De Romy Schneider... à Sarah Biasini

Sissi impératrice

L'histoire...

1956 - Réalisé par Ernst Marischka.

Allemagne	Sissi, die junge kaiserin
US / UK
Espagne	Sissi imperatriz
Italie	Sissi, la giovane imperatrice
Mexique

Générique : Scénario et dialogues : Ernst Marischka. Directeur photo : Bruno Mondi (Agfacolor). Musique: Anton Profes. Décors : Fritz Jüptner-Jonstorft. Son: Herbert Janeczka. Montage: Alfred Srp. Assistant réalisateur : Rudolf Zehetgruber. Caméra : Herbert Geier. Maquillages: Rudolf Ohlschmidt, Léopold Kuhnert. Costumes: Gerdago et Léo Bei. Directeur production : Karl Ehrlich. Distribution : S.N.C. Durée : 105 mn. Sortie à Paris: 16 août 1957.

Distribution : Romy Schneider (Sissi), Karlheinz Bôhm (Franz), Magda Schneider (duchesse Ludovika), Gustav Knuth (duc Max), Vilma Degischer (archiduchesse Sophie), Erich Nikowitz (archiduc François-Charles), Josef Meinrad (colonel Bôckl), Walther Reyer (compte Andrassy), Ivan Petrovich (docteur Falk), Senta Wengraf (comtesse Bellegarde), Richard Eybner (maître de poste), Karl Fochler (comte Grünne), Hélène Lauterbôck (comtesse Esterhazy), Egon von Jordan (président du conseill, Josef Egger (maître de cérémonie), Hugo Gottschlich (aubergiste).

Résumé : L'archiduchesse Sophie exige un respect très strict de l'étiquette de la Cour, mais la jeune impératrice, habituée à son indépendance et à la simplicité, se révolte contre sa belle-mère. Il en résulte de nombreux conflits entre les deux femmes. Sissi, contrainte d'apprendre toutes les langues qui composent le vaste empire de son époux, s'est plus particulièrement attachée à la Hongrie grâce au docteur Falk, son professeur, qui lui vante la noblesse et la fierté de son beau pays. La souveraine se plaint de ne pas voir son mari autant qu'elle le voudrait et regrette la Bavière. Franz s'efforce de lui rendre la vie plus agréable malgré la présence de l'archiduchesse Sophie.
Sissi donne le jour à une petite princesse nommée Gisèle mais Sophie décide d'élever l'enfant car elle estime l'impératrice trop jeune pour cette tâche. Dépitée devant cette audace et la faiblesse de Franz qui accepte les ordres de sa mère, Sissi s'enfuit de Vienne et se réfugie en Bavière chez ses parents. Franz décide de ramener son épouse. Réconciliés et plus amoureux que jamais, les deux jeunes gens font une excursion en montagne et passent quelques jours incognito dans une auberge. A son retour, Sissi est obligée de considérer sa lourde tâche d'impératrice. Le plus haut dignitaire hongrois, le comte Andrassy, la supplie de se rendre avec son époux jusqu'à Budapest. Elle refuse. Bientôt, sa fille lui est rendue. Sissi ne peut plus se dérober à son devoir. Les jeunes époux se rendent alors en Hongrie où ils seront couronnés sous les ovations d'un peuple reconnaissant. Sissi a définitivement conquis le coeur de sa nouvelle patrie et terre d'élection

Télérama - N° 1428 - 28 mai 1977

Article intérieur : * Portrait de groupe avec dame : lisez le livre ! 2 pages 2 photos

Première - N° 41 - Août 1980

Article intérieur : * La banquière 6 pages 8 photos

Première - N° 22 - Novembre 1978

Article intérieur : * Interview de Première : Romy Schneider 3,5 pages 1 photo

Sissi

L'histoire...

