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09h11 dans Presse - 2014, Revue Le Parisien, Thea-2014-Bash | Lien permanent | Commentaires (0)
Voici la question posée par un lecteur. Je ne sais pas y répondre mais peut-être que l'un d'entre vous peut l'aider ??
En effet, passionné par le film "Monpti", il en recherche les lieux de tournage mais n'a pas réussi à trouver cette rue dans Paris et ce, malgré de nombreuses recherches :
Par avance, merci de votre aide dans cette recherche !
Voici une photo issue du film :
A toutes fins utiles : Les scènes intérieures du film ont été tournées à Munich. Pour les scènes en extérieur, les lieux de tournage à Paris sont les suivants :
Source : Wikipédia
08h19 dans Annonces | Lien permanent | Commentaires (2)
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Source : Stars Portraits & Art majeur
02h35 dans Artistes | Lien permanent | Commentaires (4)
Source : Le Parisien.fr - 27 mars 2014 & L'étudiant.fr
Sarah Biasini est époustouflante dans «Bash», une pièce dérangeante et bouleversante. La comédienne de 36 ans marche sur les traces de sa mère.
Le choc est à la hauteur du titre : «Bash», «frapper» en anglais. Comme une bonne claque, ou un coup de poing, distribuée sur la scène du Théâtre 14, à Paris, par l'acteur Benoît Solès et une comédienne de 36 ans qui pourrait bien avoir trouvé le rôle le plus fort de sa jeune carrière : Sarah Biasini. Dans cette pièce composée de trois monologues, adressés directement au public, la fille de Romy Schneider incarne des femmes qui basculent dans l’horreur.
C’est Benoît Solès, sobrement assis devant un rideau noir, qui ouvre ce bal tragique avec le récit d’un père qui sacrifie son bébé en croyant sauver son travail. Sarah Biasini lui succède. Elle raconte l’histoire d’une collégienne de 13 ans séduite par son professeur. Quinze ans plus tard, elle se venge d’une terrible manière. Dans la dernière partie, les deux acteurs jouent un couple qui fait la fête à New York : tandis qu’elle rentre à l’hôtel, son fiancé tabasse à mort un homosexuel dans Central Park.
Le public sort saisi par ces trois textes à l’écriture franche, sans pathos, redoutablement percutante, créés en 1999 par l’Américain Neil LaBute, scénariste et réalisateur des très remarqués «En compagnie des hommes» et «Nurse Betty». «Mais personne ne quitte la salle pour aller vomir, ce n’est pas insoutenable !», rigole Sarah Biasini, qui avait d’abord dit non au projet. «Je venais de faire "Lettre d’une inconnue" de Stefan Zweig, où il était déjà question d’infanticide. Je me suis dit que j’allais arrêter avec les enfants morts ! Mais Benoît Solès m’a convaincue.»
Le sourire lumineux de l’actrice, le ton détaché de son partenaire, la mise en scène dépouillée de Gilbert Pascal, tout contribue à faire passer la pilule. «Le but n’est pas de choquer, souligne Sarah. Ils commettent des actes terribles, mais jamais prémédités. Chacun de nous peut péter un câble.» De son propre séjour aux Etats-Unis, où elle a suivi les cours du Lee Strasberg Institute, la fille de Romy et de Daniel Biasini retrouve «l’hypocrisie de la société américaine, à la fois religieuse et violente».
Après s’être cherchée au cinéma et à la télé, Sarah semble avoir trouvé sa voie au théâtre, où on l’a vue dans une dizaine de pièces en sept ans. Peut-être pour éviter la comparaison avec sa mère, icône du grand écran ? «Peut-être, mais je ne me le suis jamais dit, rétorque-t-elle. Je ne me suis jamais mise en compétition avec elle, ça n’aurait pas de sens.»
Si elle a longtemps hésité à se lancer dans le métier, ce n’était pas par crainte de l’image maternelle, mais «pour être sûre d’en avoir envie». Elle n’a plus aucun doute, et nous non plus. Elle est aussi juste en fille-mère qu’en bimbo superficielle dans ce « Bash » à l’onde de choc durable, puisque la pièce sera reprise dans une plus grande salle, au Théâtre des Mathurins, dès la fin avril.
«Bash», jusqu’au 26 avril au Théâtre 14, Paris XIV e. Du mardi au samedi à 19 heures
Thierry Dague
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Spectacle Bash de Neil de LaBute.
Mise en scène Gilbert Pascal, adaptation de Pierre Laville
Avec Sarah Biasini et Benoit Solès.
