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NDLR : Alors que la diffusion TV a eu lieu il y a bien longtemps déjà, le DVD sort enfin !! A priori, il n'est cependant pas encore disponible dans les rayons de la Fnac ou Amazon...
DVD - 1 disque
Langue : Français
Sous titres : ?
Enregistrement : Théâtre de Versailles - 2009
Distribution : Place des Prods
Bonus : ?
Prix : ?
20h47 dans En DVD !, Thea-2008-Antichambre | Lien permanent | Commentaires (0)
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02h03 dans Thea-2008-Antichambre | Lien permanent | Commentaires (0)
Christophe Lidon parle de la pièce avec quelques extraits.
19h30 dans Thea-2008-Antichambre | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Radio Campus Angers - 25 juin 2009
Jeudi 18 juin était représentée, dans le cadre du festival d’Anjou, la pièce de Brisville, mise en scène par Christophe Lidon. Une plongée dans l’esprit des Lumières du XVIIIe siècle….
Le jeudi 18 juin 2009, le château du Plessis-Macé accueillait "l’antichambre", une adaptation de la pièce de Brisville, mise en scène par Christophe Lidon. Ce cadre prestigieux et authentique ajoutait un charme certain au spectacle. On ne peut être qu’étonné quand on y pénètre la première fois. La pluie est tombée peu de temps auparavant, mais maintenant un temps doux et agréable plane sur cette soirée d’été. Dans le parc du château, des installations ludiques et rétros attendent les spectateurs: un pauvre homme la tête la première dans des « sables mouvants » ou encore un « passage secret » dans une armoire d’époque. La scène a été installée aux pieds du château. On remarque le décor minimaliste de cette pièce en plein air : quelques meubles sur un fond noir.
En 1750, la marquise du Deffand (Danièle Lebrun), amie d’un vieux parlementaire, le président Hénault (Jean-Claude Bouillon), tient un des salons les plus réputés de Paris. Cette femme d’esprit côtoie les plus grands penseurs de l’époque, compte d’Alembert parmi ses amis proches et entretient une correspondance avec Voltaire. Alors qu’elle sent sa vue décliner, elle engage sa nièce Julie de Lespinasse (Sarah Biasini) comme lectrice. Mais cette jeune fille, éblouie par ce milieu, montre très vite des dispositions dans l’art de la conversation. Au point que, peu à peu, les amis de la marquise vont préférer la compagnie de sa nièce à la sienne…
Cette pièce, portée par trois acteurs en costumes d’époque, comprend de nombreuses allusions historiques et suit les rebondissements de l’affaire Calas. Elle évoque l’importance des salons, là on se trouvait le «vrai pouvoir», donnant aux femmes, qui les tenaient, une place nouvelle. La monarchie n’a plus l’approbation et l’Encyclopédie et son projet d’éclairer l’homme naît à cette époque. Mais la pièce montre également l’écart entre ces penseurs modernes et les défenseurs de la monarchie et de la société d’Ancien régime. Distance entre pensées nouvelles et anciennes illustrée par la marquise du Deffand et sa nièce. La marquise, qui se désigne comme «l’amie et l’ennemie des philosophes», n’apprécie que leur intelligence et considère que la philosophie est une illusion. Sa nièce, au contraire, leur trouve de l’ardeur et admire les idées de justice, de liberté. Mais cet écart trouve aussi son origine dans la peur grandissante de la marquise au fur à mesure que sa vieillesse avance. Cette femme qui s’inquiète de voir ses amis devenir les amis d’une femme plus jeune craint qu’on ne l’écoute plus, de finir par «faire tapisserie». Comment une femme brillante, ayant été admirée, peut-elle se comporter face à cette phase déclinante ?
À l’image de ce temps, la vivacité d’esprit a teinté cette soirée. Tout en nous peignant un beau portrait de femmes de l’époque avec leurs réussites et leurs angoisses. Un succès mérité pour cette pièce qui nous plonge dans la brillance d’une société encore pleine d’espoir.
Camille Brunetaud
17h50 dans Thea-2008-Antichambre | Lien permanent | Commentaires (0)
Photos de Sarah Biasini, Danielle Lebrun et Jean-Claude Bouillon durant la représentation
Source : Festival d'Anjou
Source : Angers Mag.info
13h31 dans Thea-2008-Antichambre | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Festival d'Anjou
Danièle Lebrun, Sarah Biasini et Jean-Claude Bouillon nous parle de la pièce...
Reportage réalisé le 18 juin 2009.
21h42 dans Thea-2008-Antichambre | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Festival d'Anjou
Au programme du 60e Festival d'Anjou (49) qui se déroulera du 12 juin au 04 juillet 2009 :
L'antichambre
Jeudi 18 juin 2009 à 21h30
Au Château du Plessis-Macé
Une rencontre gratuite, ouverte au public et animée par Nicolas Briançon, directeur artistique du Festival, et Philippe Tesson, journaliste et critique dramatique est prévue après la représentation.
Visitez le site du Festival d'Anjou pour connaître toutes les modalités pratiques (réservation, accès, restauration...).
17h01 dans Thea-2008-Antichambre | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Première.fr - 11 mai 2009
La jeune comédienne retrouve son rôle de Julie De Lespinasse dans "L’antichambre" de Brisville, mise en scène par Christophe Lidon. Une rencontre placée sous le signe du charme et de la spontanéité…
Qu’est-ce qui vous a séduite dans cette pièce ?
