05h40 dans Film-1980-Banquière | Lien permanent | Commentaires (0)
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Source : TéléObs.com - 25 août 2008
Le sujet
Grandeur et décadence dans le Paris des années 20 à travers l'histoire de la fille d'un chapelier juif devenue une célèbre banquière à la réputation sulfureuse.
En 1921, à Paris. Emma Eckhert, fille d'un chapelier juif, épouse Moïse Nathanson pour masquer son homosexualité. Elle entretient parallèlement une liaison avec Camille Sowcroft, la fille d'un bijoutier. En 1929, grâce à l'avance financière que lui consent Camille et à l'appui de ses relations, Emma a conquis une place de choix dans le cercle fermé de la haute finance. Populaire, audacieuse, anticonformiste, elle offre aux petits épargnants des taux d'intérêt exceptionnels qui inquiètent les autres banquiers, notamment le puissant Vannister. Celui-ci multiplie les démarches et parvient à gagner la complicité du président du Conseil et d'un juge d'instruction borné. Emma est arrêtée et condamnée pour escroquerie...
Notre avis
La distribution est de rêve, le scénario entièrement à son service, la reconstitution soignée (c'est bien le moins) et la réalisation un peu trop fermée. Autrement dit, les acteurs portent le film. - Pascal Mérigeau
La critique
A la fin des années 1960, Dominique Desanti ressuscite dans une biographie Marthe Hanau, la «banquière des Années folles». Cette femme scandaleuse par ses escroqueries et ses moeurs saphiques attire les actrices : Jeanne Moreau, Régine, Simone Signoret... En 1980, Romy Schneider, au sommet de sa beauté et de son talent, devient Marthe, appelée ici Emma Eckhert : elle séduit, elle triche, elle perd, sur un scénario de Georges Conchon qui prend des libertés avec l'histoire, surtout à la fin (Marthe Hanau se tua en prison). Autour de la star, Girod rassemble une brillante distribution. A part Jean-Claude Brialy en avocat truculent, c'est un fantastique défilé de crapules. Jean-Louis Trintignant représente la banque, Claude Brasseur et son greffier Jean-Michel Ribes la justice, Hubert Deschamps la police, Jean Carmet la presse pourrie. Du côté des dames, la lumineuse MarieFrance Pisier et Isabelle Sadoyan en religieuse à cornette incarnent la compassion, face aux mégères Annie Savarin et Marie-Pierre Casey. Le réalisateur choisit aussi des débutants prometteurs. Thierry Lhermitte est le factotum, Daniel Mesguich l'amant «candidat des gauches», Daniel Auteuil l'opportuniste, Philippe Brizard et Jean-Paul Muel les notaires vendus. Sans oublier Véronique Genest en femme de ménage ! Pour pimenter le tout, des écrivains affrontent la caméra. Noëlle Chatelet et Régine Deforges succombent aux charmes d'Emma, François-Régis Bastide et Guillaume Hanoteau sont des ministres corrompus, Conchon luimême arbore la moustache d'Aristide Briand.
02h52 dans Film-1980-Banquière | Lien permanent | Commentaires (0)
10h16 dans Film-1980-Banquière | Lien permanent | Commentaires (0)
09h11 dans Film-1980-Banquière | Lien permanent | Commentaires (0)
Essai des costumes de Jacques Fonteray par Romy Schneider. Cliquez sur le lien pour (re)découvrir Jacques Fonteray
01h41 dans Film-1980-Banquière | Lien permanent | Commentaires (4)
09h01 dans Film-1980-Banquière | Lien permanent | Commentaires (0)
08h48 dans Film-1980-Banquière | Lien permanent | Commentaires (0)
08h41 dans Film-1980-Banquière | Lien permanent | Commentaires (0)
01h23 dans Film-1980-Banquière | Lien permanent | Commentaires (0)
08h33 dans Bannières, Film-1980-Banquière | Lien permanent | Commentaires (6)
N° 2 de la collection "Les plus grands films de Romy Schneider en DVD" : "La banquière"
10h07 dans Film-1980-Banquière, Synopsis | Lien permanent | Commentaires (0)
Le numéro 2 de la collection "les plus grands films de Romy Schneider en DVD" est désormais disponible chez tous les marchands de journaux et en abonnement sur ma collection.fr au prix de 7 euros
Contient :
09h59 dans En DVD !, Film-1980-Banquière | Lien permanent | Commentaires (8)
03h03 dans Film-1980-Banquière | Lien permanent | Commentaires (0)
Film de Francis Girod (France, 1980). Scénario : Georges Conchon et F. Girod. Image : Bernard Zitzermann. Musique : Ennio Morricone. 130 mn.