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Bash signifie à la fois fête et… coup de poing ! Cette pièce, acclamée dans le monde entier, se décompose en trois scènes :
08h50 dans Thea-2014-Bash | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : AgoraVox - 26 mars 2014
Il y a 11 ans, en mars 2003 au Studio des Champs-Élysées, Pierre Laville mettait lui-même en scène le texte de Neil Labute.
Quatre comédiens, Anne Brochet, Lionel Abelanski, Stéphanie Fagadau & Patrice Costa défilaient à la barre d’un tribunal virtuel sans jugement pour narrer, en toute décontraction, sous forme de confession objectivée, trois homicides se justifiant par eux-mêmes selon le simple enchaînement des faits.
Reprenant en mars 2014 l’adaptation de Laville, Gilbert Pascal déplace, un tant soit peu, cette perspective originelle en dirigeant seulement deux comédiens pour trois meurtres devant toujours rester impunis :
C’est, en effet, sur le ton de la confidence amicale que Sarah Biasini et Benoît Solès racontent, en toute intimité complice, ces mêmes faits, relevant de l’infanticide, de la pédophilie et de l’homophobie, comme s’il s’agissait de souvenirs du bon vieux temps, à partager entre potes et bien entendu, en l’occurrence, avec le public du Théâtre 14.
Cette proximité du langage est telle que, pour une oreille quelque peu distraite, les trois crimes pourraient quasiment passer inaperçus au cours des récits respectifs, tant la verve sympathique dont ils sont entourés, le contexte souriant dont ils sont enrobés, y développeraient des intentions affectives spontanées et sincères au rythme du naturel revenant au triple galop.
A ce titre donc, l’objectif de Neil Labute est parfaitement atteint car, durant une heure un quart, l’horreur y est perçue comme banale au possible ; pire elle semble s’être tellement bien assimilée au quotidien que rien ne la diffère des bons sentiments et de, ce qu’il est coutume d’appeler, la bonne conscience.
Ce projet est tellement réussi qu’il pourrait même être permis à un esprit retord, de douter ou de percevoir la moindre trace de repères critiques dans la mise en scène, car l’observation des spectateurs y est totalement dédiée à leur subjectivité respective.
En tout cas, cette réalisation permet à Sarah Biasini d’exceller dans la composition féminine décalée années cinquante et à Benoît Solès, de cultiver un style gentleman cambrioleur d'idéologies manichéennes.
BASH
De Neil Labute
Adaptation Pierre Laville
Mise en scène Gilbert Pascal
Avec Sarah Biasini & Benoît Solès
Théâtre 14
08h15 dans Thea-2014-Bash | Lien permanent | Commentaires (0)
03h18 dans Photo du jour | Lien permanent | Commentaires (0)
03h06 | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Arte TV.com - 25 mars 2014
Du 20 avril au 4 mai 2014, ARTE consacre un cycle au cinéma de Claude Sautet, avec six films emblématiques diffusés dans une nouvelle version restaurée HD, et un documentaire sur Romy Schneider.
22h40 dans Télévision - Romy | Lien permanent | Commentaires (0)
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03h47 dans Photo du jour | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Deviant Art
02h23 dans Artistes | Lien permanent | Commentaires (0)
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Source : Le Point.fr - 22 mars 2014
Les parents de Romy Schneider se méfiant du jeune comédien Alain Delon, à la réputation sulfureuse, ils imposent des fiançailles officielles.
Par Frédéric Lewino & Gwendoline Dos Santos
Vaut-il mieux coucher avec Alain Delon ou Adolf Hitler ? (NDLR : Je rappelle que cette possible liaison de Magda Schneider avec Hitler n'a jamais été confirmée) [...] La question n'est pas si incongrue que cela quand on sait que Magda Schneider, la mère de Romy, soupçonnée d'avoir entretenu une brève liaison avec le Führer, dont elle fréquentait assidûment le "Nid d'aigle", condamne la liaison de sa fille avec Delon. Il faut dire que le jeune acteur, ex-apprenti charcutier et ancien fusilier marin, est précédé par une réputation sulfureuse. En 1959, Romy est déjà une star en Allemagne grâce à Sissi l'impératrice. Sa mère craint qu'en s'affichant avec un aventurier français Romy ne casse la machine à rapporter du pognon. Un pognon dont profitent surtout Magda et son deuxième époux, Hans Herbert Blatzheim. Comme Sissi refuse d'abandonner Delon, Magda impose un simulacre de fiançailles pour sauver les apparences.
