis man sich auf die gewünschten Nationalitäten der Schauspieler und dann nach vielen Castings auf die Hauptdarstellerin geeinigt hatte, die achtundzwanzigjährige Italienerin Cristiana Capotondi.
Heute, am vierundzwanzigsten Drehtag, strahlt Schwarzenberger die Gelassenheit eines Regisseurs aus, der das Schlimmste hinter sich weiß. Unauffällig und ruhig richtet er in der Wiener Michaelerkirche die Kamera ein, die er in diesem Film selbst führt. Einer der romantischen Höhepunkte steht an: die Hochzeit von Kaiser Franz Joseph und Elisabeth. Trotz dreier Setsprachen - Deutsch, Italienisch und Englisch - scheinen alle Teammitglieder vom Statisten über den Schärfenzieher bis zur Maskenbildnerin ihre Parts verinnerlicht zu haben. Kabel und Blumengirlanden werden routiniert ausgerollt, Scheinwerfer unter knappen Zurufen positioniert, Gesichter zügig matt getupft und abstehende Härchen am Kopf der Braut widerspruchslos abgeschnitten. Auch die Schauspieler vertreiben sich gleichmütig die Zeit bis zum Startkommando : Cristiana Capotondi trinkt einen Schluck Wasser, Franz Joseph-Darsteller David Rott bekommt Besuch von seiner Tochter, Martina Gedeck harrt im eng geschnürten Kleid der Erzherzogin Sophie geduldig der Dinge, und Herbert Knaup, der Elisabeths Vater Herzog Max spielt, hält die kleinen blondgelockten Blumenmädchen scherzend bei Laune.
"Ich brauche mehr Entsetzen!"
Als das Brautpaar schließlich vor den Altar tritt, fühlt man sich unter all diesen "neuen" Gesichtern gleichwohl plötzlich in die allweihnachtliche "Sissi"-Schwärmerei zurückversetzt. Denn wie fünfzig Jahre zuvor Ernst Marischka hat auch Schwarzenberger keine Drehgenehmigung für die echte Hochzeitskirche, die Augustinerkirche, bekommen. Die in der filmischen Erinnerung altbekannte Kirche ist ähnlich geschmückt wie zu Romy Schneiders Zeiten : überall weiße Rosen, Fahnen, Kerzen und roter Samt. Andächtig wartend sitzen 140 festlich gekleidete Komparsen auf den Bänken. Sie sind von vier Uhr morgens an von der italienischen Kostümbildnerin Enrica Biscossi mit Uniformen, gefiederten Helmen, reich verzierten Talaren und ausladenden hellen Kleidern eingerüstet worden.
"Das war 1854 so üblich", begründet Schwarzenberger die opulente Ausstattung des Films, der so originalgetreu wie möglich wirken soll. Wer genau hinsieht, bemerkt allerdings sofort, dass die Braut mit ungewohnt wenig Rüschen und einer verhältnismäßig kurzen Schleppe auskommt". Wir haben historische Schnitte ein wenig variiert, um den Kostümen ein modernes Aussehen zu geben - schlichter und weniger verspielt“, sagt Enrica Biscossi, die allein für Sisi vierzig verschiedene Roben entwarf. Seine "Sisi" sei eben eine Betrachtung aus heutiger Sicht, sagt Xaver Schwarzenberger: „Ich versuche keinen Kitsch, keinen Heimatfilm zu machen, sondern die Geschichte anders zu erzählen. Wie reagiert Elisabeth, wie reagiert ihre Schwiegermutter, die Erzherzogin Sophie? Mich interessieren das Benehmen, die Konflikte, die Abgründe.“ So darf etwa - im Unterschied zu Marischkas "Sissi" - der Kuss nach der Trauung nicht fehlen. Dafür wird es am Set zum ersten Mal laut: "Ich brauche mehr Entsetzen !", weist Schwarzenbergers Regieassistent die Komparsen an, die bei der ersten Aufnahme stumm geblieben waren : "Ein Kuss in der Kirche war damals schließlich nicht normal". Also alles noch einmal von vorn, bis fassungsloses Raunen den Regisseur zufriedenstellt.
Eine gegenwärtige Frau
Abends, ohne das bleischwere Brautkleid, wirkt auch Cristiana Capotondi sichtlich erleichtert. Gelöst erzählt die Schauspielerin, die mit ihren langen braunen Haaren und dem Porzellanpuppen-Teint ein bisschen an die historischen Sisi-Porträts des Malers Franz Xaver Winterhalter erinnert, dass sie mit derselben "Sissi"- und Romy-Begeisterung aufwuchs wie ihre deutschen Filmpartner. Sie freue sich aber, in einem ganz anderen Film mitzuspielen, der Sisi als moderne Frau inszeniere : "Wir zeigen Sisis politische und machtbewusste Seiten". Sie selbst träume schließlich auch mehr davon, politische Fragen mit Bismarck zu debattieren, als von einer Hochzeit in Weiß.
