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Source : Europe 1 - 28 septembre 2023
Dans son émission média, Thomas Isle et sa bande reçoivent chaque jour un invité. Aujourd'hui, Diane Kruger et Caroline Cochaux, pour un numéro inédit de la collection «Elle parle d'elle, Diane Kruger raconte Romy Schneider». C’est diffusé le 2 octobre sur CANAL+DOCS et disponible sur myCanal.
Invité(s) : Diane Kruger et Caroline Cochaux, pour un numéro inédit de la collection «Elle parle d'elle, Diane Kruger raconte Romy Schneider».
10h02 dans Musique / Audio | Lien permanent | Commentaires (0)
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Source : Deutschland Funk Kultur - 23 septembre 2023
23/09/2023 - Deutschland Funk Kultur - 85 ans de Romy Schneider
Samedi 23 septembre 2023 sur ORF III :
Dimanche 24 septembre 2023 sur ORF III :
09h22 dans Musique / Audio | Lien permanent | Commentaires (0)
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Source : Ickeboo sur YouTube
NDLR : Je ne connaissais pas ce documentaire... Et vous ?
Merci Ickeboo pour ce partage !
08h32 dans Télévision - Romy | Lien permanent | Commentaires (1)
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La fille raconte sa vie ou plutôt ces événements si marquants qu’on ne les oublie pas… Elle montre des photos (photos de famille), elle se remémore : "La mémoire, poire pour la soif…" La campagne encore, scènes de la vie courante mais en détail. Elle dévide le temps : la mère, le père, la parentèle… Refrains connus, les sens en alerte, les lumières d’août, les chansons anciennes, les mots qu’on n’oublie pas… Parfois, elle lit les petits mots qu’on a gardés… C’est le fameux puzzle des souvenirs, tous les souvenirs : la joie, le bonheur… "Tout me revenait comme une image un peu floue…"
Ensuite, eh bien, c’est le retour au présent : elle a une fillette, elle va la retrouver…
"Alors j’ai pensé à tous mes morts et j’ai marché à grands pas."
Une histoire, comme une chanson connue…
Mise en scène par Caroline Duffau
Avec Sarah Biasini
Dates et lieu à venir
09h14 dans Thea-2023-Lune | Lien permanent | Commentaires (4)
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Auteur : Gunna Wendt (textes) & Hannah Kolling (illustrations)
Traduction : "La joie de ma vie : Histoires de mères et de filles célèbres"
Editions : Reclam, Philipp, jun. GmbH
Langue : Allemand
192 pages
Disponible sur Amazon.de
Sortie le : 13 octobre 2023
Prix : ~ 22 euros
ISBN-10 : 3150113806
ISBN-13 : 978-3150113806
Résumé (traduction en ligne) : Meilleures amies ou concurrentes ? Familières ou étrangères ? La relation entre les mères et les filles ne peut être décrite en un seul mot.
Gunda Wendt a compilé dans ce livre les relations mère-fille les plus émouvantes et les plus belles. Sont inclus Maria Callas et sa mère trop ambitieuse Evangelia, le trio coloré d'Eva-Maria, Nina et Cosma Shiva Hagen et la relation tragiquement courte entre Romy Schneider et Sarah Biasini. Un livre de lecture sur l'amour, la douleur, la déception et les grands espoirs - à travers plusieurs siècles jusqu'à aujourd'hui.
- Émotionnel et passionné : des portraits passionnants de mères célèbres et de leurs filles.
- Femmes fortes : de Katja et Erika Mann à Gracia Patricia et Stephanie von Monaco en passant par Maria Furtwängler et Kathrin Ackermann.
- Un superbe livre cadeau : magnifiquement illustré par Hannah Kolling.
- Passionnant et bien fondé : des histoires passionnantes sur des femmes fortes de l'écrivaine et organisatrice d'exposition Gunna Wendt.
Pas seulement pour la fête des mères...
Un cadeau très spécial pour les mères et les filles : pour la fête des mères, Noël, pour votre meilleure amie ou pour vous-même.
08h56 dans Les livres | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : A voir - A lire.com - 13 août 2023
Une œuvre à part dans la filmographie de Dino Risi, qui tentait une audacieuse intrusion dans le romanesque onirique avec ce récit d’une beauté étrange.
