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Marie Bäumer !
Et si le nom le Marie Bäumer vous dit quelque chose, c'est parce que c'est déjà le nom de cette actrice qui avait couru en 2008 pour le rôle décroché par Yvonne Catterfeld (voir ici).
19h26 dans Films-Romy | Lien permanent | Commentaires (3)
Source : France3.fr - 25 octobre 2016
Avec le documentaire inédit intitulé «Romy de tout son cœur», suivi du film «Le Vieux Fusil» France 3 poursuit ses vendredis consacrés à la culture pop et dédiés aux légendes du cinéma et de la chanson. «Romy de tout son cœur», réalisé par Pascal Forneri, portraiture une femme à la fois exposée et secrète.
On pensait tout connaître de Romy Schneider, née Rosemarie Magdalena Albach à Vienne. Une jeune femme devenue actrice très tôt, sous la férule de sa mère, actrice également. Elle est révélée par son rôle très romancé de l’impératrice Élisabeth d’Autriche, plus connue sous le nom de Sissi. Romy devient très vite une icône en Allemagne et en Autriche qui veulent se défaire d’un passé proche peu glorieux. Pourtant, Romy, qui aurait pu se lancer dans une carrière tranquillement fleur bleue, rêve d'un autre avenir, au grand dam de ses proches, de son public, de son pays...
En quittant l’Allemagne pour la France, elle s’attirera durant toute sa carrière les foudres de ce pays qui l’a lancée. En France, elle établira, avec difficulté d’abord, une filmographie fondée sur des défis et des coups de cœur. Elle ne fait aucun compromis dans ses choix artistiques, et son sens aigu de la portée des personnages qu’elle incarne va engendrer une filmographie faite d’audace, de mise en danger et d’autodestruction. Grâce à son tempérament, Romy Schneider bouleverse le métier d’actrice : elle entraîne l’admiration de ses pairs et suscite des vocations chez une nouvelle génération de jeunes comédiennes. Deux césars récompenseront son talent, mais…
… mais la vie de Romy Schneider n’est pas rose pour autant. Entre une mère qui espère relancer sa carrière en utilisant l’aura de sa fille, un beau-père qui voit en elle la poule aux œufs d’or et un père aux abonnés absents, la jeune femme est taraudée par le passé historique et familial. Même si elle arrivera, beaucoup plus tard, à s’en défaire, elle ne réussira pas, en revanche, à trouver l’amour, le réel amour, qui lui manquera toute sa vie. Son caractère entier et investi, sa capacité à s’oublier et, paradoxalement, son manque de confiance dans sa vie privée font peur… Pourtant, ses tourments s’atténuent grâce à l’arrivée de son fils David, et plus tard celle de Sarah, sa fille. La fin tragique de David balaiera une nouvelle fois cet apaisement apparent.
Tiré du journal intime de Romy Schneider, lu par la comédienne Isabelle Carré, avec les interventions en voix off de personnalités qui l’ont connue et côtoyée, de nombreuses images d’archives et une mise en scène tournée en caméra subjective, la réalisation de Pascal Forneri offre une dimension originale à ce documentaire consacré à l’actrice.
Le documentaire est suivi du film «Le Vieux Fusil», de Robert Enrico, sorti en salles en 1975. Ce long métrage, qui obtint trois césars (meilleur acteur pour Philippe Noiret, meilleur film et meilleure musique), fit un triomphe au box-office. En 1985, «Le Vieux Fusil» obtint une prestigieuse récompense du cinéma français : le «césar des césars».
07h52 dans Télévision - Romy | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : The New-Yorker - 28 octobre 2016
In "Romy : Anatomy of a Face", the actress confesses to the camera, delivering a performance unlike any that she gave in dramas (07 novembre 2016).
The modern cinema, born in the nineteen-sixties, gave rise to a new genre, the portrait film, such as the Maysles brothers’ “Meet Marlon Brando” and Shirley Clarke’s "Portrait of Jason". Another key work in that form, "Romy : Anatomy of a Face", from 1967, is among the newly restored rare masterworks presented in this year’s edition of MOMA’s essential annual series "To Save and Project" (Nov. 2-23).
"Romy : Anatomy of a Face", Hans-Jürgen Syberberg’s second feature, made for German television, offers an intimate view of the actress Romy Schneider, revealing crucial conflicts behind the image of a public figure who loomed large in the German national imagination—and within the art of movies itself. The Austrian-born Schneider, then twenty-seven, had been an international star for more than a decade, largely thanks to such frothy costume dramas as 'Sissi'. Filming Schneider during her skiing vacation at Kitzbühel in early 1966, Syberberg catches her at a moment of crisis in her career, which she discusses with embittered and self-deprecating candor.
