Source : Montélimar.fr
L'âme de Romy Schneider va planer sur la ville de Montélimar à l'occasion de la 13e édition de l’incontournable célébration du 7ème art.
Présente sur l’affiche officielle, elle le sera également au travers de quelque uns de ses plus beau films. Un Festival qui fait une fois de plus la part belle à l’émotion, aux émotions, avec une programmation déclinée cette année sous le signe de la parole, autour de plusieurs grandes thématiques [...].
Programme complet le 30 août 2024 sur le site internet.
Voir le lien ci-dessus pour de plus amples informations.
08h13 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Reppa.de - 2022
17h18 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (0)
Cette incroyable pièce d'une once en or est dédiée à Romy Schneider, l'actrice allemande connue pour son rôle principal dans la trilogie "Sissi". La pièce a un design magnifique, une qualité Proof et un beau haut-relief, elle est livrée dans un étui élégant, accompagnée du certificat d'authenticité.
Tirage limité à seulement 140 exemplaires dans le monde !
A commander sur : Power Coin
Sortie le : 30 novembre 2022
Prix : 4 000 euros
Infos :
10h51 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (0)
Dialogue entre Lucie Cariès et Jean-Pierre Lavoignat
A Pessac (33) le 19 janvier 2023 à 18h30
18h30 : ROMY, FEMME LIBRE – De Lucie Cariès. France. 2022. 1h31. Documentaire. Format : DCP. Copie : Zadig productions. Sélection Cannes Classics 2022.
Romy Schneider accompagne nos vies depuis si longtemps qu’il nous semble l’avoir toujours connue. Elle a plusieurs fois changé de vie, quitté des hommes et des pays pour tout recommencer ailleurs. Elle a arraché les rôles qu’elle voulait, en attirant sur elle le regard des plus grands cinéastes de son époque. Au-delà de l’icône qu’elle est devenue, Romy était d’abord une femme libre. Qui n’a jamais cessé d’avancer.
20h00 : Rencontre avec la réalisatrice Lucie Cariès et l’auteur Jean-Pierre Lavoignat.
De la jeune star révélée dans Sissi à l’actrice expérimentée des films de Claude Sautet, Romy Schneider vivait pour son métier, sans cesse à la recherche de nouveaux défis sur les plateaux de tournage. En dehors de l’écran aussi, elle a toujours cherché à s’affranchir des barrières qui l’entouraient, qu’il s’agisse des frontières nationales ou des limites sociétales contraignant les femmes de son époque. C’est ce prisme qu’emprunte le documentaire Romy, femme libre, réalisé tout en archives et présenté au dernier Festival de Cannes.
La réalisatrice Lucie Cariès (Lino Ventura, une histoire d’homme ; Trintignant par Trintignant…), partagera et confrontera son regard personnel sur l’actrice avec Jean-Pierre Lavoignat, commissaire de l’exposition Romy Schneider à Boulogne-Billancourt en 2011 et auteur d’une biographie illustrée (Romy, Flammarion, 2018 ), publiée en collaboration avec la fille de l’actrice, Sarah Biasini. Il publie à l’automne 2022 Romy Schneider et Claude Sautet. Un coup de foudre créatif (La Martinière).
La projection de "Romy, femme libre" se poursuivra par un dialogue pour faire revivre cette grande figure du cinéma européen, dont la mémoire toujours vibrante nourrit encore les passions cinéphiles de toutes les générations.
11h25 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Facebook - Schloss Klein Loitz
18h43 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (6)
Documentaires :
18h05 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (0)
Romy Schneider a été mise à l'honneur dans l'émission "Tout le monde veut prendre sa place", animée par Laurence Boccolini, ce jeudi 22 janvier 2022. En finale, Isabelle a choisi ce thème pour son challenger, Eddy.
NDLR : Perso, j'ai fait 30 points... lol !! Et vous ?
13h18 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (2)
La 11e édition dévoile son affiche. Romy Schneider, Michel Piccoli… 𝐋𝐄𝐒 𝐂𝐇𝐎𝐒𝐄𝐒 𝐃𝐄 𝐋𝐀 𝐕𝐈𝐄 (1971) : le chef-d'œuvre inoubliable de Claude Sautet.
14h45 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Allier-Auvergne Tourisme.com & Théâtres de Bourbon
Samedi 07 août 2021 à 20h30 à Monétay-sur-Allier
Dimanche 08 août 2021 à 20h30 à Monteignet-sur-L'Andelot
Lundi 9 août 2021 à 20h30 à Veauce
Mardi 10 août 2021 à 20h30 à Marigny
TARIFS :
Plein tarif 15 €
Tarif réduit 10 €
En 1976, Romy Schneider la grande actrice de cinéma, rencontre la journaliste Alice Schwarzer à Cologne pour lui livrer un récit intime et sans fard. Cette interview, enregistrée sur magnétophone, restera longtemps dans le tiroir de cette journaliste qui n'en révèlera le contenu que quarante-deux ans plus tard. Romy y parle sans détour de son enfance, de sa vie et de son "spleen germanique".
