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02h07 dans Film-1966-Triple Cross | Lien permanent | Commentaires (0)
Le festival "Cinéma au clair de lune" revient pour sa quinzième édition du 24 juillet au 9 août 2015 : le Forum des Images s'encanaille et s'invite dans divers lieux parisiens pour proposer des séances de cinéma en plein air gratuites.
Dimanche 9 août 2015, Jardin Nelson Mandela
QUOI DE NEUF, PUSSYCAT ?
de Clive Donner (1965)
Bien décidé à s'assagir, le rédacteur en chef d'une revue féminine, séducteur impénitent, consulte un psychiatre, qui s'avère être un obsédé sexuel...
Tournée dans un Paris très Swinging Sixties, une comédie loufoque et débridée avec Woody Allen, auteur du scénario et pour la première fois à l'écran.
Pour s'y rendre :
Jardin Nelson Mandela (ex Jardin des Halles)
1 rue Pierre-Lescot - 75001 PARIS
Métro : Les Halles, ligne 4
21h54 dans Au ciné... | Lien permanent | Commentaires (2)
Source : L'oeil d'Olivier - 16 juillet 2015
Construit comme un match de boxe de dix-sept rounds entre un homme et une femme, Ring autopsie le couple dans tous ses états. Tel un scalpel, la plume sans concession de Léonore Confino égratigne nos certitudes et dessine un portrait tendre, incisif et terriblement humain des relations amoureuses. Sur scène, les corps s’attirent, se rejettent, s’enlacent et s’éloignent dans un élégant ballet chorégraphié par Magalie B. La sobre et inventive mise en scène de Catherine Shaub souligne avec réalisme la banalité du quotidien… Affrontez ce spectacle sans peur et ranimez la flamme.
L’argument : Sarah Biasini et Fabio Zenoni, entre étreintes et uppercuts, pulvérisent, avec une énergie euphorisante, nos certitudes sur le couple. Ring, c’est un terrain de jeu. Pas question de tempérer ses efforts. Parents, amants, étrangers, maris et femmes, Adam et Eve, divorcés, tous se débattent avec leurs instincts, leurs idéaux, leurs réflexes d’enfants. Les clichés sautent, les étiquettes se décollent pour questionner en profondeur le sens ou non-sens de la relation à deux.
La critique : Une toile blanche tendue, immaculée, délimite le terrain de jeu où s’échange les baisers, les coups de poing, les «gnons», les coups bas, les murmures et les râles. C’est dans ce Ring – estrade entourée de cordes ou anneau - que deux êtres, un homme et une femme vont se chercher, se déchirer, s’aimer, se comprendre et se détester. Au gré des situations, ils vont écrire leurs histoires en marchant, dansant, courant et virevoltant. C’est un véritable ballet des corps qui esquisse par petite touches, par petites griffes, le quotidien des couples. De paroles en cris, de câlins en violence, d’indifférence en passion, Camille, tantôt homme, tantôt femme, incarnation de la multiplicité du couple, raconte sa vie, ses blessures, ses émotions. Rien de trivial ou de vulgaire, les mots de Léonore Confino sont concis, précis, tranchants comme des couperets, doux comme des agneaux. Son écriture moderne et rythmée passe avec virtuosité du comique au drame, mais jamais ne dévie dans la facilité ou l’outrance. Elle peint le quotidien sans fard, quitte à titiller le spectateur dans ses retranchements, à la limite du malaise, le forçant à prendre conscience de la dérive de sa propre histoire. On peut toutefois regretter que dans son propos, la femme soit souvent la fautive. Erreur de jeunesse à n’en pas douter.
Parents, amants, étrangers, séparés, mariés, couple biblique originel, rencontres d’un soir et plans «drague» à la limite du coma éthylique, composent cet incroyable patchwork de saynètes qui se suivent et s’enchevêtrent avec fluidité. La mise en scène de Catherine Shaub souligne le propos et le sublime. En limitant le décor à un banc et un lit qui apparaissent et disparaissent au gré des circonstances, elle utilise cette page blanche qui sert de toile de fond pour incruster des projections vidéo ponctuant chaque histoire, modulant à loisir l’espace et l’environnement de ces couples à la dérive. Cet esthétisme épuré s’accorde parfaitement avec le sens profond de la pièce et avec les réflexions de l’auteure sur le couple.
Dans ce "Ring", nos deux comédiens s’accordent à la perfection. Leurs corps s’unissent en symbiose dans une chorégraphie du baiser parfaitement orchestrée par Mélanie B. Fabio Zenoni se fond avec une étonnante et incroyable facilité dans tous les personnages qu’il incarne, de l’ex-compagnon jaloux au «beauf», en passant par l’amoureux transi et le père de famille épuisé. Il nous emporte sur toutes les cordes du sensible sans jamais nous laisser en chemin. Sarah Biasini garde quelque chose de l’enfance. Plus à l’aise dans le rôle de la femme enfant, elle surprend toutefois dans les nuances plus dures et plus dominatrices des protagonistes qu’elle interprète.
De cette bataille entre les deux sexes, de cette harmonie des sentiments, de cette vision hyper-réaliste des tribulations de couples, le public, légèrement «sonné», est renvoyé à sa propre histoire… Un uppercut salutaire à prendre tel quel, sans modération.
Festival Avignon OFF : "Ring" de Leonore Confino
Théâtre du chêne noir - 8 bis rue Sainte Catherine - 84000 Avignon
jusqu’au 26 juillet
tous les jours à 16h45 , Relâches les 10, 17 et 24 juillet
De Léonore Confino
Mise en scène Catherine Schaubv Avec Sarah Biasini, Fabio Zenoni
Scénographie Elodie Monet - Lumières Jean-Marie Prouveze
Vidéos Mathias Delfau - Chorégraphe Magali B.
Costumes Julia Allègre - Musique Bastien Burger
Le texte est publié aux éditions L’oeil du Prince
Productions du Sillon et théâtre du Petit Saint-Martin
Diffusion Atelier Théâtre Actuel
Coréalisation Théâtre du Chêne Noir
21h20 dans Thea-2015-Ring | Lien permanent | Commentaires (0)
03h13 | Lien permanent | Commentaires (0)
03h31 dans Photo du jour | Lien permanent | Commentaires (0)
02h27 dans Film-1956-Sissi 2 | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : France Inter
Découvrez cette interview le lundi 27 juillet à 23 h 00
Sur France Inter
Le 13 mars 1970, Jacques Chancel reçoit Romy Schneider.
Romy évoque les grandes étapes de sa carrière, l'importance de sa vie d'épouse et de mère, les acteurs qu'elle admire, comment elle mène sa carrière..... Deux ans auparavant La piscine a relancé sa carrière en France. Elle vient de tourner Les choses de la vie, premier épisode de sa belle histoire avec Claude Sautet.
22h00 dans Musique / Audio | Lien permanent | Commentaires (4)
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19h07 dans Le Magazine | Lien permanent | Commentaires (8)
03h20 dans Photo du jour | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Vaucluse Matin - 12 juillet 2015
Sarah Biasini, 38 ans, fille de Romy Schneider et de Daniel Biasini n’avait que quatre ans quand sa mère est décédée. Après des études d’histoire de l’art à Paris, et une formation de comédienne, dont un an à Los Angeles, on la découvre à la télévision et au cinéma en 2004. En 2005, elle joue au théâtre Marigny. [...]
Lire la suite de l'article sur le site : Le Dauphiné.com
23h15 dans Thea-2015-Ring | Lien permanent | Commentaires (0)
03h29 dans Photo du jour | Lien permanent | Commentaires (0)