Bande annonce
Quarante ans après sa disparition, Romy Schneider est toujours aussi aimée et populaire. Actrice européenne, avec une carrière débutée en Allemagne et poursuivie en France, elle est devenue une star grâce à des films qui ont marqué à jamais l'histoire du cinéma. Bande-annonce de l'exposition que lui consacre la Cinémathèque française du 16 mars au 31 juillet 2022.
11h05 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (0)
Mercredi 16 mars 2022 | 11h00 20h00 |
Ouverture de l'exposition ! La piscine (séance) |
Jeudi 17 mars 2022 | 18h30 | Rencontre avec Clémentine Deroudille (Librairie "L'arbre à Lettre") |
Samedi 19 mars 2022 | 14h00 16h00 16h30 17h00 |
César et Rosalie (séance présentée par Sarah Biasini et Jean-Pierre Lavoignat) Signatures par Clémentine Deroudille et Jean-Pierre Lavoignat Visite guidée de l'exposition Les jeunes années d'une reine (séance présentée par Clémentine Deroudille) |
Dimanche 20 mars 2022 | 14h00 16h30 17h30 |
Le vieux fusil (séance présentée par Jérôme Enrico et Jean Achache) Visite guidée de l'exposition Sissi (séance présentée par Clémentine Deroudille) |
Jeudi 24 mars 2022 | 19h30 21h45 |
Conférence "Romy Schneider, actrice" animée par Clémentine Deroudille Romy, anatomie d'un visage (séance présentée par Clémentine Deroudille) |
Samedi 26 mars 2022 | 14h00 16h30 17h30 |
Les choses de la vie (séance présentée par Jean-Pierre Lavoignat) Visite guidée de l'exposition Sissi impératrice (séance présentée par Clémentine Deroudille) |
Dimanche 27 mars 2022 | 14h00 16h30 |
Le train (séance) Sissi face à son destin (séance présentée par Clémentine Deroudille) |
Pour ne manquer aucun événement : consultez également le site de la cinémathèque !
Et...
Le catalogue de l'exposition
Le vinyle "Romy Schneider : Musiques de films 1968/1982"
11h00 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (12)
Exposition du 10 mars au 16 mai 2022 à la Galerie de l'instant (Paris)
Vernissage jeudi 10 mars 2022 à 19h
En mai prochain sera célébré le 40ème anniversaire de la disparition de Romy Schneider. Cela fait bien longtemps que l’actrice est considérée comme française dans nos coeurs.
Oui, «Sissi» aura marqué fortement sa carrière et notre mémoire sur plusieurs générations. Début des années 60, elle s’émancipa de sa famille et du poids de son pays, elle était devenue l’archétype de la femme française et même une de nos plus grandes actrices !
Combien de comédiennes aujourd’hui se réclament d’elle, s’en inspirent, la vénèrent ? La passion et la tragédie qui ont émaillé sa vie ont nourri son jeu d’actrice et rendu de nombreuses interprétations simplement inoubliables. Sa voix, son accent légèrement trainant lorsqu’elle appelle David dans «César et Rosalie» de Sautet sont gravés dans notre mémoire. Il en va de même pour ce regard perdu, désespéré, face caméra dans «L’important c’est d’aimer» de Zulawski.
Elle écrivait dans son journal qu’elle confondait la vie et le cinéma. C’est ce qui rendait bien sûr sa présence si intense et notre plaisir si fort ! Ce cadeau, ce don de soi qu’elle nous offrait à chaque apparition.
Cela fait des années qu’à la Galerie nous présentons des photos de Romy, elle m’est si familière… l’émotion qui transpire de son regard est si puissante qu’elle traverse les images et parvient à nous atteindre au plus profond de nous. Son sourire aussi bien sûr, sa beauté et sa sensualité. Plusieurs photographes me disaient qu’elle doutait de cette beauté et qu’elle souffrait d’insécurité. Difficile à croire en regardant les images que nous vous proposons. Une beauté juvénile quand elle vit avec Alain Delon dans les années 60, deux jeunes fauves en devenir et qui, quand celui-ci l’imposera sur le tournage de «La Piscine» de Deray, éclatera enfin aux yeux du grand public qui ne se détournera plus jamais d’elle.
Nous proposons pour cette exposition d’ignorer le chagrin et le désespoir de la fin de sa vie pour ne retenir que sa liberté, ces images merveilleuses d’une artiste inoubliable, d’une femme écorchée mais tellement fascinante et qui ne cesse de nous passionner, de nous bouleverser… et ce prénom : Romy !
La galerie photo Paris est ouverte :
La Galerie de l'Instant - 46 Rue De Poitou - 75003 Paris
11h24 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (2)
Source : Cinémathèque - 10 février 2022
Télécharger ici le dossier de presse de l'exposition
«En réalité, j'étais simplement en avance sur mon temps. À une époque où il n'était encore nulle part question de libération de la femme, j'ai entrepris ma propre libération. J'ai forgé moi-même mon destin, et je ne le regrette pas» (Moi, Romy : Le journal de Romy Schneider, éditions Michel Lafon, 1989).