Avec Romy Schneider : Emma. Jean-Louis Trintignant : Vannister. Jean-Claude Brialy : Cisterne. Claude Brasseur : Largué. Daniel Mesguich : Rémy Lecoudray. Marie-France Pisier : Colette Lecoudray.
Genre : comédie historique.
Dans le Paris trépidant de l’entre-deux-guerres, une femme, fille d’un chapelier juif et reine de l’anticonformisme, impose ses insolences. Elle fume en public, ne porte ni corset ni voilette et accumule sans honte ses aventures homosexuelles. Surtout, elle se bâtit une fortune au prix d’un individualisme forcené, exaspérant les géants de la Bourse.
Inspiré de la vie de Marthe Hanau, que l’on surnomma «la banquière des Années folles», ce ciné-roman est l’un des meilleurs de Francis Girod. Auréolée par la beauté têtue et la fierté déchirée de Romy Schneider, son héroïne rejoint une galerie d’insoumis à panache, où figurent René la Canne et Lacenaire. En banquier dandy et cynique, Trintignant a la rigidité glacée d’un von Stroheim. Mesguich joue un jeune loup de la politique ; Carmet, un journaliste véreux... Tous font de ce spectacle un éblouissement.
Avec cette saga de satin qui navigue entre les rivières de diamants et les fioles de vitriol, Francis Girod signe un petit bijou où l’amour, le pouvoir, l’aventure et la tempête des passions se marient divinement avec l’éclat du baroque.
Nagel Miller
Télérama.fr - le 24 novembre 2007
19h25 dans Film-1980-Banquière, Les critiques | Lien permanent | Commentaires (7)
Source : TV Mag.com - Le film du jour - 29 novembre 2007
Paris, les années folles. Marthe Hanau, une reine de la finance, défraye la chronique. Symbole de l'anticonformisme, elle fait scandale en affichant ses amours saphiques et en luttant contre le capitalisme pour favoriser l'épargne populaire. Dans «La Banquière» (1980), Marthe Hanau devient Emma Eckhert (Romy Schneider). Ses spéculations en Bourse lui permettent de faire bénéficier à ses clients d'intérêts rondelets. Une abomination pour ses concurrents, adeptes de la finance «traditionnelle»! Ils commencent à sérieusement grincer des dents et ne tardent pas à manigancer leur vengeance...
«La Banquière» de Francis Girod («Le Trio infernal», «Le Bon Plaisir») s'impose comme une magnifique reconstitution historique. «J'aime créer une fiction romanesque à partir de faits divers qui me paraissent exemplaires, expliquait-il. Mais j'essaie aussi de donner à ce ciné-roman de l'histoire un éclairage moral personnel.» Il ajoute ainsi à cette libre adaptation de la vie de Marthe Hanau une critique sociale sans concessions des milieux dirigeants de l'entre-deux-guerres.
Romy Schneider partage, avec Jean-Louis Trintignant, Claude Brasseur, Jean Carmet et Jean-Claude Brialy, la vedette de ce drame flirtant, comme l'expliquait Francis Girod, avec «le jeu de massacre, mais aussi l'apologie de la fidélité en amitié et en amour». C'est la chronique prenante de l'ascension vertigineuse - et de la chute - d'une femme hors du commun dans les arcanes du pouvoir.
09h36 dans Film-1980-Banquière | Lien permanent | Commentaires (0)
11h20 dans Film-1980-Banquière | Lien permanent | Commentaires (0)
03h55 dans Film-1980-Banquière | Lien permanent | Commentaires (0)
Auteur : Récit de Jean Noli et Eric Chanel
Sur un scénario de Georges Conchon
Editions : Ramsay
Année : 1980
264 pages - Aucune photo
ISBN : 2.245-01477-4
Résumé : Emma Eckhert, d'origine très modeste, fille de chapelière, devient en quelques années l'une des vedettes de la finance parisienne, une étoile de la IIIe République.
Mais, trop brillante, elle irrite. Trop sincère, elle choque. Trop audacieuse, elle dérange. Cette femme libre avant l'heure va se brûler les ailes.
Alors que des milliers de petits épargnants la soutiennent, la Presse, le Pouvoir et l'Argent s'uniront pour l'abattre.
Note de l'Editeur : Marthe Hanau est sans conteste l'un des personnages les plus fascinants de la IIIe République. Née en 1886,riene des années folles, elle monte sa propre banque en 1925. Elle est condamnée pour escroquerie en 1928 et l'affaire Hanau soulèvera en son temps autant de passion que le scandale Stavisky. Elle meurt en 1935.
