De Romy Schneider... à Sarah Biasini

Nous Deux - N° 3199 - 21 octobre 2008

Article intérieur : * Interview : Anthony Delon : "Avec mon père, nous n'avons pas su nous parler" 2 pages 1 photo avec Romy dans l'article

Le Figaro - 13 novembre 2008

Article intérieur sur le projet de film "Une femme comme Romy"  1/2 page 1 photo

Source : Le Figaro.fr - 13 novembre 2008

Bientôt un film sur la vie de Romy Schneider

Coup d'envoi, en mars prochain, du tournage de « Romy », joué par Yvonne Catterfeld, une jeune chanteuse allemande, véritable clone de l'actrice disparue.

Les biopics se suivent et ne se ressemblent pas… Après Sagan, Piaf, Coluche et en attendant Gainsbourg et deux films sur la vie de Coco Chanel, on prépare un long-métrage sur Romy ­Schneider. Coproduction franco-allemande, le film qui doit être tourné en mars 2009 sera financé pour la France par ­Raymond Danon et réalisé par le metteur en scène germanique Josef Rusnack. Il racontera les grandes lignes de la vie privée et de la carrière de l'actrice, des premiers Sissi à sa disparition tragique en 1982.

Pour incarner l'interprète des Choses de la vie, c'est Yvonne Catterfeld, une chanteuse allemande de 29 ans à la troublante ressemblance, qui a été choisie aux côtés du jeune acteur français Raphaël Personnaz qui jouera Alain Delon. Sa mère, Magda Schneider, sera interprétée par Gudrun Landgrebe, Jean-Hugues Anglade incarnera Claude Sautet ; Tchéky Karyo, le producteur Raymond Danon, et Clément Sibony, son dernier mari, Daniel Biasini. Et on cherche encore l'acteur qui sera Jean-Claude Brialy.

Cette saga intitulée sobrement Romy, qui traversera une quarantaine d'années de cinéma, de bonheur et de drames, devrait bénéficier d'un budget de 13 millions d'euros et être tournée en Allemagne, à Berlin, à Paris, dans le sud de la France et en Roumanie.

«L'histoire d'une jeune fille jetée dans le ciel des stars»
Selon la maison de production allemande Movie Company, dirigée par Douglas Welbat, «le film sera une sorte d'hommage à une femme et à une actrice qui a su faire rimer vie privée et vie professionnelle. L'histoire d'une jeune fille jetée dans le ciel des stars quand elle était très jeune et qui a tenté d'avoir une vie sur la terre». Et les responsables insistent : «On ne se concentrera pas sur les rumeurs et les scandales qui ont pu jalonner sa carrière. Nous mettrons plutôt en lumière ses aspects positifs, même si on évoquera quelques drames comme la disparition tragique de son fils.»

Pour sa part, le producteur français Raymond Danon pré­cise : «Le film s'est fait avec l'accord de sa fille Sarah et de son mari Daniel Biasini. Pour l'interprète, nous avons vu une trentaine d'actrices et nous nous sommes arrêtés sur Yvonne Catterfeld. Elle est formidable. Quant à Raphaël Personnaz, il interprète Alain Delon. Moi qui ai fait onze films avec ce dernier, je l'ai prévenu pour avoir son accord. Il n'a jamais répondu mais il paraît qu'il n'est pas très content d'être interprété dans un film… Je le comprends. Mais qui peut vraiment interpréter Delon ?»

Dominique Borde

Une belle carrière ponctuée de bonheurs et de drames

Il y a vingt-six ans, l'actrice fétiche de Claude Sautet disparaissait brutalement, laissant le public inconsolable.

Le 29 mai 1982, la nouvelle tombait comme un coup de tonnerre et l'épilogue d'une tragédie : Romy Schneider était morte dans la nuit, à l'âge de 44 ans. Une vie s'arrêtait tandis qu'une autre continuait sur l'écran pour nous laisser inconsolable, frustré sans doute de ne pas pouvoir la voir vieillir, coupable peut-être aussi de ne pas avoir compris qu'une femme était passée bien avant une vedette. La nostalgie qui est souvent une mauvaise habitude renvoie toujours le portrait en pied de Sissi où la jeune fille de dix-sept ans devient à la fin des années 1950 une héroïne de roman-photo rose et or. Il faudra attendre une bonne dizaine d'années et Les Choses de la vie de Claude Sautet pour que l'image commence à s'estomper ou au moins à se déplacer.

