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NDLR : Ouh la la, c'est triste... Sur une musique de Yann Tiersen du film "Le fabuleux destin d'Amélie Poulain".
By : Pinklilaa sur Youtube
12h15 dans Les vidéos montages | Lien permanent | Commentaires (0)
Et voici donc la 2001e note... Et tous ceux qui tiennent un blog savent le travail que cela représente. Le blog à 1 an et 1/2. Cela représente donc une moyenne de 3,5 note par jour...
Je souhaite que ce blog continue à vous procurer encore de nombreuses heures de lecture et de loisirs. Et surtout... du plaisir...
Ah ! Et pour info : souvent d'anciennes notes sont remises à jour (tournage, affiches ou lobby cards notamment). N'hésitez pas à revenir dessus de temps en temps...
A bientôt.
23h08 dans News | Lien permanent | Commentaires (2)
22h50 dans Artistes | Lien permanent | Commentaires (1)
Une petite idée et reprise du forum...
A | Albach-Retty Amour de pluie (un) Assassinat de Trotsky (l') Autriche |
N | Nadine Chevalier (Important...) Nadou, la nurse des enfants Noiret (Philippe) |
B | Banquière (la) |
O | Otley |
C | Califfa (la) Cannes Cardinal (le) César et Rosalie Césars Chabrol (Claude) Chanel (Coco) Choses de la vie (les) Christine Clair de femme Claude (Sautet) Combat dans l'île (le) |
P | Palmer (Lili) |
D | David Delon (Alain) Deray (Jacques) Dommage qu'elle soit une p... |
Q | Qui ? Quibéron Quoi de neuf Pussy-Cat ? |
E | Elsa (Wiener, la passante) Enfer (l') Enrico (Robert) Eternels fiancés (les) Eva |
R | Ronet (Maurice) Rosa (grand-mère) Rosalie (César et Rosalie) Rosemarie Rouffio (Jacques) |
F | Fantome d'amou Feu d'artifice Franz (Sissi) |
S | Sarah Scampolo Schneider (Magda) Sissi |
G | Garde à vue Girod (Francis) Goldenstein (internat) Granier-Deferre (Pierre) Gustav Knuth (sissi) |
T | Tavernier (Bertrand) Train (le) Trintignant (Jean-Louis) Trio infernal (le) Triple cross |
H | Haubenstock (Harry et David) Histoire simple (une) Horst (Buchholz) |
U | |
I | Important, c'est d'aimer (l') |
V | Vainqueurs (les) Ventura (Lino) Victoria (jeune reine) Vieux fusil (le) Visconti (Luchino) Vienne |
J | Jeunes filles en uniforme Jurgens (Curd) |
W | Welles (Orson) Wolfdieter (frère) Wolfgang (père) |
K |
Katia Kitty |
X | Xavier (faon, Sissi) |
L | Lederle (Franz Xaver) |
Y | |
M | Mado |
Z | Zulawski (Andrzej) |
15h13 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (4)
Source : On refait le film !
Synopsis
Max n'est pas un policier comme les autres ; solitaire et intransigeant, il ne vit qu'avec une seule idée en tête : ar rêter des malfaiteurs en flagrant délit. Il rencontre par hasard un ancien ami de régiment, Abel, qui se confie à lui sans savoir qu'il appartient à la police... Abel s'est acoquiné avec une bande de "ferrailleurs" de Nanterre. À défaut de grands truands, Max va s'efforcer de piéger ces amateurs dont il va téléguider les agissements...
L'avis de : On refait le film !
Claude Sautet où l’art d’impliquer monsieur ou madame tout le monde dans des récits que l’on ne peut voir qu’au cinéma. Ici, Sautet va entamer un cycle des prénoms qui fait référence au quidam représentant n’importe lequel d’entre nous. Après «Max», il y aura César, Rosalie, Vincent, François, Nelly, dans une même optique de s’impliquer au plus près d’une réalité quotidienne et dans un grand souci d’une certaine authenticité. Les films ne travaillant pas avec les prénoms lorgnent explicitement dans la même direction : «Les choses de la vie», «Une histoire simple», etc.