A target of the gossip press, Schneider expresses frank disgust for the "star system" that places her personal life on the same plane as her acting. Proud of her success, she also sees its limits, speaking with exasperation of her work in films that, she says, made her "the princess, not only in front of the camera" but "all the time". Now she admits that she "didn’t want to be her anymore" and hopes to find a more artistically satisfying way of acting—and of living. To that end, she was starring in a low-budget and small-scale French drama with dialogue by Marguerite Duras; Syberberg visits the set and films her there, finding that she's nonetheless surrounded on location by fans.
Bringing subtly bold methods to bear on the talking-head documentary, Syberberg detaches images of Schneider from her voice, showing clinically tight closeups of her in the semipublic setting of a ski lift while hearing her speak in voice-over, and relying on double exposures to evoke her recollections of her adopted city of Paris. In an on-camera interview in the luxurious confines of a prince’s villa, Schneider plunges ever deeper into the pathos of her conflict-riddled confessions, delivering a performance unlike any that she gave in dramas.
Syberberg was a key innovator of new cinematic modes that also created a new kind of performance, one that both offered actors a far more engaged form of artistic commitment and, paradoxically, went even further than the popular press in blurring the lines between acting and life.
By Richard Brody
07h47 dans Télévision - Romy | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : La Voix du Nord - 24 octobre 2016
Petite comédie sans prétention, «Je vous écoute» a néanmoins fait rire et sourire, samedi, au théâtre. L’argument, plutôt mince, et l’image assez rudimentaire de la psychanalyse ont trouvé compensation dans le jeu assez convaincant des trois acteurs vedettes de ce boulevard moderne, présenté dans le cadre de la programmation des Scènes mitoyennes.
De la bombe !
Si Bénabar fut relativement convaincant dans le rôle du jeune psy, c’est bel et bien David Mora, dans celui du cuisiniste délaissé par sa femme, qui lui a volé la vedette. Il est vrai qu’il sait incarner avec une infinie justesse le beauf pas si beauf, en exprimant avec une subtilité rare, sous la couche de menaces et de rodomontades, toutes les nuances de la détresse amoureuse. Grenade à la main, il a fait de ce spectacle un spectacle pour le moins explosif.
Sacré défi
Pas simple a priori d’imaginer une comédie à partir d’un cabinet de psy mais, dans sa co-écriture avec Hector Cabello Reyes, Bénabar a su relever le défi allant jusqu’à renouveler le thème du triangle amoureux en le pimentant d’un savoureux choc des cultures entre un employé bas du front et un bobo intello. Comme quoi…
Tout en finesse ?
En bon interprète, Bénabar a su faire preuve d’une jolie présence, avec finesse et naturel pour endosser ce rôle de psychiatre effarouché et exaspéré car vulnérable. Et l’on aurait apprécié que le texte fasse aussi dans la finesse alors qu’il fut truffé de références psychanalytiques plus lourdes les unes que les autres. Et la scène d’improvisation analytique où le mari jaloux s’est mué en psy n’a vraiment rien arrangé…
Instant magique
Même si elle annonça le dénouement de la pièce, l’entrée en scène de Sarah Biasini fut un enchantement. Dans son long ensemble jaune, son charme et sa présence ont soudain illuminé la pièce. Très nuancée dans sa brève partition, la digne fille de sa mère aura semé le trouble tant son regard et sa moue un peu triste aura rappelé celle qui pour toujours restera la mythique Sissi.
J.-P. L. (CLP)
Photos : P. AUVE
08h54 dans Thea-2016-Je vous écoute | Lien permanent | Commentaires (0)
Blu-ray (3 disques)
Studio : Filmjuwelen
Langues : Allemand (autres langue : ?)
Sous-titres : ?
Bonus : ?
Prix : ~ 26 euros
Sortie le : 06 octobre 2017
Disponible à la commande sur Amazon.de
18h37 dans En blu-ray !, Film-1955-Sissi | Lien permanent | Commentaires (0)
DVD (3 disques)
Studio : Filmjuwelen
Langues : Allemand (autres langue : ?)
Sous-titres : ?
Bonus : ?
Prix : ~ 23 euros
Sortie le : 06 octobre 2017
Disponible à la commande sur Amazon.de
18h35 dans En DVD !, Film-1955-Sissi | Lien permanent | Commentaires (0)
DVD (3 disques) & Blu-Ray (3 disques)
Studio : Filmjuwelen
Langues : Allemand (autres langue : ?)
Sous-titres : ?
Bonus : ?