1955 - Réalisé par Ernst Marischka

Générique : Scénario et dialogues : Ernst Marischka. Directeur photo : Bruno Mondi (Agfacolor). Musique: Anton Profes (plus oeuvres de Johann Strauss et l' «Allelluia» du Messie de Haendel). Décors: Fritz Jüptner-Jonstorft. Montage: Alfred Srp. Son: Herbert Janeczka. Assistant réalisateur: Rudolf Zehetgruber. Caméra: Herbert Geier. Maquillages: Jupp Paschke, Heinz Starnm, Fritz Jelinek. Costumes: Gerdago et Franz Szivats. Directeur production: Karl Ehrlich. Distribution : S.N.C. Durée : 102 mn. Sortie à Paris : 1er mars 1957 (première projection en France: Nice, le 22 janvier 1957)

Distribution : Romy Schneider (Sissi), Karlheinz Böhm (François-Joseph), Magda Schneider (duchesse Ludovika de Bavière), Gustav Knuth (duc Max de Bavière), Uta Franz (Hélène de Bavière), Vilma Degischer (archiduchesse Sophie), Erich Nikowitz (archiduc François-Charles), Peter Weck (archiduc Karl-Ludwig), Josef Meinrad (Böckl), Franz Bôheim (Johann Petzmacher), Karl Fochler (comte Grünne), Otto Tressler (Radetzky), Hilde Wagener (Baronne Wüllfen).

Résumé : Le jeune empereur François-Joseph (Franz) a remplacé son père, l'archiduc François-Charles, sur le trône d'Autriche. Célibataire, il représente sans doute le plus beau parti d'Europe. Désireuse de donner à son fils bien-aimé une épouse digne de son rang, l'archiduchesse Sophie, une femme très autoritaire, projette une rencontre avec la princesse Hélène de Bavière, la fille aînée de sa soeur Ludovika. Invitée à Bad Ischl, résidence impériale d'été, Ludovika se rend chez Sophie, accompagnée d'Hélène et d'une de ses autres filles, la très jeune Elisabeth, dite Sissi. Cette dernière, peu soucieuse des convenances éprouve une véritable passion pour la nature, l'équitation et les escapades en montagne. Au cours d'une partie de pêche, Sissi est remarquée par Franz qui décide de faire quelques pas en sa compagnie. Elle est sa cousine mais il ne la reconnaît pas. Sissi s'amuse de cette situation. Ils se donnent rendez-vous dans la forêt et Franz, conquis par le charme de Sissi, tombe éperdument amoureux. La jeune fille sent son coeur battre plus fort pour le beau Franz mais lorsqu'elle apprend que celui-ci doit épouser sa soeur Hélène, elle s'enfuit. Le soir, au cours du bal donné en son honneur, Franz retrouve Sissi, la choisit comme cavalière et lui offre ses fleurs favorites : des roses rouges. Puis le jeune souverain, stupéfaction de tous les invités, annonce ses fiançailles avec Sissi, délaissant Hélène humiliée. Sophie, furieuse sait qu'elle doit se plier à la volonté de ce fils qu'elle croyait influencer et qui, passionnément épris d'Elisabeth, échappe à tout contrôle. Sissi, aux côtés de sa famille, descend le Danube en bateau jusqu'à Vienne où l'attend l'empereur impatient. Le mariage est fixé en avril 1854. La future impératrice, émue, acclamée par la foule, se rend à la cathédrale Saint-Etienne où elle unira son destin à celui de Franz.

Bunte - N° 11 - 03 mars 1977

Article intérieur : * Leicht hat sie's auch diesmal nicht 2 pages 2 photos

Ciné Revue Mag - Décembre 1979

Article intérieur : * Comment Sissi devint Romy Schneider 10 pages 25 photos

Paris Match - N° 1523 - 04 août 1978

Article intérieur : * Romy Schneider : rentrée triomphale après deux ans de retraite pour avoir le bébé dont elle rêvait. 4 pages 6 photos

L'amour à la mer

L'histoire...

1962 - Réalisé par Guy Gilles

Générique : Scénario et dialogues : Guy Gilles. Images: Marc Sator. Musique: Jean-Pierre Stora. Photographie : Jean-Marc Ripert. Montage : Noun Serra. Production : Filmax France - Eastmancolor. Durée originale : 75 min. Durée DVD : 73 min

Distribution : Geneviève Thénier (Geneviève), Daniel Moosman (Daniel), Guy Gilles (Guy), Guy Bertil, Jean-François Faure, Josette Krieff, Arnaud Dutey-Ariste, Jean-Daniel Simon, Christiane Azzopardi, Romy Schneider (apparition).