Cela fait presque un an que Romy vit à Paris chez Alain Delon, qu'elle a rencontré sur le tournage de Christine. Elle adore la bohème parisienne, très loin de la prison prussienne... Avec Alain, elle découvre la liberté, les boîtes de jazz, les copains, les voitures décapotables, l'anticonformisme. Sur ses conseils, elle commence à refuser de tourner toute cette guimauve allemande, qui fait davantage la fortune de ses parents que la sienne. Hans et Magda ont beau lui répéter que Delon n'en veut qu'à son argent et à sa notoriété, elle les renvoie gentiment à leurs bretzels. Ach ! Durant la Grande Allemagne, ça ne se serait pas passé comme cela...
Alors, ils prennent le taureau par les cornes. Le 21 mars 1959, quand Romy vient rendre visite à sa mère et à son beau-père dans la villa Maro qu'ils possèdent près de Lugano - et payée par ses cachets -, elle s'entend dire par Hans : "Demain auront lieu vos fiançailles, j'ai averti la presse. Alain sera présent aussi." Surprise totale de la jeune fille. Comment ses parents ont-ils pu convaincre Delon de se prêter à cette mascarade ? Elle peine à le croire. Lui, l'anticonformiste français, participer à une comédie burlesque allemande ? Jusqu'à la dernière minute, la jeune actrice est persuadée que son Alain leur fera faux bond. Elle s'en réjouit même en secret.
Fleur bleue
Mais stupéfaction : le lendemain, Alain se présente tout sourire, à l'heure dite. Plus charmeur que jamais. La cérémonie l'amuse. Sont également présents le frère de Sissi, Wolfgang Dieter Albach, et quelques proches de la famille, comme la jeune comédienne Françoise Arnoul et Jean-Claude Brialy, inséparable de Delon. Les nombreux reporters qui ont répondu à l'invitation sont introduits dans la villa, où la famille les accueille avec bonne humeur. Le frère offre un bouquet de fleurs à sa soeur. Alain passe au doigt de Romy une bague de pacotille. Les flashes crépitent. Magda improvise un petit discours : "De mariage, il n'est provisoirement pas question. Les petits doivent d'abord faire plus ample connaissance." Mais comment donc ? Comme s'ils avaient passé leur temps à jouer au Scrabble à Paris, depuis un an...
Le mariage ? Il n'y en aura jamais. Romy, un peu fleur bleue, l'espère un peu, mais Delon n'est pas prêt à se ranger. Sa carrière ne fait que commencer. Pour faire patienter sa fiancée, il prétend qu'il lui passera l'anneau au doigt un peu plus tard, quand il sera sûr de la solidité de leur couple. Mais le sournois sait qu'il peut compter sur les sautes d'humeur de Romy pour repousser éternellement le mariage. Leur état de fiancés se prolonge d'année en année. La carrière d'Alain s'épanouit, il tourne Plein Soleil, puis Rocco et ses frères, tandis que la carrière de sa fiancée s'étiole. Les fiançailles s'achèvent un jour de 1963, quand, de retour d'Hollywood, Romy Schneider trouve dans l'appartement vide un bouquet de roses accompagné d'un billet : "Je suis parti à Mexico avec Nathalie. Mille choses. Alain."
11h53 dans Biographie | Lien permanent | Commentaires (0)
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02h25 dans Film-1978-Liés par Sang | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : RTL.fr - 20 mars 2014
[...] Sarah Biasini, est actuellement sur scène au Théâtre 14 à Paris, à l'affiche de la pièce américaine "Bash". C'est le coup de poing théâtral du moment.
Sarah Biasini, la fille de Romy Schneider, est sur la scène du Théâtre 14 à Paris. Elle y joue Bash, une pièce de l'américain Neil Labute. Elle est excellente.
En anglais, To bash veut dire frapper ou cogner violemment. Et cette pièce en trois actes est un véritable coup de poing où le public devient le témoin de meurtres que ces hommes et femmes ont commis. Sarah Biasini est assise face à nous et raconte avec détachement son histoire.
Celle d'une jeune fille de 13 ans draguée par son professeur qui lui fait un enfant puis l'abandonne. Quelques années plus tard, quand le père s'attachera à son enfant, elle tuera le petit, calmement, sans états d'âme.
Bash se joue est au Théâtre 14 à paris, jusqu'au 26 avril.
10h41 dans Musique / Audio, Thea-2014-Bash | Lien permanent | Commentaires (0)
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Souce : Deviant Art
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