De "César et Rosalie" à "La banquière", en passant par son rôle pathétique dans "L'important c'est d'aimer", l'autre Élisabeth d'Autriche du "Crépuscule des dieux" ou la femme sacrifiée du "Vieux Fusil", Romy devient l'égérie des années 1970. Le cinéma est alors comme le miroir qui reflétera son humanité, sa force véhémente, ses faiblesses bouleversantes. Sans oublier son charme. Celui qu'elle exprime du côté de Sautet ou en retrouvant Delon son premier grand amour dans "L'assassinat de Trotsky" de Losey ou La Piscine de Deray.

Des blessures indélébiles
Mais est-ce la femme que l'on regarde ou l'actrice que l'on applaudit ? C'est dans cette équivoque que Romy existe à la fois comme une comédienne capable de passer d'un drame à une comédie grinçante et comme une actrice populaire. Son jeu n'est peut-être qu'un dédoublement, ses interprétations l'incarnation d'un malaise plus intime et profond. Et si la tragédienne est devenue un exemple que les femmes voudraient suivre et que les hommes rêvent d'apprivoiser, la vraie Romy est au-delà de ces conventions affectives. Car sa vérité ce sont aussi les grandes douleurs de sa vie comme le suicide de son premier mari ou la mort accidentelle de son fils David en 1981. C'est beaucoup et c'est trop quand le drame vous rattrape au mauvais tournant d'un rôle que l'on n'a pas choisi.

Vingt-six ans après, que reste-t-il alors de ses bonheurs radieux, de ses blessures indélébiles ? Un souvenir toujours vivace qui s'accroche à des images. Ici l'inévitable "Sissi" qui fait toujours rêver les jeunes filles en quête de prince charmant, l'héroïne d'Orson ­Welles dans "Le Procès", la maîtresse révoltée des "Choses de la vie", Lily la prostituée manipulée de "Max et les Ferrailleurs", la femme perdue et pathétique du "Train", celle aimante et torturée du "Vieux Fusil", ou encore l'épouse volage d' "Une femme à sa fenêtre". Quand ce n'est pas l'actrice paumée de "L'important c'est d'aimer" ou la compagne sexy et insatisfaite de "La piscine"…

À moins que tous ces rôles célèbres se résument à un seul et à une photo prise dans les coulisses du tournage de "Ludwig, le crépuscule des dieux" de Visconti. On la voit dans la robe d'Élisabeth d'Autriche, à genoux devant son fils David, alors âgé de 6 ans, coiffé d'un casque de dragon. La promesse d'une carrière alors à son zénith, le bonheur au bord d'une future douleur et l'amour maternel bientôt endeuillé. Il y a là dans ce cliché comme la synthèse de toute sa vie : le cinéma au superlatif, le costume d'un personnage qui la poursuivra tout le temps, et une femme à genoux devant un enfant chéri qui partira trop tôt. Le spectacle et l'intimité confondus, les coulisses d'un tournage qui rejoignent celles de son existence et l'ombre d'une blessure qui ne pourra jamais se refermer.

C'est peut-être cette simple image arrachée au hasard qui restera comme la trace indélébile de Romy Schneider.

Woche Aktuell - N° 45 - 31 octobre 2008

Article intérieur : * Der Fluch der Romy Schneider ? Yvonne Catterfeld - Wird die Rolle ihres Lebens zur Gröbten Enttäuschung ? 3/4 page 1 photo

Neue Post - N° 11 - 05 mars 2008

Article intérieur : * Serie Karlheinz Böhm : Mein Leber - Part 3 : Mein Glüch mit "Sissi" 1,5 page 5 photos

Bunte - N° 37 - 04 septembre 2008

Article intérieur : * Wie starb Romy Schneider wirklich ? 3 pages 6 photos

Source : Bunte.de - 04 septembre 2008
NDLR : Sous toute réserve de traduction. Merci de votre compréhension. 