Après «Classe tout risque», Sautet revient à ses amours pour le film noir. Il cherche à réaliser un drame à la fois violent et dérisoire, avec une part de romantisme. Mais surtout, c’est la part d’ombre qui se cache derrière chaque être humain que Sautet cherche à révéler. Comme souvent chez Sautet, il se cache plusieurs couches derrière la tram e principale. Dans «Max et les ferrailleurs», le suspense policier n’est qu’un prétexte à l’étude psychologique des personnages et du milieu dont ils sont issus. Des personnages à plusieurs facettes et nuancés : Max, représentant de la loi, connaît un trouble obsessionnel dangereux qui le fera déraper irrémédiablement. Mais il n’en reste pas moins humain. Lily, jouée par Romy Schneider est une prostituée victime du piège tendu par Max, et qui va à son tour piéger son petit ami. Abel, joué par Bernard Fresson est un petit délinquant pas bien méchant, qui au pied du mur, poussé par Lily, va commettre l’irréparable. Le commissaire interprété par Georges Wilson connaît le vice de Max, mais ne fait rien pour l’arrêter. Des personnages très nuancés, piégés par la pression de la vie, qui dérapent à un moment donné, comme cela pourrait arriver à n’importe lequel d’entre nous dans un moment de faiblesse. Et au regard des films de Sautet, la faiblesse reste très humaine, et donc très crédible.
Le choix des comédiens est proche de la perfection. Contre l’avis des producteurs qui demandait Delon ou Montand dans le rôle titre, il reprend Piccoli qui s’investit totalement dans l’entreprise et qui réussit avec Max une des plus belles prestations de sa carrière. Et puis Romy Schneider, qui deviendra plus tard actrice fétiche du réalisateur, à qui Sautet n’ose pas offrir le rôle dans un premier temps, de peur de la froisser. Une fois qu’elle accepte le rôle, elle s’investit à 100% en apprenant l’argot, le poker, et en observant longuement les prostituées de Paris. Le résultat est stupéfiant de crédibilité, et le talent et la beauté aidant, parvient à toucher à la perfection. Bingo pour Sautet, qui en reprenant son duo des «Choses de la vie», parvient à étonner et à toucher juste.
Sautet, metteur en scène qui n’est pas reconnu à sa juste valeur selon moi. Il vaut bien un Truffaut et ce film-ci en constitue une magnifique illustration. «Max et les ferrailleurs», tout simplement dans le top de l’histoire du cinéma français.
14h20 dans Film-1970-Max & ferrailleurs, Les critiques | Lien permanent | Commentaires (0)
Editions Romy.de
12h08 dans Calendriers | Lien permanent | Commentaires (3)
NDLR : Romy évoquée dans cette émission à l'occasion de la sortie du livre de Johannes Thiele
Source : blog de Télématin
Dans la peau de... Romy Schneider
De son vrai nom, Rosemarie Magdalena Albach-Retty, Romy Schneider naît le 23 septembre 1938 à 22 h 05 à Vienne, en Autriche. Son père, l'acteur autrichien Wolfgang Albach est le fils d'un officier impérial, Karl Albach, et de la comédienne Rosa Retty. Sa mère, l'actrice allemande Magda Schneider, née à Augsbourg en Souabe est la fille de Maria Schneider. Le prénom de baptême de Romy, Rosemarie, est en fait l'association des prénoms de ses deux grands-mères, Rosa et Maria. En 1940 naît Wolfgang Dieter Albach, petit-frère de Romy qui exercera plus tard la profession de chirurgien.
