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00h47 dans FilmTV-2007-Tant Hais | Lien permanent | Commentaires (2)
Article paru dans "Enjoy Vienna"
21h03 dans FilmTV-2007-Tant Hais | Lien permanent | Commentaires (0)
Sarah Biasini : dans cette interview, la fille de Romy Schneider parle de sa carrière dans le spectacle et ses amis à Vienne.
Si on regarde ses yeux bleus rayonnants, on reconnaît Romy. Si elle sirote rapidement le petit café-crème qui se trouve devant elle, elle le fait avec une grâce familière. Lentement, elle baisse le regard pour lever à l'improviste les épaules et sourire.
Sarah Biasini ne peut nier une seule seconde l’hérédité de sa célèbre mère Romy Schneider. La Parisienne de 29 ans qui étudiait l'histoire de l'art et a travaillé débuté sa carrière professionnelle en tant que journaliste, s’est décidé à marcher définitivement désormais sur les traces de sa mère. Sarah Biasini se trouve à présent devant la caméra dans « Nous nous sommes tant haïs » pour une production franco-autrichienne.
ÖSTERREICH a rencontré Sarah Biasini lors de son dernier jour de tournage à Vienne pour une l'interview.
ÖSTERREICH : Melle Biasini, comment est-ce de tourner un film dans la ville natale de votre mère ?
Sarah Biasini : J’ai éprouvé une immense joie, quand on m’a dit que nous tournerions à Vienne. Je voulais voir certains lieux que ma mère aimait et étaient proches du lieu de tournage. Malheureusement, j'ai eu trop peu du temps. Vienne est l'une des plus belles villes d'Europe. Je voudrais venir ici une fois avec tous mes amis français. Et puis, j'ai une tendresse toute particulière pour Vienne, car Julia Stemberger est une bonne amie à moi. Cette fois, malheureusement, nous ne pouvions pas nous rencontrer. Je voyage pas mal et Julia tourne au Canada. C'est dommage cela fait longtemps que nous ne nous sommes pas vus et elle me manque. Je voudrais jouer au moins une fois avec elle dans un film. Un scénario correct arrivera bientôt, peut-être.
ÖSTERREICH : Votre mère Romy Schneider est encore respectée par beaucoup de gens. Es-ce difficile pour vous d'être perçue comme une artiste indépendante ?
Sarah Biasini : Pour être honnête, au début, mon nom m’a beaucoup aidé à faire la connaissance des gens connus. Mais il a très vite été évident que les metteurs en scène ne me voulait pas me proposer un rôle, uniquement parce que je suis la fille d'une célébrité. Car se sont les talents artistiques sont exigés et non le nom que l’on porte. Je ne pouvais pas me reposer sur les laurier de ma mère, et j’ai du me prendre en mains Cela m'a aidé à devenir indépendante. Mais il faut du temps pour que je puisse prouver queje suis une bonne actrice.
ÖSTERREICH : De nombreuses personnes comparent votre exécution d'actrice avec celle de votre mère ?
Sarah Biasini : C’est ainsi. Mais cela ne me dérange pas du tout. J'ai appris à faire avec. J'essaie d'accomplir le mieux possible et honnêtement mon travail. Je ne peux pas faire plus. Maintenant, je fais ce que j’ai toujours voulu : être actrice.
ÖSTERREICH : Malgré cela, les gens vous parlent immédiatement de votre mère ?
Sarah Biasini : Je m'y suis résignée. Mais c’est très bien aussi de voir que beaucoup de personnes aiment encore ma mère. Non seulement ma mère, mais aussi mes grands-parents (Magda Schneider, Wolf Albach-Retty) qui étaient des acteurs de cinéma connus aussi.
Auteur: Alfred Strauch / ÖSTERREICH
20h48 dans FilmTV-2007-Tant Hais | Lien permanent | Commentaires (0)
Article paru dans "L'Humanité" du 06 octobre 2006
Tournage. Nous nous sommes tant haïs, qui sera diffusé sur France 3 le 25 mars prochain, retrace les débuts de la construction européenne. Reportage.