Résumé : Geneviève est secrétaire. Elle aime les chansons d'amour et aussi un marin de rencontre. Mais le marin aime la mer et surtout sa liberté. Tous eux savent que leur amour est impossible, mais ils vont faire semblant d'y croire. On s'écrit, on s'envoie des mots doux, on flane main dans la main, on s'amuse entre copains. Tous deux, cependant, vont lentement se séparer et le marin de Geneviève va tenter de trouver sa propre voie, une autre voie.

Ciné Télé Revue - N° 37 - 09 septembre 1976

Article intérieur : * Romy Schneider tourne son 50e film ! 2 pages 2 photos

Télé Poche - N° 714 - 17 octobre 1979

Article intérieur : * Quand Romy n'était pas encore devenue "La femme" 2 pages 2 photos

Ciné Télé Revue - N° 08 - 23 février 1978

Article intérieur : * Le retour de Romy Schneider ! 2 pages 2 photos

Le procès

L'histoire...

1962 - Réalisé par Orson Welles
Titre original anglais : The trial

Générique : Scénario et dialogues : Orson Welles, d'après le roman Der Prozess, de Franz KaJka. Adaptation et dialogues français : Pierre Cholot. Directeur photo : Edmond Richard (noir et blanc). Musique et arrangements : Jean Ledrut (leitmotiv : L'Adagio d' Albinoni). Décors : Jean Mandaroux. Caméra: Adolphe Charlet. Maquillages : Louis Dor. Costumes : Hélène Thibault. Ensemblier : André Labussière. Images du prologue créées par Alexandre Alexeieff et Claire Parker (sur écran d'épingles). Son : Guy Villette. Montage : Yvonne Martin. Assistants réalisateurs : Marc Maurette, Paul Seban, Sophie Becker. Effets d'optique du prologue : Lax. Directeur production : Robert Florat. Distribution : U.F.A. Comacico. Durée : 120 mn. Sortie à Paris : 21 décembre 1962.
Pour ce rôle, Romy reçoit, en 1963, l' Etoile de Cristal de l'Académie du Cinéma.

Distribution : Anthony Perkins (Joseph K.), Jeanne Moreau (Melle Burnstner), Elsa Martinelli (Hilda), Romy Schneider (Léni), Suzanne Flon (Miss PittI), Madeleine Robinson (Mme Grubach), Orson Welles (l'avocat Hastler), Akim Tamiroff (Bloch), Arnoldo Fria (l'inspecteur), Fernand Ledoux (chef-greffier), Maurice Teynac (sous-directeur), Bill Kearns et Jess Hahn (sous-inspecteurs), Michel Lonsdale (prêtre), Raoul Delfosse (Ier bourreau), Jean-Oaude Remoleux (2e bourreau), Wolfgang Reichmann (huissier), Thomas Holzmann (étudiant), Maydra Shore (lrmie), Max Haufler (oncle Max), Max Buchsbaum (juge), Karl Studer (l'homme au fouet), William Chappel Titorelli). Les rôles de Katina Paxinou (savante) et Roger van Doude (archiviste) ont été supprimés au montage.