Le texte de Jean-Claude Brisville aborde une période passionnante avec une authenticité historique. La pièce est agréable à lire parce qu’elle offre plusieurs niveaux de lecture. « L’Antichambre » est au départ une belle histoire d’amour, presque filiale, entre Julie et la marquise. Ces deux femmes se trompent, se manquent et ne se trouvent pas malgré leurs points communs. Bien sûr, quand la marquise du Deffand accueille Julie, elle ne le fait pas par bonté d’âme. Elle voit de moins en moins et a besoin d’une lectrice. Il y a de très beaux moments entre elles, où elles sont totalement en phase et se renvoient la balle avec la même repartie. Et juste après ces moments d’amour et de partage survient la claque. Et puis, j’adore jouer en costume. La comédie est le seul métier qui permette de voyager dans le temps… On peut se retrouver à la cour de Versailles ou bien encore s’inviter dans un salon du siècle des lumières. Ce serait dommage de s’en priver !
Votre personnage passe de la fougue de la jeune fille candide à l’assurance de la femme déterminée. Cette double partition doit être un régal à jouer…
Tout au long de la pièce, il y a des rendez-vous qui marquent cette évolution à la fois douce et subtile. On a beaucoup travaillé dessus avec Christophe Lidon . Au cours des tableaux, mon personnage gagne en assurance et sa pensée évolue progressivement. C’est vraiment très plaisant et je ne m’en lasse pas. Jouer cette pièce sur la durée est un beau cadeau. Il est évident que plus on joue, mieux on le fait. Le propos, la pensée… tout devient plus naturel, plus évident, même si, paradoxalement, on n’a jamais fini de progresser.
Christophe Lidon signe la mise en scène du spectacle. Qu’appréciez-vous dans son travail ?
Il est génial dans la direction d’acteurs ! Il a une manière intelligente et sensible de parler des personnages et d’expliquer les enjeux qui fait que tout devient limpide. Cela vient sûrement du fait qu’il a été acteur. On n’a qu’à se laisser porter. Et lorsqu’il n’arrive pas à obtenir ce qu’il veut de nous, il n’hésite pas à se servir de situations de notre quotidien. Il est à la fois très observateur et bienveillant. Pendant les répétitions, j’avoue avoir tenté de le contredire, de me faire l’avocat du diable, par pur plaisir de la discussion. Mais comme j’étais souvent à bout d’arguments, je cédais !
Comment est né votre désir d’être comédienne ?
J’ai toujours pensé que le choix de la profession est primordial car il est révélateur de la personnalité. C’est par lui qu’on se définit. C’est peut-être pour cela que j’ai très vite étouffé mon désir inconscient de jouer la comédie. Je trouvais que c’était très cliché d’avoir le même métier que sa mère. Alors j’ai essayé me persuader qu’il y avait autre chose. Mais à la fin de mes études, j’ai senti que si je devais changer de direction, il ne fallait pas tarder. J’ai toujours eu besoin de me sentir au pied du mur pour prendre une bonne décision ! Et à 24 ans, c’était le bon moment ! Finalement, je ne regrette pas d’avoir fait ce choix si tard. Je pense que je n’aurais pas pu l’assumer plus tôt. En fait, j’avais très peur à la fois du regard des autres et de me retrouver à 35 ans à me dire : « Tu te rends compte, t’as loupé ta vie ! »
Qu’est-ce qui vous fait vibrer au théâtre ?
On n’a jamais fini de réfléchir à cette question… Le théâtre, c’est avant tout une multitude de sensations. Pendant la représentation bien sûr, mais aussi avant et après… Il y a le stress, le trac avant l’entrée en scène. A la sortie, deux possibilités : soit on se dit qu’on a été en dessous, ou qu’on s’est carrément loupé, et là, on ne rêve que d’une chose, c’est de changer de nom, de changer de métier, bref, de disparaître. Et puis il y a des soirs où il se produit ce que j’appelle un petit miracle. Alors là, c’est extraordinaire ! On est le roi du monde. Un peu comme si on était Obama, Einstein et Mandela réunis ! On a l’impression de dominer sa vie et on ressent une incroyable assurance. Même si on sait que tout cela nous échappe un peu… Dans les deux cas, les sensations sont d’une force prodigieuse.
Pour vous, la vérité d’un comédien réside-t-elle sur les planches ?
Ce qui me préoccupe le plus, c’est de me sentir totalement libre sur scène. Au théâtre, tout est plus grand. On est exposé en hauteur, on parle plus fort… Il faut savoir passer au-dessus de toutes ces contraintes. C’est très paradoxal : s’affranchir du regard des autres alors que, en même temps, on est là pour eux. Il faut dépasser toutes ces angoisses pour pouvoir ressentir sa pleine liberté d’acteur. On sent tout de suite ceux qui le sont, ils sont automatiquement bons. Même si cette liberté est le fruit de trois mois de travail qui ne se voit plus. Au final, le vrai talent, c’est la liberté !
Propos recueillis par Dimitri Denorme
"L'Antichambre" - du mardi au samedi à 21h, le samedi à 18h30, le dimanche à 15h30, au Théâtre de l'œuvre
16h58 dans Thea-2008-Antichambre | Lien permanent | Commentaires (0)
Durée : 75 minutes
Yves Lecoq, en compagnie de nombreux invités, nous offre un condensé d'humour. L'occasion de voir ou de revoir les sketches inoubliables des plus grands humoristes et de découvrir la nouvelle génération... Un cocktail à consommer sans modération au cours de chaque émission. Avec : Francis Huster, Shake, Stéphanie Fugain, Catherine Barry, Danièle Lebrun, Sarah Biasini (fille de Romy Schneider) pour la promotion de la pièce "L'antichambre".
16h31 dans Thea-2008-Antichambre, Télévision - Sarah | Lien permanent | Commentaires (0)