L'INVENTION DE LA FEMME MODERNE
Quarante ans après sa disparition, Romy Schneider (23 septembre 1938 / 29 mai 1982) est toujours aussi aimée et populaire. Actrice européenne, avec une carrière débutée en Allemagne et poursuivie en France, elle est devenue une star grâce à des films qui ont marqué à jamais l'histoire du cinéma.
Pourtant, depuis quelques années, la tragédie de la fin de sa vie prend le pas sur le reste. Il est toujours plus vendeur de présenter une femme comme un paquet de névroses, sujette à la mélancolie et désespérée jusqu'à l'os. Surtout si celle-ci était d'une beauté fracassante et l'une des plus grandes actrices de l'histoire du cinéma.
Avec Romy, on n'a voulu s'attacher qu'à cela : la tragédie d'une vie trop courte qui devait obligatoirement cacher d'autres drames, d'autres douleurs que ses films permettaient d'exorciser, de transcender. Comme si elle devait à tout jamais payer le prix de sa beauté, de ses amours flamboyantes avec Alain Delon, de ses films, de sa jeunesse et de sa liberté. Tenter de retrouver tous les petits cailloux comme des indices qui allaient conduire à l'issue fatale, c'était écrit, cela ne pouvait que se passer ainsi. Les États-Unis avaient bien eu leur Marilyn, on pouvait en rêver tout autant.
Mais tout ceci n'est-il pas un peu réducteur pour une actrice d'exception ? Elle, qui a fait rêver des millions de spectateurs, qui est devenue la muse d'immenses réalisateurs, et qui par son travail, par sa grâce face à la caméra, a inventé un style de jeu qu'aujourd'hui encore on admire et honore.
Alors, si nous tentions plutôt de révéler l'immense actrice qu'elle fut ? Derrière l'image de la jeune ingénue de ses débuts, dévoiler son goût du risque et des ruptures, la façon dont elle a bâti sa carrière pour casser l'image de porcelaine de cette princesse autrichienne grâce à qui elle était devenue une star a à peine 16 ans. La façon dont elle a pris en main sa destinée d'actrice et a su, tout au long de sa carrière, aller là où on ne l'attendait pas, surprendre toujours, se réinventer et s'entourer des plus grands. Alain Cavalier, dont elle tourna le premier film, Claude Sautet, bien sûr, Luchino Visconti, Orson Welles, tous s'accordent à parler de son génie. Dévoiler les secrets de cette virtuosité, son sérieux, qu'elle mettait en tout et dans son travail en premier. Toujours pleine de trac, de doutes, elle ne cessait de se questionner sur sa légitimité, son jeu, sa beauté, son charisme.
Montrer aussi, dans cette exposition, comment la carrière de Romy Schneider a écrit une histoire du cinéma de son époque, celle de grands cinéastes du monde entier, qu'ils soient français, américains, italiens, allemands, autrichiens.
Il y avait chez elle une quête d'absolu qui a sans doute contribué à son génie et à sa grâce.
On peut le découvrir à travers ses lettres et ses notes et quelques-uns de ses témoignages aux journalistes, dont elle se méfiait beaucoup. Ce sont pourtant eux, qui depuis près de quarante ans, commentent, dissèquent et inventent des histoires autour de sa destinée.
Ne serait-il pas mieux de lui redonner la parole à elle, Romy Schneider ? Tenter de la faire revivre à travers ses rôles, bien sûr, mais aussi ses textes, ses interviews radios, télévisés, son journal, grâce aux making-of des tournages où on la découvre vibrante toujours et si gaie, pleinement heureuse de faire son métier.
Avec une vie si romanesque, des ruptures si marquées, des rencontres si déterminantes, c'est à nous, à travers cette exposition, de comprendre de quelle manière elle est devenue cette icône, cette femme moderne qui, quarante ans après sa mort, fait toujours autant battre les cœurs et dont l'image, elle, n'a pas pris une ride. La montrer parfaitement vivante, en pleine lumière, si sensuelle, si belle, et tenter de percer son mystère. En tout cas, tenter de le faire et surtout, sans effraction.
Clémentine Deroudille
Commissaire de l'exposition.
La Cinémathèque Française - 51 rue de Bercy - 75012 Paris
HORAIRES :
TARIFS :
17h36 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (0)
07h24 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : La Galerie de l'Instant (46 Rue de Poitou - 75003Paris) & Georges Pierre
Exposition du 30 septembre au 8 décembre 2021
[...] La carrière de Georges Pierre fut longue et fructueuse. Il commença sa carrière avec la Nouvelle Vague : Godard, Resnais, Malle ; Alphaville", "Le Feu Follet", "l’Année dernière à Marienbad", et surtout "Pierrot Le Fou" dont le portrait bleu de Belmondo ainsi que son baiser avec Anna Karina sont des clichés gravés dans notre mémoire collective.
Sa carrière se prolongea au-delà de la Nouvelle Vague et il devint le complice de nombreux réalisateurs : Chabrol, Tavernier, de Broca, Rappeneau, Sautet, Zulawski et même Serge Gainsbourg !
