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Demain à 11h05 : Dominique Besnehard pour "Nos actrices françaises" aux Editions Herscher
Truffaut disait : «Le cinéma, c'est de l'art de faire faire de jolies choses à de jolies femmes.» Cette véritable encyclopédie du 7e art entrelace ainsi joyeusement les films et les actrices françaises des années 50 à nos jours. Dans des pages pleines de vie, Jean-Michel Parker décrit le parcours de 30 comédiennes merveilleuses et inoubliables, comme Romy Schneider, Annie Girardot, Simone Signoret, Brigitte Bardot. Il s’entretient aussi avec Anouk Aimée, Françoise Fabian, Brigitte Fossey, dans des pages d’une sincérité désarmante, qui dévoile les coulisses, les amitiés cachées et les guerres secrètes d’un certain cinéma français qui peut-être, a disparu à jamais. Publicité
Écrivain, cinéphile, conteur intarissable du 7e art, et complice de toujours de Dominique Besnehard, Jean-Michel Parker réalise ici un tour de force en faisant revivre sous nos yeux l’une des plus riches époques du cinéma français.
"Nos actrices françaises" de Jean-Michel Parker et préfacé par Dominique Besnehard est publié aux Editions Herscher.
La Bande Originale de Dominique Besnehard :
Ecoutez l'émission ici :
"La bande originale" sur France Inter - 24/02/2023
20h17 dans Musique / Audio | Lien permanent | Commentaires (0)
Auteur : Clémentine Deroudille
Editions : Flammarion
Langue : Français
Relié : 256 pages
Sortie le : 29 mars 2023
Prix : 35 euros
A commander sur Amazon.fr
ISBN-10 : 2080427717
ISBN-13 : 978-2080427717
Résumé : "Je voulais vivre, aimer, me développer sur le plan artistique, devenir un être nouveau : mais surtout être libre". De cette profession de foi, Romy Schneider fera sa devise, mêlant vie privée et vie professionnelle comme aucune autre, menant son existence tambour battant. Dans cet ouvrage, c'est l'actrice au travail, passionnée et totalement investie que nous découvrons, au travers de photographies de plateau pour certaines inédites, de témoignages des réalisateurs avec lesquels elle a tourné, dont Luchino Visconti, Claude Sautet, Bertrand Tavernier ou Costa-Gavras, et, surtout, au travers de sa voix retranscrite depuis des interviews.
NDLR : Ré-édition du livre paru l'année dernière à l'occasion de l'exposition à la Cinémathèque (catalogue). Hormis la différence de couleur de la couverture. Semble totalement identique...
08h22 dans Les livres | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : A voir, à lire - 15 février 2023
Résumé : C’est l’histoire d’un homme qui a une caméra greffée dans le cerveau et filme donc tout ce qu’il regarde. C’est l’histoire d’une femme, Katherine Mortenhoe, qui s’enfuit pour "mourir libre". Voulant échapper aux médias, en l’occurrence une émission de télévision, elle ne sait pas qu’elle est aidée dans sa fuite par celui-là même qui la filme.
Critique : "La mort en direct", titre autant platonique qu’effroyable, est avant tout un film d’images : images de l’amour, du pouvoir, d’une supposée nature humaine, il entreprend un véritable marathon scénique pour dévoiler ses nombreux enjeux. Le ressortir dans une version restaurée permet de l’appréhender avec le regard neuf du numérique, qui n’existait pas encore au début des années 80, et donne à son propos une dimension pérenne, immense, intemporelle.
On dit souvent que le rire est l’une des armes les plus blessantes de l’homme. Le regard, lui, n’est pas en reste. Tavernier l’a bien compris. "La mort en direct", comme son nom l’indique, raconte l’histoire d’une existence dite condamnée, celle de Katherine, coursée par les yeux de médias assoiffés. La mort annoncée et imminente de la jeune femme, l’une des plus populaires de sa société, attise la curiosité du public. Dans ce sinistre schéma, Vincent (Harry Dean Stanton), producteur de télévision misanthrope, convainc la femme d’accepter sa proposition : quelques heures de prises de vue par jour, jusqu’à la mort, en échange d’argent. L’appât du drame appelle celui du gain. C’est avec une justesse étonnante que Bertrand Tavernier signe un film d’anticipation sur le pouvoir démesuré de la télévision, et plus particulièrement de la téléréalité, qui ne verra réellement le jour qu’une vingtaine d’années après la sortie du long métrage – Big Brother, première véritable émission du genre, est diffusée en 1999 aux États-Unis.
Si l’émission de télévision américaine cite Orwell, "La mort en direct" invoque d’abord la Rome antique et ses prisonniers de guerre contraints de faire de leur corps un outil de spectacle – condition ultime du matérialisme, et semblable à celle de l’héroïne. Tavernier y ajoute alors l’intimité, celle de protagonistes liés par le flux d’une vidéo imposée – Katherine la subit, tout autant que le journaliste Roddy (Harvey Keitel), qui dévoile aux autres sa vision personnelle du monde –, pour transmettre à son spectateur un sentiment étrange de culpabilité. Quoi de plus intime en effet que la mort, si ce n’est la naissance ? Dans une séquence judicieuse, Katherine simule un malaise en présence de Vincent. Devant le spectaculaire de la scène et la possibilité de la tragédie, l’homme panique, craignant de laisser filer son affaire, crainte qui se propage alors chez le spectateur. Le film dépasse ainsi les frontières de la fiction en faisant habillement rebondir son propos, et parvient à piéger par l’attrait du drame, du sensationnel et finalement de la déshumanisation. En ce sens, "La mort en direct" est un fort vecteur d’émotions : oui, la mort nous révulse autant qu’elle nous fascine.