Auf allzu viel Politik und deutliche Darstellungen der depressiven, magersüchtigen Sisi lässt sich Schwarzenberger trotz verletzter Soldaten, Kindstod und Körperkult-Andeutungen aber nicht ein. "Wir beginnen mit einem jungen Mädchen in Bayern und enden mit Sisis letztlich einzigem politischem Sieg, ihrer Krönung in Ungarn. Ich wollte und ich sollte den Mythos nicht zerstören. Ich will ihn sogar aufbauen, nur ein bisschen verändern".
Dass die Kaiserin immer noch fasziniert, zeigt sich an diesem Drehtag. Vor den Augen staunender Touristen, die sich durch das Sisi-Museum in den kaiserlichen Appartements der Wiener Hofburg schieben, präsentiert die Filmfamilie nach der Trauung Thronfolger Rudolph vor dem Komparsenvolk. Ein Tourist sei regelrecht erschrocken, als er die kostümierte Gesellschaft, nicht aber die Kamera gesehen habe, berichtet Martina Gedeck lachend, und er habe laut gerufen : "Ich habe eine Vision ! Ich habe eine Vision !" Immerhin, zumindest in Wien scheint Schwarzenbergers Vision zu wirken. Ob sie auf den Fernsehbildschirm zugeschnitten ebenfalls funktioniert, wird sich im ZDF zwischen Weihnachten und Neujahr zeigen.
02h34 dans Films-Sissi | Lien permanent | Commentaires (0)
Souce : Bluewin.ch - 19 juin 2009
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Da schritten sie ehrfürchtig die Gänge in den Kaiserappartements der Wiener Hofburg ab, lauschten andächtig den Audioguides - und dann dürften die Touristen wohl kurz an ihrem Verstand gezweifelt haben: Huschten da doch leibhaftig Sisi, Kaiser Franz Joseph und die Erzherzogin Sophie durch die Räume! «J'ai une vision!», ahmt Martina Gedeck später lachend die Besucher nach. «Ich habe eine Erscheinung!» Sie spielt Sisis Schwiegermutter in Xaver Schwarzenbergers «zeitgemässer» Neuverfilmung des historischen Stoffs, der jetzt unter anderem in Wien Gestalt annimmt: «Sisi» als Liebes-, als Emanzipationsgeschichte und als Duell zweier starker Frauen.
Das berühmte Sternenkleid trug die echte Kaiserin eigentlich erst nach jener Phase, die im Film erzählt wird. Aber ein «Sisi» -Film ohne Sterne? Da hat man lieber ein Auge zugedrückt.
Sisi (Cristiana Capotondi) und Franz (David Rott): Es begann als Liebesheirat gegen die Konventionen. Am Nachmittag des 24. Drehtages warten die drei Hauptdarsteller Cristiana Capotondi, Martina Gedeck und David Rott in den einstigen Kaiser-Gemächern auf ihren Einsatz. Gleich sollen sie vom Balkon aus dem Volk den neugeborenen Thronfolger Rudolf präsentieren. Tatsächlich brechen plötzlich die etwa 130 Komparsen (bei der digitalen Nachbearbeitung sollen daraus später etwa zehnmal so viele werden) in Jubel aus. Sehr überzeugend, wenn man bedenkt, dass sie schon eine Weile im kalten Mai-Regen froren. Doch was tut man nicht alles, um an einer Produktion teilzuhaben, von der so mancher hofft, der TV-Zweiteiler möge sich eines Tages neben der Kult-Trilogie mit Romy Schneider einreihen?
Um vier Uhr morgens am Set sein zum Beispiel, um entsprechend der Mode des Kaiserreichs (sanft modernisiert) eingekleidet und frisiert zu werden. Denn vormittags mimten die Statisten bereits Hochzeitsgäste in der Michaelerkirche (nicht Originalschauplatz der kaiserlichen Vermählung, aber zumindest der von Romy Schneiders und Karlheinz Böhms Film-Jawort). Sisi: «Darf ich dich küssen, Franz?» - Franz Joseph: «Was hier?» Dann tun sie's. Eine unkonventionelle Liebe wird hier inszeniert: der Kaiser und sein junger bayerischer Wildfang. Regieassistent Jochen Nitsch forderte eine «Reaktion des Entsetzens» von der Hochzeitsgesellschaft. «Aber nicht übertreiben!» Das oder gar in den Kitsch abrutschen, das soll bei aller Opulenz der Ausstattung tunlichst vermieden werden bei dem deutsch-österreichisch-italienischen Gemeinschaftsprojekt.