Marilena Netker en a tiré un seule en scène d’une heure quinze, où elle nous parle au nom d’un spleen germanique qui est aussi le sien. Elle y aborde l’inabordable par une expérience théâtrale en s’éloignant d’un biopic classique. La comédienne utilise la danse, la musique et les voix multiples de Romy et de son entourage, pour mieux cerner cette grande comédienne qui était incapable de tricher.
Le spectacle glisse sur des mouvements de balanciers entre l’Allemagne et la France, entre une parole de clown et une réflexion profonde sur la condition de la femme, entre un cercle familial étouffant et le mirage du cinéma des années 70, entre la distance d’une journaliste et les mots subversifs d’un journal intime.
La libération de la parole a lieu lors de cette rencontre et son résultat est un récit inattendu, qui nous révèle une Romy Schneider inconnue. Et c’est grâce à son témoignage qu’on se rendra compte du courage dont elle fit preuve pour partager le plus subtile de ses attentes… avec la plus grande justesse possible.
Cette panoplie d’émotions que Romy Schneider nous a léguée dans son jeu nous aidera à ressentir l’urgence des émotions que nous étouffons pour «sauver la face». Le récit intime de Romy est un défi surprenant pour creuser dans notre spleen à nous, sans filtre et sans fard.
Son spleen germanique fut aussi pour Romy une force ludique, une lumière dans le regard pour enchanter le sourire de l’actrice. Elle le définit comme une contradiction continuelle et totale, se percevant à la fois, selon les mots d’Alice Schwarzer, comme «courageuse et craintive, révoltée et conformiste, surdouée et rongée par le doute». Comment rendre justice au spleen germanique sans dévoiler ou trahir Romy Schneider, cette femme qui avait tellement de choses à en dire ?
12h27 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Numéro - 05 octobre 2020
En attendant le défilé Chanel printemps-été 2021 qui aura lieu le mardi 6 octobre 2020, découvrez le teaser de la collection, réalisée par le duo de photographes Inez & Vinoodh. La vidéo met ainsi des images d'archives avec Romy Schneider, Jeanne Moreau ou Anna Karina.
08h08 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : La Presse.ca - 30 avril 2020
Le Cinéma Moderne met à la disposition des cinéphiles trois films phares de Romy Schneider sur sa plateforme : "Les choses de la vie", "César et Rosalie", ainsi que "L’important c’est d’aimer". Trente-huit ans après sa disparition tragique, à l’âge de 43 ans, l’actrice est toujours aussi présente dans l’imaginaire collectif français. Journaliste de cinéma, Jean-Pierre Lavoignat a déjà publié un livre d’entretiens avec Sarah Biasini, la fille de Romy Schneider (Romy, aux Éditions Flammarion). Entretien.
Romy Schneider est née à Vienne en 1938, a grandi en Allemagne et a connu un succès mondial dès l’adolescence grâce à l’impératrice "Sissi", un rôle qui lui a collé à la peau malgré elle. Comment expliquez-vous que cette actrice, qui parlait seulement l’allemand lorsqu'elle est arrivée en France à la fin des années 50, en soit venue à devenir une figure emblématique du cinéma français ?
Plusieurs éléments expliquent ce phénomène. D’abord, sa relation avec l’Allemagne a toujours été compliquée. Quand Romy Schneider quitte le pays pour venir s’installer en France avec Alain Delon, en 1957 ou 1958, la guerre n’est pas encore très loin quand même. Là-bas, ce départ a été vu comme une trahison, un peu comme si elle passait au camp ennemi. Et comme son arrivée en France coïncide avec son refus de tourner un quatrième film de "Sissi", en dépit des pressions faites par sa mère — et même le gouvernement presque ! —, les Allemands ne lui ont jamais pardonné. La presse fut particulièrement violente avec elle.
Comment, alors, explique-t-on cette affection profonde que les Français lui ont toujours portée et lui portent encore aujourd'hui ?
Je ne suis pas convaincu que les jeunes générations s’identifient à elle comme l’ont fait les générations précédentes, mais Romy Schneider reste toujours dans la tête et le cœur des Français, ça c’est sûr. Elle les a d’abord fait rêver grâce aux "Sissi", mais je crois que ce lien très solide a été établi grâce aux films qu’elle a tournés avec Claude Sautet ("Les choses de la vie", "Max et les ferrailleurs", "César et Rosalie", "Mado", "Une histoire simple"). Plusieurs films dans lesquels elle a joué ont aussi obtenu beaucoup de succès. Les personnages qu’elle incarne sont toujours très forts, très émouvants, parfois sombres mais pas toujours. Et puis, je dis souvent qu’il y a forcément des actrices plus belles, qu’il y a peut-être des actrices plus émouvantes, mais des actrices à la fois aussi belles et aussi émouvantes que Romy Schneider, il y en a très peu. Paradoxalement, elle a incarné une sorte d’idéal français.
