« avril 2017 | Accueil | juin 2017 »
02h00 | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : France-Info - 30 mai 2017
C'est le destin hors-norme d'une actrice magnifique, Romy Schneider, que nous raconte David Lelait-Helo dans "Romy", le livre du jour de Philippe Vallet.
C'est le destin hors-norme d'une actrice magnifique, Romy Schneider, que nous raconte le journaliste David Lelait-Helo dans "Romy", le livre du jour de Philippe Vallet.
Romy Schneider n'est pas seulement l'actrice de "Sissi impératrice". Elle a aussi incarné la femme française des années 70, "très libre, très affranchie. Elle va nous parler d'avortement, de divorce, ce qui est très inédit dans le cinéma" de l'époque, souligne David Lelai-Helo. "Elle devient vraiment l'actrice de Claude Sautet avec "Les choses de la vie", "César et Rosalie". Les Françaises ont envie de lui ressembler et les Français ont envie de la posséder", poursuit-il.
Romy Schneider est malgré tout une femme marquée par la culpabilité "parce que sa mère était très proche du régime nazi, très proche d'Hitler, ce qui a été très difficile à porter pour Romy. Elle a eu vraiment le désir de fuir l'Allemagne et de s'intégrer dans une nouvelle culture et de devenir véritablement une Française", explique David Lelait-Helo.
Un destin à la fois extraordinaire et tragique
"Romy" (réédition augmentée), paru le 11 mai aux éditions Télémaque, a été préfacé par Alain Delon avec qui la célèbre actrice a vécu "cinq ans d'amour fou", raconte David Lelai-Helo : "Pour Romy Schneider, Alain Delon c'est vraiment le passeport pour la liberté. Elle quitte son Allemagne. Elle quitte sa mère, qui est très autoritaire, pour devenir une jeune femme libre. Elle découvre vraiment l'amour avec Delon".
Dans son livre, David Lelait-Helo rétablit aussi la vérité sur la mort de l'actrice, dont on a dit un moment qu'elle s'était suicidée, ce qui est "totalement faux" selon lui. "Effectivement, elle prenait des médicaments pour dormir, elle était sous drogue continuellement. Mais c'était une femme, au printemps 1982, qui avait envie de se reconstruire. Elle avait sa fille de cinq ans, elle avait un nouvel amour, elle venait d'acheter une maison, elle avait des projets de cinéma", souligne-t-il.
21h55 dans Les livres | Lien permanent | Commentaires (0)
02h00 dans Photo du jour | Lien permanent | Commentaires (0)
05h00 dans Photo du jour | Lien permanent | Commentaires (2)
02h00 dans Photo du jour | Lien permanent | Commentaires (0)
02h00 dans Photo du jour | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Mediabiz.de - 27 janvier 2017
Nach 31 Drehtagen auf der Insel Fehmarn, in Hamburg und an Originalschauplätzen im bretonischen Quibéron hat Regisseurin Emily Atef ihren neuesten Film "3 Tage in Quibéron" jetzt im Kasten. Nach eigenem Drehbuch erzählt Atef darin die Geschichte von drei Tagen im Leben von Romy Schneider. 1981 hatte die von Marie Bäumer gespielte Schauspielerin einige Zeit in der Bretagne verbracht, um sich während eines Kuraufenthalts für ihren nächsten Film zu erholen. Dort bekommt sie Besuch von ihrer langjährigen Freundin Hilde (Birgit Minichmayr), dem "Stern"-Journalisten Michael Jürgs (Robert Gwisdek) und dem Starfotografen Robert Lebeck (Charly Hübner). In drei Tagen entsteht ein Interview, in dem Romy Schneider mit der deutschen Presse abrechnen will. Es wird zur Bestandsaufnahme ihres Lebens.
Produziert wird "3 Tage in Quibéron", der in schwarz-weiß und Cinescope gedreht wurde, von Rohfilm Factory in Koproduktion mit Dor Film (Österreich), Sophie Dulac (Frankreich), NDR, Arte, ORF, Tita.B. und Departures Film. Fördermittel gab es von der Filmförderung Hamburg Schleswig-Holstein, BKM, FFA und DFFF. Prokino plant einen Kinostart im kommenden Jahr, Beta Cinema übernimmt den Weltvertrieb.