Résumé : Un matin, en s'éveillant, Joseph K. voit un inconnu dans sa chambre. L'homme lui déclare qu'il est en état d'arrestation. Joseph K. ne comprend pas ce phénomène. Il va prendre son petit déjeuner chez sa logeuse, Mme Grubach. K. s'indigne lorsqu'elle lui révèle que des policiers ont fouillé la chambre de Mlle Burnstner, sa voisine. Un inspecteur explique à K. que son arrestation ne l'empêche nullement de mener une vie normale. K. rejoint Mlle Burnstner, bavarde avec elle puis l'embrasse. Mais elle le chasse brutalement lorsqu'il lui parle des policier. Le soir-même, K. Rencontre dans la rue Miss Pittl, une infirme amie de Mlle Brunstner qui a déménagé à cause de lui. K se rend au tribunal où il retrouve Hilda. Celle-ci le conduit dans une salle immense et comble. K. se révolte et raille la Justice. Il s'éloigne sous les menaces. L'oncle de K. lui conseille de prendre un avocat, un certain Hastler qu'il connaît bien. ils sont reçus par Léni, la maîtresse de l'avocat, qui accepte de se charger de l'affaire. Léni entraîne K. dans une grande salle sombre encombrée d'archives et s'offre à lui. K. découvre un vieil homme dans un réduit: Bloch. Léni refuse de lui donner des renseignements sur l'homme et lui confie une clef afin qu'il vienne la revoir. Hilda tente de séduire K. au tribunal. L'huissier le conduit dans des bureaux poussiéreux mais K., pris d'un malaise, demande à sortir. il revient chez l'avocat et rejoint Léni et Bloch qui est également un accusé. Léni conduit K. jusqu'à la chambre de l'avocat qui humilie Bloch. La jeune femme indique à K. l'adresse de Titorelli, un peintre qui pourrait l'aider. Après avoir rendu visite au peintre, K. entre dans une cathédrale où un prêtre lui apprend qu'il est désormais condamné. L'avocat Hastler survient et reproche à K. de l'avoir quitté. Deux hommes entraînent K. dans un terrain vague, l'obligent à se déshabiller mais n'osent pas l'exécuter. K. se moque d'eux. Les bourreaux jettent alors un rouleau de dynamite sur leur victime. Le rire de Joseph K. retentit, aussitôt suivit d'une gigantesque explosion.

Bunte - N° 26 - 15 juin 1977

Article intérieur : * LaB das liebe, Romy Schneider ! 2 pages 2 photos

Paris Match - N° 1389 - 10 janvier 1976

Article intérieur : * Le mariage de Romy : "Je ne suis pas faite pour être mère célibataire". 3,5 pages 5 photos

 

Paris Match - N° 1551 - 16 février 1979

Article intérieur : * Romy Schneider, elle n'a jamais été aussi bouleversante 4 pages 5 photos

Le combat dans l'île

L'histoire...

1961 - Réalisé par Alain Cavalier (supervisé par Louis Malle)

Générique : Scénario: Alain Cavalier. Dialogues: Jean-Paul Rappeneau. Directeur photo: Pierre Lhomme (noir et blanc). Musique: Serge Nigg (plus oeuvres de Mozart). Musique de danse : André Borly. Décors : Bernard Evein. Son: André Hervée. Montage: Pierre Gillette et Moniqde André. Assistants réalisateurs : Philippe Collin et Nicolas Rybovski. Caméra: Jean-Marie Maillols. Maquillages : Janine LaIikshear. Ensemblier: Albert Volper. Effets spéciaux: Lax. Directeur de production: Fred Surin. Distribution: C.F.D.C./U.G.C. Durée :104 mn. Sortie à Paris: 7 septembre 1962.

Distribution : Romy Schneider (Anne), Jean-Louis Trintignant (Clément), Henri Serre (Paul Laforêt), Pierre Asso (Serge), Diana Lepvrier (Cécile), Robert Bousquet (Lucien), Maurice Garrel (Louis Terrasse), Jacques Berlioz (le père de Oément), Armand Meffre (André), Clara Tambour (Marthe), Marcel Cuvelier (concierge de l'Hôtel de Suède), Irène Tunc (Mme d'Arsonville, femme du yachtman) et la voix de Jean Topart.