Justement, comment l’explique-t-on ?
Je dirais que c’est essentiellement grâce aux films de Claude Sautet, très représentatifs de cette époque. Elle rallie alors tout le monde. Elle fait rêver les hommes, bien sûr, et les femmes s’identifient à elle car elle incarne un type de femme très assumée. Elle devient pour les Françaises une sorte de miroir fidèle, tout autant qu’un idéal auquel elles aspirent. Et outre les films de Sautet, il y a la beauté de "La piscine" (Jacques Deray, 1968), qu’elle tourne avec Delon, l’émotion du "Vieux fusil" (Robert Enrico, 1975), puis, "L’important c’est d’aimer"(Andrzej Zulawski, 1975), un film moins grand public mais dans lequel elle tient un rôle marquant, où elle incarne presque ce qu’est le métier d’acteur, jusqu'au sacrifice. Aux yeux des jeunes comédiens, elle incarne cette facette du métier un peu de la même manière que Patrick Dewaere. Et puis, la mort tragique de son fils David, à l’âge de 14 ans en 1981, a aussi fait en sorte que des liens très forts se sont tissés entre les Français et elle.
Pourrait-on dire qu’avec Catherine Deneuve et Annie Girardot, Romy Schneider faisait partie des actrices les plus emblématiques du cinéma français des années 70 ?
J’en ajouterais une quatrième : Marlène Jobert qui, elle, misait sur un côté un peu plus sexy. Annie Girardot, c’était l’émotion pure, la femme d’à côté à qui toutes les femmes pouvaient s’identifier. Catherine Deneuve, c’est bien sûr la beauté impériale et mystérieuse, et Romy Schneider était justement une synthèse des deux autres, avec la beauté et l’émotion pure à la fois. D’ailleurs, il y a dans 8 femmes une scène où Catherine Deneuve regarde une photo de la maîtresse de son défunt mari et c’est le visage de Romy Schneider qui apparaît. Est-ce que François Ozon a fabulé en laissant entendre cette rivalité entre les deux actrices ? Était-elle réelle ? Pas entre elles personnellement, je ne croirais pas. Mais il est vrai que la presse les a parfois mises en opposition, peut-être parce qu’elles sont pratiquement de la même génération, quoique Romy Schneider était un peu plus âgée que Catherine Deneuve. Pour César et Rosalie, Claude Sautet a d’ailleurs proposé le rôle de Rosalie à Catherine Deneuve en premier, qui ne l’a finalement pas fait pour des raisons plutôt obscures. Quand j’ai organisé l’exposition consacrée à Romy Schneider, le fils de Claude Sautet m’a remis un télégramme qu’elle avait envoyé à son père où elle lui disait avoir besoin de ses conseils. «Tu sais, je ne suis ni Deneuve ni Jobert», avait-elle écrit. Finalement, Catherine Deneuve et Romy Schneider n’auront jamais joué ensemble. Quels films vous viennent spontanément à l’esprit quand on évoque le souvenir de Romy Schneider ? D'abord, les films de Sautet, avec une légère préférence pour César et Rosalie, parce que l’histoire est très belle et qu’elle met en scène un trio magique. Et puis, la scène de la rencontre entre Philippe Noiret et elle dans Le vieux fusil est l’un des plus beaux coups de foudre de l’histoire du cinéma. Il me vient spontanément à l’esprit quelques scènes de L’important c’est d’aimer aussi. Et j’adore "Ludwig — Le crépuscule des dieux" (Luchino Visconti, 1973), dans lequel elle fait un pied de nez à l’histoire en rejouant le personnage de "Sissi", mais cette fois, c’était beaucoup moins à l’eau de rose. En fait, il y en a tellement !
Romy Schneider en trois films
Les choses de la vie, de Claude Sautet (1970)
Deux ans après "La piscine", qui a marqué son grand retour en France après quelques années passées loin des plateaux à Berlin, Romy Schneider tourne sous la direction de Claude Sautet une première fois. Dans ce film où un homme (Michel Piccoli) revoit les grands moments de sa relation amoureuse avec la femme qui partage sa vie, au son de la belle partition musicale de Philippe Sarde, l’actrice entame le cycle le plus fécond de sa carrière.