Von Ernst Marischkas «Sissi»-Trilogie grenzt man sich schon allein durch die Schreibweise mit einem «s» ab (Wie die Kaiserin sich auch selbst schrieb). Ein «Frrranz!», wie es Michael «Bully» Herbig später treffend parodierte, soll es bei der modernen Fassung ebenso wenig geben wie das «Papili». Wie «Sissi» die Werte der 50-er hochhielt, soll Schwarzenbergers «Sisi» eine emanzipierte Frau zeigen. «Mich interessierte von Anfang an die in Bayern liberal erzogene Sisi, die fast noch als Kind in etwas hineinstolperte, von dem sie nicht ahnen konnte, was auf sie zukommt.» Ein konservatives Haus und die strenge Etikette am Wiener Hof. «Durch ihre Erziehung ahnte sie aber sehr wohl, dass sie Widerstand leisten muss und kann.»
Der Rebell Sisi also. «Das ist eine ganz andere Geschichte als die, die in den 50er-Jahren erzählt wurde.» Es ist auch eine andere Geschichte als jene von der Kaiserin, die dem Schönheitskult verfallen war, nachts Rindfleisch-Masken auflegte und 1898 von einem Attentäter erstochen wurde. «Ich lasse mich nicht ein auf die neurotische Sisi, die magersüchtige Sisi, die depressive Sisi», erklärt Schwarzenberger. «Ich will nicht den Mythos zerstören. Ich will ihn eher sogar aufbauen, nur vielleicht ein bisschen verändern.» So beginnt seine Geschichte mit Sisis Jugendjahren im bayerischen Possenhofen und endet mit ihrer Krönung zur Königin von Ungarn, ihrem grossen politischen Sieg.
Die Entscheidung, den Stoff überhaupt noch einmal anzupacken, sei ihm leicht gefallen, sagt Schwarzenberger, der als Wiener mit dieser Geschichte aufwuchs. «Schon deshalb, weil ich auch Leute kenne, die das immer machen wollten - schon vor 20 Jahren. Es ist nie gelungen.» Der Regisseur, der auch die Kamera führt, wirkt völlig entspannt, selbst am Set. Anstrengend sei eher die Vorbereitung gewesen. Drei Länder mit unterschiedlichen Vorstellungen zufriedenzustellen ... Dagegen sei die Dreharbeit «jetzt reines Vergnügen».
Dem italienischen Drehbuch hat am Ende Christiane Sadlo alias «Inga Lindström» (ZDF) den letzten Schliff verpasst. Und was die Besetzung angeht ... So konnte die Österreicher schliesslich doch ein «Piefke» als Franz Joseph überzeugen. Der Deutsche David Rott («Die Rebellin») hat aber immerhin am Wiener Max-Reinhardt-Seminar studiert. Für die Rolle der Sisi eine Italienerin zu wählen, war vermutlich das einzig Richtige - zumindest geografisch die weitestmögliche Entfernung von Romy Schneider. Obwohl ihre Filme, Dauerbrenner auch in Italien, selbst das «Sisi»-Bild von Cristiana Capotondi prägten. Aber: «Romy Schneider wird immer Romy Schneider bleiben.» Damit wolle die 28-Jährige auch nicht konkurrieren. «Ich will einfach nur gute Arbeit machen.»
Die Sophie schliesslich ist authentisch besetzt: «Sie war eine Bayerin - und ich bin auch eine Bayerin», erklärt Martina Gedeck (zuletzt in «Der Baader Meinhof Komplex» und «Geliebte Clara» im Kino zu sehen). Ihre Präsenz hier im goldglänzenden Kostüm und der kunstvollen Frisur mag zunächst überraschen. Auch Produzentin und Schwarzenberger-Lebensgefährtin Susanne Porsche berichtet stolz: «Ich träumte, das sie die Sophie spielt. Alle sagten mir: 'Die kriegst du nie!'» Schwarzenberger kriegte sie. «Er rief mich an und sagte: 'Ich brauche eine starke Frau als Gegenspielerin zur Sisi'», sagt die Gedeck. Sie habe gleich zugesagt. «Der Xaver lässt jeden Schauspieler in seinem Können zu seinem Recht kommen.»