Sa délicatesse le rendit aussi extrêmement populaire auprès des actrices : Marlène Jobert, Nathalie Baye, Jane Birkin, Sophie Marceau, Nastassja Kinski, Catherine Deneuve et surtout Romy Schneider avec qui il collabora sur sept films, dont "César et Rosalie" et "l’Important c’est d’aimer", encore une fois des images restées dans nos mémoires !
Sa bienveillance et sa discrétion firent de lui un partenaire unique pour ces artistes, il était donc temps de partager ce travail passionnant, non pas seulement d’un photographe de plateau, mais bien d’un réel artiste.
07h46 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (3)
Source : https://hey.bayern/events/204553
Mardi 19 octobre 2021
De 11h00 à 18h00
organisateur : GALERIE STEPHEN HOFFMAN
Adresse : Prannerstrasse 5, 80333 Munich, Allemagne
[Traduction en ligne] C'était en 1971 quand Eva Sereny travaillait comme photographe à Rome et son téléphone sonna. Romy Schneider a répondu à l'autre bout. C'était incroyable, dit Sereny dans son livre "Romy in Rome". En effet, l'une des actrices les plus célèbres de l'époque a appelé et a souhaité engager le photographe pour un shooting chez elle.
Dans les années 1970, Romy Schneider avait atteint le sommet de sa carrière, brillé dans des rôles de personnages et est devenue l'actrice française la plus primée et la plus titrée.
Le travail s'est avéré être un coup de chance - pour tous les deux. Pour l'actrice de 33 ans Romy Schneider (1938-1982) ainsi que pour la photographe de trois ans seulement plus âgée Eva Sereny (1935-2021). Des photographies de personnages uniques, résolues et diversifiées ont été créées en une seule journée.
Aujourd'hui, 50 ans après cette séance photo mythique, qui a certainement enrichi la sedcard du management de Romy, la galerie présente une belle sélection de ces photos mythiques de Romy Schneider par Eva Sereny la fin.
Eva Sereny est décédée en mai de cette année à l'âge de 86 ans. C'est ainsi que sa première exposition en Allemagne avec Stephen Hoffman devient un hommage à la photographe et réalisatrice plusieurs fois primée Eva Sereny ainsi qu'un hommage à la grande actrice Romy Schneider.
11h32 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (0)
Exposition du 16 mars au 31 juillet 2022
Commissaire de l’exposition : Clémentine Deroudille
Horaires : Lu, Me à Ve : 12h-19h / WE : 11h-20h / Vacances scolaires et jours fériés : 10h-20h
Fermeture les mardis et le 1er mai.
Nocturne gratuite pour les moins de 26 ans le 1er jeudi du mois jusqu'à 21h sur réservation.
Tarifs : PT 12€ / TR 9,5€ / - de 18 ans 6€ / inclus dans l’abonnement Libre Pass
Réservation obligatoire du créneau de visite sur cinematheque.fr et Fnac.com
Télécharger le dossier de presse ici
« En réalité, j’étais simplement en avance sur mon temps. À une époque où il n’était encore nulle part question de libération de la femme, j’ai entrepris ma propre libération. J’ai forgé moi-même mon destin, et je ne le regrette pas »
"Moi Romy, Le Journal de Romy Schneider", Éditions Michel Lafon (1989)
Quarante ans après sa disparition, Romy Schneider (23 septembre 1938 – 29 mai 1982) est toujours aussi aimée et populaire. Actrice européenne, avec une carrière débutée à 15 ans en Allemagne et poursuivie en France, elle est devenue une star grâce à des films qui ont marqué à jamais l’histoire du cinéma, avec Alain Cavalier, Claude Sautet, Luchino Visconti, Orson Welles, Otto Preminger...
Cette première exposition de la Cinémathèque française consacrée à une actrice montrera comment la carrière de Romy Schneider a écrit une histoire du cinéma de son époque, celle de grands cinéastes du monde entier, qu’ils soient Français, Américains, Italiens, Allemands, Autrichiens. Sa quête d’absolu a sans doute contribué à son génie et à sa grâce.
L’exposition sera l’occasion de lui redonner la parole. Tenter de la faire revivre à travers ses rôles bien sûr mais aussi ses textes, ses interviews, grâce au making-of des tournages où on la découvre vibrante toujours et si gaie, pleinement heureuse de faire son métier.
Avec une vie si romanesque, des ruptures si marquées, des rencontres si déterminantes, c’est à nous, à travers cette exposition, de comprendre de quelle manière elle est devenue cette icône, cette femme moderne qui, quarante ans après sa mort, fait toujours autant battre les cœurs et dont l’image, elle, n’a pas pris une ride.