César et Rosalie, de Claude Sautet (1972)
Le "trio magique" qu’évoque Jean-Pierre Lavoignat est celui que forment Romy Schneider, Sami Frey et Yves Montand dans ce film dont on a dit qu’il était le revers de Jules et Jim, de François Truffaut. Plutôt que d’évoquer une amitié qui se brise entre deux hommes après l’arrivée d’une femme dont ils tombent tous deux amoureux, Sautet raconte l’histoire d’une amitié naissante entre deux rivaux qui ne se connaissent pas, de qui une femme est amoureuse de l’un et de l’autre. Même si ce film est tributaire des mœurs de son époque, Romy Schneider est tout simplement radieuse dans le rôle d’une femme libre de ses choix.
L'important, c'est d'aimer, Andrzej Zulawski (1975)
Lors de la toute première cérémonie des Césars du cinéma français, Romy Schneider a obtenu le prix de la meilleure actrice grâce à sa performance dans ce premier film français du cinéaste polonais Andrzej Zulawski. Dans ce drame exacerbé, adapté d’un roman de Christopher Frank, elle incarne une actrice devant accepter des contrats alimentaires dans de mauvais films pour survivre. Face à Fabio Testi, un photographe qui tombe amoureux d’elle, et Jacques Dutronc, qui incarne son mari, un genre de clown désenchanté, Romy Schneider joue ici l’un des rôles les plus marquants — et probablement les plus douloureux — de sa carrière.
Marc-André LUSSIER
09h15 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (1)
Une nouvelle association vient de voir le jour : «Romy, l'inoubliable».
Cette association a été créée pour perpétuer la mémoire de l'actrice Romy Schneider et pour pérenniser le festival qui lui est dédié à Turckheim, c'est une façon de lui rendre hommage et de ne pas l'oublier.
Toute personne peut faire partie de l'association que j'ai l'honneur de présider, qu'elle soit sympathisante, inconditionnelle de l'actrice, adepte du cinéma ou simplement pour soutenir cette nouvelle association.
Plusieurs personnalités ont déjà accepté de faire part des membres d'honneur en hommage à Romy Schneider : Sarah Biasini (fille de Romy), Alain Delon, l'épouse de Jacques Fonteray (créateur de costumes), Corinne Jorry, Bernard Le Coq, Pierre Santini.
Associativement vôtre.
La Présidente,
Dorette ROESS
10h45 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (5)
Source : La Provence.com - 27 février 2018
Le mois dernier, plus d'un million de cinéphiles ont voté sur le site Ranker pour désigner qui était, selon eux, le meilleur acteur de toute l'histoire du cinéma. Si Tom Hanks, grand vainqueur, fait incontestablement partie des grands noms du 7e art, à LaProvence.com, on a regretté que parmi les 50 premiers il n'y ait eu... que des acteurs anglophones. L'écart entre les sexes était également conséquent, car on y retrouvait que 10 femmes pour 40 hommes.
La France peut pourtant revendiquer une grande importance dans l'Histoire du cinéma : de son invention par les frères Lumière à la Nouvelle Vague incarnée par des réalisateurs comme Jean-Luc Godard et François Truffaut... Mais de l'autre côté de la caméra, qui selon vous restera le plus dans l'Histoire ? Les internautes de LaProvence.com ont pu voter pour le meilleur acteur et la meilleure actrice en France, parmi un choix dans chaque catégorie entre 50 grands noms. Et pour commencer, honneur aux femmes [...] :
2e : Simone Signoret
3e : Sophie Marceau
4e : Marion Cotillard
5e : Annie Girardot
6e : Catherine Deneuve
7e : Brigitte Bardot
8e : Isabelle Huppert
9e : Catherine Frot
10e : Isabelle Adjani
16h55 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Paris La Chapelle - 04 mars 2015 (et merci à Mme Sylvianne Pommier)
Dans le cadre de la journée Internationale des Droits des Femmes, plusieurs manifestations sont prévues dans le quartier à La Chapelle (Paris 18e) :
22h09 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (2)
Découvrez Paris dans les pas d'un parisien célèbre :
ROMY SCHNEIDER
Vous êtes à Paris aujourd’hui ou vous en rêvez ?…
Pendant 3h évadez-vous en vous glissant dans la peau de Romy Schneider et marchez dans ses pas pour 20 € par personne. Les parcours que nous avons créés s’impriment, se font à pied, par tous les temps ou se lisent tranquillement depuis votre canapé . Sans horaires, sans guide, seul ou entre amis, un parcours biopic est une expérience unique à vivre et à offrir !
Depardieu dit d’elle «Romy à toujours confondu sa vie et le cinéma». Belle, émouvante, excessive et sensible, Romy Schneider s’est offerte corps et âme au cinéma. La frontière entre fiction et réalité était ténue et l’amour né sur un plateau de cinéma se prolongeait souvent dans sa vie…
Romy Schneider cultivera son rôle de femme noire, déchirée, avec des interprétations inoubliables, dans « La piscine » de Jacques Deray, les films de Claude Sautet , «César et Rosalie » , «Max et les ferrailleurs» et sa sublime robe rouge… Elle est toujours présente à notre mémoire tant sa présence a marqué le cinéma français et Paris tout entier .