Sie habe die Tagebücher und Briefe der Sophie gelesen, die früher «der einzige Mann bei Hofe» genannt wurde, und die alten Filme erst einmal vergessen, in denen die Erzherzogin nicht unbedingt gut wegkommt. «Die sind Kult, aber hier geht es doch darum, dass ein traditionelles Habsburger Reich gegen eine mehr oder weniger bürgerliche Einstellung steht, die sich ankündigt», sagt die Schauspielerin, und zumindest für deutsche Ohren hat sich auch in ihrer warmen Stimme schon ein Hauch von Wiener Akzent eingeschlichen. «Elisabeth steht für die Moderne, den Liberalismus und dafür, den Habsburger Staat abzuschaffen. Das ist eine Bedrohung, die Sophie instinktiv spürt.» Martina Gedeck will eine Sophie zeigen, die ihre Familie liebte, «und die auch die Sisi sehr mochte», auf der aber auch enorme Verantwortung lastete.
Die Sisi am Habsburger Hof, das erklärte Martina Gedeck aus der Sophie-Perspektive ihrem Kollegen David Rott so: «Stell dir vor, Michelle Obama kommt ins Weisse Haus und sagt: Ich möchte jetzt gerne nach Korfu reisen und dann nach Madeira, weil ich Husten habe ... » Aus der «Sisi»-Sicht schwärmt Cristiana Capotondi, die manchmal aussieht wie eine noch zartere kleine Schwester von Cate Blanchett: «Sie war eine von uns! Sie war eine normale Frau, und sie war so modern - man kann sich vorstellen, dass Sisi heute unter anderen Umständen mit den gleichen Problemen lebt.»
In der Produktion von EOS Entertainment, Sunset Austria und Publispei für ZDF, ORF und RAI steuert Italien ausser der ebenso süssen wie ausdrucksstarken Hauptdarstellerin noch einiges auf der emotionalen Seite bei: die Kostüme, zu denen allein über 40 neu gefertigte Sisi-Kleider zählen, und die Musik. Neben der Wiener Hofburg sollen ausserdem historische Schauplätze wie der Lido und die Gassen von Venedig sowie das Schloss Miramare bei Triest bespielt werden. Die rund elf Millionen Euro teure Produktion umfasst mitunter 2.000 Komparsen, 20 Kutschen, 100 Pferde, ein historisches Schiff sowie Schlachtenszenen (Königgrätz und Solferino).
Voraussichtlich bis Anfang Juli werden sich die Darsteller - unter ihnen auch Fritz Karl (Graf Andrassy), Friedrich von Thun (Feldmarshall Radetzky) und Herbert Knaup (Herzog Maximilian) - noch in historische Schale schmeissen. Das Ergebnis soll - ganz in der Nähe der traditionellen Marischka-Wiederholung bei Sat.1 - zur Weihnachtszeit zu sehen sein: am 27. und 30. Dezember im ZDF.
23h36 dans Films-Sissi | Lien permanent | Commentaires (0)
Souce : Wiener Beziksblatt - 04 juin 2009
Au cours des dernières semaines, Sisi et Franz ont traversés la Hofburg de Vienne. pour le tournage d'un téléfilm réalisé par Schwarzenberger et qui sera diffusé en deux parties, cette année à la télévision (NDLR : Diffusion prévue sur ZDF les 24 et 31 décembre 2009).
Cette co-production internationale de l'ORF, ZDF et la RAI (Italie) se tourne actuellement à Vienne, en Basse-Autriche, en Styrie, à Venise et en Hongrie.
Durant le moi de mai, on pouvait rencontrer les acteurs et membres du tournage dans et autour de la Hofburg. Le couple impérial en personne - incarné par l'Italienne de 19 ans - Cristiana Capotondi et David Rott - ont pris des pause-cafés pendant le tournage pour le plaisir de tous.
En outre, pour la cérémonie du mariages dans l'église Saint-Michel, des centaines de figurants en costumes du 19ème siècle ont été nécessaires. Xaver Schwarzenberger met en scène le film dans la tradition d'un Ernst Marischka.
08h33 dans Films-Sissi | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Tagesspiegel.de - 25 mai 2009
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Eine internationale Koproduktion verfilmt den Klassiker für das ZDF neu – mit der Kaiserin als Rebellin.
Ein halbes Jahrhundert hat es gedauert, bis sich nun mit dem Wiener Xaver Schwarzenberger ein Regisseur an eine Neuinterpretation traut. Bis Juli entsteht in Wien, Bayern, Italien und Ungarn ein international koproduzierter Zweiteiler fürs ZDF-Weihnachtsprogramm mit David Rott als Kaiser Franz Joseph und Martina Gedeck als dessen Mutter Erzherzogin Sophie. Als Sissi hat sich Schwarzenberger die hierzulande unbekannte Italienerin Cristiana Capotondi ausgesucht ; mit der von Romy Schneider gespielten pausbäckigen 50er-Jahre-Sissi hat die 29-jährige Schönheit bis auf die grau-grünen Augen nichts gemein. Das ist gewollt. Denn bei diesem Elf-Millionen-Euro-Projekt soll es um nichts weniger gehen, als die Lady Di des 19. Jahrhunderts zu entkitschen.