Clémentine Deroudille
AUTOUR DE L’EXPOSITION
L’exposition sera accompagnée d’un CATALOGUE
Une édition la Cinémathèque française / Flammarion
Un ouvrage relié au format 195x255, 224 pages, 200 images, 35€
RÉTROSPECTIVE
Fille de comédiens, née à Vienne en 1938, elle débute adolescente dans des Heimatfilms. Ses années jeunesse la voient évoluer en costumes, avec la saga des "Sissi", immense succès qui lui ouvre, en plus de ses amours avec Alain Delon, les portes de l’Europe. Sa carrière est jalonnée de rencontres marquantes, de Visconti à Preminger, de Welles à Zulawski et Risi. Un rendez-vous manqué avec Clouzot dans "L’Enfer" en 1964 précède quelques années mineures, avant une vraie renaissance : en 1969, elle est lumineuse dans "La Piscine" de Jacques Deray. Dans les seventies, elle est le visage de la femme française et tourne avec les piliers de l’époque, Sautet, beaucoup, Granier-Deferre, Tavernier, Chabrol, Costa-Gavras… jusqu’à "La Passante du Sans-Souci", son dernier film, en 1982. Une comédienne passionnée investie dans ses rôles jusqu'à l'absolu. Une femme devenue une icône, à l’histoire pas si simple, et dont la vie a trop souvent fait oublier le talent éclatant.
VISITES GUIDÉES, CONFÉRENCES, DIALOGUES…
14h37 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (3)
Lorsque le festival arrive, l’exposition monumentale "Cannes fait le mur"permet de profiter, à ciel ouvert et gratuitement de photos de célébrités en grand format. Cette année, la thématique est "Le baiser" réalisé en partenariat avec Paris Match.
Mairie de Cannes :
Romy Schneider et Alain Delon au bord de la célèbre "Piscine".
Film de Jacques Deray sorti en 1969.
15h29 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (1)
L’exposition "Romy Schneider, l’invention d’une femme moderne" se tiendra du 16 mars au 31 juillet 2022 à la Cinémathèque Française.
Au programme :
Cinémathèque Française : 51 rue de Bercy - 75012 Paris
Web : https://www.cinematheque.fr
14h58 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Dernières Nouvelles d'Alsace (DNA) - 21 mai 2021
Le festival représente six mois de travail », confie Dorette Roess, la présidente de l’association Romy l’Inoubliable. «Il y a bien sûr l’exposition mais également les animations autour de ce festival organisées avec la ville de Turckheim : films, conférence, invitations de personnalités du 7e Art, recherche de sponsors… L’Association doit se déplacer en Allemagne pour l’emprunt de documents et photos concernant les films avec Claude Sautet»…
Difficile en effet dans les conditions actuelles liées à la pandémie d’organiser la manifestation. Les amoureux de Romy Schneider peuvent d’ores et déjà réserver la date de l’événement, qui aura lieu du samedi 9 juillet au dimanche 17 juillet 2022.
Un millésime qui coïncidera avec le 40e anniversaire de la disparition de l’égérie de Claude Sautet.
Pour patienter jusque-là, une exposition rétrospective d’affiches sera organisée cette année, courant du mois d’octobre, revenant sur les grandes figures du cinéma qui nous ont quittés en 2020 et 2021.
16h17 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (0)
News suite à la pandémie du Covid-19 :
Le Festival est reporté d'une année !
Rendez-vous très bientôt pour plus de news...
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Affiche de la 2e édition du Festival Romy Schneider à Turckheim du 11 au 19 juillet 2020
Au programme : Conférence - Exposition - Film - Animations Coup de projecteur sur la filmographie de Claude Sautet, réalisateur, qui nous a quittés il y a 20 ans et dont Romy Schneider fût son égérie dans cinq films.
09h09 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : DNA.fr
En 2020, un nouveau festival Romy Schneider
Il sera consacré au réalisateur Claude Sautet dont l’actrice était l’égérie.
Dorette Roess est aux anges. Après le succès de l’exposition consacrée à Romy Schneider, qui s’est déroulée l’été dernier et a accueilli plus de 2000 personnes sur une dizaine de jours, la commission « culture » de la mairie de Turckheim a décidé de reconduire, l’an prochain, ce festival. Il se déroulera du samedi 11 au dimanche 19 juillet 2020 avec une inauguration prévue le vendredi 10 juillet.
Le dispositif sera sensiblement le même avec, au programme, une exposition dans les salles de la Décapole et du Brand. Deux films seront projetés et une conférence devrait avoir lieu. Dorette Roess va faire jouer ses réseaux afin de faire venir un acteur ou une actrice en lien avec la thématique retenue pour le festival : Claude Sautet. « Nous avons décidé de porter un coup de projecteur sur le réalisateur dont on célébrera l’an prochain le 20e anniversaire de sa mort », explique-t-elle.
César et Rosalie…
Claude Sautet a plusieurs fois tourné avec Romy Schneider, son actrice fétiche, rappelle l’habitante de Turckheim. "César et Rosalie", "Une histoire simple", "Max et les ferrailleurs" ou encore "Les choses de la vie"…
Avec un festival cette fois centré sur le réalisateur d’ "Un cœur en hiver", Dorette Roess sort des sentiers battus et de ses hommages à l’actrice franco-allemande. « Il fallait se renouveler », assure celle qui a consacré un ouvrage : "Romy Schneider, les choses de ma vie" - à la mère de Sarah Biasini.