Romy – une beauté fragile
Patricia Riekel, rédactrice en chef d'un magazine people de premier plan en Allemagne, informe chaque semaine dans Spiegel la photo qui l'a particulièrement touchéqué.

Une photo est comme un souvenir ! Romy Schneider est photographiée par une nuit de printemps orageuse en 1971 à Rome. C'est mon image préférée car elle exprime tout que Romy Schneider était, sa beauté fragile derrière laquelle on pressent le drame. Naturellement, elle est en noir et blanc, car le jeu des couleurs ne lui convenait pas. Avec Romy, tout le contraste, la lumière et l'ombre, ressentait l'affliction extrème, jusqu'à la mort.

La photographe Eva Sereny se souvient dans son livre "Romy à Rome"  (Editions Schirmer/Moselle) que l'actrice de 32 ans lui avait téléphoné à une heure très tardive et lui avait demandét une séance de photos - il pleuvait, certes, mais c'était justement à cause de cela. Avec une bouteille de champagne et des disques de chanson françaises, l'actrice est arrivée dans le studio. L'alcool et la musique se mouvaient dans un accord extraordinaire : "sa joie et son exubérance remplissaient l'espace - bien que sa nature rayonnante s'assombrisse de temps en temps avec l'approche de la mélancolie." Ainsi on été réalisées ce qui est, probablement, les plus belles imas de Romy, des images qui rendent la magie de ce qui fait devenir certaines personnes des "immortels".

C'est cette vie au bord de la cassure de la star mythique est saisie sur papier. Ce balancement entre la clarté et la réalité, entre la nostalgie du public et ses propres possibilités. Romy Schneider a exprimé le dilemne de beaucoup de grands acteurs dans un phrase : "dans les films, je peux tout et rien dans la vie." Elle savait que chaque représentation prend inévitablement fin et que l'artiste se retrouve nu en se démaquillant devant le miroir et regarde fixement ce visage qui  lui est inconnu.

Le changement des rôles dans la vie véritable est, pour beaucoup d'acteurs, une période douloureuse. Plus le jeu est intense, plus ils se glissent dans ce corps étanger, et plus le retour à la normalité est difficile. Ainsi, la star Romy Schneider et la Romy privée sont restés toute une vie des étrangers l'un pour l'autre. 

Gala - N° 803 - 29 octobre 2008

Article intérieur : * Romy Schneider : deux visages 1/2 page 1 photo

Die Aktuelle - N° 44 - 25 octobre 2008

Article intérieur : * Romy Schneider ist zurück 3/4 page 1 photo

Paris Match - N° 3059 - 03 janvier 2008

Article intérieur : * 1968, l'an I du monde moderne Article total : 24 pages Romy = 1 photo sur 1/2 page

Bunte - N° 25 - 12 juin 2008

Article intérieur : * Yvonne Catterfeld : Warten auf die neue Romy 1/4 page 1 photo de Yvonne Catterfeld

Le Nouveau Détective - N° 1359 - 1er octobre 2008

Article intérieur : * Alain Delon : son testament d'amour envers Romy Schneider 1/2 page 1 photo NDLR : cet article fait allusion à l'homme d'Alain Delon envers Romy dans le journal "Le Figaro" du 23 septembre 2008

Le Figaro - N° 19952 - 23 septembre 2008

Woche Heute - N° 27 - 25 juin 2008

Article intérieur : * Romy Schneider : Traurige Kindheit ! 3/4 page 6 photos

Das Neue Blatt - N° 27 - 25 juin 2008

Article intérieur : * Romy Schneider : Es war doch Selbstmord ! 1 page 4 photos

OK ! - N° 33 - 07 août 2008

Article intérieur : * Romy Schneider biopic - Jessica Schwarz : Doppelt heiB 1 page 1 photo