Parcours disponible sur commande : Paris Circuit Biopic
Prix : 20,00 €
21h21 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : blanckaertjoris.wordpress.com - 21 octobre 2013
1h06′ – Opera in 3 Acts. French/German libretto by Tom Hannes – 11 Voc./Perc./Mar./Pno/Vl.1/Vl.2/Vla/VCl
First Performance June, 1st, 2013 @ Flemish Opera Studio, Gent (B).by singers of the studio & Spectra Ensemble
Cast:
Red Romy – Sopr. (Mariana Reis)
Yellow Romy – Mezzo (Brynne McLeod)
Green Romy – Sopr. (Laurence Servaes)
Son – Tenor (David Astorga)
Visco – Tenor (Mauricio Villanueva Espinosa)
Press – Sopr. (Liliana Sebastao) & ContraTenor (Mattias Pavlous)
Mother – Mezzo (Amélia Jardon)
Daddy – Bariton (Christian Lujan)
Alain – Bariton (Alexey Kokhonov)
Alain – Bariton (Alexey Kokhonov)
Music : Joris Blanckaert
Libretto : Tom Hannes
Director : Vincent van den Elshout
Light design : Ace McCarron
Conductor : Filip Rathé
Costume design : Eva Beys
Techical support : Jean-Pierre Verkimper
Photography : Emilie Lauwers
A production by Flemish Opera Studio
L'histoire : Une femme écrit une lettre. Elle est morte avant d'avoir pu terminer. Dans les dernières secondes, elle s'extasie sa vie. Quinze personnes autour d'une table. Il semble être une partie. Il semble être en retard: l'heure de la journée à laquelle les titres pourront être reportés. Trois figures féminines - un rouge, un jaune et un bleu - semblent se marier après l'autre. Rouge a quelque chose d'une actrice de diva, dans une bataille constante avec la presse, dont elle a besoin. Jaune essaie d'être un casanier mais explose tout dans sa première tentative de mariage. Le bleu est en fait un serviteur ambitieux, qui gémissait sous un patron tyrannique. Le reste de la société se tortille et séduit et les combats et en s'efforçant d'attirer l'attention des trois chiffres - et essayer de les garder violemment tandis que sous le fouet. Et c'est quoi ce fils mort encore faire table ?
Elle est moi "Töte und mich" est un rêve opéra de ce que les dernières secondes de Romy Schneider aurait pu être juste avant sa mort, dans la soirée du 29 mai 1981, à son appartement parisien. Un opéra composé de citations et interviews films de patchs français et allemands, si oui ou non tordu dans une tentative lyrique mais inutile de savoir qui ils été effectivement réel. Une création en collaboration avec l'Opéra de Flandre Studio.
Tom Hannes s'est permis d'écrire le livret inspiré par ROMY.
de nombreuses publications et entrevues qui peuvent être trouvés sur l'actrice autrichienne Romy Schneider sont. Dans son texte, il tente de mettre en lumière les différentes facettes de la vie de Romy: l'actrice romantique, mère prudente et progressive femme de carrière. Dans une série de français et allemand citations Romy nous vivons dans une interminable succession de tentatives infructueuses pour apporter. Différentes facettes de sa vie en expiation.
Cette contradictions et des conflits de caractère continu sont également compositeur Joris Blanckaert le score reflète en utilisant les clichés de la chanson française frivole soutenu par ostinaatbegeleidingen primal allemand et vice versa. Utiliser Comme Romy à chaque fois une nouvelle vie.
a commencé, avec un autre homme, une autre langue, un autre film, a pris Joris Blanckaert lui-même comme un compositeur de capturer d'un drap blanc.
Directeur Vincent van den Elshout met cette feuille blanche sur la table de banquet de la vie. Dans un dernier souffle de sa vie Romy a rencontré ses protagonistes - sa mère et beau-père, de son mari Alain Delon et Harry Mayen, son fils David, directeur Visconti et sans oublier la presse internationale. Du seuil de la mort, elle tente d'atteindre. Ultime harmonie dans ses situations conflictuelles dans cette rencontre irréelle Vain.
01h31 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : La vie immo.com - 07 juin 2013
La capitale aura bientôt une artère baptisée du nom de l’actrice. Le prochain Conseil de Paris débattra sur la question les 10 et 11 juin.
Sissi l’impératrice repasse à la postérité. Le maire de Paris propose la dénomination d’une rue Romy Schneider, «entre le numéro 33 de la rue Pajol et le 72 bis de la rue Philippe de Girard (18e)», selon le projet de délibération du prochain Conseil de Paris, qui se tiendra les 10 et 11 juin prochains.