An diesem Maimorgen wird’s trotzdem kitschig: Es ist Hochzeit. Draußen nieselt fieser Regen, drinnen in der mit Kunstblumen übersäten Michaelerkirche vis à vis der Wiener Hofburg steht Sissi bereit in ihrer weißen Pracht. Noch einmal Puder auf die blasse Nase, dann schreitet sie los, jetzt schon zum fünften Mal, am Arm ihres Brautvaters, dem strammen Max (Herbert Knaup, "Mogadischu"), am Altar wartet ihr Franzl. Es sieht diesmal gut aus. Die zehn Meter lange Schleppe schleift schön über den roten Teppich, das Licht passt, kein Zaungast stört im Bild. Es ist mucksmäuschenstill. Da geht dem Kaiser plötzlich in der Hose das Handy an. „Alles auf Anfang“, brüllt Regisseur Schwarzenberger, der auch die Kamera führt. Bis zum Hochzeitskuss vergehen zwei Stunden.
Keine zwei Filmminuten wird die Hochzeitsszene dauern, die eine der prächtigsten ist in diesem teuer ausgestatteten Kostümfilm. Für die Sissi-Darstellerin Capotondi wurden allein 45 Roben angefertigt. Ihre Kostümbildnerin Enrica Biscossi schwärmt von der 67-Zentimeter-Wespentaille. Damit liege Capotondi nur zwei Zentimeter über dem schmalen Maß der historischen Kaiserin, die nachweislich gehungert hat und exzessiv geturnt. Doch von dieser unheimlichen Seite Elisabeths wird man im neuen Sissi-Film nichts erfahren, man wird keine Rinderblut trinkende Kaiserin sehen. Schwarzenberger lässt sich auch nicht ein auf die todessüchtige, neurotische Sissi. Ihn interessiert die Rebellin, die gegen ihre Schwiegermutter aufbegehrt.
Wer ist die Schönste im Schwarzenberger-Land? Martina Gedecks Ohrgehänge funkelt in der Michaelerkirche mit Cristiana Capotondis um die Wette. Doch Gedeck, die im Oscar-prämierten Stasi-Film "Das Leben der Anderen" glänzte, will sich die Sophie nicht so einfach machen. Sie will weg vom kollektiv gefestigten Bild der herzlosen Xanthippe, das Vilma Degischer einst bei Marischka auf alle Zeit prägte, und durch ihr Wesen "mehr Wärme" in die Figur bringen. "Diese Frau ist eine vergehende Frau", erklärt Gedeck. "Sophie möchte am System festhalten, und da kommt plötzlich Sissi, für sie ein lebensbedrohlicher Faktor."
Die echte Sissi muss in ihren jungen Jahren wild und widerspenstig gewesen sein, ein kleines bayerisches Mädchen vom Land, das reiten wollte und Spaß haben. Auch Cristiana Capotondi soll reiten, im Damensattel, auf einem Gaul aus Bratislava. "Mein Pferd und ich haben noch keine gute Beziehung", klagt die Italienerin.
"Alle herschauen", befiehlt Schwarzenbergers Regieassistent den Schinkenbrötchen-kauenden Kindern, "das ist der Kuss! Und nicht lachen dabei, das ist nicht lustig." Fast zwei Dutzend Bischöfe kreisen Weihrauch-wedelnd um das Brautpaar. Der Filmkuss ist innig. Die festlich ausstaffierten Statisten raunen – bei Kaisers war früher Küssen coram publico verpönt. "Jetzt finden es auch die Österreicher gut, dass mit David Rott ein Deutscher den Franz Joseph spielt", sagt die ZDF-verantwortliche Redakteurin Birte Dronsek und gibt zu verstehen, dass das nicht immer so war. In Wien ist der Sissi-Dreh großes Tratschthema. Spannung und Skepsis vermischen sich. Die alten "Sissi"-Filme sind Kult, Romy Schneider ist österreichisches Heiligtum.
11h04 dans Films-Sissi | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : MonstersAndCritics.de - 23 mai 2009
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Da schritten sie ehrfürchtig die Gänge in den Kaiserappartements der Wiener Hofburg ab, lauschten andächtig den Audioguides - und dann dürften die Touristen wohl kurz an ihrem Verstand gezweifelt haben : Huschten da doch leibhaftig Sisi, Kaiser Franz Joseph und die Erzherzogin Sophie durch die Räume ! "J'ai une vision!", ahmt Martina Gedeck später lachend die Besucher nach. "Ich habe eine Erscheinung!' Sie spielt Sisis Schwiegermutter in Xaver Schwarzenbergers "zeitgemäßer" Neuverfilmung des historischen Stoffs, der jetzt unter anderem in Wien Gestalt annimmt : "Sisi" als Liebes-, als Emanzipationsgeschichte und als Duell zweier starker Frauen.