Un portrait de Lénine trône dans cet ancien entrepôt de mécanique désaffecté. La table en bois est recouverte d’exemplaires de l’Humanité datés de 1951 et de quelques tracts. Sur les murs, les portraits de Karl Marx et de Staline côtoient des affiches appelant les métallurgistes à adhérer à la CGT. Cette cellule du Parti communiste reconstituée fait partie des décors du téléfilm de France 3 Nous nous sommes tant haïs. L’histoire se déroule entre le 9 mai 1950, lorsque Robert Schuman annonce la réconciliation franco-allemande, et le 10 août 1952, date de la nomination de Jean Monnet à la présidence de la Haute Autorité de la communauté économique du charbon et de l’acier (CECA). Elle mêle la grande histoire, celle de la construction de l’Europe avec Jean Monnet, Robert Schuman et Konrad Adenauer, et la petite histoire, celle d’un couple franco-allemand. Marie (Sarah Biasini), fille de petits commerçants rochelais, et Jurgen (Pawel Delag), soldat allemand, se sont aimés à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Elle a été tondue, lui fait prisonnier. Ils se retrouvent cinq ans après, au moment où la réconciliation franco-allemande marque les débuts de la construction européenne.
Pour illustrer cette histoire, le réalisateur Franck Apprederis s’est entouré d’une distribution de choix : Pawel Delag, grand brun ténébreux, est un acteur polonais célèbre dans son pays pour y avoir interprété le Jean Dujardin national dans Un gars, une fille. Bernard-Pierre Donnadieu campera Jean Monnet. Quant à Sarah Biasini, fille de Romy Schneider, elle s’est déjà illustrée à la télévision dans Julie, chevalier de Maupin pour TF1 et au théâtre avec Pieds nus dans le parc. « Elle est le symbole de ce film, affirme Franck Apprederis, avec son père français d’origine italienne et sa mère autrichienne. » L’intéressée se sent effectivement « européenne », mais n’a pas accepté le rôle que pour cet aspect : « Je rêve depuis longtemps d’un rôle pendant la guerre. 1950, c’est pour l’instant la date la plus proche que j’ai trouvée ! » dit-elle, malicieuse.
Son personnage, Marie, est militante féministe. Ses amis communistes se déchirent sur le projet de la CECA. Les anciens résistants ne peuvent concevoir une réconciliation avec l’Allemagne, cinq ans seulement après la pire des guerres. D’autres reprochent à Jean Monnet de construire une Europe des industriels.
Franck Apprederis a eu l’idée du film au moment du référendum sur le projet de constitution européenne. « Je suis pro-européen, ce qui ne veut pas dire que j’approuvais ce projet de constitution, précise-t-il. J’ai décidé de faire ce film pour rappeler aux gens - ou leur apprendre - comment l’Europe avait démarré. » Exceptionnellement, la date de la diffusion est déjà connue : Nous nous sommes tant haïs est programmé sur France 3 le 25 mars, jour du cinquantième anniversaire du traité de Rome.
Marie Barbier
22h03 dans FilmTV-2007-Tant Hais | Lien permanent | Commentaires (0)
Article "Le figaro.fr" du 04 septembre 2006 - par Isabelle Nataf.
Tournage «Nous nous sommes tant haïs» Les débuts de la construction européenne au coeur de ce téléfilm réalisé par Franck Apprédéris avec Sarah Biasini. Il mêle petite et grande histoire.
Le petit garçon déboule dans l'escalier en colimaçon, un tube en plastique à la main, tout excité. Derrière lui, son grand-père tente de le calmer. Léo, le labrador blanc du directeur de production, Claude Albouze, se fraie un chemin entre les câbles. Cet immeuble désaffecté de la rue du Père-l'Ermite dans le XVIIIe arrondissement de Paris a quasiment été transformé en studio pour tourner les scènes d'intérieur de Nous nous sommes tant haïs.