11h44 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : LaBaule-infos.net - 24/10/2019
« Romy et Delon », comme ces noms claquent dans notre esprit et libèrent des images, des fantasmes ! Le prénom de l’une, comme une amie familière, une proche, et le nom de l’autre, la distance imposée par le personnage.
On pense d’abord au couple de jeunes premiers, les fiancés parfaits, la petite "Sissi" gaie et innocente et l’ange ténébreux Delon… Puis nous viennent en tête la sensualité de "La Piscine" et l’animalité crevant l’écran de ces deux acteurs à présent adultes et dans un rapport sans doute plus équitable.
À mes yeux, Romy est un peu notre Marilyn à nous, une vie exceptionnelle, une carrière magnifique et de tout temps cette mélancolie dans le regard qui transperce le coeur et nous émeut tant.
Quant à Delon, tout a été dit : une carrière unique, une beauté angélique et un caractère bien trempé.
Lorsqu’il rencontre Romy sur un tournage en 1958, c’est elle la vedette, lui est un jeune premier en devenir. Ils apprennent rapidement à mieux se connaître et leur romance fait vite d’eux un des couples les plus en vue de la fin des années 50.
Leur amour durera jusqu'en 1963, alors que Romy tourne à Hollywood, Delon rencontre Nathalie qui deviendra sa femme.
Cinq ans plus tard, il impose Romy Schneider sur le tournage du film "La Piscine" de Jacques Deray, qui relancera sa carrière. D'amants, ils sont devenus amis, leur beauté respective explose dans ce film d’une sensualité folle, qui deviendra rapidement mythique. C’est surtout cette image parfaite de ce couple sublime qui nous reste le plus en mémoire.
Près de 50 ans plus tard, ils nous font toujours rêver. Cela fait longtemps que j’avais envie de rendre hommage à la beauté de ce couple, à leur intensité, à leur grâce…
Romy et Delon n’ont toujours pas fini de nous inspirer et de nous émouvoir.
Julia Gragnon
Directrice de la Galerie de l’Instant à Paris & Commissaire d’exposition
Exposition du 1er novembre au 08 décembre 2019
Centre Culturel Chapelle Sainte-Anne - Place du Maréchal Leclerc – La Baule-Escoublac
Du mardi au dimanche de 14h à 19h, entrée libre.
Une exposition organisée par le Festival du Cinéma et Musique de Film de La Baule en partenariat avec la Ville de La Baule et la Galerie de l’Instant
18h22 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (2)
Du 27 juillet au 04 août 2019
Turckheim (68)
Exposition en hommage à Romy SCHNEIDER dans les salles du Brand et de la Décapole - Hôtel de Ville par Dorette ROESS
En cas de mauvais temps, les dates de plein air sont reportées à l'Espace Rive Droite.
11h00 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (0)
Exposition
Du Samedi 22 septembre 2018 au dimanche 23 septembre 2018
LIEU : Foyer de loisirs de la Bonnette (LA QUEUE LEZ YVELINES 78940)
HORAIRE : 22/09/2018 de 14h à 19h et le 23/09/2018 de 10h à 18h
PRIX : Gratuit
Romy Schneider aurait eu 80 ans le 23 septembre 2018. A l’occasion de cette date anniversaire l'Amicale Romy Passion organise une exposition photographique qui souhaite poser un regard sur le chemin parcouru par cette femme au cinéma qui n’eut de cesse que de se dépasser elle-même et d’occuper un rôle central. Romy Schneider, ses vies de cinéma et ses vies successives de jeune fille et de femme. Une démarche professionnelle qui affiche de la grandeur. Un retour sur sa filmographie qui ouvre des fenêtres sur des paysages multiples.
09h21 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (1)
Lieu : Galerie Artwork
21 Bld Féart - 35800 Dinard - Tél : 09.66.82.33.55
Site web : https://www.artworkcd.com
NDLR : j'adooore l'oeuvre avec le chapeau (la première photo)... Mais le site (sauf erreur...), ne donne aucune idée des prix... A visiter si vous être dans le coin (évidemment). 3 oeuvre originales et des photos inédites.
22h03 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (0)
Adresse : Hall de l'Hôtel de Ville - 25300 PONTARLIER
Infos :
Du 4 avril au 3 mai 2018 tous les jours
Aux horaires d'ouverture de l'Hôtel de Ville
Entrée libre
http://admdp.com/cinema-pontarlier-amis-musee.php
Organisée par le Centre de Ressources Iconographiques pour le Cinéma (C.R.I.C.) des Amis du Musée de Pontarlier.
Disparue en 1982, l'actrice allemande naturalisée française Romy Schneider aurait 80 ans cette année. Hommage à cette actrice à travers une exposition d'affiches de ses films.
