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Source : L'Alsace.fr - 29 novembre 2016
Fille de Romy Schneider, Sarah Biasini est à l’affiche de «Je vous écoute», une comédie de et avec Bénabar, présentée ce mercredi soir à Sausheim.
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18h28 dans Thea-2016-Je vous écoute | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Républicain Lorrain.fr - 27 novembre 2016
Chanteur depuis plus de vingt ans, Bruno Nicolini, alias Bénabar, s’essaye à la comédie depuis 2011. Avec "Je vous écoute", à découvrir le 29 novembre à Thionville, il se lance dans l’écriture et incarne un psy.
"Je vous écoute" est la deuxième pièce de théâtre dans laquelle vous jouez après "Quelqu'un comme vous" en 2011. Comment est né ce projet ?
Bénabar : «J’écrivais depuis quelque temps avec Hector Cabello-Reyes, le scénariste d’ Incognito , sur un projet pour le cinéma. Nous avons eu l’idée de cette pièce ensemble. Il y est question de prise d’otage par un homme qui estime que le psy de sa femme est responsable de leur séparation. Entre les deux hommes les rapports vont évoluer, ils vont se découvrir des points communs et une amitié va naître.»
Vous incarnez le psy. Ce rôle vous était-il destiné dès le départ ?
Bénabar : «Non il n’était pas prévu que je joue au moment de l’écriture mais très vite ça s’est présenté comme une possibilité et finalement c’est devenu un élément déclencheur pour monter la pièce. Pour ce rôle, j’ai beaucoup travaillé car je voulais être à la hauteur pour Isabelle Nanty qui est la metteur en scène (la comédienne joue dans la série Munch sur TF1). On a voulu créer des personnages qui tiennent en haleine et qui servent l’histoire, du coup on a retravaillé le texte pour que la pièce soit digne d’être regardée.»
La pièce a été jouée au Théâtre Tristan-Bernard de Paris et a été récompensée par le Prix Théâtre 2015 de la Fondation Barrière. Quels sont les retours du public ?
Bénabar : «On s’aperçoit que ça passe plutôt bien. Le public rigole. C’est peut-être juste pour être sympa…»
En février 2016 on vous a vu dans la série "Le Secret d’Élise" sur TF1. Avez-vous envie de me consacrer à la comédie ?
Bénabar : «Le scénario de ce téléfilm m’a beaucoup plu. Pour moi l’essentiel c’est ce qu’on raconte, l’histoire est importante bien plus que le support, donc oui j’ai d’autres projets dans les cartons mais je n’ai pas envie de ne faire que ça. J’aime mélanger les disciplines mais le socle reste la musique, c’est ma priorité.»
Avez-vous le temps de travailler sur un 8e album ?
Bénabar : «Oui je travaille activement sur le prochain mais j’estime que c’est un privilège de pouvoir chanter et jouer la comédie. Au départ, j’avais envie d’écrire et je me destinais à une carrière de scénariste. Finalement avec le temps j’ai bifurqué.»
Vous chantez depuis plus de vingt ans. Si c’était à refaire, que changeriez-vous ?
Bénabar : «Je repartirai tel quel en modifiant peut-être certaines choses. Mais j’ai toujours été quelqu'un de sincère et d’intraitable dans ma vie comme sur scène. Je n’ai jamais fait des choses pour mon image ou pour payer mes impôts.»
Lors de votre venue en 2013 à Thionville, vous aviez avoué avant votre concert être superstitieux. Est-ce toujours le cas ?
Bénabar : «Ah oui je le suis, et de plus en plus, c’est dans mon caractère.»
17h47 dans Thea-2016-Je vous écoute | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Ouest France - Le 24 novembre 2016
Mardi 29 novembre, une séquence du film "Trois jours à Quiberon" sera tournée à Ploermel. Un long-métrage qui raconte trois jours de la vie de Romy Schneider, qui est venue au début des années 1980 en cure dans la région.