En octobre 1938, la famille Albach déménage de la capitale autrichienne et s'installe à Schönau, près de Berchtesgaden, où la grand-mère Maria Schneider prend soin de Romy. En 1943, Wolf et Magda décident de se séparer, et ils divorceront en 1945, ce qui laissera Romy assez perturbée. Romy vit alors avec sa mère. Elle entre à l'école primaire de Berchtesgaden en 1944, alors que son père s'installe avec l'actrice Trude Marlen.
En 1945, elle entre au pensionnat Goldenstein près de Salzbourg, qu'elle fréquentera jusqu'en 1953, année où elle obtiendra son Mittlere Reife (équivalent du BEPC). Après le remariage de sa mère en 1953 avec le restaurateur Hans-Herbert Blatzheim (qui aurait porté un intérêt malsain à sa belle-fille), Romy s'inscrit à l'École des Beaux-Arts de Cologne.
À l'époque sur le tournage de Lilas blancs, Magda Schneider a besoin de quelqu'un pour interpréter sa fille, et pense tout naturellement à sa propre fille. Elle joue donc son premier rôle sous le nom de Romy Schneider Albach, et commence à être demandée par plusieurs réalisateurs. Dès 1953, Magda décide donc de prendre en charge la carrière naissante de sa fille, qui prend définitivement le pseudonyme de Romy Schneider. Magda imposera ainsi souvent aux réalisateurs de jouer avec sa fille, et interdira à Romy de signer le contrat que Kirk Douglas lui propose en 1957. La jeune femme se rebelle alors et décide de choisir dorénavant elle-même ses rôles.
En 1956, elle fréquente brièvement Toni Sailer, le triple champion du monde de ski alpin. Entre 1956 et 1957, elle entretient une relation avec l'acteur Horst Buchholz, mais tous deux finiront par s'éloigner.
En 1958, sur le tournage de "Christine", Romy rencontre le jeune et séduisant Alain Delon. Ils tombent amoureux l'un de l'autre et célèbrent leurs fiançailles officielles le 22 mars 1959 devant la presse internationale. Romy part alors s'installer avec lui à Paris.
En 1963, elle reçoit l'Etoile de Cristal de l'Académie du Cinéma pour sa prestation dans Le Procès. La Columbia lui offre alors un contrat de sept ans, et Romy s'installe temporairement aux États-Unis. En 1963, après cinq ans de passion orageuse, Alain Delon la quitte pour Nathalie Canovas, enceinte de leur fils Anthony.
En juin 1964, Romy obtient la Victoire du Cinéma Français, récompensant la meilleure actrice étrangère de l'année.
Le 1er avril 1965, à l'occasion de l'inauguration du restaurant Blatzheim à l'Europa-Center de Berlin-Ouest, elle rencontre l'acteur et metteur en scène de théâtre berlinois Harry Meyen. Tous deux se marient le 15 juillet 1966 à Saint-Jean-Cap-Ferrat — Romy est déjà enceinte de cinq mois — et s'installent ensemble à Berlin-Grunewald. Le 3 décembre, elle donne naissance à son premier enfant, David Christopher Meyen (Meyen n'étant que le pseudonyme de son père, David s'appelle en réalité Haubenstock, comme le mentionne son état civil).
Le 21 février 1967, Wolfgang Albach — le père de Romy — décède à Vienne.
En 1972, elle se sépare de son époux Harry. Le divorce sera prononcé le 5 juillet 1975 à Berlin-Ouest en l'absence des deux intéressés. Le 18 décembre de la même année, elle épouse son secrétaire Daniel Biasini. Après avoir perdu un premier enfant en 1976, Romy accouche prématurément d'une fille, Sarah Magdalena Biasini le 21 juillet 1977 à Gassin, dans le Var.
Le 15 avril 1979, son ex-mari Harry Meyen met fin à ses jours à Hambourg ; très affectée, Romy rentre d'Acapulco pour assister à l'enterrement.
Après avoir demandé le divorce en février 1981, elle subit l'ablation d'un rein, puis rencontre Laurent Petin, producteur célibataire plus jeune qu'elle, avec lequel elle passera les derniers mois de sa vie.