L’ex compagne et partenaire d’Alain Delon dans "Christine", de Pierre Gaspard-Huit, est décédée en 1982 dans son appartement du 11, rue Barbet de Jouy (7è) . Elle avait vécu quelque temps dans un magnifique triplex de 780 m² donnant sur la tour Eiffel, dans le 16e, au 42, rue Kennedy.
Impossible de débaptiser un nom de rue
Pourquoi alors lui rendre cet hommage dans aucun de ces arrondissements ? «Parce-qu’on ne peut pas débaptiser une rue pour lui donner un nouveau nom», a indiqué la mairie au quotidien. Et d’ajouter qu’ «il faut donc attendre que des nouveaux lieux, places ou voies soient créés pour leur attribuer le d’une personnalité».
Au menu également, une rue Anna Politkovskaïa, hérïne d’un autre genre. Cette journaliste russe, militante des droit de l’homme, s’était opposée au régime de Vladimir Poutine. Elle fut assassinée en 2006 dans des conditions qui demeurent mystérieuses. Son nom sera attribué à l’actuelle avenue Bel Air, en bordure du Bois de Vincennes (12e).
20h02 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (2)
Plus de 50 nouveaux noms de femmes dans les rues parisiennes
Douze noms de femmes vont être donnés à des espaces publics le 8 mars, en attendant l’attribution de 50 nouveaux noms de rues féminins dans tout Paris. Il y aura bientôt une rue Romy Schneider et une place Françoise Giroud.
Pour la Journée internationale des Femmes du 8 mars, douze femmes remarquables verront leur nom être fièrement affichée dans l’espace public parisien*. Douze plaques seront ainsi dévoilées. A 11h, le maire de Paris, Bertrand Delanoë inaugurera par exemple le square Danielle-Mitterrand, rue de Bièvre dans le 5e. Résistante comme Geneviève Anthonioz de Gaulle, femme politique comme Nicole de Hautecloque, actrices comme Annie Girardot ou Silvia Montfort, leurs patronymes deviendront la dénomination d’une esplanade, ou seront plus simplement affichés sur une plaque commémorative apposée sur une adresse donnée. Ce 8 mars, seule la comédienne Delphine Seyrig donnera vraiment son nom à une rue, débouchant sur la berge du canal de l’Ourcq dans le 19e.
Mais cette première salve est symbolique et montre l’importance d’inscrire des femmes remarquables dans la mémoire collective grâce à la géographie du quotidien, du coin de la rue. Cette journée du 8 mars sera suivie par une opération de dénomination plus importante. Une liste de cent noms sera examinée mardi 12 mars, par une commission had hoc. Une liste paritaire avec cinquante noms d’hommes et cinquante noms de femmes. C’est un engagement, qui avait été pris par le maire de Paris, lors de la cérémonie des vœux de janvier dernier.
Quelques rues débaptisées
Aujourd’hui, les voies nouvelles à baptiser se font rares, et l’on donne des noms à des carrefours anonymes, ou des rues nouvellement créées dans des ZAC comme dans la zac Pajol dans le 18e. Exceptionnellement, des rues sont débaptisées, comme celle du général esclavagiste Richepanse devenue en 2002 rue du Chevalier de Saint-Georges.
La commission de dénomination examinera les cinquante noms de femmes proposés. Et dans les mois à venir, le futur "archipel des berges de Seine" devrait s’appeler archipel Niki de Saint-Phalle, du nom de la célèbre sculptrice des nanas colorées ; une autre grande artiste, Louise Bourgeois donnera son nom à une rue du 13e. La bibliothèque Saint-Lazare deviendra bibliothèque Françoise Sagan. Romy Schneider aura sa rue, aux passants que l’on espère sans souci, dans le 18e arrondissement. La chanteuse Cesaria Evora donnera son nom à une voie près des entrepôts MacDonald, encore en plein chantier, dans le 19e. La journaliste Françoise Giroud aura sa place dans le 14e (place au bout de la rue Didot).
Sur les 6.000 voies et places parisiennes, près de 200 seulement portent un nom de femmes, selon l’historienne Malka Marcovich, qui a écrit Parisiennes. De Marie Stuart à Simone de Beauvoir, ces femmes qui ont inspiré les rues de la capitale! ** En 2013, ce nombre va donc croître de plus d’un quart.
Information supplémentaire : C'est la voie menant à l'écoquartier depuis la rue Philippe de Girard qui sera baptisée rue Romy-Schneider en hommage à la comédienne qui a tourné une scène de la "Banquière" à la mairie du XVIIIème.