Am Set von "3 Tage in Quibéron" (v.l.n.r.): Produzent Karsten Stöter, Darstellerin Birgit Minichmayr,
Regisseurin Emily Atef, Darstellerin Marie Bäumer, Kameramann Thomas Kiennast,
Malika Rabahallah (Leitung Förderanträge und Beratung FFHSH) und Produktionsleiterin Ingrid Holzapfel
(Bild: Rohfilm Factory / Robert Stopfer)
07h33 dans Films-Romy | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Dernières Nouvelles d'Alsace (DNA) - 25 mai 2017
Exposition organisée par Mme Dorette Roess : les infos ici
07h22 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (0)
Un extrait de l'émission "La curiosité est un vilain défaut" était consacré à Romy Schneider
avec la présence de David Lelait-Helo pour la ré-édition de son livre "Romy".
Pour l'écouter, c'est par ici :
12h36 dans Musique / Audio | Lien permanent | Commentaires (0)
Une partie de l'émission de ce jour est consacrée à Romy Schneider avec la présence de David Lelait-Helo pour la ré-édition de son livre "Romy".
Sur le net : C'est au programme.fr
et disponible en replay à compter du 25/05/17.
10h21 dans Télévision - Romy | Lien permanent | Commentaires (1)
Dans l'émission "Télématin" sur France 2, ce matin, Henry-Jean Servat revenait sur l'âge d'or du Festival de Cannes avec quelques archives des stars sur la croisette. Romy Schneider est donc présente avec une jolie vidéo de son arrivée avec Alain Delon en 1962 :
Et sur Télématin.fr
08h36 dans Télévision - Romy | Lien permanent | Commentaires (0)
02h00 dans Photo du jour | Lien permanent | Commentaires (0)
02h00 dans Photo du jour | Lien permanent | Commentaires (0)
02h00 dans Photo du jour | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : France Dimanche - 18 mai 201778
Jean-Loup Dabadie :
"Romy passait des nuits à regarder
la photo de son fils [...] !"
Trente-cinq ans après, le scénariste Jean-Loup Dabadie revient sur la fin tragique de la star Romy Schneider.
Le 29 mai 1982, Romy Schneider rendait son dernier souffle. Jean-Loup Dabadie, très proche de l’actrice dont il avait écrit les plus beaux rôles, revient pour nous sur cette nuit d’horreur, passée en partie avec Alain Delon et Laurent Pétin, le dernier homme de la vie de la star, qui l’a retrouvée inanimée avec, à côté d’elle, un cocktail de barbituriques et de somnifères.
France Dimanche (F.D.) : Parlez-nous de cette dernière nuit avec Romy Schneider ?
Jean-Loup Dabadie (J.-L.D.) : Je dis parfois «mon amour de Romy», bien qu’il n’y ait eu, entre nous, que des histoires de cinéma entre une actrice et son scénariste. Rien d’autre. Romy était troublante. Elle voulait parfois que je modifie des scènes, des répliques, des gestes. Et, en cas de résistance, elle proférait des menaces. Elle se mettait à crier et à pleurer : «Pardon, tu penses que je ne parle pas bien le français ! Tu penses que je suis arrogante mais tu ne le dis pas ! Je ne fais plus le film !» Parfois, elle me parlait comme si nous vivions une passion torride !
F.D. : Quel a été le moment le plus compliqué de votre relation ?
J.-L.D. : Ce qui lui vaudra le César de la meilleure actrice : le scénario d’Une histoire simple ! Romy et son mari, Daniel Biasini, le père de Sarah, m’invitent à dîner chez eux, rue Pergolèse. Bel endroit, belle table, avec champagne à volonté, que notre Romy chérie avait commencé à boire sans nous, pour s’échauffer. J’ai tout de suite senti qu’elle m’attendait au coin du bois ! Romy porte une petite cuillerée de caviar à sa bouche. Son visage devient glacial et son regard prend une couleur d’acier : «On m’avait promis un film pour moi toute seule.» [Romy était à l’origine du projet, elle avait demandé à Claude Sautet et Jean-Loup Dabadie d’écrire un film «de femmes», ndlr] Je prends un air idiot et lui répond : «Écoute Romy, le mieux serait que tu ne lises plus mon scénario, et quand on aura terminé, tu donneras ton avis.» Mais elle réplique : «Et si je refuse de faire le film ?» Je rétorque : «Bien sûr, au début, on sera bouleversés. Mais après, on fera le film avec une autre actrice…»
F.D. : Comment a-t-elle réagi ?