Heim und Welt - N° 16 - 07 avril 2008

Article intérieur : * Jessica Schwarz oder Yvonne Catterfeld : wer is die bessere Romy Schneider ?  1 3/4 page 3 photos

TV 14 - N° 7 - 22 mars 2008

Article intérieur : * Yvonne Catterfeld : der neue superstar (Die neue Romy Schneider) 2 pages 1 photo

Ici Paris - N° 3296 - 09 septembre 2008

Article intérieur :  * Parfum d'hier : Claudia Cardinale, la perle du Sud ! 2 pages 2 photos avec Romy Schneider (en juin 1964 pour "Les victoires du cinéma français")

Frau im Spiegel - N° 15 - 02 avril 2008

Article intérieur : * Das Romy Schneider Rennen - Yvonne Catterfeld und Jessica Schwarz 1 page 1 photo

Freizeit Woche - N° 37 - 03 septembre 2008

Article intérieur : * Romy Schneider : Marlene Dietrich beschaffte ihr die Drogen 3/4 pages 1 photos

Heim und Welt - N° 21 - 10 mai 2008

Article intérieur : * Yvonne Catterfeld und Jessica Schwarz - Wer ist die bessere Romy Schneider ? 1 page 2 photos

Bild der Frau - N° 17 - 19 avril 2008

Article intérieur : * Wien : 19. Verleibung der "Romy" 1 1/2 page 1 photo

Freizeit Revue - N° 33 - 06 août 2008

Article intérieur : * Die Lovestory von Romy Schneider und Alain Delon als Film  1/4 page 3 photos

Nous Deux - N° 3184 - 08 juillet 2008

Article intérieur : * Saga : un jour, une énigme " 29 mai 1982 - La dernière nuit de Romy Schneider" 2,5 pages 8 photos

 

Paris Match - N° 3088 - 24 juillet 2008

Article intérieur : * Festival de Ramatuelle, tous les amis de Brialy sont là 2 pages 1 photo

Première - N° 378 - Juillet/Août 2008

Article intérieur : * Portfolio : Paparazzi Article total =  10 pages Romy = 1 page 1 photo

Elle - N° 3264 - 19 juillet 2008

Article intérieur : * Remake mode 1 page 2 photos NDLR : il ne s'agit pas vraiment d'un article mais j'ai trouvé assez rigolo la liaison du retour de la mode fin 60's avec Romy dans "La piscine"...

Sarah Biasini grandit sur scène

Source : Le Parisien.fr - 21 juillet 2008

La belle personne que voilà ! Dans « Maestro », au Théâtre du Chêne Noir à Avignon, Sarah Biasini joue une musicienne en déroute, un oiseau blessé. Dans la vie, dès la scène quittée, la jeune femme redevient lumineuse, douce, à l'écoute quand c'est elle, en théorie, qui devrait se raconter. Dire quelle comédienne elle devient, au fil des pièces, de la série télévisée « Julie, chevalier de Maupin », il y a quatre ans, à « l'Antichambre » l'année passée sur les planches.

« J'ai laissé échapper mes doutes »
Le regard du public évolue avec elle : plus le temps passe et plus la curiosité envers la fille de Romy Schneider se transforme en un intérêt sincère pour une artiste singulière parmi tant d'autres. A 31 ans tout juste, Sarah Biasini continue de grandir, de se faire. Elle se façonne par le travail. « Le thème de Maestro , c'est comment trouver la confiance. Moi, je n'aurai jamais fini d'en manquer et d'en trouver. Christophe Lidon, le metteur en scène, a cherché à me plonger dans un état particulier. Avec lui, j'ai laissé échapper mes doutes. » Mettre ses propres failles au service d'un personnage, l'astuce a fait ses preuves depuis les débuts de l'histoire du théâtre. Sarah Biasini n'y recourt plus qu'au minimum : « L'expérience aidant, les larmes viennent maintenant plus facilement. C'est une affaire de concentration. Pendant une heure et demie, se dire qu'il n'y a rien de plus important que ce qu'on joue. »