Am Nachmittag des 24. Drehtages warten die drei Hauptdarsteller Cristiana Capotondi, Martina Gedeck und David Rott in den einstigen Kaiser-Gemächern auf ihren Einsatz. Gleich sollen sie vom Balkon aus dem Volk den neugeborenen Thronfolger Rudolf präsentieren. Tatsächlich brechen plötzlich die etwa 130 Komparsen (bei der digitalen Nachbearbeitung sollen daraus später etwa zehnmal so viele werden) in Jubel aus. Sehr überzeugend, wenn man bedenkt, dass sie schon eine Weile im kalten Mai-Regen froren.
Um vier Uhr morgens am Set sein zum Beispiel, um entsprechend der Mode des Kaiserreichs (sanft modernisiert) eingekleidet und frisiert zu werden. Denn vormittags mimten die Statisten bereits Hochzeitsgäste in der Michaelerkirche (nicht Originalschauplatz der kaiserlichen Vermählung, aber zumindest der von Romy Schneiders und Karlheinz Böhms Film-Jawort). Sisi : "Darf ich dich küssen, Franz ?" - Franz Joseph : "Was hier?" Dann tun sie's.
Eine unkonventionelle Liebe wird hier inszeniert : der Kaiser und sein junger bayerischer Wildfang. Regieassistent Jochen Nitsch forderte eine 'Reaktion des Entsetzens' von der Hochzeitsgesellschaft. "Aber nicht übertreiben !" Das oder gar in den Kitsch abrutschen, das soll bei aller Opulenz der Ausstattung tunlichst vermieden werden bei dem deutsch-österreichisch-italienischen Gemeinschaftsprojekt.
Von Ernst Marischkas "Sissi"-Trilogie grenzt man sich schon allein durch die Schreibweise mit einem "s" ab (Wie die Kaiserin sich auch selbst schrieb). Ein "Frrranz!"
Wie es Michael "Bully" Herbig später treffend parodierte, soll es bei der modernen Fassung ebenso wenig geben wie das 'Papili'. Wie "Sissi" die Werte der 50-er hochhielt, soll Schwarzenbergers "Sisi" eine emanzipierte Frau zeigen. 'Mich interessierte von Anfang an die in Bayern liberal erzogene Sisi, die fast noch als Kind in etwas hineinstolperte, von dem sie nicht ahnen konnte, was auf sie zukommt.' Ein konservatives Haus und die strenge Etikette am Wiener Hof. "Durch ihre Erziehung ahnte sie aber sehr wohl, dass sie Widerstand leisten muss und kann."
Der Rebell Sisi also. "Das ist eine ganz andere Geschichte als die, die in den 50er-Jahren erzählt wurde.
Es ist auch eine andere Geschichte als jene von der Kaiserin, die dem Schönheitskult verfallen war, nachts Rindfleisch-Masken auflegte und 1898 von einem Attentäter erstochen wurde. "Ich lasse mich nicht ein auf die neurotische Sisi, die magersüchtige Sisi, die depressive Sisi", erklärt Schwarzenberger. "Ich will nicht den Mythos zerstören. Ich will ihn eher sogar aufbauen, nur vielleicht ein bisschen verändern." So beginnt seine Geschichte mit Sisis Jugendjahren im bayerischen Possenhofen und endet mit ihrer Krönung zur Königin von Ungarn, ihrem großen politischen Sieg.
Die Entscheidung, den Stoff überhaupt noch einmal anzupacken, sei ihm leicht gefallen, sagt Schwarzenberger, der als Wiener mit dieser Geschichte aufwuchs. "Schon deshalb, weil ich auch Leute kenne, die das immer machen wollten - schon vor 20 Jahren. Es ist nie gelungen." Der Regisseur, der auch die Kamera führt, wirkt völlig entspannt, selbst am Set. Anstrengend sei eher die Vorbereitung gewesen. Drei Länder mit unterschiedlichen Vorstellungen zufriedenzustellen ... Dagegen sei die Dreharbeit "jetzt reines Vergnügen".
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10h42 dans Films-Sissi | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Ksta.de - 22 mai 2009
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Xaver Schwarzenberger dreht für das ZDF eine neue "Sisi"-Version. Ein halbes Jahrhundert nach Romy Schneider wird das Leben der österreichischen Kaiserin erneut zum Filmgegenstand.