Un téléfilm réalisé par Franck Apprédéris qui en a également signé le scénario avec Jean-Michel Gaillard, un peu plus d'un an avant sa mort, et produit par Dominique Antoine pour France 3*. L'histoire du début de la construction européenne mise en oeuvre par Robert Schumann et Jean Monet (interprétés par François Marthouret et Bernard-Pierre Donnadieu) cinq ans après la fin de la Deuxième Guerre mondiale.
Sarah Biasini s'est assise sur une marche d'un palier en attendant que l'équipe technique ait fini de tout mettre en place. Elle réajuste une mèche de cheveux qui s'est échappée de son bibi mauve, attrape l'anse de son petit sac noir. Dans quelques instants, elle deviendra Marie et, en arrivant sur le palier de son appartement, se retrouvera face à Jürgen (Pawel Delag), un jeune Allemand avec qui elle a eu une liaison pendant la guerre. À l'époque, Jürgen était officier de la Wehrmacht et elle, fille de petits commerçants charentais. Aujourd'hui Jürgen est journaliste, envoyé d'un grand quotidien de Stuttgart pour couvrir à Paris la conférence de presse de Schumann. Par hasard dans une brasserie en compagnie de ses confrères, le jeune Allemand a retrouvé Marie. Il a appris qu'elle avait un petit garçon, Pierre (Mathis Jamet), et s'est débrouillé pour récupérer son adresse.
Franck Apprédéris, le réalisateur, n'aura besoin que de trois prises pour capturer l'émotion du face-à-face entre Marie, qui tient dans ses bras Pierre endormi, et Jürgen. Malgré le reniement de Marie par ses parents et par son frère qui ne lui ont jamais pardonné ses «saloperies» ; malgré la haine des parents de Jürgen pour les Français ; malgré les fiançailles du journaliste avec une jeune Allemande Elisabeth, on le devine immédiatement, Marie et Jürgen s'aiment encore.
Libéré des bras de Sarah Biasini, Mathis court vers son institutrice. Ses devoirs l'attendent. Pawel Delag répète son texte.
Sarah Biasini allume une cigarette. «J'avais envie de tourner un film qui se déroulait pendant la guerre et, quand Dominique Antoine est venue me proposer ce sujet, j'ai trouvé très intéressant le parallèle entre l'histoire de Marie et Pierre et la grande Histoire». Pour autant, même si Pierre, comme la très grande majorité des jeunes Allemands à cette époque, a été enrôlé dans la Wehrmacht sans qu'on lui demande son avis, l'actrice a eu du mal à comprendre l'amour entre les deux «ennemis». «Il fallait que je voie l'homme et pas l'uniforme. J'avais du mal à oublier ce que je savais», confie Sarah Biasini.
Pour écrire le scénario, Franck Apprédéris et Jean-Michel Gaillard se sont basés sur les discours politiques de l'époque et la biographie de Jean Monet, tout en s'accordant quelques libertés comme une rencontre entre ce dernier et Maurice Thorez, dirigeant du PC. Le réalisateur et la productrice auraient voulu que ce téléfilm soit diffusé au moment du référendum. «Je me suis aperçu qu'il y avait énormément de personnes qui ne savaient pas d'où venait l'Europe. D'ailleurs, pour beaucoup, le nom de Monet n'évoque, hélas, plus rien.» Mais le refus de l'Allemagne, remplacée par l'Autriche, de participer au projet – «la télévision allemande ne veut pas mêler la grande Histoire à la petite», déplore Dominique Antoine – a retardé le tournage.
* Coproduction Alchimic Productions/les productions Franco-Américain/Adi Mayer Film. Avec le soutien du ministère délégué aux Affaires européennes et de la représentation de la Commission européenne en France.
13h05 dans FilmTV-2007-Tant Hais | Lien permanent | Commentaires (0)
Article OÖNachrichten du 23 septembre 2006
Elle n'avait pas encore cinq ans, quand elle a perdu sa mère, Romy Schneider. Depuis trois ans, Sarah Biasini marche sur ses traces.
Après "Julie, chevalier de Maupin" Sarah Biasini (29 ans) tourne maintenant son deuxième film pour la télévision. Pour la coproduction franco-autrichienne "Nous nous sommes tant haïs" (Alechemic Productions/Adi Mayer film) elle a passé quelques jours à Vienne devant la caméra. OÖN l'a rencontré pendant la pause-déjeûner.