13h45 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Dernières Nouvelles d'Alsace (DNA) - 21 novembre 2017
19h06 dans Expositions, Les livres | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Cinémathèque.fr - Novembre 2017
Du 08 novembre 2017 au 29 juillet 2018
Au programme (voir liste complète sur le lien ci-dessus) :
Imaginée à partir des collections de la Cinémathèque française, l'exposition Le mystère Clouzot, organisée dans la Galerie des donateurs du Musée, revient sur l'itinéraire de ce «chercheur d'absolu», réalisateur des "Diaboliques", du "Salaire de la peur", du "Mystère Picasso"... Elle met en évidence un Clouzot souvent inattendu grâce à un parcours composé de maquettes de décors, storyboards, costumes, affiches, photos de tournages ainsi que des photos d'art méconnues, prises par Clouzot lui-même. Une rétrospective des films de ce grand nom du cinéma français classique accompagne l'événement.
Henri-Georges Clouzot ou la place du mort
«Vous êtes des esthètes du crime !» Ce coup de chapeau, par lequel l'inspecteur Wens saluait les trois Durand de "L'Assassin habite au 21", pourrait s'adresser à Clouzot lui-même : tout en reprenant les prétextes et procédés du genre criminel, il élude l'énigme du coupable à démasquer au terme d'une progression dramatique linéaire, pour lui substituer un jeu de miroirs autrement pervers. Dès son premier film – et les marionnettes sans visage qu'y fabrique Larquey –, le cinéaste installe le règne du mal non comme celui d'une «vérité» à découvrir mais d'une présence diffuse, impersonnelle, protéiforme, qui se dérobe dès qu'on croit la saisir. Cela passe d'abord par la confusion des repères narratifs, qui empêche le spectateur de s'identifier à une délégation rassurante de lui-même, et le laisse partagé entre des «doubles» aux contours indécis : Wens et Mila Malou, enquêteur bicéphale qui n'accède au cœur de l'énigme qu'au prix de menues duplicités.
Descente aux enfers
Ce dédoublement s'amplifiera dans "Le Corbeau", où l'on sait encore moins à quel saint – ou démon – se vouer, entre le médecin au passé trouble et le psychiatre toxicomane ; et si la figure de l'inspecteur revient dans "Quai des Orfèvres", puis dans "Les Diaboliques", ce n'est que tard dans le récit, telle la réincarnation très humble et très ordinaire d'un deus ex machina qui serait impuissant à enrayer le cours des choses... Autour de cette loi absente, une culpabilité innombrable se déploie, qui est celle des cauchemars où le danger se cache derrière le familier ; aucun film de Clouzot ne résume mieux cette logique onirique que "L'Assassin...", avec ses rues irréelles, peuplées de meurtriers indiscernables, avec son inquiétude d'autant plus révélatrice du climat de l'Occupation qu'elle s'exprime sous des dehors innocents. Aucun cinéaste n'aura plus lucidement vu venir le temps des assassins, dans toute l'acception collective du terme : un temps où chaque Français moyen peut s'avérer un salaud, où les catégories humanistes de la IIIe République sont gommées par l'omniprésence du soupçon : à l'anonymat multiple de Monsieur Durand fait écho, dans "Le Corbeau", celui des lettres qui s'abattent sur Saint-Robin, et dont peu importe de démasquer l'auteur puisque tous ont été capables de les écrire. Et même si les Jenny et Maurice de "Quai des Orfèvres" ne sont pas directement responsables de la mort de Brignon, même si la Christina des "Diaboliques" ne l'est pas davantage – et pour cause – de celle de son mari, il suffit qu'ils aient porté le crime dans leur cœur pour n'être pas tout à fait innocentés. À la lettre, c'est à une descente aux enfers qu'invite Clouzot, selon autant de cercles qui renvoient indéfiniment à un nouveau vice, qui renvoient surtout le spectateur à sa mauvaise conscience. D'autant qu'au-delà des données lisibles du récit, le réalisateur ménage un espace vide, un no man's land où le public se retrouve complice du mal par le seul fait d'y assister : c'est ce que traduisent les effets de caméra subjective dans les deux premiers films ; et, plus étrangement, ce prologue du "Corbeau" où il semble que ce soit la mort même qui emprunte nos yeux pour errer dans le cimetière, ouvrir la grille, toiser l'église qui domine la ville. L'idée sera reprise au cours de l'enterrement, lorsque le cinéaste nous impose le point de vue du défunt pour observer les paroissiens, juste avant qu'une nouvelle lettre ne s'échappe de la couronne mortuaire... Et c'est encore la mort qui apportera au film sa conclusion (?), sous le voile d'une vengeance qui s'éloigne en silence. Ce glissement vers un statut d'apprenti sorcier, qui compromettrait toutes les instances de la représentation, se renforce tout au long de l'œuvre – depuis un scénario de science-fiction ("Le Monde tremblera" de Richard Pottier) jusqu'à cette photo de classe des "Diaboliques" où se dessinent les traits du directeur disparu : il faut que le temps se dérègle ou s'arrête pour qu'on voie enfin cette place du mort d'où l'image est regardée.