Résumé : Anne est mariée avec Clément, fils d'industriel aisé au caractère violent, jaloux et renfermé. Le jeune homme fait partie d'un groupe extrêmiste dirigé par Serge, un homme étrange. Ce dernier fascine Clément et parvient à le convaincre d'exécuter avec lui un attentat au bazooka sur la personne d'un député de gauche : Louis Terrasse. L'attentat se déroule en plein Paris. Serge prévient Clément qu'ils ont été dénoncés. Clément doit s'enfuir de la capitale. Anne, inquiète, décide d'accompagner son époux. Tous deux se réfugient en Normandie, chez Paul Laforêt, un ami d'enfance de Clément. Paul, doux et tranquille, mène une vie sereine dans un vieux moulin au bord de la Seine. Clément apprend par la radio qu'il a été trahi par Serge. Ce dernier a prévenu le député Terrasse avant de disparaître en Amérique du Sud. Pacifiste, Paul se révolte contre l'attitude de Clément et le chasse de sa maison. Clément, assoiffé de vengeance, décide d'abattre Serge. Anne tente, en vain, de le retenir. La jeune femme désemparée, tombe malade. Soignée par Paul et Cécile, sa jeune servante, Anne retrouve peu à peu son équilibre et se lie d'amitié avec Cécile. Elle apprend à connaître Paul. Séduite par le calme et la force de son compagnon, elle se donne à lui. Clément retrouve Serge en Argentine et le tue. Paul a ramené Anne à Paris et vit avec elle. Il la persuade de reprendre son ancien métier de comédienne en jouant dans une pièce écrite par sa femme disparue. Anne accepte, elle est heureuse. Mais Clément réapparaît et tente de reconquérir sa femme. Cette dernière le rejette et lui apprend qu'elle est enceinte de Paul. Anéanti, Clément provoque Paul en duel. L'affront doit être lavé dans le sang. Paul refuse ce combat ridicule. Clément et deux comparses le frappent et l'obligent à accepter le défi. Paul refuse encore et regagne le moulin avec Anne. Tous deux sont décidés d'attendre leur enfant dans la paix. Clément, fou de rage, s'introduit dans l'île où se trouve le moulin, tire en direction de la maison et blesse Anne. Paul accepte alors le combat et parvient, grâce à une ruse, à tuer son ancien ami. Anne n'a pas bougé, pétrifiée par l'angoisse. Elle se jette enfin dans les bras de Paul qu'elle n'osait plus espérer.

N.B. - Pour la première fois, Romy Schneider s'exprime elle-même en français.

Le Soir Illustré - N° 2238 - 15 mai 1975

Article intérieur : * Romy Schneider : "J'aime les défis" 3 pages 7 photos

Noir et blanc - N° 1017 - 26 août 1964

Article intérieur : * un soir, Romy perdit Alain en lui avouant la triste vérité... 1,5 pages 3 photos

Oggi - N° 1 - 02 janvier 1964

Article intérieur : * Romy si era stancata di far la Penelope di Delon 4 pages 2 photos

Boccace 70

L'histoire...

1961 - Réalisé par Luchino Visconti - 2e sketch : le travail
Titre italien : Boccacio 70 - Il lavoro

Générique : Scénario : Luchino Visconti, Suso Cecchi d'Amico, sur une idée de Cesare Zavattini, d'après la nouvelle de Guy de Maupassant Au bord du lit. Directeur photo: Giuseppe Rotunno (Technicolor). Musique: Nino Rota. Décors : Mario GarbugIia. Montage: Mario Serandrei. Costumes : Piero Tosi (costumes de Romy Shneider : Coco Chanel). Coiffures de Romy Shneider : Alexandre. Directeurs de production: Sante Chimirri, Lucio Orlandini, Alfredo Melidoni, Ugo Tucci. Distribution : Cinédis. Durée du sketch: 55 mn (durée intégrale: 156 mn). Sortie à Paris : 29 août 1962.

Distribution : Romy Schneider (Pupe), Thomas Milian (comte Ottavio), Paolo Stoppa (avocat Zacchi), Romolo Valli et Amédéo Girard (avocats).

Résumé : Le comte Ottavio, l'un des hommes les plus réputés de la Haute Société milanaise, passe un week-end sur le lac Majeur lorsqu'un coup de téléphone de ses avocats le rappelle à Milan. Il trouve les trois hommes survoltés dans son luxueux appartement. En première page des journaux du soir s'étale en gros titre le «scandale des call-girls» dans lequel le jeune comte est impliqué. Celui-ci a en effet donné 800 mille lires à plusieurs créatures de moeurs légères qui lui ont accordé leurs faveurs. La fortune du comte se révèle en fait bien dérisoire à côté de celle de sa jeune femme : Pupe. La comtesse d'origine allemande, est la fille d'un puissant homme d'affaires pointilleux sur la morale. Choqué par ce scandale, il a fait bloquer tout l'héritage qu'il destinait à sa fille. Le comte a besoin de l'appui de Pupe. Il trouve sa femme dans son boudoir. Celle-ci coquette et hautaine, sourit des frasques de son mari mais, blessée dans son orgueil, savoure déjà sa vengeance. Son époux devra désormais lui remettre un chèque important lorsqu'il voudra la posséder. Ottavio accepte l'étrange marché. Cette prostitution conjugale va bientôt humilier et détruire la jeune femme.