OÖN : Habituellement, vous êtes toujours beaucoup questionnée sur votre mère. Pour une fois, nous parlerons de votre père Daniel Biasini chez qui vous avez grandi...
Biasini : Il a toujours été un père merveilleux. Si une seule personne est présente pour élever un enfant, il essaie de donner de l'amour pour deux. Il y avait aussi ses parents, son frère, le frère de ma mère et sa fille se sont inquiétés pour moi. Jai été entourée de plus de 200% d'amour et étais très heureuse.
OÖN : Quels rapports avez-vous aujourd'hui avec votre père ?
Biasini : Très proches. C'est lui que j'appelle, si je me sens en danger ou mal et il sait chaque fois me remonter. Je voudrais souhaiter un tel père à tout le monde.
OÖN : Quand avez-vous quitté le domicile familial et comment avez-vous apprisà votre père que vous vouliez devenir actrice ?
Biasini : J'avais 22 ans quand j'ai acheté mon propre appartement. Et le désir d'une profession : j'avais étudié l'histoire de l'art, mais pour moi, il devenait clair que je voulais quelque chose de tout à fait différent. Je n'osais pas lui en parler, et j'en ai beaucoup discuté avec sa mère qui m'a mis en garde, naturellement. Un jour, je devais forcément lui en parler et il a beaucoup hésité, comme si ce désir est encore rejeté : "Si tu es sûre ... j'aurais préféré... Cependant ... Pourquoi ne pas continuer tes études..." Il me regardait et pensait : "Non, non. Même, si je voulais te protéger contre la terre entière, tu as du plaisir avec cela - alors fais-le. Et si tu veux devenir absolument actrice, alors essaie." J'étais très heureuse naturellement, parce que je savais : j'étais au pied du mur, cela devait être simple !
OÖN : Quand en avez-vous pris la la décision définitive ?
Biasini : Il y a cinq ans. Mais j'avais peur de faire une école de spectacle en France, donc je me suis inscrite un an au Lee Strasberg Institute à Los Angeles. Ensuite, j'ai trouvé un agent, et c'est allé très vite. J'ai été engagée pour "Julie, chevalier de Maupini". Je devais non seulement jour, mais aussi chanter, danser, faire du cheval et de l'escrime. Cela me plaisait.
OÖN : Votre mère avait des amis comme par exemple Alain Delon ou Michel Piccoli. Avez pris vous pris des astuces auprès d'eux ?
Biasini : Non, mais avec le metteur en scène Claude Sautet qui a tourné cinq de ses meilleurs films ("Les choses de la vie","César et Rosalie","Max et les ferrailleurs"). Je faisais mes études quand je l'ai rencontré - il est mort en 2000. Je n'ai pas osé lui parler du désir qui sommeillait déjà en moi. Nous avons parlé de ses films et avons ri pendant 1 heure et demi et nous avons pleuré.
OÖN : Quels films de votre mère aimez-vous particulièrement ?
Biasini : Comme je l'ai dit, ceux de Claude Sautet. Et "What's new, Pussycat ?"
OÖN : Et "Sissi" ?
Biasini : C'était sans aucun doute un pas important pour sa carrière et cela convenait à son âge, elle a apporté dans ce rôle non seulement son visage d'ange, mais encore beaucoup d'elle-même.
OÖN : Vous souvenez-vous encore des moments avec votre mère ?
Biasini : Oui. Des petits-déjeuners au lit, des chatouilles et des jeux de cache-cache, des combats de boxe pour rire. Je le faisais aussi avec mon père.
OÖN : Vous avez déjà aussi joué au théâtre ?
Biasini : Oui, dans "Pieds nus dans le parc" à Paris. Je voudrais continuer dans cette voie et je cherche actuellement une pièce pour 2007.
OÖN : Avez-vous suivi aussi le championnat du monde de football ?