Le film «Trois jours à Quiberon» va se tourner sur une durée de sept jours en Bretagne, du 25 novembre au 2 décembre, explique Frédéric Le Gall, directeur de production. «Nous allons tourner une des séquences de ce film sur la route de Pont Fol, la D119, mardi de 8 h à 11h30.»
Routes bloquées et stationnements interdits
Des panneaux d’interdiction de stationnement ont commencé à être installés sur les lieux concernés. Un arrêté commun communal et départemental a été signé par le maire, Jean-Luc Le Tallec, le 19 novembre, pour la fermeture de la route départementale. «Pendant les prises de tournage, les routes seront fermées à la circulation. Il s’agit de la D119, y compris les routes qui vont à Ty Chateau et à Kerplat, la rue Plijadur, la rue des Écoles, la rue du Champ d’Amour, celle du Groez Ven, Du Lenno, de l’Abbé-Collet.
Aucune déviation n’est possible. Il faudra prévoir de partir au travail en avance car si la prise de vue est en route, les véhicules devront en attendre la fin. Entre les prises, les transports scolaires et les voitures pourront passer», détaille le maire.
Éviter les anachronismes
Tout cela est fait pour éviter les anachronismes, le film est censé se dérouler dans les années 1980. Il ne faudrait donc pas qu’une voiture moderne apparaisse dans le champ. Pour la même raison, les containers à journaux et verre seront retirés et mis dans le fond. La signalétique moderne sera enlevée, les panneaux de circulation seront dévissés et démontés par la municipalité.
Le parking du Vieux Logis devra être libéré à 11 h 30, de façon à libérer l’espace pour que les clients du restaurant puissent se garer.La municipalité doit faire en sorte que les parkings du Vieux Logis et celui de la gare soient vides de tous véhicules mardi matin car le matériel de tournage et les véhicules de la société de production y seront stockés.
Le choix du secteur
«Le directeur de production a beaucoup tourné dans le secteur pour trouver le site qui pouvait correspondre à la prise de vue. Il a choisi ce secteur parce que la route n’est pas chaotique. La caméra sera dans la voiture, donc il fallait une route en bon état pour une question de stabilité. Et parce que le site du Vieux Logis avec ses anciennes barrières en béton correspond à ces années-là», explique Christian Bouilly, élu.
«Trois jours à Quiberon» est réalisé par Emily Atef et coproduit par les sociétés Rohfilm Factory, Sophie Dulac Productions, Dor Film et Tita B. Il sera distribué dans les salles de cinéma par Sophie Dulac et diffusé en France par la chaîne Arte.
10h26 dans Films-Romy | Lien permanent | Commentaires (4)
Source : Le Progrès.fr - Le 24 novembre 2016
Le volume 1 de son intégrale, avec neuf films en version restaurée, vient de sortir. Le cinéaste s’explique, de A à Z, avant son débat, vendredi à la Fnac Bellecour de Lyon. Interrogatoire.
Restauration
«J’ai revu tous mes films, plan par plan, sans le son, pour mieux détecter les défauts. Heureusement, il n’y a pas eu de dégâts trop catastrophiques. Pour certains, on a pu utiliser les enregistrements sonores originaux. L’idée était de retrouver la qualité du film au moment de sa sortie, sans embellir les images, ni ramener certaines couleurs à la sensibilité d’aujourd’hui. Le principe était de respecter mes choix d’alors, même si certains peuvent paraître dater.»
DVD
«Mes films de cette époque sont rarement sortis en VHS ou DVD. Il y a eu des éditions, mais sans mon consentement direct. Ces supports, je crois, ont démystifié le cinéma en salles. Aujourd’hui, on peut s’acheter trois films pour dix euros. Ça fait un peu désinvolte et pas très respectueux de l’œuvre, non ?»
Disparition
«Revoir ces films m’a provoqué un choc d’un autre ordre : tant d’acteurs ont disparu : Yves Montand, Simone Signoret, Jean Yanne, Jack Lemmon, Marc Porel, Pierre Dux… Une grande tragédie contre laquelle on ne peut rien.»