Aussi bien, Clouzot privilégie l'angle fragmentaire et le détail, dont la collection maniaque ne vise qu'à reconstituer un crime qui n'a pas eu lieu, à exorciser un péché d'origine incertaine : sa crudité minutieuse n'a d'égal que le défaut d'incarnation de ses créatures. On a l'impression que son regard est trop coupable (trop conscient) pour laisser ses personnages assumer librement leur culpabilité ; la monstrueuse excroissance de son moi créateur ramène ses films à l'auto-contemplation, en circuit fermé, d'un cinéma en train de se refaire, tout en leur interdisant ce dépassement initiatique proposé par ses maîtres Hitchcock ou Lang.
Dans "Le Corbeau", cela peut prendre la forme d'un expressionnisme rhétorique, qui trouve une célèbre illustration dans la scène où Larquey fait se balancer la lampe en dissertant sur le bien et le mal, l'ombre et la lumière... À partir des années cinquante et de la médiatisation internationale du cinéaste, cela deviendra une manipulation de plus en plus virtuose : du "Salaire de la peur" aux "Espions", des "Diaboliques" à "L'Enfer", Clouzot s'adonne à une surenchère spectaculaire dans l'expérimentation de la fiction et de ses pouvoirs mystifiants – jusqu'à se retrouver pris au piège de cette omniscience à la "Mabuse". C'est d'ailleurs l'époque où il filme d'autres artistes, cherchant à ressaisir le mouvement de la création, quand la sienne se paralyse dans la démesure.
Peut-être son génie ne s'est-il jamais mieux épanoui que sous la contrainte. C'était le cas dès "L'Assassin...", où le modèle de la comédie policière made in Hollywood laissait libre cours à son goût des jeux de rôles. C'est encore plus vrai dans "Quai des Orfèvres", qui marque, après le scandale du "Corbeau", un parti pris de neutralité et d'invisibilité : on y relève à peine quelques effets manifestes, comme l'enchaînement elliptique des scènes d'introduction, qui ne fait qu'ajouter à la fluidité du découpage. Surtout, c'est le seul de ses films où, sans condamner d'emblée ses personnages, Clouzot les accompagne au plus épais du quotidien, avec leurs difficultés et leurs contradictions ; quitte à les abandonner à leur devenir, à la fois plus criminels et plus humains. Peut-être fallait-il en revenir aux codes du genre pour que ce cinéaste misanthrope se réconcilie (le temps d'un chef-d'œuvre) avec ses semblables.
Noël Herpe
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10h41 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Dernières Nouvelles d'Alsace (DNA) - 25 mai 2017
Exposition organisée par Mme Dorette Roess : les infos ici
07h22 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (0)
Hommage à Romy Schneider – 35 ans déjà
du 26 mai au 05 juin 2017
Une rétrospective exceptionnelle pour une actrice hors du commun organisée par Mme Dorette ROESS.
Retrouvez l’ensemble de la carrière de Romy Schneider à travers une exposition de photos, d’affiches, et une programmation de ses plus grands films.
Lieu : Pôle culturel Art'Huss - 68920 Wintzenheim
Horaires : 15h à 18h en semaine - 10h à 12h & 14h à 18h samedi et dimanche
Tarifs : Entrée libre
Le 08 mai 2017 : Modification du programme !!
Monsieur Pierre Santini sera présent le samedi 26 mai 2017 à 18 h pour le vernissage ainsi qu'à la projection du film "Les innocents aux mains sales".
Projections :
19h15 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (0)
Studio Harcourt
Du 17 mars 2017 au 11 juin 2017
Galerie Saint-Jacques
La galerie Saint-Jacques vous présente de mars à juin une exposition de photographies d’envergure internationale avec portraits de cinéma, studio Harcourt.
Studio Harcourt a exposé en Chine (Pékin, Hong-Kong, Shanghai), au Chili (Santiago), au Brésil, en Italie, aux Emirats arabes unis (Dubaï), en Suisse & en France (Forum des Halles, Levallois-Perret, La Baule, Cannes). Ce sera une première de l’accueillir dans la Région des Hauts-de-France.
Le studio Harcourt est un studio photographique fondé en 1934 à Paris par la photographe Germaine Hirschfeld (dite Cosette Harcourt), Robert Ricci et les frères Jacques et Jean Lacroix. Il est particulièrement connu pour ses portraits en noir et blanc de stars de cinéma et de personnalités.
Pour cet événement à Saint-Quentin, vous découvrirez plus de 80 portraits d’acteurs de cinéma français et internationaux, l’histoire du Studio Harcourt, des appareils photos d’hier et d'aujourd'hui et pour chaque entrée achetée, la Ville de Saint-Quentin offre votre portrait dans la cabine photo de prestige Harcourt.
Prix : Entrée 4€ / 2€ moins de 16 ans
Horaires : Du mardi au dimanche de 14h à 18h
10h44 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (0)
NDLR : la traditionnelle exposition de l'Amicale Romy Passion (ARP) et dont j'ai souvent du mal à trouver les infos...