10h19 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (1)
Je viens de trouver cette application rigolote pour faire ses propres graffitis sur Ipod/Iphone : Fotoffiti. Et voici ce que cela donne !
Alors, vous aimez ou pas ??
09h33 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (1)
Source : Fnac.com
A Cannes (Espace rencontres/Fnac Café, niveau +1)
Du mercredi 16 mai 2012 au dimanche 27 mai 2012
A l'occasion du 65ème Festival de Cannes du 16 au 27 mai, découvrez toute une série de rendez-vous liés à l'actualité du cinéma. Au programme : expo photo, projections, rencontres, dédicaces...
EXPO PHOTO : Moonrise Kingdom de Wes Anderson au Forum/Fnac Café du 16 mai au 30 juin.
PAUSE CINÉ : Tous les jours à 12h30 au Forum/Fnac Café, projections des grands films du Festival de Cannes !
SÉLECTION FNAC : Opération 4 DVD = 20 € sur les plus grands films de Cannes
RENCONTRES, DEDICACES, MINI CONCERT :
11h54 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Est Républicain - 02 décembre 2011
A quelques heures de la soirée d’élection Miss France,
Maud Pisa, Miss Lorraine 2011 se confie
Fini les vacances ! La jeune Maud Pisa, Miss Lorraine 2011 a commencé à faire ses «classes» il y a un mois au sein de la «Fédération Française des Miss» comme l’appelle Sylvie Tellier, directrice de la société Miss France. Après un séjour au Mexique les candidates ont rejoint Brest pour y préparer le show télévisé diffusé demain soir sur TF1 et l’élection de Miss France 2012.
«Le stress est monté et le compte à rebours a commencé», confie Maud Pisa à quelques heures de la grande finale. «Je n’arrive presque plus à dormir. Donner un show devant 4.000 spectateurs, ça me donne autant le trac que l’issue du concours». Au menu de la soirée, défilés et tableaux chorégraphiés sur le thème cette année des héroïnes. Neuf heures de travail quotidiennes pour les candidates qui rendront notamment hommage à Romy Schneider et paraderont en tenue de Lara Croft.
«J’ai gagné en confiance»
«Moi qui étais très timide et avais tendance à me sous-estimer, et bien j’ai pris confiance en moi. Notamment grâce à ce travail quotidien de répétitions et de chorégraphies», souligne Maud.
Côté Lorrain, la mobilisation s’organise. «Pour la première année, un convoi de supporters a fait le voyage jusqu’à Brest», annonce Ludovic Faroult, délégué régional au concours. Et c’est dans le «carré d’or», une place de choix devant la scène que la trentaine de fans - famille en tête - assisteront à l’élection.
Quelle que soit l’issue du concours, la jeune Lorraine précise : «Mon objectif est d’atteindre une place en demi-finale. Je ne veux pas décevoir les Lorrains qui m’ont soutenue jusqu’ici. Et puis si je perds, ce ne sera pas la fin du monde ! J’aurais profité à fond de cette aventure exceptionnelle».
Ce soir près de 8 millions de téléspectateurs seront devant leur télé pour tenter de faire élire leurs miss favorite.
Stéphanie SCHMITT
13h26 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (3)
Le monde de Finette propose une grille peyote pour se créer un bracelet Romy Schneider.
Téléchargez cette grille sur "Le monde de Finette"
Pour ceux qui ne connaissent pas ce type de perlage, il s'agit d'un point peyote simple que l'on réalise avec des perles "Miyuki Delica". Il s'agit de petites perles coupées droites si bien que l'on peut les imbriquer les unes dans les autres.
Si vous êtes intéressé(e), vous trouverez de très bombreuses explications sur le web pour réaliser le point peyote, ainsi que de nombreux sites de ventes.
21h58 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (0)
Je vous en parlais dans cette note, il y a quelques mois. Berlin a inauguré son "Walk of fame" ou "Boulevard des Stars" et Romy Schneider y figure désormais aux côtés de 40 autres personnalités.
Site officiel : "Boulevard der Stars"
18h56 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Culture.fr
20h46 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (3)
La marque Etam a sorti, le 06 février dernier une collection de lingerie par Natalia Vodianova.
Tous les modèles portent les noms d'actrices de légende : Marilyn (Monroe), Audrey (Hepburn), Elizabeth (Taylor), Romy (Schneider), Brigitte (Bardot), Jane (Birkin).
En boutique à compter du 12 avril 2010.