Der männliche Hofstaat übertrifft in seinem goldbetressten Uniform-Ausputz und seinen rot-weiß-roten Schärpen den weiblichen bei weitem. Bei den arrivierten Hofdamen dominiert das gedecktfarbige Kostüm. Die Ehrenjungfrauen zieren sich in festlichem Weiß. Die Wiener Michaelerkirche ist mit Frühlingsgrün und Fahnen geschmückt : Schwarz-Gelb, die Farben des Hauses Habsburg, und das bayerische Weiß-Blau. Langsam und würdevoll bewegt sich ein Festzug zum Altar hin, begleitet von tiefen Verbeugungen in den Seitenreihen, an der Spitze im königsblauen Generalsgewand Max Josef, Herzog in Bayern, an seinem Arm seine 16-jährige Tochter Elisabeth, genannt Sisi.
Szenen einer Ehe
Am Ziel wartet in weißem Paraderock und leuchtend roten Hosen der junge Kaiser Franz Joseph, umgeben von der Geistlichkeit in Weiß und Kardinalspurpur. Auf dem Hochzeitsweg wartet hinter der Kamera der Regisseur Xaver Schwarzenberger. Gut ein halbes Jahrhundert nach der Kulttrilogie seines Kollegen Ernst Marischka mit Romy Schneider und Karl-Heinz Böhm wagt er sich - einer Anregung aus Italien folgend - an eine Neuverfilmung des Sisi-Themas. Im Dreiländer-Auftrag von RAI; ORF und ZDF.(Sendetermine im zweiten deutschen Programm sind der 27. und 30. Dezember) entsteht ein Werk mit dem Anspruch, eine neue Sicht zu eröffnen. Schwarzenberger scheut nicht den Vergleich : "Es ist diesmal kein Heimatfilm, sondern eine moderne, packende Geschichte über Szenen einer Ehe."
Legitime Vertreterin der Staatsräson
In der im Hofzeremoniell renitent gebliebenen Kaiserin sieht er "einen Popstar und eine Stil-Ikone in einer Zeit, als diese Worte noch nicht einmal existierten". Er will "den Mythos nicht kaputt machen, aber andere Charaktere zeigen und andere Wichtigkeiten setzen“. Es ist ihm offensichtlich gelungen, seine Hauptdarsteller davon zu überzeugen. Nachdem die Italiener die potentesten Geldgeber für den Elf-Millionen-Etat sind, kann es kaum überraschen, dass die neue Sisi, die sich historisch korrekt mit nur einem "s" schreibt, in Rom geboren ist. Die 23-jährige Cristiana Capotondi hat das Vorbild Romy Schneider, dem sie in ihrer blonden, blauäugigen Zartheit ähnelt, schon als Sechsjährige auf der Leinwand gesehen.
Der Regisseur glaubt, in ihr ein außerordentliches Talent gefunden zu haben. Er traut ihr zu, dass sie "den Bogen zwischen einem 16-jährigen Mädchen und einer 30-jährigen Frau mit viel Lebenserfahrung mühelos spannen kann." Der geplante Zweiteiler endet im historischen Jahr 1867, als Franz Joseph den Ungarn den "Ausgleich" mit enormen Sonderrechten zugestehen musste, woran seine Frau maßgeblichen Anteil hatte. Gleichwohl war die Besetzung der Kaiserrolle nach Schwarzenbergers Schilderung noch schwieriger. Der Anfangsdreißiger David Rott hatte als gebürtiger Leverkusener, der bei Flensburg aufwuchs und in Berlin lebt, den längsten "Anmarschweg" zu seinen filmischen Einsatzorten.
Der alte "Sissi"-Film ist für ihn lediglich ein Musical ohne sonderlichen Tiefgang - was ihn nicht daran hindert, sich eine persönliche Begegnung mit Karl-Heinz Böhm zu wünschen. Nicht überrascht wäre er, wenn er mit der ganzen Crew wegen des riskanten Remakes "abgewatscht" würde. Den stärksten Gegensatz zur traditionellen Sicht will Martina Gedeck als Schwiegermutter Sophie verkörpern. Die nicht zuletzt als Ulrike Meinhof im RAF-Film bekannt gewordene Schauspielerin will nicht die persönliche Feindin Sisis sein, sondern sieht sich als im System legitime Vertreterin der Staatsräson, als Anwältin des monarchischen Prinzips. Nicht aus Bosheit habe sie die Erziehung der Kinder an sich gezogen, sondern "weil du, Sisi, eine schlechte Kaiserin bist".