Romy Schneider, une comédienne embarquée dans l’histoire
Du jeudi 25 au dimanche 28 mai 2017
L’Amicale Romy Passion organise une exposition sur Romy Schneider à la maison Jean Monnet à Bazoches sur Guyonne (78)
Lieu :
Maison Jean Monnet : 7 Chemin du Vieux Pressoir - 78490 Bazoches-sur-Guyonne
Horaires :
Jeudi : 14 h / 17 h
Vendredi : 10 h / 17 h
Samedi et dimanche : 10 h / 18 h
Entrée libre.
A l’occasion du 35ème anniversaire du décès de Romy Schneider, l’Amicale Romy Passion organise une exposition photographique autour du thème : «Une comédienne embarquée dans l’histoire» en retraçant sa carrière professionnelle influencée par le contexte historique et sa nationalité.
Romy Schneider a marqué le cinéma européen. Elle a pris soin d’interroger son parcours. Bien loin de l’emprisonner dans un carcan, les personnages historiques et de fiction qu’elle incarna mirent en lumière une mémoire vive des événements mondiaux ainsi que certains aspects de l’existence et de l’évolution de la société. Elle devint une femme impliquée dans son époque.
Contact : [email protected]
09h41 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (0)
Du 11 février 2017 au 12 novembre 2017
Sur l'Ile de Noirmoutier (85)
(NDLR : attention aux heures de marée !)
A partir du 11 février 2017, le château-musée de Noirmoutier-en-Lîle ouvrira ses portes avec une nouvelle exposition temporaire.
L’exposition temporaire « Noirmoutier, une île au cinéma » vous propose de découvrir l’île à travers différents films tournés sur l’île, des années 1960 à nos jours. Ou tout simplement pour voir ou revoir Catherine Deneuve, Romy Schneider, Yves Montand, Kad Mérad, Mélanie Laurent, Laurent Laffite, Marion Cotillard, etc…
Onze films sont ici évoqués, à travers des photographies, des affiches, des éléments de décor, des extraits des films, des souvenirs… Il y en aura pour toute la famille et pour tous les horizons : d’Agnès Varda, noirmoutrine d’adoption, aux "Vacances du Petit Nicola"s, en passant par le dernier tournage, en septembre 2016, d’Arnaud Desplechin.
Contact : Château de Noirmoutier
Tél : 02 51 39 10 42
Prix : 4,60 €
Ouverture :
NDLR : Merci à Laurent qui m'a signalé cette exposition !
08h35 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : La Galerie de l'Instant - 27 février 2017
Les amants magnifiques
Exposition du 22 mars au 7 juin 2017
Vernissage mardi 21 mars à 19h
«Romy et Delon», comme ces noms claquent dans notre esprit et libèrent des images, des fantasmes !
Le prénom de l’une, comme une amie familière, une proche, et le nom de l’autre, la distance imposée par le personnage.
On pense d’abord au couple de jeunes premiers, les fiancés parfaits, la petite Sissi gaie et innocente et l’ange ténébreux Delon… Puis nous viennent en tête la sensualité de La Piscine et l’animalité crevant l’écran de ces deux acteurs à présent adultes et dans un rapport sans doute plus équitable.
À mes yeux, Romy est un peu notre Marilyn à nous, une vie exceptionnelle, une carrière magnifique, une fin tragique, et de tout temps cette mélancolie dans le regard qui transperce le cœur et nous émeut tant.
Quant à Delon, tout a été dit : une carrière unique, une beauté angélique, passe-droit et fardeau, et un caractère bien trempé.
Lorsqu’il rencontre Romy sur un tournage en 1958, c’est elle la vedette, lui est un jeune premier en devenir. Leur première rencontre n’est pas des plus romantiques, mais ils apprennent rapidement à mieux se connaître, et leur romance fait vite d’eux un des couples les plus en vue de la fin des années 50, au désespoir de la mère de Romy, qui apprécie peu l’émancipation de sa fille.
Leur amour durera jusqu’en 1963, alors que Romy tourne à Hollywood, Delon rencontre Nathalie qui deviendra sa femme, et quitte Romy.
Cinq ans plus tard, il l’impose sur le tournage du film La Piscine de Jacques Deray, qui relancera sa carrière. D’amants ils sont devenus amis, leur beauté respective explose dans ce film d’une sensualité folle, qui deviendra rapidement mythique. Il me semble que c’est surtout cette image parfaite de ce couple sublime qui nous reste le plus en mémoire.
Près de 50 ans plus tard, ils nous font toujours rêver.
Cela fait longtemps que j’avais envie de rendre hommage à la beauté de ce couple, à leur intensité, à leur grâce… "Romy et Delon" n’ont toujours pas fini de nous inspirer et de nous émouvoir.
Julia Gragnon
Horaires :
Le lundi de 14h à 19h
du mardi au samedi de 11h à 19 h
et le dimanche de 14h30 à 18h30
Contact :
La Galerie de l'Instant
46 Rue De Poitou - Paris 75003
21h02 dans Expositions | Lien permanent | Commentaires (2)