C'est à partir de ces faits vrais que Georges Conchon, unissant ses qualités de Romancier et d'Historien a inventé le personnage d'Emma Eckhert, la femme libre avant l'heure, l'égérie de l'après-guerre, mais aussi la protectrice des petits épargnants, la persécutée par tous les pouvoirs...
Ainsi est né le scénario du film de Francis Girod : "La banquière". L'histoire était trop belle, trop riche en rebondissements, en péripéties d'amour, de haine , de mort pour la laisser aux seuls cinéastes, pour n'en pas faire un livre. C'est pourquoi nous avons demandé à un écrivain, Jean Noli et à un économiste, Eric Chanel, de raconter à leur manière cet exceptionnel destin de femme qui donne à l'entre-deux-guerres une image nouvelle : derrière la bonhomie des banquets radicaux sourd, la violence.
10h12 dans Film-1980-Banquière, Les romans | Lien permanent | Commentaires (2)
Les jacquettes
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10h01 dans Film-1980-Banquière, Jaquettes | Lien permanent | Commentaires (0)
L'histoire...
1980 - Réalisé par Francis Girod
Générique : Scénario: Georges Conchon, Francis Girod. Dialogues: Georges Conchon. Directeur photo : Bernard Zitzermann (Eastmancolor-Panavision). Musique: Ennio Morricone. Décors : Jean-Jacques Caziot. Son: Jean-Pierre Ruh. Montage: Geneviève Winding. Assistants réalisateurs : Régis Wargnier, Olivier Horlait. Caméra: Jean Harnois. Maquillages: Paul Le Marinel, Eric Muller. Costumes: Jacques Fonteray. Coiffures: Jean-Max Guérin, Marc Ludovic. Chapeaux de Romy Schneider: Jean Barthet. Chef costumier: Jean-Pierre Mayer. Habilleuse de Romy Schneider: Monique Duruy. Script: Suzanne Durrenberger. Ensembliers: Guy Legrand, Philippe Turlure. Régisseur: Ilya Claisse. Accessoiriste : Michel Grimaud. Effets spéciaux : Georges Demetrau. Mixage: Claude Villand. Bruitages: Jérôme Levy. Doublages: Jacques Levy. Casting: Fabienne Faudot-Bel. Directeur production: Michel Frichet. Distribution : Gaumont. Durée : 131 mn. Sortie à Paris: 27 août 1980.
Distribution : Romy Schneider (Emma Eckhert), Jean-Louis Trintignant (Horace Vanister), Jean-Claude Brialy (Paul Cisterne), Claude Brasseur (juge Largué), Jean Carmet (Du Vernet), Marie-France Pisier (Colette Lecoudray), Jacques Fabbri (Moïse Nathanson), Daniel Mesguich (Rémy Lecoudray), Noëlle Chatelet (Camille) Daniel Auteuil (Duclaux), Thierry Lhermitte (Devoluy), Arnaud Boisseau (Ie jeune Armand), Anne Jousset (Mme Radignac), Jean-Paul Muel (notaire de Lille), François Régis Bastide (ministre de la Justice), Claude Darget (Bourseul-Martilly), Jean Gorini (speaker radio + commentaires d'actualité), Philippe Colin (Savatier), Georges Conchon (Brehaud), Hubert Deschamps (commissaire à Meudon), Philippe Brizard (Chériaux), Yves Brainville (Préfaille), Isabelle Sadoyan (soour Hermance), Guillaume Hanoteau (M. Radignac), Jean-Pierre Honoré (Bob Sowcroft, époux de Camille), Françoise Ulrich (Mme Eckhert), Fredy Willeimducher (M. Eckhert), Francis Oaude (président du tribunal), Kathia Josse (journaliste à Genève), Maurice lllouz (photographe du casino), François Trystram (procureur), Laurent Suire (Destouches), Anne Rondags (Mme Destouches), Jean-Michel Ribes (greffier), Brigitte Chamarandes (femme de chambre), Etienne Perier (président à Meudon), Lionel Vitrant (Boris, chauffeur d'Emma), Régine Deforges (Ia riche américaine), Sarah Sterling, Lydia Feld, Josée Yanne (prostituées), ArIette Emmery (une détenue), Alain Adair (sir Charles), Marie-Pierre Casey, Annie Savarin (femmes du passage Choiseul), Fabien Briche (liftier d'Amsterdam), Cyril Brisse (liftier du grand hôtel parisien), Claude Marcault (élégante de 1908), Eric et Stéphane Raphaël (Jerry et Andy Sowcroft), Michel Delahaye (chef comptable), Roland Malet (un agent).
Résumé : De 1908 à 1935, à Paris et ses environs, Monte-Carlo, Cologne, Genève, Amsterdam, Vienne, Rome.