Sur les planches, en jean, chaussettes et tee-shirt, comme n'importe quelle étudiante dans son studio, Sarah Biasini partage son désarroi avec Thomas Joussier et fait face au « Maestro ». Jean-Pierre Bouvier oppose pertinemment son expérience et son assurance à la jeunesse du couple. Lors d'une scène clé, Sarah-Anna se rebelle enfin contre le maître et toute la salle retient son souffle. Un moment rare pour une pièce tout juste créée, et dont Sarah se réjouit. « On perçoit l'écoute du public... Bon, si on est paranoïaque, on se dit qu'ils dorment ! » Une fois le rideau retombé, l'humour et l'humilité reprennent leurs droits dans le discours de la comédienne. « Faire Avignon pour la première fois dans ces conditions-là, c'est du caviar. Un baptême dans du coton. » Pourvu qu'à son cinquantième festival elle soit restée la même !

Jusqu'au 27 juillet au Théâtre du Chêne Noir dans le cadre du festival off d'Avignon.
Tél. 04.90.82.40.57.

Caroline Andrieu

Stars Story - N° 3 - Juillet/Août 2008

Magazine entièrement consacré à Romy Schneider : * Romy aurait eu 70 ans en septembre... 47 pages 62 photos Disponible à la commande sur Journaux.fr NDLR : Vous n'avez pas trouvé ce numéro ? No stress... A toutes fins utiles, sachez que ce numéro est EXACTEMENT le même (intérieur) que le numéro 2 de "France People" paru en février 2008... (ci-dessous, les photos "France People")

 

Neue Post - N° 29 - 09 juillet 2008

Article intérieur : * Romys Tochter : Umarmt sie hier ihr neues Glück ? 1/4 page 2 photos

Die aktuelle - N° 22 - 24 mai 2008

Article intérieur : * Romy Schneider Eine Mutter stirbt mit ihrem Sohn 6 pages 8 photos

 

Source : Die Aktuelle.de
NDLR : Traduction de l'article internet (ci-dessous) sous toute réserve.

Un documentaire (NDLR : diffusé le 29 mai 2008 à 20 h 00) sur 'THE BIOGRAPHY CHANNEL' dévoile le mystère sur la mort de Romy Schneider. Ses amis parlent.

"J'ai eu le sentiment que le Romy souffrait. J'ai senti sa fragilité, peu de temps avant qu'elle ne s'effondre".  Dans cette  production, Albina du Boisrouvray ressend encore aujourd'hui ce deuil, quand elle parle de son amie, 26 ans après le décès de Romy Schneider. Elle était considérée comme l'une des actrices les plus belles et talentueuse, mais sa vie était pleine de douleurs, de manies et de dépressions. C'était surtout le décès tragique de son fils, David qu'elle n'a pas pu surmonter. En 1981, l'enfant de 14 ans a voulu passer par dessus une  une clôture métallique, il a glissé et s'est perforé le ventre. Le docteur Thierry Montariol a appris à Romy  le décès de son fils : "Elle n'a pas pleuré, n'est pas devenu hystérique, de s'est pas décomposée. J'ai eu l'impression que ce n'était pas elle qui était cassée, mais le monde entier tout autour d'elle".

"Cela a été la vraie fin de Romy Schneider", dit le journaliste et auteur d'une biographe  sur Romy, Michael Jürgs. "Elle est morte un an plus tard et j'ai toujours pensé que c'était l'instant où elle a cessé de vivre".  Romy Schneide a quand même combattu. Ce n'est que trois mois après le décès de David, elle a commencé le  tournage de "La  passante du Sans-Souci" à Berlin. Il s'agira de son dernier film. Son ancien agent, Jean-Louis Livi, se rappelle : "Sa chambre d'hôtel était assez déroutante. Toutes ces petites lumières et bougies et partout, des photos de David. Sa chambre à coucher était comme un mausolée".

Les derniers instants de Romy Schneider, les tragédie de sa vie jusqu'à son décès : maintenant dans "Die Aktuelle"