Yves Montand
«Les gens disent souvent qu’il a été mon acteur fétiche. N’est-ce pas plutôt moi qui, à cette époque, étais son metteur en scène fétiche ? Nous avions immédiatement noué une relation étroite, car Montand et Signoret m’avaient aidé à monter "Compartiment tueurs". J’avais insisté pour qu’il joue dedans, mais lui, n’avait pas envie d’interpréter un policier. Pour le convaincre, je lui ai proposé de mettre une sorte de masque en reprenant son accent du midi. Ça lui a donné la distance nécessaire. À l’époque, les acteurs de petits polars étaient plutôt dans l’imitation des postures d’Humphrey Bogart.»
Romy Schneider
«Le film dont je suis le plus fier est peut-être "Clair de femme", avec Romy Schneider et Yves Montand, que j’ai eu grand plaisir à réunir. Le film a été assez mal perçu. Les gens se demandaient ce que je suis allé faire dans ce drame romanesque. Je l’ai réalisé avec un grand respect pour les dialogues de Romain Gary, très particuliers, voire incompréhensibles pour certains.»
Politique
«Les gens croient que je me lève tous les matins en me demandant dans quel débat politique je vais me lancer. À Lyon, comme partout, je m’attends donc à ce que la discussion s’étende sur la politique et les acteurs. Ce qui est normal. Moi, contrairement à ce que tout le monde croit, je n’ai pas la double nationalité, je vote en France. Et la situation mondiale me chagrine. Le monde prend un virage pas très positif pour nos libertés individuelles. Si Monsieur Trump fait la moitié de ce qu’il prévoit, ça va être un chambardement très inquiétant, car les États-Unis donnent le “la” de la politique mondiale. On assiste aussi à des choses très préoccupantes en Hongrie, Pologne, Allemagne. En France, on verra… J’ai toujours eu du respect pour la manière dont la démocratie s’y déroule.»
Pratique : Rencontre à la Fnac Bellecour, Lyon, vendredi 25 novembre à 17 h 30.
Ses 9 premiers films restaurés : Compartiment tueurs (1965), Un homme de trop Z, l’aveu, État de siège, Section spéciale, Clair de femme, Missing, Hanna K, (1983).
Documents : tournages de Compartiment tueurs, L’aveu, Hanna K.
Entretiens avec Edwy Plenel (3 heures), Christiane Taubira, Chris Marker, Samuel Blumenfeld.
13h09 dans En DVD ! | Lien permanent | Commentaires (0)
Auteur : Michael Jürgs
Editions : Ullstein Taschenbuch
352 pages
Langue : Allemand
Sortie le : 11 août 2017
ISBN-10 : 3548377076
ISBN-13 : 978-3548377070
Disponible sur Amazon.de et Kindle (en téléchargement)
NDLR : De toute évidence, il s'agit de la ré-édition du livre précédent (2008 et dont l'édition originale est de 1991) légèrement modifiée à l'occasion du film (actuellement en tournage) et de la sortie du film en 2017.
Mon avis : A réserver aux inconditionnels...
20h55 dans Les livres | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Ouest France.fr - 22 novembre 2016
Ce film, réalisé par Emily Atef, retrace une période de la vie de Romy Schneider, ayant séjourné à Quiberon en 1981. Plusieurs séquences seront tournées du 25 novembre au 2 décembre 2016.
Tita B Productions sera en tournage du 25 novembre au 2 décembre 2016 pour le long-métrage «Trois jours à Quiberon», un film d’Emily Atef. Plusieurs séquences seront tournées en extérieur et à l’hôtel Sofitel à Quiberon.
Marie Baümer y incarne Romy Schneider.
Recherche véhicules anciens
Cette fiction s’inspire d’une période de la vie de Romy Schneider ayant séjourné à Quiberon en 1981. La production recherche toujours des véhicules de figuration significatifs de la fin des années 70 et début 80 (Peugeot J7, Renault 4L, etc.).
Contact : régie générale, tél. : 06.21.46.87.34.