Maillot 1 pièce : 45,00 € - Paréo : 45,00 € - Peignoir : 40,00€ - Bandeau : 28,00 € et Slip de bain : 15,00€
10h39 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (4)
Source : Canal+ - 27 février 2010
Serge Bromberg : "Et dire qu'il restait encore un film à découvrir avec Romy Schneider... ! Qui l'aurait cru ? Elle a été la première à avoir le César de la Meilleur Actrice... Ce film de lumières n'aurait jamais existé sans les gens de l'ombre qui restaure et qui font revivre le cinéma : les laboratoires, ceux qui restaurent, les techniciens, les archivistes. Un travail formidable. Il n'aurait pas existé non plus sans les archives françaises du film, à Bois d'Arcy, qui ont conservé ses images pendant 30 ans. Il n'aurait pas existé non plus sans la cinémathèque française qui a conservé le scénario d'Henri-Georges Clouzot et je voudrais remercier Costa Gavras. Et puis, il n'aurait pas existé non plus sans Frédéric Miterrand qui avait jeté un coup d'oeil sur ses images, il y a exactement 20 ans, et qui, il y a cinq ans m'a dit "Oh, je n'ai vu que quelques minutes mais n'importe quoi d'Henri-Georges Clouzot, ça mérité véritablement qu'on s'y arrête". Merci Monsieur le Ministre ! Ce film n'aurait pas non plus existé sans toute l'équipe de Lobster, sans Janice Jones la monteuse, sans Bruno Alexiu à la musique, sans Marianne Lère la productrice. Et finalement, il n'aurait pas existé sans Ruxandra Médréa. Mais je voudrais surtout saluer Ines Clouzot qui nous a fait confiance et qui nous a permis d'utiliser ces images suite à une panne d'ascenceur fortuite. Enfin, je voudrais dire que ce film ne serait rien sans la beauté fascinante et radioactive de Romy Schneider, sans la tronche de marron sculpté de Serge Reggiani et sans le génie d'un homme, Henri-Georges Clouzot. Ce qui prouve au moins une chose, c'est que, dans la vie, comme au cinéma, les folies, c'est les seules choses que l'on ne regrette jamais. Merci."
Visionnez la vidéo sur le site de Canal +
13h34 dans Divers, Film-1964-Enfer | Lien permanent | Commentaires (1)
Le film de Serge Bromberg vient de recevoir le César du meilleur film documentaire !
Une magnifique récompense pour ce superbe travail !
Voir ici l'ensemble des nommés et des récompensés aux "César 2010"
Source : Le Figaro.fr - 27 février 2010
"L'Enfer d'Henri-Georges Clouzot", le documentaire hommage au cinéaste et son film inachevé, remporte la récompense. «Qui aurait cru qu’il restait encore un film de Romy Schneider, celle qui reçut le premier césar de la meilleure actrice ?», a fait remarquer un des auteurs du projet. Serge Bromberg a salué le rôle des archivistes et celui de l’actuel ministre de la culture Frédéric Mitterrand fervent admirateur d’Henri George Clouzot.
23h10 dans Divers, Film-1964-Enfer | Lien permanent | Commentaires (6)
Source : Google.com - 06 février 2010
AFP — BERLIN — Marlène Dietrich sera la première personnalité honorée sur le "Boulevard des Stars" berlinois, jeudi, à l'occasion du festival de cinéma de Berlin, a annoncé samedi l'un des concepteurs du projet sur son site internet.
L'inauguration officielle de ce "Walk of Fame" berlinois n'aura lieu qu'à la fin de l'été, mais la première étoile sera dévoilée jeudi par le directeur de la Berlinale Dieter Kosslick et le maire Klaus Wowereit, ajoute la société ART+COM.
L'actrice et chanteuse originaire de Berlin, naturalisée américaine, a été choisie par un jury de 5 personnes désignées par des institutions réputées comme la Cinémathèque allemande ou l'Académie cinématographique.
Situé sur la Potsdamer Strasse, où se trouve aussi le Musée du cinéma et de la télévision, ce "Boulevard des Stars" (le nom d'origine est en français) sera fort, dans un premier temps, de 40 vedettes du cinéma et de la télévision, dont la liste n'est pas encore connue.
Il s'enrichira d'une dizaine d'unités par an, toutes sélectionnées par le même jury, explique de son côté la société promotrice du même nom sur son site internet. Acteurs, réalisateurs, compositeurs de musiques, présentateurs télé ou encore scénaristes d'expression ou d'origine allemande, morts ou vivants, pourront prétendre à une étoile.
Sont ainsi pressentis pour faire partie de la première promotion de 40 célébrités: le producteur Roland Emmerich, les réalisateurs Fritz Lang, Fatih Akin, Rainer Werner Fassbinder, Michael Haneke, Wim Wenders et Billy Wilder, les acteurs Klaus Kinski ou Arnold Schwarzenegger, les actrices Romy Schneider et Hanna Schygulla.
Le président du jury de la 60 édition de la Berlinale --11 au 21 février--, le réalisateur allemand Werner Herzog, pourrait lui aussi faire partie des 40 premiers.
22h06 dans Divers | Lien permanent | Commentaires (0)