Biasini : Oh oui ! Et lors la finale, je n'en croyais pas mes yeux. J'étais vraiment choquée par ce qui s'est passé autour de et avec Zinedine Zidane.
OÖN : Vous êtes-vous senti bien à Vienne ?
Biasini : Extraordinairement bien. J'ai profité de mon temps libre pour explorer la ville, j'ai trouvé formidable les représentations à l'opéra sur la place d'Hôtel de ville, j'ai bu les spécialités de thés et j'ai joui de l'atmosphère du Café Sperl, où l'on se sent encore comme au 19ème siècle. Je suis très triste de partir. Mais je peux revenir en tant que touriste.
OÖN : Etes vous superstitieuse ?
Biasini : Je connais toutes les superstitions et j'essaie toujours de faire le contraire. Mais, peut-être, qu'il ne s'agit que d'un "signe". J'ai déjà éprouvé celà une fois. J'étais avec un ami au Portugal, je visitais le merveilleux Sintra merveilleux à proximité de Lisbonne. Un an plus tard, j'étais engagé pour "Julie", j'ai regardé le plan de tournage et j'y ai trouvé exactement les lieux que j'avais visité au Portugal.
OÖN : Comment est votre rôle, Marie dans "Nous nous sommes tant haïs" ?
Biasini : Il est fantastique, sinon je ne l'aurai pas accepté. C'est une histoire d'amour franco-allemande qui commence en 1944. A la fin de la guerre, l'homme, un Allemand, est isolé dans un camp, on rase la femme à cause de cette liaison et elle est battue. Pourtant, elle a la force de recommencer une nouvelle vie à Paris - avec l'enfant qu'elle a eu de son aimé. Cinq ans plus tard, il la retrouve...
OÖN : Avec une fin heureuse ?
Biasini : Avec une fin très heureuse.
14h21 dans FilmTV-2007-Tant Hais | Lien permanent | Commentaires (0)
Article du jour sur Sarah du journal "Krone"
14h14 dans FilmTV-2007-Tant Hais, Presse - 2006 | Lien permanent | Commentaires (0)
Un article paru dans le journal autrichien "Kurier". En voici la traduction mais je n'en suis pas sûre à 100 %... Si vous pouvez faire mieux, je suis preneuse !
La fille de Romy Schneider tourne à Vienne
Sarah Biasini dans une interview pour "Kurier" parle de son bonheur de travailler sur un nouveau film "Nous nous sommes tant haïs".
Le sourire, les yeux brillants - du déjà vu. Et bien non. Car Sarah Biasini est différente que sa mère, Romy Schneider. Tout au moins comme actrice, dit elle dans son interviw pour "Kurier".
KURIER : Vous vous trouvez actuellement à Vienne pour le film "Nous nous sommes tant haïs". Quelles scènes de cette chère histoire franco-allemande tournez-vous ici ?
Sarah Biasini : Des scènes qui déroulent, en principe, dans la ville allemande de Reutlingen. Mais jouer Vienne est merveilleux. J'espère que le public viennois nouspardonnera.
Vous venez pour la quatrième fois ici ?
Oui et cette fois, j'aurai du temps pour flâner et visiter. Après Schönbrunn, je voudrais voir la ville et l'Opéra et manger comme les viennois. Je veux goûter à la salade de pommes de terre.
Vous jouez le premier rôle féminin, Marie. Qui est elle ?
Une femme qui lutte pour l'amour de sa vie. Elle est Parisienne, c'est un soldat allemand - à l'époque difficile du rapprochement des deux nations après la deuxième guerre mondiale. Elle a un enfant de lui et espère que maintenant leur amour sera possible. En plus on doit savoir que des Françaises qui avaient été avec des soldats allemands avaient, après la libération, été rasées, battues et insultées.
Le fond historique du film est la fondation de la communauté européenne pour le fer et l'acier en 1952…
C'est la création de la CEE. C'est pour ainsi dire un film sur l'Union Européenne. Et cela me réjouit, car je me sens une Européenne typique. Mes racines s'étendent sur l'Autriche, la France et l'Italie.
Pour vous, qu'est-ce qu'un européen typique ?