1908 : la jeune et jolie Emma Eckhert, fille de modestes commerçants d'origine israélite, vient livrer un chapeau à une élégante dans les appartements feutrés d'un grand palace parisien. Son pourboire en main, elle se glisse dans l'ascenseur où une riche étrangère la dévisage avec insistance avant de la suivre jusqu'à la sortie. Dès l'aube, la police et un époux bafoué surprennent les deux femmes enlacées dans la chambre d'un coquet pavillon de banlieue. Ramenée au foyer paternel entre deux agents, Emma se fait insulter par les voisins et par sa mère, furieuse. Consolée par son père qu'elle adore, elle se jure de connaître un jour la fortune et de prendre une revanche sur le destin. La Première Guerre mondiale terminée, Emma quitte enfin ses parents pour épouser Moïse Nathanson, un ami de la famille plus âgé qu'elle. Le mariage a peine consommé, Emma et Moïse reprennent leur liberté tout en conservant une étroite complicité. Arrêtés pour diverses escroqueries, ils rencontrent un brillant avocat nommé Paul Cisterne. Coup de foudre d'intense amitié entre Emma et Paul qui restera le témoin des bons et mauvais moments, l'indispensable confident.
1923 : Emma tombe amoureuse de la mince et troublante Camille. Grâce aux millions de son père, Camille, très éprise, entretient sa compagne et l'aide à gravir les échelons de la réussite en la présentant à ses meilleures relations. Puis elle épouse Bob Suwcroft. Emma oublie sa jalousie et accepte l'ambiguïté de la situation car le mari est fortuné. Dévorée d'ambition, fascinée par le pouvoir et l'argent, elle délaisse sa protectrice et «maîtresse» pour échafauder mille projets. Elle s'intéresse d'abord aux affaires boursières puis fonde une société de crédits pour petits épargnants.
1929 : solidement établie, Emma Eckhert vit dans le luxe, hante les salons mondains, affiche son opulence et son homosexualité et choque la morale bourgeoise. Elle propose à ses clients 8 % d'intérêts contre 1 % offerts par les banques rivales. Emma obtient rapidement la faveur populaire et ses affaires en bourse se révèlent excellentes. Propulsée au premier rang de l'actualité, elle provoque la haine et la méfiance de ses confrères dont le fameux Horace Vanister, fier et cynique banquier sans scrupules qui décide de barrer la route à cette femme redoutable. Emma devient la proie de journalistes véreux dont ce Du Vernet qui ne cesse de la tourmenter à coups d'odieux chantages. Indifférente à la crise économique et aux commérages tous azimuts, «la Banquière» consolide sa réputation, multiplie les audaces et s'attaque aux grands de la finance. Enfin, elle décide de créer La Gazette du Franc, ce qui lui permet de fréquenter les coulisses du gouvernement et de flirter avec des personnages influents comme le président Préfaille et Bréhaud, homme de gauche. Sa liaison avec Rémy Lecoudray, jeune député socialiste et ancien de 14, torture Camille humiliée et provoque un nouveau scandale car Emma pousse son amant vers le plus hauts sommets. Mme Eckhert est devenue la femme à abattre ! Vanister, appuyé par Préfaille, fait arrêter sa rivale. Désigné pour mener l'enquête, le juge Largué, homme mesquin et sans envergure interroge Emma et la fait incarcérer avant qu'elle ne puisse se justifier. Séduite par la forte personnalité de cette femme hors du commun, Colette, épouse de Lecoudray, devient une alliée puis une amie sûre. Après avoir affronté l'univers sordide des prisons, Mme Eckhert décide de faire la grève de la faim. Epuisée, elle est transportée d'urgence à l'infirmerie mais elle parvient à s'en échapper grâce à Paul Cisterne et trouve refuge auprès de Colette, complice, qui la conduit à une retraite cachée. Un accident de voiture permet aux autorités de retrouver la trace d'Emma à nouveau jugée. Le procès épargne quelques têtes dont Lecoudray lequel, aveuglé par la crainte du déshonneur, a lâchement abandonné sa maîtresse. Sévèrement jugé par la presse puis par sa femme, il se suicide sous les yeux de celle-ci.
Les années trente : Emma purge sa peine puis décide d'attirer à nouveau l'attention sur elle en se brisant la jambe dans sa cellule. Soignée dans une clinique privée, elle parvient, grâce à Paul et Colette, ses fidèles, à réunir tous ses sympathisants et organise un meeting au cours duquel elle clame son honnêteté et promet de rembourser sa clientèle. Mais Emma Eckhert ne terminera pas son brillant discours. Elle s'effondre soudain sous les balles d'un tueur à gages et meurt dans les bras de Colette, au milieu d'une foule paniquée...
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