Source : Le Parisien - 03 décembre 2015
Théâtre. « Lettre d'une inconnue », de Stefan Zweig, est un ouvrage qui a été adapté au théâtre. La pièce est en tournée dans toute la France et sera jouée à Thourotte, samedi, par...
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10h24 dans Presse - 2015, Thea-2011-Lettre Inconnue | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Gala.fr - 17 novembre 2015
Le comédien évoque pour la première fois, ses passions amoureuses
Dans son livre d’entretien avec Gilles Jacob, "J’ai vécu dans mes rêve" (Grasset) Michel Piccoli se raconte sans faux-semblants.
Dans sa vie personnelle Michel Picolli a toujours fui la tiédeur. Il se laissera séduire par la passion pour le théâtre de la comédienne Eléonore Hirt, sa première épouse. Succombera au charme et à la fragilité de sa partenaire Romy Schneider «Elle et moi avons eu la faiblesse de nous laisser aller à des gestes pas toujours honnêtes, mais cela n’a jamais détruit, comme on dit, l’amitié que l’on avait l’un pour l’autre», avoue-t-il dans son livre d’entretien avec Gilles Jacob, "J’ai vécu dans mes rêves" (Grasset).
Son union avec la chanteuse Juliette Greco, il en convient, le laissera meurtri. «Un jour, elle m’a dit va-t-en. Presque de cette façon. Ça a été douloureux de mon côté en tous cas». Il a souffert aussi de sa brouille avec sa fille aînée, née de son premier mariage, et dont il n’a plus de nouvelles aujourd’hui. Son ami, l’ancien président du festival de Cannes, Gilles Jacob, préfère, lui, insister sur la relation fusionnelle de Michel Piccoli avec son épouse Ludivine, scénariste : «Ils ont fait plusieurs films ensemble. Discrète et solide, elle l’épaule depuis leur rencontre.»
Le duo s’est lancé dans l’aventure d’une double adoption en Pologne, voilà bien des années. Leur fils Inord et leur fille Missia sont désormais adultes. Cette dernière a choisi de devenir elle aussi comédienne. Un métier qui vous vampirise jusqu’à votre dernier souffle. Michel Piccoli le sait. «Il rêve de mourir sur scène», jure son complice Gilles Jacob. (…)
Lire l’intégralité de l’article dans Gala en kiosques dès demain.
Auteur : Candice NEDELEC
Crédits photos : Patrice PICOT
00h17 dans Presse - 2015, Revue Gala | Lien permanent | Commentaires (0)
Source : Le Figaro.fr - 13 octobre 2015
Le magazine fondé par Hugh Hefner en 1953 va cesser de publier des photos érotiques dans ses pages. Pendant plus d'un demi-siècle la beauté des plus belles actrices du monde a fait sa réputation. Revue de charme.
C'est la fin d'une époque. Il y a quelques semaines le nouvel éditeur du magazine de charme Playboy, Cory Jones, a rencontré Hugh Hefner, le fondateur historique de la revue, pour lui signifier qu'il n'y aurait plus désormais de photos de femmes nues dans ses pages.
La révolution numérique est, semble-t-il, à l'origine de cette décision radicale. Dans un entretien accordé à notre confrère américain, le New York Times, Cory Jones a donné un argument implacable: «La libération sexuelle a été gagnée. Playboy était pionnier mais aujourd'hui il suffit d'un seul clic, et vous pouvez voir toutes les images osées ou provocantes gratuitement. Playboy et ses premières images sulfureuses appartiennent désormais à l'Histoire.»
Les statistiques de vente du magazine sont cruelles et corroborent l'analyse du nouveau patron de Playboy. En 1975 sa diffusion avait atteint les 5,6 millions d'exemplaires. Aujourd'hui elle ne dépasse plus guère les 800.000 exemplaires par mois.
Les plus belles femmes du monde ont posé nues ou presque nues pour le journal de Hugh Hefner. Le Figaro a choisi de vous présenter les plus indiscutables icônes de la revue.
Marilyn Monroe en 1953
Marilyn appartient à l'histoire de Playboy. En novembre 1953, elle devient la première playmate du journal. La bombe sexuelle est née. Depuis toutes les éditions internationales de la revue de charme ont exploité à l'envi son sourire et son incomparable plastique. Marilyn Monroe appartient à la légende Playboy
Ursula Andress en 1965
En 1962 Dans Dr No, Ursula Andress inventa l'idée même de la James Bond Girl. Au faîte de sa gloire, en 1965, elle accepte de poser pour Playboy. C'est alors considéré comme un choix particulièrement osé, presque sulfureux. Ursula Andress a été la première des James Bond Girls.
Romy Schneider en 1980
L'inoubliable actrice franco-allemande a attendu 1980 pour poser dans le magazine de Hugh Hefner. Ses huits nus artistiques étaient accompagnés d'entretiens exclusifs avec deux de ses réalisateurs fétiches, Claude Sautet et Francis Girod.
Par Bertrand Guyard
10h43 dans Presse - 2015, Revue Figaro | Lien permanent | Commentaires (1)
Source : France Ouest.fr - 25 septembre 2015
NDLR : Justement j'étais hier à Noirmoutier (si ça ce n'est pas le hasard de la chance !) et j'ai donc pu acheter cette édition de France Ouest. Les abonnés du Magazine pourra le voir en entier dans le prochain numéo.
En 1972, l’histoire du 7e art s’écrit sur l’île de Noirmoutier. Le metteur en scène Claude Sautet y pose ses caméras et filme "César et Rosalie".
L’île de Noirmoutier a été, de tout temps une terre de tournage, du muet à nos jours, avec Boomerang qui vient juste de sortir en avant-première.
Mais la palme revient à Claude Sautet, qui y tourna en partie deux films, "Garçon !" en 1986, avec Montand.
Et, douze ans auparavant, le mythique "César et Rosalie", en tête du box-office français en 1972.
À l'affiche de ce film : Romy Schneider, Yves Montand, sans oublier Bernard Lecoq et Isabelle Huppert à ses débuts.
09h03 dans Film-1972-Rosalie, Presse - 2015 | Lien permanent | Commentaires (2)