C'est nous, des nations si diverses qui essaient de se réunir. Au lieu de se diviser.
Ils vivent à Paris et ont éprouvé un printemps "torride". Là, les nations ne se sont pas trouvées définitivement.
Que dire ? Paris est une ville que j'aime, où j'ai tous mes amis. J'y vis. Malgré les voitures brûlant l'espoir et les personnes qui la traitent n'importe comment au lieu du respect et de la paix.
A propos : Votre compagnon, Tristan Lecomte, a construit une chaîne, où les produits Fair Trade du tiers-monde sont vendus. Le soutenez vous ?
Naturellement. Bien qu'il n'ait pas besoin de mon aide, il s'en sort très bien sans moi avec une super équipe et son travail est couronné de succès. Mais je soutiens sa philosophie. Fair Trade est un bon alternatif pour l'économie.
Vous avez dit dans une interview, que vous vouliez être perçus comme une actrice différente de votre mère. Comment cela se passe-t-il ?
Maintenant, je suis une autre personne, je choisis les films différemment. Je joue aussi d'une autre manière qu'elle. Ce qui me lui lie à l'actrice, c'est que j'essaie de rester franche et sincère devant la caméra. Et je me donne à 100%.
Cela vous dérange d'être toujours présentée comme "fille de Romy Schneider" ?
Non parce que c'est la vérité. C'est ce que je suis et rien ne pourra le changer.
14h08 dans FilmTV-2007-Tant Hais, Presse - 2006 | Lien permanent | Commentaires (0)
"Nous nous sommes tant haïs" : tournage à Vienne
Article issu de : Wien-orf.atSarah Biasini est à Vienne devant la caméra
Pour un film qui raconte la naissance de l'Union Européenne, la fille de Romy Schneider, Sarah Biasini, se trouve actuellement à Vienne devant la caméra. "Nous sommes tant haïs" raconte une histoire d'amour durant l'après-guerre dans un contexte historique.
Une garantie pour 60 ans la paix
Ce sera un film du prônant "l'amour et la paix", expliquait le metteur en scène Franck Apprederis. "La fondation de l'EU est une garantie de paix pour une durée de plus de 60 ans en Europe."
C'était le référendum à la nouvelle constitution d'EU qui a incité le metteur en scène à faire un film sur ce sujet. Le fond historique forme la fondation de la CECA (la communauté Européenne pour le charbon et acier) dont l'EU est aujourd'hui issue.
Au coeur de cette histoire, une histoire d'amour entre l'étudiante parisienne Marie (Sarah Biasini) et le journaliste allemand Jürgen (Pavel Delag) envoyé comme reporter au coeur des pourparlers de la fondation de la CECA à Paris, est le symbole de rapprochement des deux pays.
Un troisième film pour Sarah Biasini
Pour Sarah Biasini, cette production télé est son troisième film et deux ans après avoir débuté dans le métier (après une pièce de théâtre, un film de cape et d'épée "Julie, Chevalier de Maupin" et un petit rôle dans une adaptation française d'un roman d'Agatha Christie "Mon petit doigt m'a dit").
14h29 dans FilmTV-2007-Tant Hais | Lien permanent | Commentaires (0)
Article : la Voix du Nord.fr - 29 août 2006
La jeune comédienne se prépare à tourner les premières scènes de "Nous nous sommes tant haïs" pour France 3. Elle y sera l'héroïne de ce téléfilm réalisé par Franck Apprédéris, sur le thème de la naissance de la Communauté européenne en 1950, autour de la réconciliation franco-allemande. Sur ce fond historique, son personnage retrouve à Paris l'ancien soldat allemand qu'elle a aimé durant la guerre et qui est devenu journaliste. Ce téléfilm sera diffusé le 25 mars 2007, à l'occasion des 50 ans du traité de Rome.
Ndlr : le téléfilm a également été préacheté en diffusion par TV5 Monde.