Prix : ~ 39 euros
Sortie le : 06 octobre 2017
Disponible à la commande sur Amazon.de
18h30 dans En blu-ray !, En DVD !, Film-1955-Sissi | Lien permanent | Commentaires (1)
Source : Coulisse-tv.fr - 21 octobre 2016
Dans le cadre d'une soirée continue consacrée à Romy Schneider, France 3 diffusera à 20:55 le documentaire “Romy, de tout son coeur” puis le film “Le vieux fusil” réalisé par Robert Enrico à 22:40.
20:55 - “Romy, de tout son coeur”
Romy, juste un prénom, cela suffit. Et tout de suite sont convoquées des images fortes : la princesse "Sissi", la femme sublime qui rend fou de jalousie Alain Delon dans le film "La piscine" ; la femme moderne des années 70, libre et amoureuse dans "César et Rosalie" et la bouleversante victime des S.S. dans "le Vieux Fusil".
Un rire unique, un regard mêlé d’innocence et de gravité, une femme à la fois proche et mystérieuse, Romy Schneider est une icône.
Elle a tourné avec les plus grands, son seul nom en haut de l’affiche attire les spectateurs, elle est devenue une référence pour les générations d’actrices qui l’ont suivi. Mais si elle triomphe à l’écran, derrière toutes ses émotions, il y a dans le privé une femme au destin émaillé de chagrins, d’échecs, de blessures profondes. Son humanité nous touche, sa beauté nous fascine. Celle d’une femme qui donne toujours tout, qui ne retient rien. Romy l’absolue, celle de l’ambition des sentiments vrais.
"Romy, de tout son cœur" met en lumière l’humain et l’indissociabilité de l’œuvre et de l’être. On dit souvent qu’il y a une claire distinction entre jouer au cinéma et vivre sa vie, mais chez Romy Schneider, cette distinction n’existe pas, son histoire est celle d’un jeu d’énergie entre les deux mondes dont les frontières sont floues. Dans le cinéma de Romy il y a la vie, et dans la vie de Romy, il y a le cinéma.
Ce documentaire, à base d’extraits de ses films, de documents d’archives et d’interviews audio, raconte Romy l’absolue, celle de l’ambition des sentiments vrais, sur pellicule et dans sa vie privée.
Le film est ponctué d’extraits de son journal intime, lu par la comédienne Isabelle Carré, qui constituent un témoignage saisissant, des documents rares sur ses états d’âme.
22:40 - "Le vieux fusil"
L'action se déroule en 1944, à Montauban. Le chirurgien Julien Dandieu y mène une vie paisible avec sa femme, Clara, et leur fille Florence. Cependant, l'invasion allemande ne peut le laisser indifférent : préférant les savoir éloignées des tourments de cette guerre, Julien demande à son ami François de conduire Clara et Florence à la campagne, où cette famille possède un château, véritable forteresse médiévale qui surplombe un village. Une semaine plus tard, ne supportant plus l'absence des siens, Julien rejoint sa famille pour découvrir, avec effroi, que les Allemands ont déjà semé la terreur dans le village...
18h10 dans Télévision - Romy | Lien permanent | Commentaires (4)
Découvrez toutes les dates ici.
Crédit photo : Florence Levillain
18h00 dans Thea-2016-Je vous écoute | Lien permanent | Commentaires (2)
Source : L'officiel de la mode - 21 octobre 2016
Sarah Biasini porte en elle l’héritage d’une grande famille d’artistes – Romy Schneider est sa mère. Elle démarre ce mois-ci une tournée pour la pièce de théâtre "Je vous écoute", écrite par Bénabar et Hector Cabello Reyes, et mise en scène par Isabelle Nanty. À partir de janvier 2017, elle entamera un autre tour des théâtres français avec le classique de Feydeau "Un fil à la patte", mis en scène par Christophe Lidon.
Le plus bel âge de votre vie jusqu’à aujourd’hui ?
Maintenant. J’arrive à la deuxième partie de ma vie, fondamentale, avec plein d’expériences à venir et à vivre mieux.
Votre lien avec Goyard ?
J’ai connu la maison par ma mère, cliente fidèle. Goyard fait partie du patrimoine français : un travail d’une précision extrême, des matériaux nobles, une transmission de père en fils. Qu’une maison perdure de cette façon, cela m’émeut.
Vieux château ou maison design ?
Château design. J’adore le mélange de l’ancien et du moderne, l’un met en valeur l’autre, comme la pyramide du Louvre dans la cour Napoléon.
Un objet pour vivre les 95 prochaines années ?
Le Marin de Gibraltar de Marguerite Duras.
J.M.
Crédit photo : Osma Harvilahti
17h47 dans News Sarah | Lien permanent | Commentaires (0)
04h19 dans Presse - 1993, Revue Gala | Lien permanent | Commentaires (0)
02h44 dans Film-1957-Sissi 3 | Lien permanent | Commentaires (0)
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09h02 dans Le Magazine | Lien permanent | Commentaires (4)