Reprise : 23 août 2023
Résumé : À bord d’un autobus à Pavie, Nino Monti, expert fiscal installé, prête une pièce de cent lires à une dame à l’air déboussolé. Le soir même, cette dernière retrouve sa trace et lui téléphone en se présentant comme Anna Brigatti, une ancienne maîtresse que Nino a follement aimée, vingt ans auparavant. Comment cette femme si séduisante a-t-elle pu changer au point de devenir méconnaissable ? C’est alors qu’un vieil ami médecin lui assure qu’Anna est morte trois ans plus tôt d’une terrible maladie. Plus Nino cherche à démêler le vrai du faux, plus la réalité se trouble sous ses yeux…
Critique : Tiré d’un roman de Mino Milani adapté par Bernardino Zapponi, "Fantôme d’amour" se situe dans la veine sombre de Dino Risi et adopte une veine onirique inédite dans son œuvre. Le réalisateur a longtemps été, à juste raison, assimilé à un maître de la "comédie italienne", ce que confirment de grandes réussites comme "Les monstres" ou "Le veuf", perle méconnue de sa filmographie. Pourtant, l’humour noir imprégnait déjà ces œuvres et la noirceur était carrément installée dans ses deux plus brillants opus des années 1970, à savoir "Parfum de femme" et "Cher papa". Et l’on ne trouvera qu’une unique pointe de burlesque dans "Fantôme d’amour", à travers le pittoresque personnage d’un ancien prêtre allumé reconverti dans les sciences occultes (Michael Kroecher). Coproduction italo-franco-allemande, le métrage voit son action se situer essentiellement à Pavie, filmée comme une ville irréelle, la brume et la pluie rendant ses ruelles mystérieuses et propices à la songerie (splendide photo de Tonino Delli Colli).
Nino Monti (Marcello Mastroianni), notable quinquagénaire, y vit une existence paisible en compagnie de sa bienveillante mais conventionnelle épouse (Eva Maria Meineke), s’accordant de rares moments de détente avec de vieux camarades de jeunesse. Lorsqu’une femme vieillissante et en situation de précarité (Romy Schneider) se présente à lui comme son ancien amour, Anna, Nino voit tout un pan de son passé ressurgir avec nostalgie. Mais lorsqu’on lui apprend que la femme est décédée il y a trois ans, sa vie va véritablement basculer. Nino est-il victime d’une aventurière ? Le chirurgien qui se dit avoir été témoin de sa mort se trompe-t-il ? Le titre français du film mène le spectateur sur la piste la plus crédible, mais son titre italien, "Fantasma d’amore", offre une alternative. Et si Nino prenait ses désirs pour la réalité, à l’instar de Séverine dans Belle de jour ? Cette lecture à plusieurs niveaux est l’un des intérêts du film, qui convoque aussi d’autres références, comme "L’aventure de Madame Muir" de Mankiewicz et surtout le "Vertigo" de Hitchcock, la partition douce de Riz Otolani (thème du film interprété à la clarinette par Benny Goodman) faisant écho à celles, plus lyriques, de Bernard Herrmann.
Croisant plusieurs genres dont le romanesque, le fantastique, le policier voire le gore (le meurtre atroce d’une concierge), "Fantôme d’amour" mérite vraiment une seconde chance, car le film fut accueilli plutôt tièdement à sa sortie, à quelques exceptions près, comme un article de Jean A. Gili dans La Revue du cinéma (n°361, mai 1981). Et il n’a pas été un franc succès public, malgré la présence de ses deux stars. Marcello Mastroianni est éblouissant et montre la face fragile de sa persona. Quant à Romy Schneider, elle émeut forcément, surtout quand on sait qu’il s’agit de l’un de ses derniers films, et qu’une authentique douleur se lit sur son visage. On regrettera toutefois le doublage inhérent aux coproductions puisque dans la version originale, sa voix est celle d’une comédienne italienne (Vittoria Fabi), ce qui gâche une partie de sa composition. "Fantôme d’amour" a fait l’objet d’une restauration et ressort en salle en même temps que "Cher papa", à l’initiative du distributeur Les Acacias.
Gérard Crespo
08h00 dans Film-1980-Fantôme Amour | Lien permanent | Commentaires (0)