Paris Match - N° 1227 - 11 novembre 1972

Article intérieur : * Romy : Montand est son César mais Harry est son mari. 2 pages 3 photos

Plein soleil

L'histoire...

1959 - Réalisé par René Clément
Titre allemand : Nur die sonne war zeuge.

Générique : Scénario et dialogues: René Clément et Paul Gegauff, d'après le roman Monsieur Ripley, de Patricia Highsmith. Directeur photo: Henri Decae (Eastmancolor). Musique: Nino Rota. Décors : Paul Bertrand. Son: Jean-Claude Marchetti. Montage: Françoise Javet. Distribution: C.C.F .C. Durée: 115 mn. Sortie à Paris: 10 mars 1960.

Distribution : Alain Delon (Tom Ripley), Maurice Ronet (Philip Greenlea), Marie Laforêt (Marge), Elvire Popesco (Mme Popova), Erno Crisa (inspecteur Riccordi), Frank Latimore (O'Brien), Bill Kearns (Freddy), Ave Ninthi (Signora Gianna), Viviane Chantel (la Belge), Paul Muller, Mairo Bernadi et Romy Schneider (la petite amie de Freddy).

N.B. Romy Schneider fait une brève apparition de quelques secondes auprès de Maurice Ronet et Bill Kearns au tout début du film.

Résumé : D'origine pauvre, Tom Ripley a pour mission de ramener aux U.S.A. Philip Greenleaf, fils d'un riche industriel de San Francisco. S'il y parvient, il obtiendra une forte somme d'argent. Tom rejoint Philip près de Naples où celui-ci mène une existence oisive auprès d'une bande d'amis et d'une jeune fille superbe : Marge. Tom et Philip deviennent complices, malgré la réserve de Marge. Les querelles se multiplient entre les deux amoureux. Philip se conduit odieusement. Les jeunes gens partent faire une croisière sur le yacht de Philip. Tom est las du comportement de son compagnon et convoite sa fortune. Il le poignarde et jette sa dépouille à la mer. Puis il falsifie le passeport de Philip, imite sa signature, sa voix et encaisse l'argent que le milliardaire continue de verser à son fils. La supercherie est bientôt découverte par Freddy, un ami de Philip. Tom l'assassine par crainte d'être démasqué et se débarrasse du corps. Marge, abusée, finit par céder à Tom. Le jeune homme savoure son triomphe mais le yacht, traîné en cale sèche, fera échouer ses pIans : le corps de Philip est retrouvé accroché à l'hélice.

Jours de France - N° 409 - 15 septembre 1962

Article intérieur : * Chanel, l'inimitable perfection 3 pages 2 photos

Look - N° 19 - 11 septembre 1962

Article intérieur : * Romy Schneider, she gave up "royalty" ... to become a woman 6 pages 8 photos

Paris Match - N° 1095 - 02 mai 1970

Article intérieur : * Ces robes : la sélection de Romy pour Cannes 1,5 pages 2 photos

Katia

L'histoire...

1959 - Réalisé par Robert Siodmark

Titre original allemand : Katja, Mädchenjahre einer Königin
Titre anglais : The magnificent sinner

Générique : Scénario: Charles Spaak, d'après le roman de la princesse Bibesco (Editions Gallimard). Dialogues: Georges Neveux. Directeur photo: Michel Kelber (Eastmancolor). Musique: Joseph Kosma. Décors: Jean d'Eaubonne. Son : Antoine Petitjean. Montage: Louisette Hautecreur. Assistants réalisateurs : Ulrich Pickard, Guy Blanc. Caméra: Wladimir Ivanow. Maquillages: Georges Bouban, Jack Narval. Costumes: Rosine Delamare. Costumes militaires: André Basq. Directeur production : Henri Baum. Distribution: Cinédis. Durée: 93 mn. Sortie à Paris: 20 janvier 1960.