Derrière ses allures évidentes de science-fiction – genre totalement inédit chez Tavernier – "La mort en direct" traite surtout d’une histoire d’amour délicate entre un bourreau et son innocente victime, et de son ancrage dans la société du spectacle. Le film n’est en rien une condamnation brutale et sommaire du voyeurisme – la morale est absente –, et surtout, il possède des images figées dans l’espace et le temps qui le rendent étranger au vieillissement – une cathédrale devenue refuge, lieu cloué par excellence. Et là réside évidemment sa plus grande force : calqué sur la société, les hommes et leurs natures, il ne possède pas de date de péremption et préfigurait l’éclosion d’une époque désormais accomplie. La puissance actuelle du numérique le souligne de manière brutale : les images sont immortelles.
06h00 dans Film-1979-Mort en Direct | Lien permanent | Commentaires (0)
04h00 dans Photo du jour | Lien permanent | Commentaires (0)
Auteur : Pauline Peyrade
Éditions : Solitaires Int.
Langue : Français
Broché : 80 pages
Sortie le : 02 mars 2023
Prix : 14 euros
A commander sur Amazon.fr
ISBN-10 : 2846817057
ISBN-13 : 978-2846817059
Résumé : De Catherine Deneuve à Marilyn Monroe en passant par Romy Schneider et Delphine Seyrig, "Des femmes qui nagent" est un portrait kaléidoscopique d’actrices et de réalisatrices, dont certaines, pionnières, ont été oubliées. À travers cet hommage sororal, Pauline Peyrade nous renvoie le reflet de femmes puissantes et multiples, créatrices de leur vie autant que de leur art.
Quatrième de couverture : "L’œil soigneusement imbriqué dans le viseur, la caméra au poing, tu fais tourner la commande du zoom, une cigarette oubliée entre les doigts. Tes cheveux blonds bouclés, vaporeux, indociles, un peu écrasés par ton casque de scooter, flottent autour de ton visage. Tu souris. Tu irradies de joie."
Marilyn Monroe, Romy Schneider, Barbara Loden, Chantal Akerman, Delphine Seyrig, Naomi Kawase, Julia Ducournau, Karidja Touré, Sigourney Weaver, Leïla Kilani, Kelly Reichardt... Hommage sororal aux actrices mythiques et aux réalisatrices de cinéma, Des femmes qui nagent nous renvoie le reflet de femmes multiples et inspirantes, créatrices de leur vie autant que de leur art.
18h11 dans Ca tourne autour... | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : France Info - Le 20 février 2023
Le réalisateur et scénariste, connu pour ses adaptations littéraires au cinéma, a reçu deux César, en 1979 puis en 1986.
Le cinéaste Michel Deville, qui a fait tourner Brigitte Bardot, Catherine Deneuve ou encore Michel Piccoli, est décédé le 16 février à l'âge de 91 ans et a été enterré lundi 20 février, a affirmé son épouse et collaboratrice, Rosalinde Deville, à l'AFP. "Nous ne l'annonçons seulement aujourd'hui car nous avons souhaité nous recueillir dans l'intimité familiale et Michel détestait les cérémonies...", a-t-elle déclaré à l'AFP.
Le réalisateur, mort "de vieillesse" selon son épouse, a été "inhumé au cimetière de Boulogne-Billancourt, sa ville". Auteur d'une trentaine de longs-métrages, il a reçu deux César pour "Le Dossier 51" (1979, meilleur scénario) et pour "Péril en la demeure" (1986, meilleur réalisateur) et également obtenu deux fois le prix Louis-Delluc (considéré comme le Goncourt du cinéma) pour "Benjamin ou les mémoires d'un puceau" (1967) et "La Lectrice" (1988).
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17h57 dans Carnet noir | Lien permanent | Commentaires (0)
Traduction : Les beaux vêtements de Romy : "Sissi" - La garde-robe d'une icône du cinéma
Auteurs : Valérie Habsbourg & Martina Winkelhofer
Editions : Amalthea Signum
176 pages
Langue : allemand
Sortie le : 29 septembre 2022 > 17 avril 2023 > Annulé ?
Prix : 35 euros
ISBN-10 : 3990502395
ISBN-13 : 978-3990502396
Résumé : Quand les costumes deviennent des mythes. L'étoffe à partir de laquelle ont été tissés les films légendaires de "Sissi" se compose de soie, de velours, de nylon et de strass : ce sont les vêtements de cinéma de Romy Schneider qui ont façonné l'image de l'impératrice des contes de fées admirée dans le monde entier. Aux yeux du public, les deux femmes (Romy Schneider et l'impératrice Elisabeth) ont fusionné en une icône plus grande que nature : les films enchanteurs sur l'impératrice "Sissi". Valérie Habsbourg capture la magie des vêtements légendaires de la maison Lambert Hofer dans des photographies artistiques exquises, tandis que l'historienne Martina Winkelhofer met en lumière des aspects jusque-là inconnus des films, tels que le rôle clé de Romy Schneider dans le développement des vêtements et l'histoire oubliée de la costumière juive Gerda Gottlieb alias "Gerdago".
Le 10 octobre 2022 : Sortie repoussée de 6 mois !
Le 22 février 2023 : Le livre a disparu de la plupart des sites web... Sortie annulée ? J'ai n'ai trouvé qu'un seul site le proposant encore. Si quelqu'un a plus de news ??? Merci !!! Book depositery
07h30 dans Ca tourne autour... | Lien permanent | Commentaires (4)
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