J.-L.D. : J’ai déjà vu des femmes en colère. Mais là, la cocotte a explosé ! Elle se lève, jette sa serviette, crie, hurle, et nous laisse en plan à table. Elle part dans sa chambre en claquant la porte, des larmes plein les yeux : «Puisqu'il est interdit d’émettre la moindre réserve sur ce qu’écrit monsieur Jean-Loup Dabadie ! Tout le monde sait que monsieur Jean-Loup Dabadie décide de tout ce qui est bon dans le cinéma. Pardon, oh pardon, monsieur Jean-Loup Dabadie.» J’étais affolé. Le mari de Romy, Daniel, se lève et dit qu'il va la chercher. Évidemment, elle n’est pas revenue.
F.D. : Comment ça s’est terminé ?
J.-L.D. : Le lendemain de cette crise, notre ami et agent commun, Jean-Louis Livi, a recollé les morceaux. Il a été convenu que je ne parlerais plus à Romy jusqu'à la fin de l’écriture du scénario. Et que nous ne chercherions pas d’autre actrice. Ça s’est terminé par un happy end : Romy a obtenu le César de la meilleure actrice pour le rôle de Marie. Puis un matin, j’ai reçu un bouquet de roses et un mot de remerciements pour avoir accepté de modifier son rôle et de l’avoir écoutée. Pour moi, ces roses-là ne se faneront jamais…
F.D. : Pourquoi ?
J.-L.D. : Romy est morte peu après. Elle rentrait d’un dîner avec des amis, en compagnie du dernier homme qu’elle a aimé, Laurent Pétin. Ils ont parlé un instant dans le salon et Laurent a voulu aller dormir. Elle lui a dit : «Je te rejoins, je reste un peu avec David" [son fils décédé dans des circonstances dramatiques, ndlr]. Laurent m’a raconté la scène, en larmes : les derniers temps, il arrivait souvent à Romy de rester seule le soir au salon, voire même toute la nuit. Elle était avec la photo de son petit garçon, [...]. Elle écoutait de la musique, écrivait parfois… Elle attendait que le sommeil vienne. Cette nuit-là, elle rédigeait une lettre à un journaliste pour lui demander de remettre un rendez-vous. Mais elle est morte au beau milieu d’une phrase. Laurent l’a retrouvée sans vie, au petit jour.
F.D. : Vous étiez bouleversé…
J.-L.D. : Oui, Romy et moi avions le même âge, à trois jours près. Nous avions 43 ans… C’était une jeune femme dont les yeux avaient tant pleuré après le décès de son fils qu’ils s’étaient fermés à jamais.
F.D. : Quel souvenir gardez-vous de cette tragédie ?
J.-L.D. : Laurent Pétin m’a ouvert la porte, il pleurait toutes les larmes de son corps. Il m’a emmené alors dans le petit salon, où se trouvait Alain Delon, complètement défait. J’ai vu la photo de David que Romy avait regardée avant de mourir. Laurent, Alain et moi nous sommes embrassés. On était des hommes dévastés. Laurent m'a dit : «Va la voir, elle est dans sa chambre.» La chambre était plutôt sombre, juste un filtre de lumière passait à travers les rideaux. Sur le seuil, je n’osais pas entrer. Je regardais ma Romy, étendue sur le lit, sans vie. Après une longue hésitation, je me suis approché d’elle pour l’embrasser. Je me rappelle cette sensation… comment dire… si «inhumaine». Ses lèvres étaient glacées. J'ai dit une prière. Ce soir-là, je voyais un mort pour la première fois de ma vie, et c’était elle. C’est incroyable mais vrai : je n’avais encore jamais vu de cadavre.
Cédric Potiron
21h41 dans Ca tourne autour... | Lien permanent | Commentaires (0)
Réalisateur : Guillaume de Lestrange
Auteur : Guillaume de Lestrange
Avec la voix de : Sarah Biasini
Documentaire de 26 minutes (décembre 2016)
[Traduction en ligne] Reine de la légendaire Côte d'Azur, Nice dessine du monde entier des esthètes et des amateurs d'un art de vivre décontracté forgé par les émeraudes de la Méditerranée qui agissent comme des pinceaux sur une toile pleine grandeur. De Henri Matisse à Yves Klein, les formes de la ville des anges n'ont jamais cessé d'attirer des artistes inspirés des nuances infinies de bleu qui se reflètent partout. Un foyer radieux pour les olives, les agrumes et la gastronomie méditerranéenne, la campagne de Nice est pleine d'arômes aussi délicats qu'un bouquet d'oeillets.
Depuis 150 ans, les redevances en diamant, les légendes de films et les icônes de mode ont dérivé entre les ruelles ocres du Vieux-Nice et la célèbre Promenade des Anglais, bordée de majestueux palais et de villas extravagantes dans les styles Belle Époque et Art Déco. Incarné par une jeune femme dont l'élégance et le charme naturel ne nécessitent pas de parures inutiles, Nissa la Bella nous invite dans un voyage d'un autre monde à travers Nice et la campagne environnante pour découvrir les gloires de son patrimoine et de sa culture, tant par terre que par mer.