08h51 dans FilmTV-2007-Tant Hais | Lien permanent | Commentaires (0)
Article web EBU Television Department Coproductions - 22 août 2006
Nous nous sommes tant haïs
Fiction
Format
Film TV, 110 minutes
Livraison
Janvier 2007
Langue
Version originale en français et allemand, espagnol et portugais
Société de production
Alchimic Productions (France)
Radiodiffuseurs impliqués
France3, France2, TVP (Pologne), ERT (Grèce), SK/STV (Slovaquie), RTL TVI (Belgique), Eurochannel (Amérique du Sud) et TV5
Le sujet
Avec l'approche du 50e anniversaire du Traité de Rome, ce film télévisé évoque, au-delà de la réconciliation d'une femme française et d'un soldat allemand tombés amoureux l'un de l'autre pendant la 2e guerre mondiale, les premiers pas de la réconciliatio dans les années 1950, de la France et de l'Allemagne, vers la création d'une Europe moderne et unie.
Ce film met en scène une double réconciliation, celle de deux êtres humains à l'amour brisé par la fatalité, et écrasés par le mur de l'incompréhension.
Mais c'est aussi la réconciliation de deux pays, l'Allemagne et la France qui ont été en guerre à trois reprises depuis 1870, répandant à travers l'Europe l'horreur, la haine et la mort.
Ces deux réconciliations constituent un symbole à l'égard de notre temps, car elles montrent que toute la haine du monde, quels que soient son degré et son ancienneté, peut toujours être vaincue par l'intelligence et l'amour.
Ce film, soutenu par France Télévisions et présenté à l'UER par France 3, sera produit par Alchimic Productions.
Sur la base d'un scénario de Jean-Michel Gaillard, il sera mis en scène par Franck Apprederis (France).
Le tournage, d'une durée de 25 jours, aura lieu cet été à Paris et Vienne.
Le Téléfilm sera livré en janvier 2007 en version originale française et allemande.
09h50 dans FilmTV-2007-Tant Hais | Lien permanent | Commentaires (0)
Article web du Romandie News : ats - 29 août 2006 - 20:15
La fille de Romy Schneider, Sarah Biasini, est à Vienne
VIENNE - Sarah Biasini est à Vienne pour un téléfilm. La fille de Romy Schneider y campera une étudiante française éprise d'un journaliste allemand. Leur idylle naît en 1950 quand s'élabore la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA).
Le tournage de cette coproduction austro-française débutera dans quelques jours. Selon des informations transmises aux médias autrichiens, l'histoire d'amour doit être comprise comme la métaphore du rapprochement entre la France et l'Allemagne lors de la création de la CECA. Ce téléfilm devrait être diffusé en 2007 dans les pays germanophones.
09h26 dans FilmTV-2007-Tant Hais | Lien permanent | Commentaires (0)
Cliquez ici pour voir la source. Traduction de l'article web :
Nouvelle feuille de peuple
Nouveau film pour la très jolie fille de Romy Schneider, Sarah Biasini qui a joué pour la première fois dans le téléfilm "Julie, Chevalier de Maupin".
Maintenant, elle joue dans une coproduction franco-allemande des Productions Adi. Ce téléfilm intitulé "Nous sommes tant haïs" est l'histoire d'amour d'une Française et d'un Allemand dans l'après-guerre. Il s'agit également d'une métaphore pour le rapprochement des deux nations.
Sarah Biasini née en 1977 à Saint-Tropez jouera l'étudiante Marie Destrade qui travaille comme serveuse à Paris afin de nourrir et élever son fils Pierre. Cet enfant est le fruit d'un amour avec un agent des forces armées qu'elle retrouve au début des années cinquante.
Le tournage (qui se déroulera probablement aussi en partie à Vienne) se déroulera du 4 septembre au 7 octobre 2006. Dans d'autres rôles, nous verron aussi Elke Winkens et Serge Falck.
Ndlr (Petite info supplémentaire trouvé sur un blog) :
Christine BOISSON et Pawel DELAG vont tourner dans le prochain unitaire de Franck APPREDERIS produit par la Franco American "Nous nous sommes tant hais" aux côtés de Sarah Biasini.
17h38 dans FilmTV-2007-Tant Hais | Lien permanent | Commentaires (0)