Doch kommt neben psychologisierendem Kammerspiel, rechtzeitig zum Ausstrahlungstermin "zwischen den Jahren", auch das historische Bilderbuch zu seinem Recht. Man darf sich an einer vier Tonnen schweren goldenen Hochzeitskutsche aus tschechischem Bestand erfreuen wie auch an einem musealen italienischen Kriegsschiff, das den kaiserlichen Schwager vom Schloss Miramare bei Triest nach Mexiko befördern soll. Es gibt österreichische Schlösser und venezianische Palazzi. 2000 Komparsen werden aufgeboten, nicht zuletzt um einen Eindruck vom Kampfgetümmel in Solferino (1859) und Königgrätz (1866) zu hinterlassen. In der Konkurrenz zu den 50er Jahren ist keine Sparversion geplant.
10h57 dans Films-Sissi | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Bild.de - 26 avril 2009
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Donnerstag, der 16. April 2009. Sisi liegt todkrank in ihrem Himmelbett und Regisseur Xaver Schwarzenberger (63) ist nervös. Das ist er aber bei jedem seiner Filme, und bei seinem neuen müsste er eigentlich noch nervöser sein.
Immerhin wagt er sich, zusammen mit seiner Lebensgefährtin, der Produzentin Susanne Porsche (56), an einen Stoff, der Legende ist. Romy Schneider ist in der Rolle der Kaiserin von Österreich unvergessen. Etwa 25 Millionen Menschen haben die "Sissi"-Trilogie gesehen : 1955 drehte Ernst Marischka "Sissi", 1956 "Sissi – Die junge Kaiserin", 1957 "Sissi – Schicksalsjahre einer Kaiserin". Damals spielte Karlheinz Böhm den Kaiser, der wie Romy Schneider kaum bekannt war. Danach waren sie Weltstars.
Es ist Tag zwei der Dreharbeiten für den ZDF-Zweiteiler in der Hofburg. Ob das Kaiserpaar von Susanne Porsche und Xaver Schwarzenberger, zu dessen bekanntesten Werken "Otto – der Film" und "Margarethe Steiff" gehören, eine ähnliche Karriere macht, muss abgewartet werden. Wie Ernst Marischka haben auch sie zwei unbekannte Schauspieler für die Hauptrollen engagiert.
Sisi ist die Römerin Cristiana Capotondi (28), die in manchen Momenten genauso aussieht wie Romy Schneider. Dann hat sie denselben unschuldigen Gesichtsausdruck, denselben klaren Blick. Die Rolle von Kaiser Franz-Josef hat der Deutsche David Rott (31).
Andere Rollen wurden dagegen prominent besetzt: Die Kaiserinmutter, Erzherzogin Sophie, ist Martina Gedeck (47). Sisis Vater, Max Herzog in Bayern, spielt Herbert Knaup (53), sein Kollege Fritz Karl (31) spielt den attraktiven ungarischen Grafen Gyula Andrássy.
Kamera läuft. Zwischen der Kaiserin und ihrer Schwiegermutter beginnt eine heftige Auseinandersetzung. Sisi will ihre beiden Töchter Sophie und Gisela mit nach Budapest nehmen. Die Erzherzogin ist dagegen. Sie besteht darauf, ihre Enkelkinder unter ihren Fittichen in Wien zu haben.
Sisi setzt sich mit Unterstützung ihrer Hofdame Esterhazy durch, die daraufhin von der Erzherzogin entlassen wird.
In dieser Szene wird deutlich, dass die neue Sisi ganz anders ist als die Romy-Sissi. Sie ist eine emanzipierte und politisch engagierte Kaiserin, die vor ihrer mächtigen Schwiegermutter keine Angst hat. Xaver Schwarzenberger und Susanne Porsche produzieren einen politischen Film mit großen Gefühlen, kein Idyll.
"Sisi" ist das vierte gemeinsame Projekt von Susanne Porsche und Xaver Schwarzenberger, die sich 2006 zum ersten Mal begegnen. Beide sind noch verheiratet. Als er sie sieht, denkt er : "Was für eine tolle Frau!“ Sie denkt : "Ich mag Männer mit Bart nicht." Aber weil sie ihn unbedingt als Regisseur und Kameramann für ihren Film "Copacabana" haben will, sieht sie über seinen Vollbart hinweg. Mittlerweile sind beide geschieden, leben und arbeiten zusammen in München.
Nach "Copacabana" führte Xaver Schwarzenberger Regie bei ihren Filmen "Die Liebe ein Traum" und "Detektiv wider Willen" (mit Sky du Mont), der am Donnerstag, 30. April 2009 um 20.15 Uhr, bei der ARD ausgestrahlt wird. "Sisi" soll zwischen Weihnachten und Silvester gesendet werden.
19h35 dans Films-Sissi | Lien permanent | Commentaires (0)