Des rencontres avec les gens du pays, qui sont consacrés à la préservation et à la promotion de l'art de vivre qui a rendu la Rivieria française célèbre dans le monde entier, Nice révèle ses plus beaux trésors tout en conservant son mystère étincelant.
15h29 dans FilmShort-2016-Nice | Lien permanent | Commentaires (2)
02h00 dans Photo du jour | Lien permanent | Commentaires (0)
02h00 dans Photo du jour | Lien permanent | Commentaires (0)
Le 12 février 2017 :
Auteur : David Lelait-Helo
Editions : Télémaque Editions - Grands Documents
Langue : Français
Nbre de pages : 282
Photos : 8 photos couleurs (couverture pliée et dos de couverture. Rien à l'intérieur.
ISBN-10 : 2753303207
ISBN-13 : 978-2753303201
Sortie le : 11 mai 2017
Prix : ~ 18 euros
Disponible à la commande sur Amazon.fr
Le 25 février 2017 :
NDLR : Ajout de l'auteur. Pas assez d'informations mais il pourrait s'agir de la ré-édition du livre "Romy, au fil de la vie" de 2002. A confirmer bien sûr !
Le 18 mars 2017 :
Ajout de la couverture (dispo sur le compte Facebook de l'auteur).
Le 19 mai 2017 :
NDLR : Comme je le pensais, je vous confirme que, malgré la qualité de cette édition, il s'agit de la ré-édition du livre de 2002 et la préface d'Alain Delon (vantée sur la couverture) est plutôt décevante (1 petite page...). Ce livre est donc à réserver aux inconditionnels et à ceux qui n'auraient pas (encore) la première édition.
09h31 dans Les livres | Lien permanent | Commentaires (0)
02h00 dans Photo du jour | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Marie-France.fr - 17 mai 2017
Romy, 288 pages que l’on lit d’une seule traite tant la biographie de David Lelait-Helo est prenante et déchirante. Elle nous entraîne, sans aucune démesure, dans le tourbillon de la vie qui a fini par happer la star. Un récit presque romanesque à la hauteur des passions de la comédienne qui ne voulait plus être Sissi.
Dans la préface de cette biographie haletante, Alain Delon écrit : "Romy avait pour elle l’ardeur, la sensibilité, cette beauté inouïe et contre elle, des souffrances, des abîmes, des ombres tenaces."
Romy, la femme des passions franches et courageusesÀ l’heure où s’ouvre le Festival de Cannes 2017, le 8 mai 1962, Romy Schneider, en tailleur Chanel, et Alain Delon en costume blanc, étaient encore en pleine histoire d’amour. Elle était à Cannes pour sa participation au film à sketches de Visconti "Boccace 70", et lui pour son rôle dans «L’Éclipse» d’Antonioni. Un an plus tard, le couple séparé ne donne plus la fièvre aux paparazzi. En souvenir de cette passion dévorante, de cet amour dont finalement Romy Schneider ne s’est jamais remise, Alain Delon semble faire son mea culpa dans la préface qu’il signe pour «Romy», la biographie de David Lelait-Helo. «Votre véritable premier amour ne vous lâche jamais la main, il se rappelle à vous sans cesse.(…) Elle était la vie, elle fut la mienne. Je sais qu’elle m’attend…»
Auteur de romans et de plusieurs biographies (Dalida, La Callas, Barbara, Eva Peron, Piaf), David Lelait-Helo s’était déjà penché sur la vie de la comédienne dans son ouvrage "Romy au fil de la vie" (Payot, 2002) où il avait apprivoisé sa personnalité écorchée et son coeur à vif. Là, il effectue un véritable travail d’investigation apportant à chaque situation de sa vie professionnelle ou amoureuse des détails si déconcertants qu’elle apparaît sous nos yeux, plus vivante que jamais. Aussi belle que dans «La Piscine» ou «Les Choses de la vie». L’écriture généreuse de David Lelait-Helo ajoute à l’attachement renforcé ou nouveau pour la petite Autrichienne «aux yeux vert irisé». Sous sa plume, Romy Schneider restera à jamais Romy, la femme amoureuse et passionnée.
Romy, David Lelait-Helo, éditions Télémaque, 288 p, 18 €
11h09 dans Les livres | Lien permanent | Commentaires (0)