Dans les salles fin 2017 et sur Arte fin 2018
Le film, tourné en noir et blanc, est destiné aux salles de cinéma fin 2017 et sera également visible sur la chaîne Arte fin 2018. C’est une coproduction franco-allemande. «Cette fiction n’est pas un film biopic sur Romy Schneider, précise Frédéric Le Gall, directeur de production, mais la mise en lumière d’un moment singulier dans la vie d’une star populaire, qui doit concilier sa carrière d’actrice et sa vie de mère.»
L’histoire
Hiver 1981, Romy Schneider est en cure au Sofitel de Quiberon, où elle se prépare pour son prochain film. Exceptionnellement, elle accepte de recevoir deux reporters du magazine allemand Stern, Robert Lebeck, photographe talentueux, et Michael Jürgs, un jeune journaliste ambitieux. Pour l’accompagner dans ce moment, elle fait aussi venir son amie d’enfance, Hilde. Pendant trois jours, tous les quatre naviguent entre le port de Quiberon, la suite luxueuse de l’hôtel, où a lieu l’interview, et la plage rocheuse qui lui fait face.
19h59 dans Films-Romy | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : La Provence.com - 21 novembre 2016
La dernière fois qu'on avait vu Bénabar sur les planches d'un théâtre aixois, c'était au Jeu de Paume du 17 au 28 mai 2011 dans une pièce de Fabrice Roger-Lacan intitulée "Quelqu'un comme vous", créée au Rond-Point le 3 mars de la même année. Dans cette comédie policière construite un peu comme "Le Limier" d'Anthony Shaffer qui servit de base au film de Mankiewicz, il jouait fort bien aux côtés de Jacques Weber dans une mise en scène assez astucieuse d'Isabelle Nanty.
Vendredi dernier, il nous revenait sur la scène du Pasino pour Je vous écoute, pièce qu'il a coécrite avec Hector Cabello-Reyes. Le chanteur-acteur y incarne un psy qui voit débarquer dans son cabinet un homme le menaçant avec une grenade. Cuisiniste de son état, le terroriste le tient pour responsable du départ de sa femme qui est en fait une de ses patientes. Bénabar est de nouveau mis en scène par une Isabelle Nanty débordante d'astuces décalées.
À ses côtés, David Mora épatant dans le rôle du mari plaqué, comble du cuisiniste, et surtout Sarah Biasini. La fille de Romy Schneider joue une épouse en colère, belle, féline et paumée, forte et faible à la fois qui rêve de Lisbonne et de quiétude. À un moment où le manque de rythme commence à devenir criant, son entrée en scène fait basculer la pièce vers le vaudeville amusant et touchant. Si le mari se trouve alors dans le placard, ce n'est pas pour raison de coucheries à la Feydeau, mais pour ne pas être vu ici par celle qu'il continue d'aimer.
Bien construite la pièce où l'on verra comment être Sarthois demeure synonyme d'ennui abyssal, (le syndrome Fillon, originaire lui aussi de cette région ?), offre une dernière partie assez inattendue qui permettra au psy claustrophobe de livrer à tous les raisons de ses angoisses, et de sa profonde mélancolie.
Bien sûr nous ne sommes ni chez Ionesco, Lacan, Brecht, Roger-Lacan ou autres auteurs qui développent plus en profondeur les thématiques exposées et vont plus loin dans l'analyse. Mais nous passons un excellent moment, pas prétentieux et très divertissant, qui propose néanmoins en filigrane une très subtile réflexion sur la lutte des classes. Un peu comme dans Quelqu'un comme vous d'ailleurs... Seul hic, qui râlerait d'avoir loupé cette pièce à Aix devra aller au moins jusqu'à Mérignac pour la voir, car la représentation prévue hier au Silo marseillais a été annulée.
Jean-Remi Barland
18h32 | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Rtbf.be - 1er novembre 2016
Cécile Poss nous dresse un portrait sensible de Romy Schneider au travers d'archives.
Une réalisation en deux parties, un mixage de Pierre Devalet
11h47 dans Musique / Audio | Lien permanent | Commentaires (0)
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12h36 dans Le Magazine | Lien permanent | Commentaires (4)
02h01 dans Film-1964-PussyCat | Lien permanent | Commentaires (0)