Le 5 juillet 1981, son fils David meurt brutalement dans un accident tragique, à l’âge de quatorze ans : en escaladant la grille des parents de son beau-père Daniel Biasini (chez lesquels il passait ses vacances), il s'empale sur une pointe d'acier et succombe d'une perforation intestinale.
Anéantie et détruite, Romy (déjà grande fumeuse) tente de noyer son chagrin dans l'alcool. Le 29 mai 1982, Romy Schneider est retrouvée morte dans son appartement de Paris. Aucune autopsie n'ayant été pratiquée, on ne sait toujours pas si elle a succombé à une crise cardiaque ou si elle s'est donnée la mort en mélangeant alcool et barbituriques.
Elle sera inhumée le 2 juin 1982 au cimetière de Boissy-sans-Avoir, auprès de son fils chéri. À celle dont il dit qu'elle est le plus grand amour de sa vie, Alain Delon, présent, écrira sur un bout de papier : «Tu n'as jamais été aussi belle, tu vois j'ai appris quelques mots d'allemand pour toi : Ich liebe dich meine Liebe.» (Traduction : Je t'aime mon amour / ma chérie).
Durant sa carrière, Romy Schneider remporta deux Césars de la meilleure actrice : le premier en 1974 pour "L'Important c'est d'aimer d'Andrzej" Zulawski et le second en 1978 pour"Une histoire simple" de Claude Sautet.
23h12 dans Télévision - Romy | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Artisthea
Steve Suissa se lance dans la mise en scène théâtrale
Acteur, metteur en scène, cinéaste et producteur, Steve Suissa ne renierait pas la formule selon laquelle on ne voit bien qu’avec le cœur. Pour s’en convaincre, rendez-vous est pris le 6 septembre au Théâtre Marigny où il met en scène “Pieds nus dans le parc” de Neil Simon.
Au cinéma vous avez tourné L’Envol, Cavalcade (avec Titoff, Richard Bohringer, Marion Cotillard), Le Grand Rôle (Stéphane Freiss, Bérénice Bejo, Peter Coyote). Par contre, au théâtre, il s’agit de votre première mise en scène. Qu’avez-vous voulu faire ?
J’ai envie de travailler comme un artisan, de façon minutieuse. Avec les comédiens (Olivier Sitruk, Béatrice Agenin, Sarah Biasini, Thierry Bosc et Denis Sebbah, ndlr), nous échangeons en permanence. Ce travail sur les êtres humains est passionnant ! Ce que je veux amener, c’est le vrai sens de la comédie romantique tout en stimulant le goût d’aller au théâtre.
C’est plutôt difficile de trouver sa place au cinéma ? Comment faites-vous ?
Je me bagarre ! J’ai 34 ans, j’ai fait deux arrêts cardiaques et un ulcère. En effet, c’est devenu très compliqué de faire du cinéma. Il y a trop de films faits pour de mauvaises raisons : on prend des vedettes sans se préoccuper des scénarios ou de la teneur des dialogues.
Comment pourriez-vous parler de la pièce en quelques mots ?
Deux jeunes mariés viennent de s’installer ensemble, c’est le moment où il faut accepter l’autre. On se retrouve dans un univers rappelant Capra ou Lubitsch. La pièce est très vivante, ce n’est pas pour rien qu’elle est devenue rapidement un film interprété par Jane Fonda et Robert Redford !
La dernière fois qu'elle a été jouée...
C’était en 1963 à la Madeleine dans une mise en scène de Pierre Mondy avec Jean-Pierre Cassel, Mireille Darc, Michel Galabru, Rosy Varte.
Pourquoi l’avoir choisie ?
Après avoir réalisé plusieurs films, je souhaitais monter une comédie. J’ai trouvé celle-ci bien écrite, parlant de choses qui me touchent, avec un humour constant.