Distribution : Romy Schneider (Katia Dolgorouki), Curd Jürgens (tsar Alexandre II), Pierre Blanchar (général Koubaroft), Antoine Balpêtré (Kilbatchich), Monique Mélinand (tsarine Maria Alexandrovna), Françoise Brion (Sophie Perovski), Jacqueline Marbaux (Mlle Trepeau), Alain Saury (Soloviev), Michel Bouquet Ueliabov), Bernard Dhéran (Ryssakov), Hubert Noël (Michel Dolgorouki), Gabrielle Dorziat (directrice de l'Institut Smolny), Yves Barsacq (Katourine), Margo lion (surveillante de l'Institut Smolny), Paul Mercey (aubergiste), Germaine Delbat (gouvernante), Lazslo Szabo (ler étudiant), Oaude CarIiez (2e étudiant), Jean Bolo (3e étudiant), Georges Lycan (officier de prison), Pierre-Jean Montcorbier (oncle de Ryssakov), Hans Unterkirschner (Paskievich), Robert Le Réal (le baron), Jacques Bertrand (soldat chez l'oncle de Ryssakov), Heinz Czeike (Tsarevitch), Senta Berger (jeune femme à la Cour du tsar), Hélène Lauterbôck (une dame de la Cour), Egon von Jordan (officier du tsar), Dany Jaquet (pensionnaire de l'Institut Sinolny qui vole le portrait du tsar), Françoise Deldick (une autre pensionnaire), Yves Gladine, Marcel d'Orval.

Résumé : De 1865 à 1881, à Saint-Pétersbourg et Paris. A l'Institut Smolny, où sont éduquées les jeunes filles pauvres de la noblesse russe, Katia Dolgorouki accumule les punitions. U n portrait du tsar Alexandre II a été retrouvé sous son oreiller. Sévèrement réprimandée, Katia affirme que c'est le tsar lui-même qui lui a remis. Or, la tsarine étant souffrante, le souverain vient visiter l'Institut. Tremblante de peur, Katia est présentée au tsar qui, séduit par la beauté et l'espièglerie de la jeune fille, feint de la reconnaître, lui évitant d'être renvoyée. Il emmène Katia en promenade pour lui faire la morale. Bientôt, il la revoit tous les jours. Conquis par le charme de Katia, le tsar rétablit la fortune des Dolgorouki et permet au frère de sa jolie protégée d'obtenir une promotion au sein de l'armée impériale. Des jaloux le provoquent et Michel est tué au cours d'un duel. Une passion ardente est née entre Katia et le tsar. Pour mettre un terme aux rumeurs, Alexandre éloigne la jeune fille et l'envoie à Paris. Quelques mois plus tard, le tsar rend visite à Napoléon III et retrouve Katia qui devient sa maîtresse. De retour à Saint-Pétersbourg, Katia partage la vie d'Alexandre puis l'aide à concevoir des réformes qui le rendent hostile aux privilégiés sans satisfaire les révolutionnaires. Epuisée par la maladie et le chagrin, la tsarine meurt. Alexandre épouse Katia en secret. Il promet à sa compagne de faire d'elle la nouvelle souveraine. Mais les attentats se multiplient et Katia connaît l'angoisse. Alexandre demeure calme et affirme à Katia que la Constitution sera promulguée le jour de son couronnement. Craignant pour leurs privilèges, les conseillers du tsar complotent pour inciter les nihilistes à commettre un nouvel attentat. A la veille du sacre, Alexandre part à une revue militaire. Katia est inquiète. Sophie Perovski, appartenant à une organisation secrète, est désignée pour lancer une bombe sur le tsar. Mortellement blessé, celui-ci est transporté dans la galerie du palais et rend son dernier soupir dans les bras de son amour, son «démon bleu» : Katia.

De Post - N° 699 - 28 juillet 1962

Article intérieur : * Romy Schneider schrijft haar naam de S van Sex en Sensatie 3 pages 5 photos

Revue - N° 29 - 22 juillet 1962

Article intérieur : * Romy läbt die hüllen fallen 2 pages 2 photos

De Post - N° 1055 - 25 mai 1969

Article intérieur : * Het Cannes ook zonder contestatie 4 pages 2 photos