Votre parcours, comment le résumeriez-vous ?
Je suis né dans un quartier que j’ai jamais quitté, rue du Faubourg Montmartre, au moment où ma mère faisait la queue pour voir Au nom de la loi avec Steve McQueen, d’où mon prénom. À 15 ans, je bossais à Rungis et rêvais d’être acteur, sans pouvoir l’avouer à mes parents. J’ai fini par me présenter au cours Florent avec une scène du Parrain que je connaissais par cœur. Je portais un flingue pour me donner plus de consistance. Francis Huster et François Florent ont commencé à parler, ce que j’ai pris pour un manque de respect : j’ai sorti mon flingue et mis deux balles dans le parquet. J’ai décroché ma classe libre comme ça ! Avec Huster, nous sommes devenus copains, il m’a fait beaucoup travailler. J’ai fait une foule de téléfilms. L’Envol avec Isabelle Carré et Clément Sibony a été mon premier film. Aujourd’hui, j’ai ma propre boîte de production.
On est riche quand on est producteur ?
Non ou alors quand on a la chance de faire des films tout le temps. En tout cas, je n’ai pas de problèmes avec l’argent, j’aime en gagner pour réaliser mes projets. Jouer à la rentrer, c’est être privé de vacances ! Afin de présenter mes deux derniers films, j’ai sillonné une quinzaine de pays à chaque fois, pour moi, les vacances c’est ça !
Philippe Escalier - 18 août 2007
12h13 dans Thea-2004-Pieds Nus | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Blog Poésies en l'honneur des femmes
Rayonnante au regard intense
Offrant chaque jour la romance
Messagère de vérité
Y a, en toi, de la bonté.
Rutilante par ton sourire
Ondine apportant le plaisir
Mélodie de toute beauté
Y a, en toi, sincérité.
Ravissante la comédienne
Ou bien dans ta vie quotidienne
Merveilleuse, avec un coeur pur
Y a, en toi, toute nature.
Resplendissante d'allégresse
Ouverte sur bonne tendresse
Madame, je dis châpeau bas
Y a, en toi, aucuns coups bas.
Riche de bonheur et de pleur
Ombre parfois que ta douleur
Magdalena, depuis toujours
Y a, en toi, que de l'amour.
Alain B.
11h18 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (1)
09h34 dans Presse - 2007 | Lien permanent | Commentaires (0)
23h39 dans News Sarah | Lien permanent | Commentaires (0)
Les jacquettes
NDLR : Les jacquettes présentées ci-dessous sont destinées à un usage personnel et dans le cadre familial des utilisateurs. Si vous possédez des jacquettes (toutes nationalités mais uniquement en taille réelle recto/verso), n'hésitez pas me à les faire parvenir afin de pouvoir les ajouter.
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France DVD (Originale) Cliquez sur ce lien pour obtenir la jacquette en taille réelle Jacquette par Romy1611 |
21h36 dans Jaquettes | Lien permanent | Commentaires (1)
NDLR : Voici des images tirées du documentaire diffusé sur la chaîne "Histoire"
En compagnie de François Delpla, historien spécialiste de Hitler et de son entourage, Isabelle Clarke et Daniel Costelle révèlent tous les secrets des images filmées par Eva Braun, la compagne de Hitler. Ils ont interrogé Rochus Misch, téléphoniste de Hitler et dernier témoin vivant de la fin du dictateur. Ils brossent, à travers ces films, un portrait intime du dictateur et d'Eva Braun, mais aussi de leurs proches. Certains sont connus, comme Himmler, Speer, Heydrich, Goebbels, d'autres le sont moins, comme Heinrich Hoffmann, le photographe qui a présenté Eva à Hitler, Sepp Dietrich, le docteur Morell, son médecin personnel et aussi Magda schneider, la mère de Romy Schneider.
13h47 dans Ca tourne autour... | Lien permanent | Commentaires (8)